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De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée Mondiale de la population – 11 juillet

En 1989, le Conseil d’administration du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a recommandé de faire du 11 juillet la Journée mondiale de la population. Cette journée, issue de la Journée des cinq milliards, célébrée le 11 juillet 1987, a pour objet d’appeler l’attention sur l’urgence et l’importance des questions de population, notamment dans le cadre des plans et programmes généraux de développement et sur la nécessité de trouver des solutions. (Source: ONU)

« Chaque femme et chaque fille est un être humain unique et précieux qui a droit à jouir de chances égales et des droits de la personne universellement reconnus, où qu’elle soit née et où qu’elle vive. Le moment est venu de redoubler d’efforts pour placer l’égalité entre les sexes au sommet de l’agenda international de la paix et du développement. »   Thoraya Obaid, Directrice exécutive de l’UNFPA 

Un site à visiter : www.planetevivante.wordpress.com   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Cette année (2018) marque le 50e anniversaire de la Conférence internationale des droits de l’homme de 1968, où la planification familiale a été, pour la première fois, reconnue mondialement comme un droit de l’homme.

La Conférence a également adopté la résolution XVIII intitulée « Aspects des droits de l’homme de la planification familiale », qui relie ce droit à « la dignité et la valeur de la personne humaine » et note la relation entre l’accès à la planification familiale et la condition féminine.

Source : Texte (abrégé) : UNFPA

 

Un endroit stratégique… pour un avenir pacifique

Des options pour la PAIX et des actions concrètes dans ce sens sont toujours nécessaires. L’actualité internationale récente a fourni des exemples encourageants pour le développement d’un processus en vue d’une paix durable. Et voici qu’une nouvelle initiative suscite un espoir grandissant… (Note de l’éditrice)

Une « Chapelle pour la paix » bâtie entre les deux Corées

Une zone démilitarisée, théâtre de violents combats au début des années 1950, va devenir un lieu de dialogue et de prière pour la paix grâce à la construction d’une chapelle. Les travaux de construction viennent d’être inaugurés à la frontière entre la Corée du Sud et la Corée du Nord.

C’est là que l’armistice de 1953 a été signée entre la Corée du Nord et la Corée du Sud. C’est là aussi que le leader nord-coréen, Kim Jong-un, et le président de la Corée du Sud, Moon Jae-in, se sont rencontrés à deux reprises ces deux derniers mois pour tenter de mettre la péninsule sur la voie de la dénucléarisation et de la réunification. Panmunjeom, village emblématique situé à la hauteur du 53e parallèle est au sein de la zone inter-coréenne de sécurité (DMZ), contrôlée par l’ONU. C’est aujourd’hui le seul point de rencontre possible entre les chefs d’État nord et sud-coréens. C’est là que devrait sortir de terre dans les prochains mois la nouvelle « chapelle de la paix ».

65 ans après l’armistice qui n’a pas mis techniquement fin à trois années de guerre (1950-953), cette initiative « révolutionnaire » est accueillie par Mgr Francis Xavier Yu Soo-il, évêque de l’ordinariat militaire en Corée comme « un don qui révèle la grâce de Dieu ». Cette chapelle, assure-t-il, « sera un lieu où l’on pourra prier pour parvenir à dépasser nos différences, dans l’espérance de la réunification » et où « les soldats en poste au village de Panmunjom pourront trouver un soutien spirituel ».

Un geste significatif
L’évêque coréen a inauguré les travaux, il y a quelques jours. Ceux-ci devraient s’achever en mars 2019. L’édifice, occupera une parcelle de 2 089 m2 et pourra accueillir plus d’une centaine de fidèles, rapporte Vatican News. Pouvoir se retrouver dans un lieu aussi près les uns des autres pour « prier pour la paix dans la péninsule coréenne » est source de joie pour les fidèles coréens et les soldats sur place. Tous mettent beaucoup d’espoir dans ce geste qu’ils trouvent « particulièrement significatif » alors que les blessures de la guerre demeurent malgré le nouvel élan de réconciliation et d’échanges renouvelés entre les deux Corées.

Source: Texte (abrégé): Isabelle Cousturié, 29 juin 2018  Images: en.wikipedia.com  directconnectamerica.com  fotolia.com

 

Journée Internationale des Nations Unies pour le soutien aux victimes de la torture – 26 juin

Afin d’éliminer totalement la torture et d’assurer l’application de la convention du 10.12.1984, l’Assemblée Générale des Nations Unies a proclamé le 26 juin « Journée Mondiale de Soutien aux Victimes de Torture ».

Cette journée est révélatrice d’une prise de conscience généralisée que la torture, honteuse pratique couramment utilisée dans plus de 150 pays est bien une atteinte à un droit inaliénable de la personne humaine: la dignité.

Il convient dès lors de se mobiliser pour cette journée afin de poursuivre ensemble la lutte contre l’impunité des tortionnaires car il est nécessaire de ne pas oublier que si le Droit International de protection devient peu à peu aujourd’hui un élément d’espoir, son effectivité sera toujours le produit de notre vigilance. 

Aucune cause ne peut justifier la torture
Malheureusement, il reste beaucoup à faire, il nous arrive d’entendre le témoignage de ceux qui ont été torturés par des régimes brutaux et de voir les salles dans lesquelles les actes de torture ont été commis, nous ne devons pas oublier pour autant que la plupart des victimes n’ont jamais l’occasion de raconter leur histoire et que la torture n’est pas limitée à une région particulière, à un système politique particulier ou à quelques pays. »

« Quinze ans après l’entrée en vigueur de la Convention des Nations unies contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, des actes de torture et d’autres formes de mauvais traitements sont toujours signalés dans au moins 111 pays du monde, et la Convention demeure le moins ratifié des six traités internationaux relatifs aux droits humains actuellement en vigueur », a déclaré ce jour (mercredi 26 juin 2002) Amnesty International.

Un moyen encore trop souvent utilisé
« Seuls 129 des 189 États membres de l’Organisation des Nations unies (ONU) sont partis à la Convention. En outre, nombre d’entre eux persistent à ne pas prendre les mesures nécessaires pour garantir pleinement son application, et restent passifs face à la pratique de la torture », a ajouté l’organisation de défense des droits humains.

« Des États partis à la Convention – le Brésil, l’Arabie saoudite, la Russie, l’Indonésie, les États-Unis ou encore le Cameroun, pour ne citer qu’eux – manquent à leurs obligations en omettant de prendre les mesures nécessaires pour empêcher et sanctionner les actes de torture, a déploré Amnesty International. La torture ne devrait plus exister que dans les livres d’histoire. Or, elle est encore largement utilisée pour extorquer des « aveux », pour intimider des opposants et pour humilier ou punir des prisonniers, notamment à titre de sanction disciplinaire », a ajouté l’organisation.

Un site à visiter : www.acatfrance.frSource : Texte : Journée Mondiale   Image : France Culture

 

 

Journée Internationale contre l’abus et le trafic illicite de drogues – 26 juin

L’Assemblée Générale des Nations Unies a décidé, en 1987, de réagir face au fléau que représentent les drogues.

Ces substances, licites ou illicites, ont un effet néfaste sur le physique et/ou le psychisme du consommateur en en prenant le contrôle. Elles participent aussi à l’asservissement des producteurs agricoles en nuisant aux productions vivrières traditionnelles des régions de production (car les cultures liées à la production de drogue sont plus rémunératrices que celles liées à la production de nourriture). Elles oppriment les communautés par les trafics illégaux qui découlent de leur commercialisation.

Une Journée Internationale contre l’abus et le trafic de Drogues a donc été instaurée, à la date du 26 juin. Cette journée de mobilisation est destinée à sensibiliser la population aux risques encourus lors de la consommation de ces substances.

Y a -t-il des drogues nocives et d’autres moins ? Si vous avez des doutes, lisez la suite :

Au commencement étaient le tabac et l’alcool…
La consommation de drogues par un individu modifie ses fonctions physiques ou psychologiques, mais aussi ses réactions et ses états de conscience. On appelle « drogue » les produits créant une dépendance (addiction) et reconnus comme nocifs pour l’individu, à commencer par l’alcool et le tabac.

La quête du plaisir, le désir de quitter la réalité ou de faire une nouvelle expérience sont souvent des moteurs de consommation de drogues, mais il faut savoir que cette consommation de stupéfiants entraîne très rapidement des conséquences néfastes.

Un individu sous l’emprise de ces substances peut en effet mettre sa vie et celle des autres en danger, de par la lenteur de ses réflexes, de ses réactions, mais aussi par la modification de sa personnalité. Cela entraîne également une dépendance et d’importants risques pour la santé (overdose).

La dépendance
En plus des effets sur la conscience du consommateur, les drogues créent une double dépendance aux produits consommés: une dépendance physique (mal-être, impression de manque, …) et une dépendance psychologique (abattement, état de dépression, …) plus insidieuse, pouvant survenir même en cas de consommation faible. Si certaines drogues, tel le cannabis, ne provoquent qu’une dépendance psychologique, la majorité d’entre elles entraînent une dépendance physique, dont l’intensité peut varier selon les individus. Dès la première prise, la drogue peut être mortelle !

Un site à visiter : www.un.org Source : Texte : Journée Mondiale Image : nonaladrogue-auvergne.blogspot.com

 

 

Journée mondiale des réfugiés – 20 juin

Pendant des années, plusieurs pays et régions ont célébré leur propre Journée des réfugiés, voire parfois leur semaine. L’une parmi les plus connues, c’est la Journée africaine des réfugiés, qui est célébrée le 20 juin dans plusieurs pays. En témoignage de solidarité avec l’Afrique, qui abrite le plus grand nombre de réfugiés, et envers qui elle a toujours montré une grande générosité, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution 55/76 le 4 décembre 2000.

Dans cette résolution l’assemblée générale a noté que l’année 2001 marquait le cinquantième anniversaire de la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés et que l’Organisation de l’unité africaine (OUA) avait accepté que la Journée internationale des réfugiés coïncide avec la Journée du réfugié africain du 20 juin.

L’Assemblée générale des Nations Unies a décidé par conséquent qu’à compter de 2001, le 20 juin marquerait la Journée mondiale des réfugiés.

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU, son message pour la journée mondiale des réfugiés !

Que feriez-vous si vous étiez contraint de quitter votre foyer ? Aujourd’hui, plus de 68 millions de personnes dans le monde sont des réfugiés ou des déplacés, à la suite d’un conflit ou de persécutions. Soit le nombre d’habitants du vingtième pays le plus peuplé au monde. L’année dernière, une personne a été déplacée toutes les deux secondes. Ce phénomène touche, pour l’essentiel, les pays les plus pauvres.

En cette Journée mondiale des réfugiés, nous devons tous réfléchir à ce que nous pouvons faire pour aider ces personnes. Pour commencer, nous devons faire preuve d’unité et de solidarité. Je suis profondément préoccupé de voir que de plus en plus souvent, les réfugiés ne bénéficient pas de la protection dont ils ont besoin et à laquelle ils ont droit. Nous devons rétablir le régime international de protection des réfugiés. Aujourd’hui, aucune communauté ni aucun pays offrant refuge aux personnes qui la guerre ou la persécution ne devraient se trouver seuls et sans soutien.

Sans unité, nous échouerons. Cette année, un pacte mondial sur les réfugiés sera présenté à l’Assemblée générale des Nations Unies. Ce sera l’occasion d’avancer sur cette question et de reconnaître tout ce que les réfugiés apportent aux sociétés qui les accueillent. Tant qu’il y aura des guerres et des persécutions, il y aura des réfugiés. En cette journée mondiale des réfugiés, je vous demande de ne pas les oublier.

Leur histoire témoigne de leur résilience, de leur persévérance et de leur courage. Notre histoire doit être placée sous le signe de la solidarité, de la compassion et de l’action. Je vous remercie. »

Source : Texte : Par Freddy Mulongo, mardi 19 juin 2018  Radio Réveil FM InternationalImage : www.cire.be
 

Journée internationale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit – 19 juin

La création de cette journée est récente. 2015 pour être plus précis. En effet, c’est le 19 juin 2015 que l’assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) l’a instituée.

Un cri éthique !
Cette Journée n’est certes associée à aucun conflit en particulier mais fait référence à « une tragédie pour l’humanité ».  Le Président de l’assemblée a insisté pour que la priorité soit accordée à la prévention et à l’attention aux victimes. Elles ont besoin d’une aide globale et dr débarrasser les de leur honte qui doit rejaillir sur les criminels.

La violence sexuelle [en temps de conflit] n’est pas un phénomène nouveau et nous pouvons notamment nous souvenir que les atrocités commises en Ouganda ont fini par par la révolte du peuple qui s’est finalement levé contre le Gouvernement qui perpétuait ces atrocités.  L’utilisation du viol comme arme de guerre doit être combattue par tous les moyens et les violeurs et leurs supérieurs traduits en justice.

Une journée « pas comme les autres »
Selon les représentants de l’ONU, la Journée internationale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit ne peut pas être considérée comme une journée qui s’ajoute simplement à 120 autres, elle doit être une source d’inspiration pour des normes internationales de reddition de comptes. Tout un programme.

L’assemblée a par ailleurs souligné le rôle que pourrait jouer la Cour pénale internationale (CPI) dans la lutte contre la violence sexuelle et a appelé à la sensibilisation des dirigeants politiques, des Casques Bleus et des policiers en service dans les missions de maintien de la paix de l’ONU.

Un site à visiter : www.un.org            Source : Texte : Journée Mondiale   Image : zakweli

Une nouvelle intéressante!…

Récemment, la Journée Mondiale de l’environnement (5 juin) et quelques jours plus tard celle des Océans (8 juin) nous ont décrit avec force détails les problèmes urgents que cause notre utilisation Des objets de PLASTIQUE. L’article qui suit présente use solution… inédite et surprenante! (Note de l’éditrice).

Des soutanes en plastique recyclé : les Églises au défi de la pollution  

Lutter pour la sauvegarde de la création devient un engagement œcuménique de plus en plus concret.

L’Église d’Angleterre se joint à la bataille contre le plastique, annonce le Telegraph dans un article publié fin mai dernier. Le quotidien londonien rapporte que l’usine d’habits ecclésiastiques Butler & Butler a lancé la première soutane en tissu polyester de qualité obtenue 100% à partir de bouteilles en plastique recyclé. Et comme elle est très sensible au commerce équitable, la maison de confection fait arriver ses tissus de l’Inde, où la fibre est plus souple que le polyester classique.

Mobiliser les consciences
L’idée de produire des vêtements en plastique recyclé pour les ecclésiastiques est partie de l’énorme intérêt suscité par la série de documentaires The Blue Planet de la BBC. Dans cette série, le célèbre naturaliste et présentateur anglais David Attenborough se penche sur différents aspects de la vie marine et notamment les effets de l’activité humaine et des déchets plastiques sur l’écosystème pélagique.

Déjà au Carême dernier, l’Église d’Angleterre avait lancé une campagne remarqué invitant les fidèles à renoncer à la consommation de produits en plastique. Selon Ruth Knight, responsable de la politique environnementale de l’Église d’Angleterre, citée par BBC News, ce Lenten Challenge — nom de cette campagne de Carême — avait pour objectif de « sensibiliser les conscience à la dépendance du plastique jetable » et mettre les personnes à l’épreuve en leur demandant de chercher où elles pouvaient réduire cette utilisation.

Source : texte (abrégé) : Paul de Meyer, Revue de presse internationale | 12 juin 2018 Image : engadget.com

 

 

Journée Mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse – 17 juin

Le 17 juin 1992, l’ONU a adopté la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Cette journée a pour but de nous rappeler les dangers de la désertification et de la sécheresse dans le monde.

Tout d’abord, il est important de souligner que les déserts ne sont pas uniquement des lieux où l’on trouve des dunes de sables et des nomades les parcourant (et Tintin aussi ! Mais là c’est une autre histoire). Ainsi l’Antarctique, ou le grand Nord, sont des espaces désertiques, parce que l’eau y est prise en glace. Deuxièmement, l’homme n’est pas responsable, à l’origine, des déserts mais aujourd’hui il y contribue.

Selon les critères de l’UNCCD, la désertification est la dégradation des sols dans les zones arides et semi-arides. Quand les sols sont fragilisés, le couvert végétal s’amenuise et le climat impitoyable fait le reste.

Cela représente 4 milliards d’hectares de terres émergées (soit 1/3 de la surface du globe) ou encore 1/5ème de la population mondiale. Chaque année, ce sont des milliers d’hectares de sols fertiles qui disparaissent. 30% du territoire des États-Unis est affecté par la désertification. Le nombre de personnes touchées directement par le problème est en forte croissance et on estime que 280 000 personnes sont mortes des suites de la sécheresse entre 1990 et 2000.

Quels impacts ?
Les impacts les plus visibles se situent au niveau de l’environnement, car la désertification rend les terrains inondables, ce qui entraîne une salinisation des sols, et donc une détérioration de la qualité de l’eau.

En second lieu, l’impact est aussi économique. En effet, au niveau planétaire le manque à gagner s’élève, selon la banque mondiale, à 42 milliards de dollars pour les régions touchées par la désertification (paradoxalement, le coût annuel de la lutte contre la désertification est seulement de 2.4 milliards)

Enfin, la dégradation des sols entraîne la pauvreté et la migration de masse à cause des famines qu’elle génère. (environ 60 millions de personnes partiront des zones désertifiées de l’Afrique sub-saharienne pour le Maghreb et l’Europe entre 1997 et 2020).

Des pistes de solutions ?
En la matière, la panacée n’existe pas mais des solutions locales peuvent -et doivent- être mises en oeuvre rapidement pour faire bouger les choses. Parmi elles, et pas forcément très coûteuses, nous pouvons relever la régénération des sols et sa fertilisation grâce au compost et sa matière organique. Le reboisement est aussi une solution car les arbres permettent de fixer les sols, renforcer la fertilité et absorber l’eau lors des fortes précipitations. La technique ancestrale de la jachère constitue aussi une alternative intéressante…

Un site à visiter : www.notre-planete.info      Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée Mondiale de l’enfant Africain – 16 juin

La Journée de l’enfant africain commémore la marche de 1976 à Soweto, en Afrique du Sud, lorsque des milliers d’élèves africains sont descendus dans la rue pour protester contre la mauvaise qualité de leur éducation et exiger que soit respecté leur droit à recevoir un enseignement dans leur propre langue. Des centaines de jeunes garçons et filles ont été abattus et pendant les quinze jours de manifestation qui ont suivi, plus d’une centaine de personnes ont été tuées et plus d’un millier blessées.

En l’honneur de ceux et celles qui ont été tués et pour rappeler le courage de tous les manifestants, la Journée de l’enfant africain est célébrée le 16 juin de chaque année depuis 1991, année de sa création par l’Organisation de l’unité africaine. Elle attire aussi l’attention sur la vie des jeunes Africains d’aujourd’hui.

En investissant de façon stratégique dans la survie et le bien-être des enfants, même des pays qui disposent de ressources limitées, comme le Malawi par exemple, ont réussi à réduire considérablement leur taux de mortalité infantile.  

Au cours des dernières années, les taux de scolarisation en Afrique subsaharienne ont augmenté bien plus rapidement que dans les années 1990, certains pays comme le Bénin, l’Éthiopie, le Mozambique et la République-unie de Tanzanie enregistrant de rapides progrès. De surcroît, les disparités entre garçons et filles sont en train de se réduire à l’école primaire.

Source : Texte : https://www.unicef.fr  Image: noorinfo.com

Journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées – 15 juin

Aujourd’hui, la société occidentale s’inquiète des abus adressés aux personnes âgées. L’intérêt pour cette problématique en Europe croît depuis une quinzaine d’années. La journée a pour but de sensibiliser l’opinion publique sur un phénomène inacceptable et tabou dans notre société, un fléau qu’il faut ensemble condamner, la maltraitance des personnes âgées.

Les victimes
Selon l’Alma (association d’écoute aux victimes), les personnes les plus fragiles, en majorité des femmes (75%), plutôt âgées (en moyenne 79 ans) vulnérables, incapables de se défendre ou de réagir sont des victimes désignées (elles sont souvent dépendantes).

Les maltraitants
Même s’il est difficile de distinguer clairement les divers aspects de la maltraitance, physiques, psychologiques ou financiers, les petits frères des Pauvres qui accompagnent près de 8000 personnes dans l’Hexagone, se préoccupent particulièrement des maltraitances financières, car bien des actes de malveillance et des violences physiques sont motivés par des intérêts matériels. Ils sont souvent d’origine familiale et proviennent aussi de l’entourage non familial de la personne à domicile ou en institution (le voisinage, les personnels soignants, les démarcheurs…). Ces malveillances financières sont souvent des actes à la limite de la légalité, discrets et invisibles, qui passent parfois inaperçus aux yeux des victimes âgées elles mêmes qui peuvent ne pas être en pleine possession de tous leurs moyens.

Dans les établissements d’accueil des personnes âgées, les maltraitances sont souvent la conséquence d’un manque de personnel et de moyens. Cette situation est inadmissible de la part de lieux de vie où les personnes doivent évoluer dans un environnement professionnel, apportant soins, sérénité et protection. Des maltraitances civiques (atteinte aux droits des personnes) sont également constatées dans les établissements.

Source : Texte : Journée mondiale Images : AQDR   CSSS Lucille-Teasdale