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Journée mondiale des solitudes – 23 janvier

On estime que 12% de la population française vit aujourd’hui dans une grande solitude. Plus grave, on observe que la solitude est en forte augmentation dans de nombreux secteurs de la population. Elle est souvent invisible mais toucherait 1 français sur 3. Il n’en fallait pas plus pour que ce mal devienne le sujet d’une nouvelle journée mondiale.

Source : Texte : Journée Mondiale

La solitude ce n’est pas seulement le fait de n’avoir personne autour de soi; c’est le sentiment d’être seul et isolé mais aussi tous les sentiments de tristesse qui s’en suivent. Pour de nombreuses personnes, ce sentiment s’explique par le fait de ne pas avoir trouvé l’amour; pour d’autres, le fait de faire de nouvelles rencontres, ou même entretenir un lien quelconque, relève de l’impossible.

Des études récentes ont démontré que la solitude pouvait avoir des répercussions non seulement sur le mental, mais aussi sur la santé physique. En effet, les personnes qui se sentent vides, seules et qui ont le sentiment de ne pas être aimées, auraient plus de chance de contracter des maladies cardiovasculaires, sont plus stressées et présentent une diminution de la mémoire et de la capacité à apprendre.

Les sentiments de solitude peuvent même mener jusqu’à la dépression et au suicide. La véritable solution est d’apprendre tant l’art d’être seul que l’art d’être accompagné.

L’art d’être seul
Servez vous de cette étape pour mieux vous connaître. C’est l’occasion d’acquérir de nouvelles connaissances et de tester de nouvelles choses, d’apprendre à gérer son budget ou réparer la fuite du robinet. Découvrez l’emploi du temps qui vous convient le mieux.

Savoir que vous pouvez prendre soin de vous et que vous êtes capable de le faire correctement vous procurera un sentiment de satisfaction incomparable.

En définitive, c’est un moment d’épanouissement et de maturité. Si vous ne savez pas comment être heureux en étant seul, vous ne saurez pas être heureux dans une relation. Personne ne pourra faire office de baguette magique et faire disparaitre vos problèmes.

En conclusion, rappelez-vous que le sentiment de solitude ne vient pas du fait d’être seul, mais de la façon de percevoir une situation. Ne subissez pas la solitude, ne soyez pas une victime. Tirez-en du positif et apprenez à rebondir.

 

Source : Texte (extraits) : https://nospensées/fr   Images : Pexels Freepik

Drogues et dépendances

Le Dicastère pour le développement humain intégral organise, du jeudi 29 novembre au samedi 1er décembre au Vatican, un important colloque international sur les drogues et les dépendances.

« Drogues, jeux d’argent, esclavage psychologique vis-à-vis d’Internet, de la pornographie ou du sexe : les addictions sont un réseau dans lequel l’homme tombe très facilement dans un moment de faiblesse ou de dépression », reconnaît Mgr Segundo Tejado Muñoz, sous-secrétaire du Dicastère pour le développement humain intégral.

« Aujourd’hui, nous nous trouvons face à un scénario totalement différent du passé récent », explique en effet le DDHI qui constate que « les drogues sont devenues un produit de consommation présenté comme convenant à un usage quotidien, aux loisirs et même au bien-être ».

Plus largement, alors que 250 millions de personnes ont consommé une drogue en 2015 (5 % de la population mondiale), le Saint-Siège regrette que « les solutions d’urgence prévalent plutôt qu’une culture de prévention capable de définir des objectifs, des moyens et des ressources pour garantir la cohérence et la stabilité dans le traitement de ces problèmes ».

Selon le professeur Pisanu il s’agira donc « d’insister sur les personnes et leur éducation intégrale pour dépasser les dépendances ».

Source: Texte (abrégé): Nicolas Senèze, Rome, 27/11/2018 Texte & Image: LA CROIX, 28 novembre 2018

Journée Internationale contre l’abus et le trafic illicite de drogues – 26 juin

L’Assemblée Générale des Nations Unies a décidé, en 1987, de réagir face au fléau que représentent les drogues.

Ces substances, licites ou illicites, ont un effet néfaste sur le physique et/ou le psychisme du consommateur en en prenant le contrôle. Elles participent aussi à l’asservissement des producteurs agricoles en nuisant aux productions vivrières traditionnelles des régions de production (car les cultures liées à la production de drogue sont plus rémunératrices que celles liées à la production de nourriture). Elles oppriment les communautés par les trafics illégaux qui découlent de leur commercialisation.

Une Journée Internationale contre l’abus et le trafic de Drogues a donc été instaurée, à la date du 26 juin. Cette journée de mobilisation est destinée à sensibiliser la population aux risques encourus lors de la consommation de ces substances.

Y a -t-il des drogues nocives et d’autres moins ? Si vous avez des doutes, lisez la suite :

Au commencement étaient le tabac et l’alcool…
La consommation de drogues par un individu modifie ses fonctions physiques ou psychologiques, mais aussi ses réactions et ses états de conscience. On appelle « drogue » les produits créant une dépendance (addiction) et reconnus comme nocifs pour l’individu, à commencer par l’alcool et le tabac.

La quête du plaisir, le désir de quitter la réalité ou de faire une nouvelle expérience sont souvent des moteurs de consommation de drogues, mais il faut savoir que cette consommation de stupéfiants entraîne très rapidement des conséquences néfastes.

Un individu sous l’emprise de ces substances peut en effet mettre sa vie et celle des autres en danger, de par la lenteur de ses réflexes, de ses réactions, mais aussi par la modification de sa personnalité. Cela entraîne également une dépendance et d’importants risques pour la santé (overdose).

La dépendance
En plus des effets sur la conscience du consommateur, les drogues créent une double dépendance aux produits consommés: une dépendance physique (mal-être, impression de manque, …) et une dépendance psychologique (abattement, état de dépression, …) plus insidieuse, pouvant survenir même en cas de consommation faible. Si certaines drogues, tel le cannabis, ne provoquent qu’une dépendance psychologique, la majorité d’entre elles entraînent une dépendance physique, dont l’intensité peut varier selon les individus. Dès la première prise, la drogue peut être mortelle !

Un site à visiter : www.un.org Source : Texte : Journée Mondiale Image : nonaladrogue-auvergne.blogspot.com

 

 

World Bipolar Day – 30 March

World Bipolar Day is designed to raise awareness worldwide of bipolar conditions and to work to eliminate social stigma whilst providing information to educate and help people understand the condition.

Bipolar disorder affects a person’s mood, which can swing from one extreme to the other, with someone suffering from the disorder having episodes of depression or mania. People living with bipolar disorder, also known as manic-depressive illness, tend to have their lives significantly disrupted as it can impact on a person’s ability to function. There are however several medications that can help to treat it.

Source: Text: AWARENESS DAYS UK Image: Bon coin santé

 Bipolar disorder affects over 60 million people worldwide.

Source: Text: isbd.org

What is World Bipolar Day?

The vision of World Bipolar Day (WBD) is to bring world awareness to bipolar conditions and to eliminate social stigma. Through international collaboration, the goal of WBD is to bring the world population information about bipolar conditions that will educate and improve sensitivity towards the condition.

WBD is celebrated each year on March 30th, the birthday of Vincent Van Gogh, who was posthumously diagnosed as probably having a bipolar condition.

https://ibpf.org/learn/programs/world-bipolar-day/

Journée Internationale contre l’abus et le trafic illicite de drogues – 26 juin

L’Assemblée Générale des Nations Unies a décidé, en 1987, de réagir face au fléau que représentent les drogues.

Ces substances, licites ou illicites, ont un effet néfaste sur le physique et/ou le psychisme du consommateur en en prenant le contrôle. Elles participent aussi à l’asservissement des producteurs agricoles en nuisant aux productions vivrières traditionnelles des régions de production (car les cultures liées à la production de drogue sont plus rémunératrices que celles liées à la production de nourriture). Elles oppriment les communautés par les trafics illégaux qui découlent de leur commercialisation.

Une Journée Internationale contre l’abus et le trafic de Drogues a donc été instaurée, à la date du 26 juin. Cette journée de mobilisation est destinée à sensibiliser la population aux risques encourus lors de la consommation de ces substances.

Y a -t-il des drogues nocives et d’autres moins ?
Si vous avez des doutes, lisez la suite :

Au commencement étaient le tabac et l’alcool…
La consommation de drogues par un individu modifie ses fonctions physiques ou psychologiques, mais aussi ses réactions et ses états de conscience. On appelle « drogue » les produits créant une dépendance (addiction) et reconnus comme nocifs pour l’individu, à commencer par l’alcool et le tabac.

La quête du plaisir, le désir de quitter la réalité ou de faire une nouvelle expérience sont souvent des moteurs de consommation de drogues, mais il faut savoir que cette consommation de stupéfiants entraîne très rapidement des conséquences néfastes:

Un individu sous l’emprise de ces substances peut en effet mettre sa vie et celle des autres en danger, de par la lenteur de ses réflexes, de ses réactions, mais aussi par la modification de sa personnalité. Cela entraîne également une dépendance et d’importants risques pour la santé (overdose).

La dépendance
En plus des effets sur la conscience du consommateur, les drogues créent une double dépendance aux produits consommés: une dépendance physique (mal-être, impression de manque, …) et une dépendance psychologique (abattement, état de dépression, …) plus insidieuse, pouvant survenir même en cas de consommation faible. Si certaines drogues, tel le cannabis, ne provoquent qu’une dépendance psychologique, la majorité d’entre elles entraînent une dépendance physique, dont l’intensité peut varier selon les individus. Dès la première prise, la drogue peut être mortelle !

Un site à visiter : www.un.org  Source: Texte & Image: Journée Mondiale

World Health Day – 7 April 2017

World Health Day, celebrated on 7 April every year to mark the anniversary of the founding of WHO, provides us with a unique opportunity to mobilize action around a specific health topic of concern to people all over the world.

The theme of 2017 World Health Day campaign is depression.

Depression affects people of all ages, from all walks of life, in all countries. It causes mental anguish and impacts on people’s ability to carry out even the simplest everyday tasks, with sometimes devastating consequences for relationships with family and friends and the ability to earn a living. At worst, depression can lead to suicide, now the second leading cause of death among 15-29-year olds.

Yet, depression can be prevented and treated. A better understanding of what depression is, and how it can be prevented and treated, will help reduce the stigma associated with the condition, and lead to more people seeking help.

Source: Texte: WHO  Image: Wikipedia: An 1892 lithograph of a woman diagnosed with depression

Journée mondiale de la santé mentale – 10 octobre

La journée de la santé mentale vise à sensibiliser l’opinion aux problèmes de santé mentale. À cette occasion, les discussions franches sur les troubles mentaux, et les investissements dans les services de prévention, de promotion et de traitement sont encouragés. Cette année (2012), le thème de la journée est : « Dépression : une crise mondiale ». La dépression touche plus de 350 millions de personnes, tous âges confondus, dans toutes les communautés, et contribue de manière importante au fardeau mondial de morbidité. Bien qu’il existe des traitements efficaces pour soigner la dépression, l’accès au traitement est un problème dans la plupart des pays et dans certains d’entre eux, moins de 10% des personnes qui en ont besoin bénéficient d’un tel traitement.mental

Source: Texte: santémentale.fr

L’édition 2016 de la journée mondiale de la santé mentale aura lieu à Fribourg dans le cadre de la manifestation consacrée à Jean Tinguely. Durant l’année 2016, l’association Jean Tinguely organise une manifestation consacrée au 25ème anniversaire de la mort de l’artiste avec de nombreuses expositions et manifestations à travers la ville de Fribourg. Artistes, lieux culturels, institutions et associations ont été sollicités pour y prendre part, afin de donner leur vision d’un aspect de son œuvre. Pour cette commémoration, la Coraasp a présenté un projet qui a eu la grande chance d’être retenu. Le thème choisi est le bruit, avec ce slogan: «Osons le ramdam, parlons d’états d’âme!»

Osons le ramdam, parlons d’états d’âme!
En effet, pour chacun, il est toujours plus facile de dire aux autres que «ça va bien». En revanche, c’est difficile d’avouer que «ça va mal». Parler de ses états d’âme, dévoiler sa vulnérabilité sont des actes qui demandent du courage, de l’expérience et des compétences. Toutefois, il faut oser, car échanger au sujet de soi et de ce que l’on vit permet de mieux se comprendre et de mieux comprendre les autres.

Projet artistique
La parole n’est pas l’unique moyen de se faire entendre. L’expression artistique en est un autre pour traduire de façon efficace son ressenti et pour le partager. Représenter ses états d’âmes et, de ce fait, les voir concrètement dans une création permet d’en prendre conscience et de mieux les accepter.Cette année, des associations de la Coraasp ont organisé des ateliers de création dans le but de réaliser individuellement et collectivement des tableaux ou des installations.

Source: Texte: Coraasp   Image: Journée mondiale

20th Sunday of the Year, C

Some are prone to divide people into two categories: the good and the evil ones, the kind and the unkind, the just and the unjust and, yes, those who are our friends and those we label as ‘enemies’.
People who give in to such labelling can think it is wise to protect oneself from the hurt that those who are unfriendly could cause them…

Amazingly, they often forget one type of enemies… the inner ones! Yes, those we give a residence to within ourselves! Often, they lie there, well hidden from our consciousness, unrecognised. Their presence is not acknowledged and can be all the more negative.

Today, I am thinking of one such enemy which is referred to in the letter to the Hebrews (12:1-4), this Sunday’s second reading (20th Sunday of the Year, C). Courage-doesnt-mean-you-dont-get-afraid_-Courage-means-you-dont-let-fear-stop-you-Bethany-Hamilton
It is called: discouragement, or a lack of courage.
The author of this epistle warns us precisely against this.
It tells us “not (to) give up for want of courage.”

Discouragement deprives us of our inner resources.
We see situations and events in a defeatist way.
Our attitude to life and people is negative.
We give up the struggle to overcome the obstacles on our way.
We recall the failures of the past pretending they justify our refusal to make new efforts.
Nothing seems to have meaning any more.
We do not dare to move into unchartered territory in life.
We do not attempt to explore new possibilities.
Pushed to the extreme, this can lead to deep depression…

The Scripture text tells us: “We should throw off everything that hinders us…” Discouragement is definitely such a hindrance! The unrecognised specialist of… sabotage – obvious work of an ‘enemy’.

Source: Images: www.askideas.com

Journée Mondiale des troubles bipolaires – 30 mars

ImpressionCertaines journées mondiales semblent avoir bien du mal à se faire une place dans notre environnement médiatique surchargé. La journée consacrée aux troubles bipolaires, lancée en France en 2014, en fait partie. Vous, je sais pas, mais moi, cela ma déprime…

Une [tentative de] définition
Ils ont longtemps été connus sous le nom de troubles maniaco-dépressifs. Cette pathologie reste cependant très méconnue et souvent tabou. Tabou parce que beaucoup de personnes atteintes n’osent pas avouer à leurs proches que leurs émotions sont « démesurées », qu’elles passent alternativement d’un état d’excitation anormale (proche de l’euphorie) à un état léthargique (complètement dépressif !).

1 à 2 % de la population souffrirait de la forme majeure de la maladie. Dans la moitié des cas, ces troubles seraient associés à des pratiques addictives et ils seraient à l’origine du quart des tentatives de suicide.

Une cause avérée de suicide
Le corps médical semble tomber d’accord pour affirmer que ces troubles ne surviennent que si trois facteurs de risque sont réunis:
– une terrain génétique propice,

une hypersensibilité générale,
l’existence d’événements graves comme facteur déclenchant.

La recherche progresse
Les chercheurs ont pu établir que l’apparition de la maladie était favorisée par la présence d’un certain nombre de gènes (une quinzaine ont déjà été identifiés). La mise au point de traitements progresse de son coté, et même si les médicaments ne peuvent pas tout, ils permettent de stabiliser de nombreux malades. Par contre, les antidépresseurs sont à manier avec précaution, car ils risquent d’aggraver le mal.

La journée mondiale des troubles bi-polaires fournit une occasion rêvée de parler un peu plus de cette maladie et sensibiliser les instances concernées par son traitement. En 2015, l’association France Dépression y a largement apporté son concours. Les choses bougent.

Un site à visiter : www.clubhousefrance.org   Source: Texte: Journée mondiale  Image: Journée mondiale troubles bipolaires