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De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

5è dimanche de Pâques, année B -2024

Pour attirer l’attention, informer, et convaincre les gens, il y a une méthode qui a fait ses preuves.
Les parents la connaissent, les professeurs également, et les dirigeants de l’industrie et du ‘marketing’ l’utilisent aussi.
Il s’agit de la répétition!

Les enfants et les élèves peuvent tarder à prêter attention, les clients peuvent mettre du temps à accepter une offre, mais la répétition atteint très souvent son but!

Il semble que Jésus lui-même ait cru à son efficacité, car il a utilisé cette technique.
Le texte de l’évangile de ce dimanche nous est présenté dans 8 versets (Jean 15:1-8).
Dans les 5 derniers de ces versets on retrouve 8 fois le mot ‘demeurer’!
La répétition est pour le moins… persistante!

C’est qu’elle concerne quelque chose de très important pour Jésus.
Les paroles qu’il prononce dans ce texte sont adressées à ses apôtres lors du dernier repas qu’il prit avec eux.
Mais Jésus ne pensait pas uniquement à eux mais aussi à nous tous et toutes qui allions devenir ses disciples.

« Demeurez en moi, comme moi en vous…

Le sarment ne peut pas porter de fruit par lui-même
s’il ne demeure pas sur la vigne,
de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi…

Celui qui demeure en moi et en qui je demeure,
celui-là porte beaucoup de fruit…

Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous,
demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous ».

Ces quelques lignes résument, en fait, ce que l’aventure chrétienne nous propose.
Ces paroles de Jésus sont à la fois son testament et son invitation.
Ce qu’il veut avant tout c’est une vie de proximité, d’intimité, avec lui.

Il ne faut évidemment pas penser en termes de lieu, de location physique, de cette demeure.
Il ne faut pas tenter de découvrir la logistique d’une telle présence.

Ce que le Christ attend de nous, il me semble, c’est
– de recevoir son message,
– d’accepter ses valeurs,
– de vivre selon son enseignement
– de le suivre au fil des jours dans les différents situations qui sont nôtres.

Il ne s’agit pas de ‘mimer’, ou de copier, les gestes de l’Homme de Nazareth,
mais plutôt de permettre au Seigneur ressuscité de reproduire en nous l’expression de sa compassion pour tous et toutes.
Il ajustera l’expression de sa présence à la personnalité de chacun/e de nous.

Tout est là!

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/5th-sunday-of-easter-year-b-2024/

 

Source: Image (texte ajouté) unsplash.com (Moritz Knoringer)

5th Sunday of Easter, Year B – 2024

Recently, I found a bookmark with a text that kept me pondering.
No author was mentioned, but the words led to a prolonged reflection.
It said: “Keep your eyes on the logic of God”.

I was asking myself: What can be considered ‘the logic of God’?
It is at that moment that I came across the gospel text for today, (John 15:1-8).
There, I read Jesus’ words saying:

“I am the true vine, and my Father is the vinedresser…
Every branch that does bear fruit, he prunes to make it bear even more”.

We would think – with our human logic – that a branch bearing fruit will be left as it is.
It would be allowed to come to fruition and then the fruit would be collected.
But it seems that… God’s logic is different!

Jesus says something rather puzzling:
“Every branch that does bear fruit, the Father prunes to make it bear even more”.

This speaks of cutting out, of taking away, of letting go, of detachment, …
This is not according to our usual choices…
This does not go along the direction of our preferences…
Normally, we want to add, to increase, not to diminish or to lessen…

But then, we need to focus on the purpose of God’s doing:
“to make it bear even more”.

This is where the increase, the expansion, the growth, the fulfilment will come…
In God’s time, at God’s rhythm, in God’s way…
And our human logic has to get familiar with this…

A familiarization that may take time and adjustment.
But this may be part and parcel of the ‘more’…

And who knows what the ‘more’ may still hold in reserve for us!

 

Note: Another text is available on a different theme, in French, at: https://image-i-nations.com/5e-dimanche-de-paques-annee-b-2024/

 

Source: Image: https://insightsfromtom.com/tag/john-152/

World Day For Animals in Laboratories – 24 April

World Lab Animal Day is another name for World Day For Animals In Laboratories, observed every year on April 24 globally. The purpose of this day is to draw attention to the suffering and killing of animals that take place in laboratories all around the world.
Animals used in experiments include baboons, cats, cows, dogs, ferrets, fish, frogs, guinea pigs, hamsters, horses, llamas, mice, monkeys (such as marmosets and macaques), owls, pigs, quail, rabbits, rats and sheep.
Source: Text: Google   Image: AffairsCloud.com

For nearly a century, drug and chemical safety assessments have been based on laboratory testing involving rodents, rabbits, dogs, and other animals. Aside from the ethical issues they pose—inflicting both physical pain as well as psychological distress and suffering on large numbers of sentient creatures—animal tests are time- and resource-intensive, restrictive in the number of substances that can be tested, provide little understanding of how chemicals behave in the body, and in many cases do not correctly predict real-world human reactions. Similarly, health scientists are increasingly questioning the relevance of research aimed at “modelling” human diseases in the laboratory by artificially creating symptoms in other animal species.

It is estimated that more than 115 million animals worldwide are used in laboratory experiments every year. But because only a small proportion of countries collect and publish data concerning animal use for testing and research, the precise number is unknown. 

Within the European Union, more than 12 million animals are used each year, with France, Germany and the United Kingdom being the top three animal using countries.

What’s the alternative?

If lack of human relevance is the fatal flaw of “animal models,” then a switch to human-relevant research tools is the logical solution. The National Research Council in the United States has expressed its vision of “a not-so-distant future in which virtually all routine toxicity testing would be conducted in human cells or cell lines”, and science leaders around the world have echoed this view.

Source: Text & Image: https://www.hsi.org/news-resources/about/

World Book and Copyright Day – 23 April

By championing books and copyright, UNESCO stands up for creativity, diversity and equal access to knowledge, with the work across the board – from the Creative Cities of Literature network to promoting literacy and mobile learning and advancing Open Access to scientific knowledge and educational resources. With the active involvement of all stakeholders: authors, publishers, teachers, librarians, public and private institutions, humanitarian NGOs and the mass media, and all those who feel motivated to work together in this world celebration of books and authors, World Book and Copyright Day has become a platform to rally together millions of people all around the world.

Books, in all their forms, allow us to learn and to keep ourselves informed. They also entertain us and help us to understand the world, while offering a window into otherness.

For books to be able to unleash their full potential, it is essential that they reflect the linguistic diversity of our world. That is why, as part of the International Decade of Indigenous Languages (IDIL), launched in 2022, UNESCO is supporting the publication of books in both Indigenous and regional languages.

 

Source: Text & Image:  https://www.unesco.org/en/days/world-book-and-copyright#

4è dimanche de Pâques, année B -2024

Récemment, dans un abribus, j’entendais une personne dire à une autre :
« Ce que tu me dis est vraiment extraordinaire, si ce n’était pas toi qui me rapportes cela, je ne le croirais pas! »

Cette conversation m’est revenue à l’esprit en lisant l’évangile de ce dimanche (Jean 10:11-18).
Quelques versets du texte m’inspirent la même réaction.

En effet, Jésus dit :
« Moi, je suis le bon pasteur; je connais mes brebis,
et mes brebis me connaissent,
comme le Père me connaît, et que je connais le Père ».

Non seulement, il affirme que nous – ses brebis, ses disciples – nous le connaissons,
mais il ajoute: « comme le Père me connaît, et que je connais le Père ».

Je me pose la question: comment le connais-je, lui à la fois si grand et si proche?
D’une connaissance si profonde qu’il la compare à la sienne avec son Père?

Il me dit qu’il donne sa vie pour moi: « Je donne ma vie pour mes brebis ».

Il m’assure:
« Je suis la lumière du monde.
Celui qui vient à ma suite ne marchera pas dans les ténèbres;
Il aura la lumière qui conduit à la vie » (Jean 8:12-20).

Il a aussi dit :
« Je suis le pain de vie.
Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif » (Jean 6:35).

Ses paroles me rejoignent quand il proclame:
« Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie » (Jean 14:6).

Il promet en des termes clairs:
« Celui qui vient à moi, je ne le rejetterai pas » (Jean 6:37).

Il ajoute une autre promesse d’une perspective étonnante:
« Voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde » (Matthieu 28:20).

Ses paroles ont de quoi susciter un espoir fou…
« Je suis la résurrection.
Qui croit en moi, même s’il meurt, vivra » (Jean 11:24).

Tout cela il me l’a révélé…
Mais… si ce n’était pas Jésus –
le Christ, le Seigneur Ressuscité, le Fils de Dieu lui-même,
qui m’adresse ces mots,
NON, je ne pourrais pas croire de telles paroles merveilleuses et des promesses aussi audacieuses!

Mais c’est LUI qui m’en donne l’assurance,
alors qu’il marche à mes côté, jour après jour sur le chemin qu’il me trace…
Présence permanente et infaillible…

OUI, je LE connais… et je m’en remets à LUI.

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/4th-sunday-of-easter-year-b-2024/

Source: Image: https://www.protestants-ittenheim.org/2021/04/21/une-parole-pour-cette-semaine-36-21-au-27-avril-2021/

4th Sunday of Easter, Year B – 2024

Nowadays, some people speak of our ways as those of a ‘throw away culture’.
It seems that people buy a lot of objects, and they soon throw them away.
They acquire many items and discard them readily.
Not much is precious to them, it looks as if nothing is of real value.

Sad to say, this mentality sometimes spreads to the way we relate to people.
We do not value who they are, and what they can contribute to society.
Short-term relationships are prevailing, and enduring commitment are not the norm.

This is what has led me to notice a section of today’s gospel text (John 10:11-18).
It speaks of the hired man who acts as a shepherd.
Seeing a wolf coming to attack the sheep, that man runs away, and Jesus explains the reason for this attitude:
“The man does not care for the sheep”. (Another translation says: “He has no concern for the sheep”).

Jesus repeats and insists, saying:
“I am the good shepherd… I lay down my life for my sheep”.

Someone ready to give his/her life for another, surely that person is precious to him/her.
The life of the other person is of great value.
It means so much that one is ready to sacrifice his/her own existence to save another.

This is how precious we are to God.
This is really amazing, so amazing that we find it difficult to believe…

Long ago, God had given this very message to his prophet Isaiah who was to say in God’s name:
“You are precious in my eyes…
You are honored and I love you” (Isaiah 43:40).

This is GOD speaking to each one of us!
We are precious to him, and he loves us –
a message spoken long ago but always valid, permanent and unconditional.

Why do we hesitate to accept this tremendous reality?

 

Note: Another text is available on a different theme, in French, at: 4è dimanche de Pâques, année B -2024

 

Source: Image: https://quotesgram.com/the-good-shepherd-jesus-quotes/

Journée Mondiale des luttes paysannes – 17 avril

Le 17 avril 1996, dix-neuf paysans du Mouvement des travailleurs ruraux sans terre du Brésil (MST) étaient assassinés par des tueurs à la solde de grands propriétaires terriens. Ce massacre a eu lieu alors que Via Campesina se réunissait au Mexique. En mémoire de cette tuerie, les membres de Via Campesina ont déclaré le 17 avril Journée mondiale des luttes paysannes.

Via Campesina

Partout dans le monde, les paysans – qui forment plus de la moitié de la population de la terre -sont touchés par le rouleau compresseur de la globalisation des échanges économiques et culturels. Les luttes paysannes concernent autant le droit à la terre que le droit à la transmission des semences. Dans plusieurs régions du monde, les luttes paysannes sont réprimées dans le sang et font des centaines de victimes annuellement. Plusieurs meurent sous les balles, mais autant se suicident, acculés à la faillite et à la misère par les propriétaires fonciers, les multinationales de l’agroalimentaire et des biotechnologies et des gouvernements complices.

Chaque année, le 17 avril est une occasion de sensibiliser la population aux luttes des paysannes d’ailleurs et d’ici.

Via Campesina est un mouvement international qui coordonne les luttes de plus de 70 organisations de paysannes, de travailleurs agricoles, de femmes rurales, de communautés indigènes provenant des cinq continents. Via Campesina est un mouvement indépendant de toute organisation politique, économique ou religieuse. Elle est composée par des organisations nationales ou régionales dont l’autonomie est respectée. L’organisation fut créée en 1993 en Belgique et elle a défini ses grandes orientations en 1996, au Mexique. Le secrétariat international est situé au Honduras. Via Campesina poursuit les objectifs suivants : accroître le pouvoir de négociation des paysans dans leur pays respectifs et améliorer leurs conditions de vie; favoriser la participation des femmes à l’organisation politique, sociale et économique; défendre la souveraineté alimentaire et la propriété collective des semences; élaborer des solutions sur les enjeux des réformes agraires, des biotechnologies, du commerce international et de la protection de l’environnement. www.viacampesina.org

L’exemple Québecois

Au Québec, le syndicat agricole Union paysanne cherche depuis 2001 à faire renverser le monopole syndical que détient l’Union des producteurs agricoles (UPA). Le Québec est le seul pays industrialisé où la loi impose un monopole dans la représentation des agriculteurs. L’Union paysanne fait la promotion d’un modèle agricole fondé trois grands principes :

  1. Une agriculture paysanne à échelle humaine, aux cultures diversifiées, qui respecte l’environnement et qui produit des aliments de qualité.
  2. L’occupation des campagnes par les paysannes, les citoyennes et les entreprises de transformation alimentaire. La solution du repeuplement des campagnes passe par le retour des emplois agricoles et de la petite transformation alimentaire, dans une logique de terroirs et de qualité alimentaire.
  3. L’inclusion des agriculteurs et des consommatrices dans un syndicat « citoyen » qui considère le modèle agricole comme un choix de société. L’Union paysanne est membre de Via Campesina.
Un site à visiter : www.unionpaysanne.com        Source: Texte & Image: Journée mondiale

World Voice Day – 16 April

 World Voice Day (WVD) is a worldwide annual event that takes place on April 16 devoted to the celebration of the phenomenon of voice. The aim is to demonstrate the enormous importance of the voice in the daily lives of all people. Voice is a critical aspect of effective and healthy communication, and World Voice Day brings global awareness to the need for preventing voice problems, rehabilitating the deviant or sick voice, training the artistic voice, and researching the function and application of voice. A goal of World Voice Day is to encourage all those who use their voice for business or pleasure to learn to take care of their voice, and know how to seek help and training, and to support research on the voice.

Voice production is studied and applied in many disciplines such as medicine, speech-language pathology, music, physics, psychologyphonetics, art, and biology.

The World Voice Day was established on April 16 with the main goals of increasing public awareness of the importance of the voice and alertness to voice problems.

This celebration started in Brazil in 1999 as the Brazilian National Voice Day. It was the result of a mixed initiative of physicians, speech-language pathologists and singing teachers that belonged to the former association ‘Sociedade Brasileira de Laringologia e Voz – SBLV’ (Brazilian Society of Laryngology and Voice), under the presidency of Dr. Nedio Steffen. This Brazilian initiative was followed by other countries, such as Argentina and Portugal, and the Brazilian National Voice Day became the International Voice Day. In the United States, the American Academy of Otolaryngology – Head and Neck Surgery officially recognized this celebration in 2002 and in that year the event obtained the name ‘World Voice Day’.

 

Source: Text: https://en.wikipedia.org/wiki/World_Voice_Day#        Image: 

World Art Day – 15 April

World Art Day, a celebration to promote the development, diffusion and enjoyment of art, was proclaimed at the 40th session of UNESCO’s General Conference in 2019.

Art nurtures creativity, innovation and cultural diversity for all peoples across the globe and plays an important role in sharing knowledge and encouraging curiosity and dialogue. These are qualities that art has always had, and will always have, if we continue to support environments where artists and artistic freedom are promoted and protected. In this way, furthering the development of art also furthers our means to achieve a free and peaceful world.

Each year, on 15 April, World Art Day celebrations help reinforce the links between artistic creations and society, encourage greater awareness of the diversity of artistic expressions and highlight the contribution of artists to sustainable development. It is also an occasion to shine a light on arts education in schools, as culture can pave the way for inclusive and equitable education.

 

Source: Text & Image: https://www.unesco.org/en/days/world-art

3è dimanche de Pâques, année B -2024

DIEU – dès que le mot est prononcé, l’image surgit à l’esprit d’un être grand et tout-puissant.
Celui qui voit tout et peut tout, nous a-t-on enseigné dans notre enfance.

Mais il nous faut apprendre à le connaître – à le reconnaître – comme le Dieu qui se met… à notre niveau!
Un Dieu qui s’est fait humain pour nous rejoindre là où nous sommes.
Étonnant? Vraiment surprenant et surtout… tellement encourageant!

C’est le message qui apparaît clairement dans la scène de l’évangile d’aujourd’hui (Luc 24:35-48).
Cette scène, présentée aussi par l’évangéliste Jean, nous a révélé:

« Les portes étant closes, là où se trouvaient les disciples, par peur des Juifs,
Jésus vint et se tint au milieu… » (Jean 20:19).

Les disciples ne se sentent pas en sécurité.
Leur Maître à été mis à mort et ils craignent sans doute qu’on peut maintenant s’en prendre à eux.
Et voilà que, soudain, Jésus est présent au milieu d’eux!

On croirait qu’ils vont se réjouir mais… le texte de Luc mentionne:
« Saisis de frayeur et de crainte, ils croyaient voir un esprit ».

Jésus leur demande alors:
« Pourquoi êtes-vous bouleversés ?
Et pourquoi ces pensées qui surgissent dans votre cœur ? »

Jésus leur donne les signes concrets qui leur parleront autant que ses paroles:
« Voyez mes mains et mes pieds: c’est bien moi !
Touchez-moi, regardez:
un esprit n’a pas de chair ni d’os comme vous constatez que j’en ai. »

Mais il semble que cela ne suffise pas à rassurer le groupe :
« Dans leur joie, ils n’osaient pas encore y croire, et restaient saisis d’étonnement ».

La joie se manifeste mais… l’incrédulité persiste.
Jésus fait un autre geste, encore plus significatif peut-être, en leur demandant:
« Avez-vous ici quelque chose à manger ? »

Toucher, regarder, manger… peut-on mieux cerner l’humain qui s’en remet à ses sens… pour croire?!
Notre humanité assumée par Dieu jusque là!

La Résurrection: notre humanité investie d’une gloire promise –
déjà réalisée dans le Christ… et en devenir dans chacun/e de nous…

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à:https://image-i-nations.com/3rd-sunday-of-easter-year-b-2024/

 

Source: Images: The Church of Jesus Christ of Latter-Day Saints