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Le Pape au Bahreïn – 3-6 novembre 2022

Le Pape au Bahreïn, un signe d’unité et de dialogue en temps d’épreuve

Le Pape sera au Bahreïn du 3 au 6 novembre. Il se rendra dans les villes de Manama et d’Awali, où il participera au « Forum de Bahreïn pour le dialogue: Orient et Occident pour la coexistence humaine ». 

Parmi les principaux événements, la Sainte Messe au stade national de Bahreïn et la rencontre avec les jeunes à l’école du Sacré-Cœur.

Le cardinal secrétaire d’État Pietro Parolin, dans une interview à L’Osservatore Romano et à Radio-Vatican News, réaffirme que «dans un monde caractérisé par des tensions, des oppositions, des conflits», la visite du Pape et les événements à Bahreïn auxquels il participera sont «un message d’unité, de cohésion et de paix».

 

Source : Texte : Massimiliano Menichetti – Cité du Vatican, 31 octobre    Images : Agenza Fides   Cath.ch

 

Journée de prière pour la Paix en Ukraine – 2 mars 2022

Lors de l’Angélus de dimanche (le 27 février dernier), le pape François a tenu à souligner l’importance de la journée de jeûne et de prière qui se tiendra cette année mercredi le 2 mars avec pour horizon la paix en Ukraine, mais aussi dans le reste du monde. Ce sera « une journée pour être plus proche de toutes ces personnes qui souffrent », a-t-il expliqué.

François a rappelé les autres conflits qui touchent le monde actuellement, évoquant le Yémen, la Syrie et l’Éthiopie. « Qui fait la guerre oublie l’humanité, ne se préoccupe pas de la vie concrète des personnes mais place devant tout le reste des intérêts de pouvoir », a-t-il encore dénoncé. Et martelé: « Dieu est avec les artisans de paix, pas avec ceux qui usent de la violence ».

(…) 

Cette nouvelle initiative du pape François fait suite à une première journée de prière pour l’Ukraine organisée le 26 janvier dernier, et qui avait été fortement appréciée par les chrétiens du pays, catholiques comme orthodoxes.

 

Source : Texte: Aleteia  Images: Mission Network News   Caleb Suko

 

7è dimanche de l’année C – 2022

Il se peut qu’une question posée doive attendre sa réponse.
La personne à qui la question est posée a besoin de réfléchir, de considérer différents aspects.

Mais il y a des questions qui reçoivent une réponse immédiate.
Ce serait le cas si vous me demandiez ce que je trouve le plus difficile dans la vie chrétienne.
Sans hésitation et sans délai, je vous répondrais: AIMER SES ENNEMIS !

Oui, c’est sans contredit ce que je trouve le plus exigeant pour répondre à ce que le Seigneur demande de ses disciples.
Il le fait d’une manière non équivoque dans le texte de l’évangile de ce dimanche (Luc 6:27-38).
Il nous dit précisément :

« Aimez vos ennemis,
faites du bien à ceux qui vous haïssent.
Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent,
priez pour ceux qui vous calomnient. »

Et pourquoi Dieu nous demande-t-il quelque chose qui va à l’encontre de notre inclination naturelle?
Jésus nous en donne la raison :

« Vous serez les fils (les enfants) du Très-Haut,
car lui, il est bon pour les ingrats et les méchants. »

 
Aimer comme Dieu le fait pour…  être comme Dieu!
C’était la tentation que Satan avait présenté à Adam et Ève : « Vous serez comme des dieux. » (Genèse 3:5)

Mais ce n’est plus une tentation, c’est précisément ce que Dieu lui-même veut pour nous.
Jésus nous montre comment le faire – agir à la manière de Dieu, voilà ce qui nous rendra comme lui.

Les oppositions, les haines, les rancunes, les conflits – toutes ces réalités du quotidien peuvent nous faire croire que cela est impossible.
Laissé/es à nous-mêmes, nous échouons évidemment, mais l’Esprit de Dieu peut nous en rendre capables.

Si seulement… nous le lui permettons!
 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/7th-sunday-of-year-c-2022/

 

Source: Images: témoignagechretien.fr    YouTube

3è dimanche de l’Avent, année C – 2021

Pousse des cris de joie…
Réjouis-toi de tout ton cœur! »
 
C’est le message que nous adresse le prophète Sophonie en ce 3è dimanche de l’Avent (Sophonie 3:14-18).

Je devine facilement qu’en lisant ces paroles, certain/es seront tenté/es de murmurer :
« La joie – ça ne se commande pas…
Il faut quand même avoir… de quoi se réjouir, non? »

Il est vrai que la joie ne se commande pas mais…
elle peut se recevoir!
Et elle nous est offerte par… Dieu lui-même.

Alors que nous nous préparons à commémorer sa venue chez nous dans la personne de son Fils,
nous savons déjà que son arrivée sera annoncée comme « une grande joie » (Luc 2:10).

Et le soir de son dernier repas avec ses apôtres avant sa Passion, c’est exactement le don que Jésus a fait:
« Que ma joie soit en vous, que votre joie soit parfaite » (Jean 15:11). 

Évidemment, on peut penser que tout cela date d’il y a longtemps, c’est certain.
Mais en écrivant aux Philippiens, l’apôtre Paul affirme pourtant:

« Soyez toujours dans la joie… le Seigneur est proche » (Ph.4:4-7).

Proche, vraiment?
Invisible mais proche.

Infiniment proche, bien qu’il semble loin, absent, intouchable.
Infiniment proche dans les situations les plus improbables.
Infiniment proche dans les événements les plus déconcertants.
Infiniment proche malgré le doute qui nous assaille alors que nous sommes la proie

des perturbations quotidiennes de notre vie,
des conflits renouvelés de notre société,
des traumatismes écologiques de notre planète…

La proximité constante, infaillible de Dieu… source inimaginable de JOIE!

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/3rd-sunday-of-advent-year-c-2021/

Et dans une courte vidéo, Ghislaine Deslières nous partage ses pensées en ce 3è dimanche de l’Avent, année C: https://youtu.be/bEtz8IfMSOA

 

Source: Images: Wikipedia    bible.com

Journée internationale pour la résolution des conflits – 20 octobre

Journée Internationale pour la Résolution des Conflits
Depuis 2005, le troisième jeudi du mois d’octobre a été choisi pour célébrer la « journée internationale pour la résolution des conflits ». Cette initiative est née de l’Association pour la Résolution des Conflits.

Parce que chaque conflit mérite d’abord une solution

Face à un différend, qu’il soit d’ordre familial, de voisinage, commercial, ou social, la médiation s’impose. Lorsque les oppositions se font au niveau de régions ou de pays, touts les énergies doivent être employées à la résolution amiable du conflit, à la négociation, sans arriver jamais aux confrontations physiques, ou militaires.

La solution durable d’un conflit ne saurait être basée sur l’humilation de l’autre. Celle-ci génère la rancune et le ressentiment, et finit toujours par relancer un nouveau conflit. L’histoire mondiale récente est pleine de ces coups de forces et négociations biaisées qui ont portées en elles nombre de révoltes et de guerres.

L’armée aussi

De nombreuses organisations relayent cette journée et s’il ne surprendra personne de retrouver parmi elles le réseau médiation, il est intéressant de voir que des forces armées (en l’occurrence canadiennes) s’investissent aussi dans ces questions et prônent la négociation comme préalable à toute intervention. Comme quoi…

Et l’école ?

Nous vous proposons de parcourir un site Québecois consacré à la résolution des conflits dans les classes. Voir ci-dessous. (Éditrice)

Un site à visiter : carrefour-education.qc.ca      Source: Texte: Journée mondiale   Images: Journée mondiale   zakweli.com

Journée internationale des migrants – 18 décembre 2018

 

« Les migrations favorisent la croissance économique, le dynamisme des sociétés et la tolérance. Elles offrent une chance à des millions de personnes en quête d’une vie meilleure, et profitent aussi bien aux communautés d’origine et qu’à celles de destination. » — António Guterres, Secrétaire général de l’ONU

La Journée internationale des migrants est l’occasion de dissiper les préjugés et de sensibiliser l’opinion à leurs contributions dans les domaines économique, culturel et social, au profit tant de leur pays d’origine que de leur pays de destination.

Les migrations sont une réalité incontournable. De nombreuses raisons amènent les gens à se déplacer – que ce soit pour étudier à l’étranger, rejoindre des membres de la famille, chercher un emploi ou des moyens de subsistance, ou assurer un meilleur avenir à leurs enfants. D’autres quittent leur pays pour fuir la criminalité, la violence, les conflits, la persécution, l’insécurité, la discrimination, les catastrophes naturelles et la dégradation de l’environnement, ou encore la pauvreté.

Les migrations volontaires comme les déplacements forcés ont toujours été le lot commun de l’humanité. La plupart des gens comptent probablement parmi leurs ancêtres des personnes ayant migré.

En ces temps de mondialisation et d’interdépendance, la migration internationale pourrait bien devenir un phénomène encore plus répandu. L’intégration croissante des marchés du travail, la baisse du prix des transports et l’existence de réseaux d’information et de communication et de réseaux sociaux bien établis sont autant de facteurs qui favorisent la mobilité.

Si la plupart des migrations internationales sont motivées par des raisons économiques, les conflits, les violences, les persécutions, la répression politique et les autres violations graves des droits de l’homme figurent parmi les principales causes des mouvements de réfugiés et de déplacés.

Le 19 septembre 2016, à l’occasion d’un Sommet de haut niveau qui a eu lieu au Siège de l’ONU, l’Assemblée générale a adopté des engagements essentiels visant à renforcer la protection de millions de personnes déplacées de force et qui se déplacent pour d’autres motifs dans le monde entier. Par ce texte, appelé la Déclaration de New York, les États Membres se sont engagés à :

  • Protéger les droits des réfugiés et des migrants;
  • Sauver des vies;
  • Partager la responsabilité du soutien et de l’accueil de ces réfugiés et migrants;
  • Entamer des négociations menant à une conférence internationale; et
  • Adopter en 2018 un pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière.

Thème 2018 : Migration avec dignité

En 2018, près de 3400 migrants et réfugiés ont perdu la vie.Traiter chaque migrant avec dignité est l’une des exigences fondamentales qui doit guider chacune de nos actions. La migration est le grand enjeu de notre époque mais elle représente également un moteur pour la dignité, car elle permet aux individus de choisir de participer plutôt que de s’isoler.

Nous devons honorer ces choix en les respectant, et nous les respectons en traitant ceux qui font de tels choix avec dignité. À l’occasion de cette Journée internationale, notre appel est que les migrations soient sûres, régulières et dignes pour tous.

Source: Texte (résumé) & Image: www.un.org

 

 

Journée mondiale de l’aide humanitaire – 19 août

Dans de nombreuses régions du globe, les humanitaires travaillent, parfois au péril de leur vie, souvent dans l’anonymat le plus total. Même s’ils accomplissent un travail de fourmi, leurs interventions sont indispensables et permettent souvent à des populations de retrouver un minimum de dignité.

L’ONU a promulgué le 19 août, Journée Mondiale de l’aide humanitaire en espérant sensibiliser l’opinion publique à l’assistance humanitaire et à la nécessité de soutenir ces actions partout dans le monde.

« Les travailleurs humanitaires sont ceux que nous dépêchons sur place pour montrer notre solidarité avec ceux qui souffrent. Ils représentent ce qu’il y a de meilleur dans la nature humaine mais leur travail est dangereux… »  Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

À l’occasion de la Journée mondiale de l’aide humanitaire, nous continuons d’attirer l’attention sur les millions de civils touchés par les conflits armés chaque jour. Ceux qui habitent dans les villes luttent pour trouver de la nourriture, de l’eau et un abri sûr, tandis que les combats chassent des millions d’autres de leurs foyers. Les enfants sont recrutés et utilisés pour se battre, et leurs écoles sont détruites. Les femmes sont maltraitées et humiliées.

Et alors que les travailleurs humanitaires apportent de l’aide et que les travailleurs médicaux traitent les blessés et les malades, ils sont directement pris pour cibles, traités comme des menaces et empêchés d’apporter secours et soins à ceux qui en ont désespérément besoin.

Ces descriptions ne représentent qu’une partie de tous ceux qui sont touchés par les conflits dans le monde. Des personnes handicapées aux personnes âgées, aux migrants et aux journalistes, tous les civils pris dans les conflits doivent être protégés.

Source : Texte & Image : ONU

Journée mondiale des réfugiés – 20 juin

Pendant des années, plusieurs pays et régions ont célébré leur propre Journée des réfugiés, voire parfois leur semaine. L’une parmi les plus connues, c’est la Journée africaine des réfugiés, qui est célébrée le 20 juin dans plusieurs pays. En témoignage de solidarité avec l’Afrique, qui abrite le plus grand nombre de réfugiés, et envers qui elle a toujours montré une grande générosité, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution 55/76 le 4 décembre 2000.

Dans cette résolution l’assemblée générale a noté que l’année 2001 marquait le cinquantième anniversaire de la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés et que l’Organisation de l’unité africaine (OUA) avait accepté que la Journée internationale des réfugiés coïncide avec la Journée du réfugié africain du 20 juin.

L’Assemblée générale des Nations Unies a décidé par conséquent qu’à compter de 2001, le 20 juin marquerait la Journée mondiale des réfugiés.

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU, son message pour la journée mondiale des réfugiés !

Que feriez-vous si vous étiez contraint de quitter votre foyer ? Aujourd’hui, plus de 68 millions de personnes dans le monde sont des réfugiés ou des déplacés, à la suite d’un conflit ou de persécutions. Soit le nombre d’habitants du vingtième pays le plus peuplé au monde. L’année dernière, une personne a été déplacée toutes les deux secondes. Ce phénomène touche, pour l’essentiel, les pays les plus pauvres.

En cette Journée mondiale des réfugiés, nous devons tous réfléchir à ce que nous pouvons faire pour aider ces personnes. Pour commencer, nous devons faire preuve d’unité et de solidarité. Je suis profondément préoccupé de voir que de plus en plus souvent, les réfugiés ne bénéficient pas de la protection dont ils ont besoin et à laquelle ils ont droit. Nous devons rétablir le régime international de protection des réfugiés. Aujourd’hui, aucune communauté ni aucun pays offrant refuge aux personnes qui la guerre ou la persécution ne devraient se trouver seuls et sans soutien.

Sans unité, nous échouerons. Cette année, un pacte mondial sur les réfugiés sera présenté à l’Assemblée générale des Nations Unies. Ce sera l’occasion d’avancer sur cette question et de reconnaître tout ce que les réfugiés apportent aux sociétés qui les accueillent. Tant qu’il y aura des guerres et des persécutions, il y aura des réfugiés. En cette journée mondiale des réfugiés, je vous demande de ne pas les oublier.

Leur histoire témoigne de leur résilience, de leur persévérance et de leur courage. Notre histoire doit être placée sous le signe de la solidarité, de la compassion et de l’action. Je vous remercie. »

Source : Texte : Par Freddy Mulongo, mardi 19 juin 2018  Radio Réveil FM InternationalImage : www.cire.be
 

Journée Internationale des enfants victimes innocentes d’agression – 4 juin

Les enfants, partout à travers la planète, n’ont pas tous la même chance. Il arrive que certains d’entre eux soient victimes d’agression(s), c’est pourquoi l’Organisation des Nations Unies a choisi la date du 4 juin qui, depuis 1992, rappelle les violences que subissent des milliers de jeunes.

La majorité des jeunes pratiquant la mendicité risque d’être exploitée de différentes façons par les adultes et, bien que les droits des enfants soient aujourd’hui des droits  » sacrés « , la pauvreté, le travail et les conflits les amènent souvent à accomplir des actes qui les mènent à leur perte.

Comment agir ?
Il est important de penser à ceux qui – au-delà de nos frontières – souffrent, en particulier les enfants. Mais lutter pour que ces enfants du monde entier puissent vivre sans craindre diverses agressions est encore plus important: diverses institutions nationales et internationales ainsi que des Organisations Non Gouvernementales (ONG), mènent des activités de prise en charge et d’encadrement de ces enfants. Chacun, à son niveau, peut décider de parrainer, d’effectuer des dons, de faire du bénévolat… L’association points-cœur répond à cette demande.

L’association Points-cœur
Les bénévoles de cette ONG (France) accueillent, écoutent et soutiennent des enfants, des jeunes et des adultes du monde entier. Ils gèrent également des centres pour lépreux et sidéens, des hôpitaux, des orphelinats…

Un site à visiter : france.pointscoeur.org   Source : Texte : Journée Mondiale    Images: SMART READING PRESS  Upcoming cars

Journée Mondiale de La Croix Rouge – 8 mai

Le choix du 8 mai pour la journée mondiale de la croix rouge est dû à l’anniversaire de la naissance d’Henry Dunant, fondateur en 1863 de la Croix-Rouge internationale et des Conventions de Genève.

Naissance d’un mouvement
A Solferino (dans la Province de Mantoue, au nord de l’Italie). L’Empereur Napoléon III, à la tête d’une armée franco-piémontaise, écrase les Autrichiens dans une bataille extrêmement meurtrière. Des milliers de blessés agonisent faute de soins. Des appels aux secours restent sans réponse. Témoin de cette tragédie, un citoyen suisse, Henry Dunant, improvise des secours avec le concours des populations civiles locales. Il assiste sans discrimination les soldats des deux camps. Fortement ébranlé par ce qu’il vient de voir, Henry Dunant publiera à son retour l’un des premiers reportages de guerre : « Un Souvenir de Solférino » dans lequel il dénonce les horreurs des combats.

A partir de ce jour, des milliers d’hommes, de civils, de soldats, de prisonniers auront droit à ces gestes fraternels qui rendent moins cruelles les heures d’épreuve et de souffrance. 5 ans après Solférino, l’idée d’Henry Dunant a fait son chemin. Un comité de 5 personnes s’est constitué à Genève afin d’examiner les moyens à mettre en œuvre pour protéger les blessés sur les champs de bataille.

Une conférence internationale se réunit à Genève. Seize nations y participent, dont la France. Ils décident de créer, dans chaque pays, des comités de secours et choisissent un emblème : une croix rouge sur fond blanc. Les Etats adoptent des règles internationales définissant le sort des personnes aux mains de l’ennemi et qui ne participent pas au combat : ce sont les Conventions de Genève dont la première vit le jour le 22 août 1864.

La croix rouge de nos jours
Regroupant 97 millions d’hommes et de femmes, On compte maintenant des Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge dans 176 pays du monde.

Le Mouvement International de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge contribue à l’extension et à la promotion du Droit International Humanitaire (DIH). En assurant sa diffusion, en exerçant une action constante auprès des Etats, il s’efforce d’en faire respecter les principes et l’application lors des conflits. Il met également tout en œuvre pour favoriser l’adoption de règles toujours plus protectrices. Ainsi, la Croix-Rouge, en témoignant de son action constante en faveur des victimes, et en diffusant son éthique de tolérance et de dialogue contribue à la prévention des conflits et des tensions.

Source : Texte (abrégé): Journée Mondiale Images : www.croix-rouge.fr www.calendeo.com