Le choix de la date du 19 décembre pour commémorer cette journée revêtait une signification toute particulière, car elle venait en complément au « Plan d’action de Buenos Aires » adopté le 19 décembre 1978 pour promouvoir la coopération technique entre les pays en voie de développement. Cette date du 19 décembre, consacrée à la coopération Sud-Sud, devait donc s’inscrire en dur dans les annales de notre institution internationale.
L’assemblée générale a demandé à tous les organismes compétents des Nations Unies et aux institutions multilatérales de redoubler d’efforts en vue d’intégrer effectivement la coopération Sud-Sud dans la conception, l’élaboration et l’exécution de leurs programmes ordinaires et d’envisager d’accroître les ressources humaines, techniques et financières allouées aux initiatives relatives à la coopération Sud-Sud.
Selon la décision 66/550 de l’ONU, la date de cette Journée des Nations Unies a été modifiée et est célébrée non plus le 19 décembre mais le 12 septembre de chaque année à compter de 2012. Vous suivez ?
Dans l’esprit du grand public, la nuit des musées a largement détrôné la journée des musées. Rançon du film éponyme ? On ne le sait…
Quoiqu’il en soit, en 2023 on célèbre la 19ème édition de la Nuit des musées et elle a lieu le 13 mai.
Le principe est simple, le musée que vous fréquentez assidument en journée le reste de l’année se trouve ouvert toute la nuit, pour découvrir les oeuvres mais également pour voir des animations, des concerts, et toutes sortes d’autres événements…
C’est le thème retenu pour 2023 : les enfants seront à l’honneur cette année.
La Nuit des musées verra à nouveau les enfants danser, conter, présenter leurs créations, étonner les visiteurs.
C’est une opération conjointe des ministères de la Culture et de l’Éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle s’inscrit totalement dans le parcours d’éducation artistique et culturelle des élèves.
Chaque année depuis 1977 se célèbre une journée internationale des musées, avec un thème particulier chaque année.
Cette journée est l’occasion pour les professionnels des musées d’aller à la rencontre du grand public et de le sensibiliser aux défis auxquels les musées doivent faire face pour être des institutions au service de la société et de son développement.
Cette journée internationale se déroule tous les ans le 18 mai et porte haut sa devise : « Les musées, moyen important d’échanges culturels, d’enrichissement des cultures, du développement de la compréhension mutuelle, de la coopération et de la paix entre les peuples ».
Nuit européenne des musées
Dans l’esprit du grand public, la nuit des musées a largement détrôné la journée des musées. Rançon du film éponyme ? On ne le sait…
Quoiqu’il en soit, en 2022 on célèbre la 18ème édition de la Nuit des musées. Le principe est simple, le musée que vous fréquentez assidument en journée le reste de l’année se trouve ouvert toute la nuit, pour découvrir les oeuvres mais également pour voir des animations, des concerts, et toutes sortes d’autres événements…
C’est le thème retenu pour 2022 : Les musées ont le pouvoir de transformer le monde qui nous entoure, c’est en tous cas ce qu’on peut lire dans le site de l’ICOM (conseil international des musées)… allons au musée, ce sera l’occasion de vérifier l’adage.
Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ? il ne vous reste plus qu’à créer la journée internationale du bonheur.
Présenté comme cela, c’est presque drôle. Ce qui l’est moins, c’est que cette journée existe bel et bien et qu’elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.
La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.
Pour faire bonne mesure l’auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.
On aurait pu aussi parler de journée gadget… mais c’est loin d’être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite:
Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.
La journée mondiale du bonheur est bien dans l’air du temps et de la recherche d’un « mieux vivre ». Les économistes cherchent aujourd’hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.
On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays et qu’un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.
Le but de cette journée est de mettre en évidence l’utilité du travail des « professionnels de l’action sociale ». Il s’agit d’une journée relativement ancienne puisque sa première édition remonte à 1983.
Chaque année, un thème est retenu. Après 2015, où nous étions invités à réfléchir sur la question de la dignité humaine, 2017 a proposé une réflexion sur le développement durable. En 2019, le thème retenu était « Promouvoir l’importance des relations humaines ».
Le thème retenu pour 2022 est « Co-construire un nouveau monde éco-social : Ne laisser personne de côté ».
Guidés par des principes éthiques, les praticiens et éducateurs du travail social et du développement social ont un rôle essentiel à jouer pour connecter les personnes, les communautés et les systèmes; co-concevoir et co-construire des communautés durables et promouvoir une transformation sociale inclusive..
L’action sociale n’est plus vécue uniquement comme un « service social » mais bien comme un « service à la personne » une relation qu’il faut « garantir » dans un environnement à préserver et promouvoir. La journée 2022 associe le respect de la personne humaine et celui des relations du même nom. Tout un programme.
C’est une réflexion du CSA à propos de la sous-médiatisation du sport féminin qui a été à l’origine de la création de cette première journée, en 2014.
Elle était alors soutenue par différents ministères (Sports-Jeunesse-Education Populaire-Vie Associative, Droits des Femmes), par l’association FEMIX et était organisée en collaboration avec le Comité National Olympique et Sportif Français (Cnosf).
A l’origine la journée s’est appelée « 24h pour le sport féminin » mais sa dénomination a changé depuis pour devenir « Sport Féminin Toujours » . La date à laquelle elle est célébrée est devenue, elle aussi, variable. L’essentiel est que son idée ait perduré.
La date du 24 janvier a été conservée dans notre site, en attente de mise à jour dés qu’une nouvelle date officielle sera communiquée.
Cette opération de médiatisation veut promouvoir la pratique sportive féminine et ancrer le sport au féminin dans les usages. Les medias audio-visuels sont invités à adapter leurs programmes et traiter du sport féminin autour de 4 grands axes :
C’est à l’occasion de sa 40ème session en 2019 que L’UNESCO a proclamé que le 24 janvier serait désormais une Journée mondiale de la culture africaine et afro-descendante. Cette date coïncide avec l’adoption de la Charte de la renaissance culturelle africaine, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine en 2006.
La Journée mondiale de la culture africaine et afro-descendante célèbre les nombreuses cultures vivantes du continent africain et des diasporas africaines dans le monde entier, et les promeut comme un levier efficace au service du développement durable, du dialogue et de la paix.
A priori, nous en sommes en face d’une journée mondiale très improbable… et pourtant elle existe vraiment.
L’origine de cette journée mondiale est russe et elle est fixée au 256ème jour de l’année*. Ce qui fait que la journée est fixée au 13 septembre, sauf les années bissextiles…
Chacun aura immédiatement remarqué que 256 est une puissance de 2 (28 très exactement) et que c’est même la plus grande puissance de 2 qui soit inférieure au nombre de jours dans une année…
Pour arriver ensuite à la journée mondiale, il faut revenir au Russe Valentin Balt, alors employé par une entreprise de développement internet, qui a lancé (en 2002) une pétition au gouvernement pour demander que soit accordé un jour de congé à tous les développeurs.
Le plus étonnant est qu’il ait obtenu gain de cause et qu’en 2009, le ministère russe de la culture et de la communication de masse (cela ne s’invente pas) fasse le nécessaire pour la création d’un tel jour.
En 2009, le président de la fédération de Russie, Dmitry Medvedev signa le décret, officialisant le jour de congé des programmeurs, chaque 256ème jour de l’année.
Par chance, cette journée n’a pas été imitée dans les autres pays.
* c’est le calendrier Grégorien qui a servi de référence pour déterminer le jour en question et non le calendrier Julien (utilisé par les orthodoxes). Rappelons que la Russie a adopé le calendrier grégorien en 1918. Un hommage (involontaire) au Pape.
« Tous les pays et tous les peuples doivent pouvoir compter sur une fonction publique compétente, bien équipée et dotée de ressources suffisantes. La fonction publique doit être diverse et éthique. Elle doit être véritablement au service de la population, améliorant les vies des plus pauvres et des plus vulnérables. »
L’ONU s’est engagée très tôt dans la promotion de cette journée, allant même jusqu’à créer un « prix de la fonction publique » qui – signe des temps ?- ne sera pas remis en 2016, année consacrée à une réflexion sur les objectifs de ce prix et la meilleure intégration des objectifs du développement durable.
De nombreux pays relaient cette initiative, dont la France, qui se trouve même dotée d’un « ministère de la fonction publique ». Tout un programme…
La crise danitaire du COVID19 a bien mis en lumière le caractère indispensable des fonctions publiques (nous employons le pluriel à dessein) : les services de l’état, ceux des collectivités territoriales, les fonctions publiques hospitalières, … ont été en première ligne, ne ménageant ni leurs efforts ni leur volonté d’être au service du public. Qu’elles en soient remerciées !