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Journée Mondiale de la Terre – 22 avril 2024

Cet évènement a été célébré pour la première fois le 22 avril 1970. le Jour de la Terre est aujourd’hui reconnu comme l’événement environnemental populaire le plus important au monde. Le fondateur de cet événement est le sénateur américain Gaylord Nelson. Il encouragea les étudiants à mettre sur pied des projets de sensibilisation à l’environnement dans leurs communautés. Aujourd’hui, le Jour de la Terre est célébré, à travers le monde, par plus de 500 millions de personnes dans 184 pays.

Notre planète en danger

Le 30 mars 2005, l’Unesco publiait la première évaluation des écosystèmes pour le millénaire, un rapport accablant sur l’impact de l’homme sur la planète. Au cours des dernières années, les activités humaines ont modifié les écosystèmes pour satisfaire une demande croissante de nourriture, d’eau douce, de bois, de fibre et d’énergie… une dégradation irréversible aux conséquences désastreuses puisque le bien-être de l’homme est menacé d’ici à quarante ans.

2023. Le compteur tourne et les choses bougent très (trop) lentement, les effets dévastateurs des changements climatiques se font de plus en plus sentir, les migrants économiques chassés de leurs terres par la misère et la famine nous rappellent au quotidien l’urgence de la situation. Alors, on fait quoi ?

Un site à visiter : www.earthday.net    Source: Texte & Image: Journée mondiale     

Le Jour de la Terre est célébré chaque année le 22 avril. C’est dans ce contexte que l’administration publique a choisi de se mobiliser et de poser, elle aussi, des gestes significatifs en faveur de l’environnement.

Cette année, (2024) la Journée de l’environnement dans l’administration publique (JEAP) a pour thème « Consommation virtuelle, impact réel : changeons nos habitudes numériques pour réduire notre empreinte écologique ».

La consommation numérique au Québec a connu une évolution notable ces dernières années. Le numérique, devenu central dans nos vies, offre des avantages considérables mais présente aussi des défis environnementaux et sociaux.

L’impact environnemental et social de la consommation numérique est de plus en plus préoccupant dans un monde où la technologie occupe une place centrale dans notre quotidien. Le secteur du numérique est responsable d’environ 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, une empreinte carbone comparable à celle de secteurs tels que l’aviation civile et les transports lourds.

……..

Les bénéfices du numérique sont indéniables, et ce, dans toutes les sphères de la société. Il est donc essentiel de promouvoir une transition numérique responsable, qui tienne compte de ces impacts et vise un développement durable et équitable.

Source: Texte & Image: https://www.environnement.gouv.qc.ca/jeap/

Fête du Corps et du Sang du Christ, année C – 2022

Avoir faim – on a tous fait l’expérience de cette situation – 

on peut avoir une petite fringale,
on a peut-être le goût d’un petit goûter,
on désire peut-être se rassasier de son plat favori,
ou on veut vraiment se revitaliser!

Mais… avoir vraiment faim – c’est autre chose!
Manger, alors, ce n’est plus un désir ni un caprice,
c’est devenu un besoin urgent.

Les périodes de grande sécheresse peuvent susciter une telle faim,
et les gens qui ont fait l’expérience de la famine en savent quelque chose.

Mais si ce besoin d’alimenter notre corps est bien évident,
Il en existe un autre tout aussi intense et non moins réel :
C’est… la faim… de Dieu!

Certaines personnes en font l’expérience,
d’autres ne l’ont pas encore éprouvée.

Peut-être faut-il avoir connu des situations de ‘désert’ pour ressentir cette faim.
Pas un désert de sable et de dunes mais… un désert
de dénuement,
de désillusion,
de manque de sens à la vie.

Ces moments ou l’on se sent impuissant/es, démuni/es des ressources requises pour faire face au quotidien.
Un quotidien qui présente souvent des défis qui nous dépassent.

Dieu offre une nourriture,
ou plutôt, Dieu s’offre en nourriture.
C’est la signification de la fête d’aujourd’hui.

Avons-nous suffisamment faim – faim de lui – pour nous approcher et nous rassasier.
Manger à satiété – c’est ce qu’on fait les gens qui écoutaient Jésus… dans un lieu désertique… (Luc 9:11-17)

 

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-the-body-and-blood-of-christ-year-c-2022/

 

Source: Image: WallpaperBetter

 

 

World Food Day – 16 October

 World Food Day is annually held on October 16 to commemorate the founding of the United Nations’ (UN) Food and Agriculture Organization (FAO). Each year has a different theme.

The FAO aims to raise levels of nutrition across the globe, improve agricultural productivity at all levels, enhance the lives of rural populations and contribute to the growth of the world economy. It also provides assistance to countries changing their agricultural policy, to aid regions out of famine situations, to help implement appropriate technology and facilitate a neutral environment to discuss issues around food production.

At the FAO’s 20th session in Rome, Italy, in November 1979 the conference called for the observance of World Food Day on October 16, 1981, and on the same date each year. The UN General Assembly ratified this decision on December 5, 1980, and urged governments and international, national and local organizations to contribute to observing World Food Day. World Food Day has been held each year since 1981.

Source: Text: www.timeandate.com Image: Inside News

Journée Mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse – 17 juin

Le 17 juin 1992, l’ONU a adopté la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Cette journée a pour but de nous rappeler les dangers de la désertification et de la sécheresse dans le monde.

Tout d’abord, il est important de souligner que les déserts ne sont pas uniquement des lieux où l’on trouve des dunes de sables et des nomades les parcourant (et Tintin aussi ! Mais là c’est une autre histoire). Ainsi l’Antarctique, ou le grand Nord, sont des espaces désertiques, parce que l’eau y est prise en glace. Deuxièmement, l’homme n’est pas responsable, à l’origine, des déserts mais aujourd’hui il y contribue.

Selon les critères de l’UNCCD, la désertification est la dégradation des sols dans les zones arides et semi-arides. Quand les sols sont fragilisés, le couvert végétal s’amenuise et le climat impitoyable fait le reste.

Cela représente 4 milliards d’hectares de terres émergées (soit 1/3 de la surface du globe) ou encore 1/5ème de la population mondiale. Chaque année, ce sont des milliers d’hectares de sols fertiles qui disparaissent. 30% du territoire des États-Unis est affecté par la désertification. Le nombre de personnes touchées directement par le problème est en forte croissance et on estime que 280 000 personnes sont mortes des suites de la sécheresse entre 1990 et 2000.

Quels impacts ?
Les impacts les plus visibles se situent au niveau de l’environnement, car la désertification rend les terrains inondables, ce qui entraîne une salinisation des sols, et donc une détérioration de la qualité de l’eau.

En second lieu, l’impact est aussi économique. En effet, au niveau planétaire le manque à gagner s’élève, selon la banque mondiale, à 42 milliards de dollars pour les régions touchées par la désertification (paradoxalement, le coût annuel de la lutte contre la désertification est seulement de 2.4 milliards)

Enfin, la dégradation des sols entraîne la pauvreté et la migration de masse à cause des famines qu’elle génère. (environ 60 millions de personnes partiront des zones désertifiées de l’Afrique sub-saharienne pour le Maghreb et l’Europe entre 1997 et 2020).

Des pistes de solutions ?
En la matière, la panacée n’existe pas mais des solutions locales peuvent -et doivent- être mises en oeuvre rapidement pour faire bouger les choses. Parmi elles, et pas forcément très coûteuses, nous pouvons relever la régénération des sols et sa fertilisation grâce au compost et sa matière organique. Le reboisement est aussi une solution car les arbres permettent de fixer les sols, renforcer la fertilité et absorber l’eau lors des fortes précipitations. La technique ancestrale de la jachère constitue aussi une alternative intéressante…

Un site à visiter : www.notre-planete.info      Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée mondiale pour la prévention des abus envers les enfants – 11 novembre

La Fondation Sommet Mondial des Femmes : Femmes et en enfant d’abord (FSMF) a lancé en 2000 la Journée Mondiale pour la Prévention des Abus envers les Enfants. Cette journée est célébrée chaque 19 novembre en synergie avec la journée des droits de l’enfant (20 novembre), a pour objectif de mettre en évidence le problème des abus ainsi que la nécessité d’intervenir de toute urgence par la diffusion de programmes de prévention.

Les abus et l’exploitation des enfants (notamment au niveau sexuel) constituent un problème universel et alarmant. Une attention accrue ainsi que des mesures efficaces et soutenues de prévention et de protection sont nécessaires, que ce soit au niveau familial, local, national ou international.

Après une longue tradition du silence, les abus sexuels dont sont souvent victimes les enfants font de plus en plus l’objet de révélations, occupant une place éminente sur la scène publique et politique.

Les Gouvernements et les organisations de la société civile doivent jouer un rôle actif dans la promotion et le respect des droits de l’enfant (énoncés dans la Convention relative aux droits de l’enfant, articles 19 et 34 *)

  • 19 / Les Etats parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l’enfant contre toute forme de violence, d’atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d’abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d’exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu’il est sous la garde de ses parents ou de l’un d’eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié.
  • 34 / Les Etats parties s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitation sexuelle et de violence sexuelle. A cette fin, les Etats prennent en particulier toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher (…)

Agir chaque année
Malgré les nombreux acquis réalisés au profit de l’enfance au cours de ces trente dernières années, les droits de l’enfant continuent de subir des atteintes dans de nombreuses régions, avec la persistance de l’exploitation économique des enfants et tous les préjudices physiques, psychologiques et sociaux qui en découlent, en plus des épreuves et des situations dramatiques dans lesquelles se retrouvent les enfants en période de conflits armés et les diverses formes de désespoir et de souffrance qu’ils éprouvent du fait de la propagation de la pauvreté, de la famine, des fléaux et des endémies.

Un site à visiter : www.grandirensecurite.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse – 17 juin

Le 17 juin 1992, l’ONU a adopté la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Cette journée a pour but de nous rappeler les dangers de la désertification et de la sécheresse dans le monde.

Tout d’abord, il est important de souligner que les déserts ne sont pas uniquement des lieux où l’on trouve des dunes de sables et des nomades les parcourant (et Tintin aussi ! Mais là c’est une autre histoire). Ainsi l’Antarctique, ou le grand Nord, sont des espaces désertiques, parce que l’eau y est prise en glace.

Deuxièmement, l’homme n’est pas responsable, a l’origine, des déserts mais aujourd’hui il y contribue.

Selon les critères de l’UNCCD, la désertification est la dégradation des sols dans les zones arides et semi-arides. Quand les sols sont fragilisés, le couvert végétal s’amenuise et le climat impitoyable fait le reste.

Cela représente 4 milliards d’hectares de terres émergées (soit 1/3 de la surface du globe) ou encore 1/5ème de la population mondiale. Chaque année, ce sont des milliers d’hectares de sols fertiles qui disparaissent. 30% du territoire des États-Unis est affecté par la désertification. Le nombre de personnes touchées directement par le problème est en forte croissance et on estime que 280 000 personnes sont mortes des suites de la sécheresse entre 1990 et 2000.

Quels impacts ?
Les impacts les plus visibles se situent au niveau de l’environnement, car la désertification rend les terrains inondables, ce qui entraîne une salinisation des sols, et donc une détérioration de la qualité de l’eau.

En second lieu, l’impact est aussi économique. En effet, au niveau planétaire le manque à gagner s’élève, selon la banque mondiale, à 42 milliards de dollars pour les régions touchées par la désertification (paradoxalement, le coût annuel de la lutte contre la désertification est seulement de 2.4 milliards).

Enfin, la dégradation des sols entraîne la pauvreté et la migration de masse à cause des famines qu’elle génère. (environ 60 millions de personnes partiront des zones désertifiées de l’Afrique sub-saharienne pour le Maghreb et l’Europe entre 1997 et 2020).

Des pistes de solutions ?
En la matière, la panacée n’existe pas mais des solutions locales peuvent -et doivent- être mises en oeuvre rapidement pour faire bouger les choses. Parmi elles, et pas forcément très coûteuses, nous pouvons relever la régénération des sols et sa fertilisation grâce au compost et sa matière organique. Le reboisement est aussi une solution car les arbres permettent de sécheresse, climat, er les sols, renforcer la fertilité et absorber l’eau lors des fortes précipitations. La technique ancestrale de la jachère constitue aussi une alternative intéressante…

Un site à visiter : www.notre-planete.info   Source : Texte et Image : Journée Mondiale

 

33è dimanche de l’année, C

deutsche-wellepbsis-us-newsEn regardant le bulletin de nouvelles à la télé, ou en regardant les manchettes que MSN nous présente ‘à la une’ et à la minute, on pourrait être excusé de penser qu’il s’agit de… l’illustration du texte de l’évangile d’aujourd’hui (Lc.21 :5-19): « On se dressera nation contre nation, royaume contre royaume. Il y aura de grands tremblements de terre et, en divers lieux, des famines et des épidémies. »

 Les stations de télévision font défiler devant nos yeux les images – toutes plus effarantes les unes que les autres – de la guerre ici et là, des terroristes de l’État Islamique, des tremblements de terre, d’une épidémie d’ébola, et j’en passe. Nous devenons presqu’insensibles à ce surcroit d’information et à cette avalanche de nouvelles qui éclatent devant nos yeux comme autant de ‘bombes’ destinées à nous dépeindre la ‘réalité’.

Mais de qu’elle ‘réalité’ s’agit-il? Et surtout, qu’elle message proclament ce panorama terrible et, oui, terrifiant, de ce quotidien qui nous entoure et nous atteint de différentes manières.

Nos conversations répètent les expressions entendues : conflits armées, régions dévastées, jeunes radicalisés. Un discours vraiment démoralisant. Un tableau aux couleurs bien sombres qui pourrait s’intituler : ‘Démolition, destruction, désolation’. Et, à cela, s’ajoute le catalogue des tragédies personnelles, petites et grandes, qui nous secouent et menacent de nous faire perdre nos repères. Y-a-t-il une lueur au bout de ce tunnel de terreur et de douleur?light-at-the-end-of-the-tunnel

Oui, une petite lueur porteuse d’une grande espérance. Elle se ‘cache’ dans la dernière phrase de ce texte de l’évangile qui a tout pour nous effrayer : « Mais pas un cheveu de votre tête ne sera perdu. C’est par votre persévérance que vous garderez votre vie. » Et ce n’est pas moi qui l’affirme mais Celui qui peut rendre possible un tel ‘renversement’! Un renversement, bienvenu celui-là, qui recréera ce que notre violence a détruit et qui nous renouvellera nous-mêmes au-delà de ce que nous pouvons imaginer.

S’il n’y avait pas cette perspective à l’horizon, pourrions-nous seulement oser envisager… la journée de demain?!…                                                     

 Source: Images: IS US News,  PBS, Deutsche Welle,  How to retire in 12 months

 

Journée Mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse – 17 juin

Le 17 juin 1992, l’ONU a adopté la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Cette journée a pour but de nous rappeler les dangers de la désertification et de la sécheresse dans le monde. Tout d’abord, il est important de souligner que les déserts ne sont pas uniquement des lieux où l’on trouve des dunes de sables et des nomades les parcourant (et Tintin aussi ! Mais là c’est une autre histoire). Ainsi l’Antarctique, ou le grand Nord, sont des espaces désertiques, parce que l’eau y est prise en glace. Deuxièmement, l’homme n’est pas responsable, a desertl’origine, des déserts mais aujourd’hui il y contribue.

Selon les critères de l’UNCCD, la désertification est la dégradation des sols dans les zones arides et semi-arides. Quand les sols sont fragilisés, le couvert végétal s’amenuis et le climat impitoyable fait le reste. Cela représente 4 milliards d’hectares de terres émergées (soit 1/3 de la surface du globe) ou encore 1/5ème de la population mondiale. Chaque année, ce sont des milliers d’hectares de sols fertiles qui disparaissent. 30% du territoire des États-Unis est affecté par la désertification. Le nombre de personnes touchées directement par le problème est en forte croissance et on estime que 280 000 personnes sont mortes des suites de la sécheresse entre 1990 et 2000.

Quels impacts ?
Les impacts les plus visibles se situent au niveau de l’environnement, car la désertification rend les terrains inondables, ce qui entraîne une salinisation des sols, et donc une détérioration de la qualité de l’eau.

En second lieu, l’impact est aussi économique. En effet, au niveau planétaire le manque à gagner s’élève, selon la banque mondiale, à 42 milliards de dollars pour les régions touchées par la désertification (paradoxalement, le coût annuel de la lutte contre la désertification est seulement de 2.4 milliards).

Enfin, la dégradation des sols entraîne la pauvreté et la migration de masse à cause des famines qu’elle génère. (environ 60 millions de personnes partiront des zones désertifiées de l’Afrique sub-saharienne pour le Maghreb et l’Europe entre 1997 et 2020).

En la matière, la panacée n’existe pas mais des solutions locales peuvent -et doivent- être mises en oeuvre rapidement pour faire bouger les choses. Parmi elles, et pas forcément très coûteuses, nous pouvons relever la régénération des sols et sa fertilisation grâce au compost et sa matière organique. Le reboisement est aussi une solution car les arbres permettent de fixer les sols, renforcer la fertilité et absorber l’eau lors des fortes précipitations. La technique ancestrale de la jachère constitue aussi une alternative intéressante…

Un site à visiter : www.notre-planete.info   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Terrorist attacks

Paris, Bamako, violence and terror: we wonder, we worry…

Awful, terrible, inhuman – we lack words to describe the reality. France, Mali, Syria, Iraq, Nigeria, Central African Republic, Libya, Yemen,  Afghanistan, Palestine… The litany could go on and on… Yes, we wonder, we worry and… and we search for answers.

The gospel does not speak of terrorism but on this Tuesday of the 34th week of the liturgical year, the message we read (Lk.21:5-11) describes situations of violence and terror and yet we are told: « Do not be frightened. »

People light candles while outside The Belle Equipe restaurant in Paris, Saturday, Nov. 14, 2015, a day after the attacks on Paris. French President Francois Hollande vowed to attack Islamic State without mercy as the jihadist group admitted responsibility Saturday for orchestrating the deadliest attacks inflicted on France since World War II. (AP Photo/Daniel Ochoa de Olza)
People light candles while outside The Belle Equipe restaurant in Paris, Saturday, Nov. 14, 2015, a day after the attacks on Paris. (AP Photo/    Daniel Ochoa de Olza)

We wonder, we worry and… we pray:

Lord, in our world so many things happen every day;
the news bulletins bombard us with events
such as those we hear about in today’s gospel –
wars, earthquakes, plagues and famine.
We listen to facts and statistics that impress on us
a vivid picture of what is taking place.
Somehow, we get used to this kind of news,
but sometimes we feel uneasy, upset, anxious.
We need to hear anew your message: « Do not be frightened. »
We ask you: Help us to put our trust in your words
and not to be shaken by anything that may happen. AMEN.