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Journée Mondiale du migrant et du réfugié – 24 septembre 2023

Journée Mondiale du migrant et du réfugié

Après le mois de décembre (Journée internationale des migrants) et le mois de juin (Journée Mondiale des réfugiés), c’est la troisième journée consacrée à la douloureuse question des migrants.Au delà de ce téléscopage de dates, la Journée Mondiale du migrant et du réfugié a été célébrée chaque 2ème dimanche après le 6 janvier, à l’initiative de l’église catholique. A partir de 2019, la date retenue varie, et est en principe fixée au dernier dimanche de septembre. Sauf exception. En 2023, la date retenue est le dimanche 24 septembre. L’engagement de l’Eglise n’est pas nouveau et de nombreux prêtres et évèques prennent position dans le débat, au nom des droits de l’homme et du respect de la dignité humaine.

Les droits élémentaires de la personne humaine

« le fait d’être en situation irrégulière ne fait pas perdre ses droits élémentaires à quelque personne que ce soit. (…) Nous voulons dire notre admiration et notre soutien aux chrétiens qui se mettent au service de leurs frères déplacés, avec un grand désintéressement personnel et associatif… »  Mgr Vingt-Trois, ancien archevèque de Paris.

  2023, la 109 ème édition

Chaque année, la journée est placée sous un thème proposé par le Conseil Pontifical pour la Pastorale des Migrants et des Personnes en Déplacement.

Libre de choisir entre migrer ou rester

C’est le thème retenu pour l’édition 2023.

Un site à visiter : migrants-refugees.    Source: Texte & Image: Journée mondiale

 

Migrants : à Marseille, le pape dénonce le « tragique rejet de la vie  humaine »

Accueilli en vedette,  le pape François a conclu samedi par une messe géante au stade Vélodrome de Marseille une visite dans la deuxième ville de France qui a été largement dominée par la dénonciation du sort réservé aux migrants.

Dans son homélie, il a dénoncé le tragique rejet de la vie humaine, qui est aujourd’hui refusée à nombre de personnes qui émigrent, martelant une dernière fois ce message d’accueil des migrants qui a scandé son séjour de moins de 48 heures (22-23 septembre) dans ce grand port de la Méditerranée, à l’histoire et à la population façonnées par les migrations.

 

Source:Texte: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2012613/migrants-marseille-pape-rejet-vie-humaine      Image: https://www.iom.int/fr/

Journée mondiale de lutte contre l’exploitation sexuelle – 4 mars

En 2009 s’est tenue la première Journée mondiale de lutte contre l’exploitation sexuelle, créée à l’initiative de l’ONG GIPF. En 2023, nous célébrerons donc la 15ème édition.
GIPF signifie Groupe International de Paroles de Femmes et il est hautement symbolique que ce soient des femmes qui se mobilisent les premières pour lutter contre l’exploitation sexuelle et la pornographie…

Un fléau en quelques chiffres

  • 4 millions de nouvelles victimes chaque année
  • 500 000 femmes par an victimes de traite à fin de prostitution
  • 1000 milliards de dollars US est le CA estimé de la prostitution

L’exploitation sexuelle est une des pires formes de négation des droits fondamentaux de la personne humaine.

Elle réduit l’être humain à une simple marchandise. Achetées, vendues, menacées, isolées, violées, battues, surveillées, enfermées, torturées, les victimes deviennent des objets de consommation.

Un site à visiter : ecpat-france.fr     Source: Texte: Journée mondiale    Image: Twitter (Gouvernement du Québec)

Citations : (Au Québec, 2022)

« Je profite de cette Semaine nationale pour mentionner qu’au Québec, plus du tiers des personnes en situation de prostitution sont mineures, et que l’âge moyen d’entrée dans ce milieu est de 14 ans au Canada. Les victimes d’exploitation sexuelle subissent de graves conséquences, qui se poursuivent souvent bien au-delà de leur majorité. C’est pourquoi il m’importe que tous se mobilisent pour poser des gestes concrets, non pas uniquement durant la Semaine nationale, mais tout au long de l’année. »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale

« Beaucoup trop de nos jeunes tombent dans l’odieux piège de l’exploitation sexuelle. Grâce à cette Semaine et à cette Journée nationales, nous parlerons de ce fléau chaque année. Et surtout, nous contribuerons à sensibiliser tous les acteurs de notre société afin de veiller davantage sur nos jeunes. Ensemble, soyons cette communauté mobilisée et aimante qui fera changer les choses. »

Lise Lavallée, députée de Repentigny

 

Source: Texte: https://www.quebec.ca/nouvelles/actualites/details/lancement-de-la-semaine-et-de-la-journee-nationales-de-la-lutte-contre-lexploitation-sexuelle-des-mineurs-38263

Journée Internationale de la paix – 21 septembre 2022

Journée Internationale de la paixL’Assemblée générale des Nations Unies, dans sa résolution 55/282 , en date du 7 septembre 2001, a décidé que la Journée internationale de la paix serait observée chaque année le 21 septembre.
L’Assemblée générale a déclaré que la Journée internationale de la paix serait une journée mondiale de cessez-le-feu et de non-violence, pendant la durée de laquelle toutes les nations et tous les peuples seraient invités à cesser les hostilités. Elle a engagé les États Membres, les organismes des Nations Unies, les organisations régionales et non gouvernementales et les particuliers à célébrer comme il convient la Journée internationale de la paix, y compris au moyen d’activités d’éducation et de sensibilisation, et à oeuvrer, de concert avec l’Organisation des Nations Unies, à l’établissement d’un cessez-le-feu mondial.Chaque année, l’ONU propose un thème et pour 2022, l’instance mondiale nous invite à réfléchir sur le racisme encore trop souvent fauteur de guerres…

Mettre fin au racisme. Bâtir la paix

[…] Pour parvenir à une paix véritable, il faut bien plus que déposer les armes. Il faut construire des sociétés où tous les membres ont le sentiment de pouvoir s’épanouir. Il s’agit de créer un monde dans lequel les gens sont traités de manière égale, quelle que soit leur race. 

Comme l’a déclaré le Secrétaire général António Guterres, « Aujourd’hui encore, le racisme continue de gangréner les institutions, les structures sociales et le quotidien de toutes les sociétés. Il reste un facteur d’inégalité persistant et continue de priver des personnes de leurs droits humains fondamentaux. Il déstabilise les sociétés, sape les démocraties, porte atteinte à la légitimité de l’État et […] les liens entre racisme et inégalité de genre sont indéniables.».

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Internationale de la femme africaine – 31 juillet

Le 31 juillet a été consacré « Journée de la femme africaine » à l’occasion du premier congrès de l’Organisation Panafricaine des Femmes (PAWO en anglais) qui s’était tenu à Dakar, au Sénégal, le 31 juillet 1974.

La date historique de 1962 souvent retenue pour cette journée est le 31 juillet 1962. Ce jour là, à Dar es Salaam (Tanzanie), des femmes de tout le continent africain s’étaient réunies pour la première fois et avaient créé la première organisation de femmes, la « Conférence des Femmes Africaines » (CFA).

Un rôle de pionnières
Le rôle historique joué par les femmes en Afrique témoigne de leur capacité de réaliser et conduire les changements sur le continent. Souvenons-nous que les peuples africains se libéraient alors peu à peu de la tutelle des pays colonisateurs.

La libération totale du continent africain, l’élimination de l’apartheid et l’instauration d’une justice commune qui défende les droits de l’Homme en tant qu’être humain, devenaient alors les objectifs prioritaires du mouvement.

Du chemin a été parcouru, du chemin reste à parcourir !

Un site à visiter : www.journeefemmeafricaine.com      Source : Texte: Journée Mondiale      Image: Facebook

 

Journée mondiale du travail invisible – 2 avril 2024

Donner de la visibilité à de l’invisible, tel est le challenge relevé par cette journée mondiale d’origine canadienne, célébrée depuis quelques années déjà*.

Mais qu’est-ce que le travail invisible ?

Si vous cherchez quelquechose de louche, de glauque, de honteux… vous n’y êtes pas du tout !

On parle habituellement du travail invisible dans le cadre familial avec le travail des mères de familles, essentiel et pourtant toujours aussi méconnu. Son qualificatif d’invisible lui vient du fait que sa valeur n’est pas reconnue ni comptabilisée dans les comptes nationaux comme par exemple le PIB (produit intérieur brut).

D’après l’association canadienne Afeas à l’origine de cette réflexion, on estimait déjà, en 1995, à 11 000 milliards de dollars américains la valeur annuelle du travail invisible et non rémunéré des femmes à travers le monde (source ONU).

Une journée pour donner de la visibilité

Difficile de changer le cours des choses en la matière… espérons tout de même qu’une telle journée permettra à tous de mieux comprendre et apprécier la valeur de ce travail « invisible ».

* la date retenue par l’Afeas est en principe le premier mardi de chaque mois d’avril. Ce qui fait que pour 2023 la journée est célébrée le 4 avril

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de lutte contre l’exploitation sexuelle – 4 mars 2022

Journée mondiale de lutte contre l'exploitation sexuelleEn 2009 s’est tenue la première Journée mondiale de lutte contre l’exploitation sexuelle, créée à l’initiative de l’ONG GIPF.
En 2022, nous célébrerons donc la 14ème édition.

GIPF signifie Groupe International de Paroles de Femmes et il est hautement symbolique que ce soient des femmes qui se mobilisent les premières pour lutter contre l’exploitation sexuelle et la pornographie…

Un fléau en quelques chiffres

  • 4 millions de nouvelles victimes chaque année
  • 500 000 femmes par an victimes de traite à fin de prostitution
  • 1000 milliards de dollars US est le CA estimé de la prostitution

L’exploitation sexuelle est une des pires formes de négation des droits fondamentaux de la personne humaine.

Elle réduit l’être humain à une simple marchandise. Achetées, vendues, menacées, isolées, violées, battues, surveillées, enfermées, torturées, les victimes deviennent des objets de consommation.

Un site à visiter : ecpat-france.fr    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale de la tolérance – 16 novembre

Le 12 décembre 1996, l’Assemblée générale des Nations Unies a invité les états membres à célébrer la Journée internationale de la tolérance le 16 novembre de chaque année par des activités s’adressant aux établissements d’enseignement eu au grand public (résolution 51/95).

Cette mesure faisait suite à l’Année des Nations Unies pour la tolérance en 1995, proclamée par l’Assemblée le 20 décembre 1993 (résolution 48/126). La conférence générale de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture a proclamé l’année 1995 Année des Nations Unies pour la tolérance. Le 16 novembre 1995, les Etats membres de l’UNESCO ont adopté une Déclaration de principes sur la tolérance et un Plan d’action destiné à donner suite à l’Année.

L’UNESCO propose dix pistes d’actions pour lutter contre l’intolérance :

1. La diversité au sein de votre communauté

Où que vous habitiez, vous seriez probablement surpris de l’extrême diversité qui règne au sein de votre communauté. Quelqu’un a dit que chaque culture est un ensemble d’influences subies. Livrez-vous à une enquête sur la diversité culturelle au sein de votre ville ou communauté. Qui sont les habitants ? Comment vivent-ils ? Des articles, des interviews, des affiches ou des expositions peuvent servir à mettre en lumière la diversité des identités et des cultures. Comment cette diversité s’exprime-t-elle en musique ? Pensez à la multiplicité des danses et musiques traditionnelles que vous connaissez et à tout ce que celles-ci dénotent d’influences mutuelles. Organisez un concert ou un festival réunissant toute une gamme de ces traditions culturelles.

2. Les droits de l’homme

De quelle manière les droits des membres de minorités nationales, ethniques, religieuses, linguistiques ou autres sont-ils garantis au sein de votre communauté, de votre nation, de votre région ? Qu’en est-il des peuples autochtones, des travailleurs migrants, des demandeurs d’asile et des réfugiés, des handicapés ? Leurs droits sont-ils promus et protégés ? Pensez-vous que les responsables du maintien de l’ordre de votre communauté soient suffisamment informés des droits de l’homme ? Que pouvez-vous faire pour améliorer les attitudes ou les comportements envers les minorités ?

3. Programmer son action en faveur de la tolérance

Rédigez vous-même un projet ou programme d’activités en faveur de la tolérance. Cela implique de déterminer pour vous-même ce qu’est la tolérance et quel est le meilleur moyen de transmettre les valeurs qui s’y attachent. Passez au crible vos manuels scolaires, les émissions de télévision et les articles de presse pour débusquer les stéréotypes (concernant notamment les sexes) et les préjugés sur les nationalités et les groupes ethniques. Quelles priorités assigneriez-vous, en matière de tolérance, à votre ville, pays ou région ?

4. Dire non à la violence

Comment naît la violence dans une communauté, une école ou un foyer et comment peut-on l’enrayer ? Reproduisez la dynamique de la tolérance et de l’intolérance par des jeux de rôle, des dialogues, des exercices de résolution de malentendus. Organisez des débats publics où vous vous entraînerez à défendre alternativement deux points de vue opposés. Comment imaginez-vous la coexistence pacifique d’individus et de groupes différents ? Qu’est-ce qui fait qu’elle fonctionne et qu’est-ce qui peut la saper ?

5. Diversité écologique et diversité humaine

Toute communauté est fondée sur l’interdépendance. Pas plus que les végétaux ou les animaux, nous ne pourrions survivre si nous étions tous semblables. Trouvez des exemples de cette vérité puisés dans la vie quotidienne de votre localité. Montrez par des exemples concrets comment une culture de paix et de tolérance peut promouvoir la sauvegarde de l’environnement. Lancez un projet dans votre école ou votre voisinage.

6. La tolérance religieuse

Organisez une rencontre de représentants de divers groupes religieux et non confessionnels de votre communauté pour examiner comment chacun enseigne la tolérance. Comment enseigne-t-on la tolérance dans les différentes religions du monde, y compris celles des peuples autochtones ? Toutes les religions étant plus ou moins fondées sur des valeurs d’amour et de justice, aucune ne saurait être invoquée pour justifier la violence ou la guerre. Le dialogue et la discussion entre les représentants des diverses religions sont une tradition séculaire qui n’a en rien perdu sa valeur.

7. Actualité de la tolérance

Organisez des débats sur les événements de l’actualité analysés en termes de tolérance et d’intolérance. Réfléchissez aux conflits du passé et à ceux d’aujourd’hui. Comment auraient-ils pu être résolus ou évités ? Qu’en est-il de la question des droits de l’homme dans l’actualité aujourd’hui ? Quels sont les droits et libertés fondamentaux reconnus par la communauté internationale ? Comment fonctionnent les pays pluriculturels et multilingues ? Quels sont les intérêts communs aux peuples dans leur diversité ?

8. La tolérance et le sport

Quelles manifestations sportives ont une envergure internationale ? Quel en est le but ? Quels sont les liens possibles entre le sport et l’intolérance (exclusion des plus faibles, esprit de clocher, violence dans les stades) et comment y remédier ? Organisez une rencontre athlétique sur le thème de la diversité et de la tolérance.

9. La créativité à l’œuvre

Le message d’une œuvre d’art est inépuisable. Interrogez l’oeuvre d’un artiste d’une autre région du monde et demandez-vous ce qu’elle vous apporte. Concevez des récits, des pièces, des poèmes, des chansons, des articles, des peintures, des affiches, des photographies ou des vidéos illustrant les thèmes liés à la tolérance et publiez-les ou diffusez-les. Ecrivez à des personnalités connues pour leur poser des questions et leur communiquer vos idées sur le sujet de la tolérance.

10. Créer des liens internationaux

Amorcez un dialogue international ou lancez un projet de jumelage scolaire par lettre ou courrier électronique. Dialoguez avec des correspondants étrangers sur les questions et les problèmes de votre vie quotidienne. Echangez des cassettes ou des photos. Etudiez la possibilité de participer à des stages d’été internationaux ou à un programme d’échange scolaire. Demandez à votre école d’adhérer au Système des écoles associées de l’UNESCO.

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée internationale de la conscience – 5 avril

 Nous n’en avons pas toujours conscience (sic) mais cette journée, d’origine onusienne, devrait faire partie des incontournables du calendrier des journées mondiales.

Conscience de l’humanité

Dans son préambule, la déclaration universelle des droits de l’homme établit que « la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité ».

Ou encore, dans l’article 1 de la même déclaration : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ».

Et l’objection du même nom ?

De plus en plus de tentatives de restreindre l’objection de conscience et empêcher les individus d’agir selon la leur (de conscience) se font jour. Une alerte que nous lançons, et pas seulement pour se donner bonne conscience, soyez-en certains !

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Promouvoir une culture de la paix ancrée dans l’amour et la conscience

Dans son préambule, la Déclaration universelle des droits de l’homme établit que « la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme ». L’article premier de la Déclaration vient encore renforcer cet argument en affirmant : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ».

La tâche assignée à l’Organisation des Nations Unies est de préserver les générations futures du fléau de la guerre. Cette tâche appelle à une transition vers une culture de la paix, consistant en des valeurs, des attitudes et des comportements qui reflètent et favorisent la convivialité et le partage fondés sur les principes de liberté, de justice et de démocratie, tous les droits de l’homme, la tolérance et la solidarité, qui rejettent la violence et inclinent à prévenir les conflits en s’attaquant à leurs causes profondes et à résoudre les problèmes par la voie du dialogue et de la négociation et qui garantissent à tous la pleine jouissance de tous les droits et les moyens de participer pleinement au processus de développement de leur société.

Consciente de la nécessité de créer des conditions de stabilité et de bien-être et des relations pacifiques et amicales fondées sur le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion, l’Assemblée générale a proclamé le 5 avril Journée internationale de la conscience (A/RES/73/329).

 

Source: Texte: https://www.un.org/fr/observances/conscience-day

Journée mondiale des ONG – 27 février

Imaginée par un étudiant en 2009, puis reconnue par 12 pays situés autour de la Mer Baltique en 2010, la journée mondiale des ONG prend une dimension internationale le 27 février 2014 avec sa reconnaissance par l’ONU.

Défendre les droits fondamentaux

Déclarées d’utilité publique, les ONG (organisations non gouvernementales), ont pour but de défendre et de promouvoir les droits fondamentaux de la personne humaine (les droits de l’Homme), et donc de se dresser face aux injustices ; parfois même à leurs risques et périls.

La journée mondiale des ONG

On peut légitimement se poser la question de l’utilité de cette journée, dans la mesure où de nombreuses organisations bénéficient déjà d’un éclairage médiatique important au travers de la cause qu’ils défendent…

Ce serait oublier la multitude de petites organisations qui, pour oeuvrer dans l’anonymat, n’en font pas moins un travail indispensable. Leur consacrer une journée mondiale, c’est donc reconnaître leurs caractère incontournable et rendre hommage à tous leurs membres qui travaillent en permanence dans les zones les plus exposées de la planète. 

 

Un site à visiter : www.mediaterre.org     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale contre la douleur – 19 octobre 2020

Journée mondiale contre la douleur
L’OMS s’associe à la Journée mondiale contre la douleur célébrée tous les ans le 3° lundi du mois d’octobre.Le traitement de la douleur et les soins palliatifs font partie intégrante du droit à jouir d’une bonne santé, estime l’Organisation mondiale de la Santé.

Proposer des traitements

« C’est en majorité dans les pays à revenu faible ou moyen, où les maladies chroniques comme le cancer et le Sida gagnent du terrain, que les malades sont privés de traitement anti-douleur », explique le Dr Catherine Le Galès-Camus, chargée à l’OMS du groupe Maladies non transmissibles et santé mentale. relatins

L’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP) et la Fédération européenne des sections locales de l’IASP (EFIC) coordonnent les actions mises en place pour cette Journée mondiale.

Selon l’IASP et l’EFIC, une personne sur cinq souffre de douleurs chroniques modérées à fortes, et la douleur rend une personne sur trois incapable ou difficilement capable de mener une vie indépendante. En outre, une personne sur quatre rapporte que la douleur perturbe ou détruit ses relations avec sa famille et ses amis.

La morphine par voie orale s’est avérée d’un bon rapport coût-efficacité pour le traitement de la douleur modérée à forte chez les cancéreux et les personnes vivant avec le VIH/SIDA, note l’OMS dans un communiqué. Toutefois, ces analgésiques ne sont pas partout disponibles, en particulier dans les pays en développement à cause d’une méconnaissance de leur usage médical, de restrictions réglementaires et de leur prix.

« Le soulagement de la douleur devrait être un droit de tout être humain, qu’il soit atteint d’un cancer, d’une infection à VIH/SIDA ou de n’importe quelle autre maladie douloureuse », affirme Sir Michael Bond, président de l’IASP.

Un problème sous-estimé

Pour le Pr. Harald Breivik, président de l’EFIC, « la douleur chronique est l’un des problèmes les plus sous-estimés par les services de santé dans le monde aujourd’hui » alors qu’elle devrait être considérée comme « une maladie en tant que telle ».

Source: Texte & Image: Journée mondiale