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Journée mondiale contre la traite d’êtres humains – 30 juillet 2023

Thème 2023 : Chaque victime de traite des êtres humains compte, ne laisser personne de côté

Les crises mondiales, les conflits et l’urgence climatique augmentent les risques de traite d’êtres humains. Les déplacements et les inégalités socio-économiques affectent des millions de personnes dans le monde, les rendant vulnérables à l’exploitation par les trafiquants. Les personnes qui n’ont pas de statut légal, qui vivent dans la pauvreté, qui ont un accès limité à l’éducation, aux soins de santé ou à un travail décent, qui sont confrontées à la discrimination, à la violence ou aux abus, ou qui viennent de communautés marginalisées, sont souvent les premières cibles des trafiquants.

Au niveau mondial, les réponses nationales, en particulier dans les pays en développement, semblent se détériorer. Les taux de détection ont chuté de 11 % en 2020 et les condamnations de 27 %, illustrant un ralentissement mondial de la réponse de la justice pénale à la traite d’êtres humains. La pandémie de COVID-19 a également modifié les caractéristiques de cette traite, en le plongeant davantage dans la clandestinité et en augmentant potentiellement les risques pour les victimes en rendant le crime moins susceptible d’être porté à l’attention des autorités. Ainsi, 41 % des victimes qui parviennent à échapper à leur calvaire s’adressent aux autorités de leur propre initiative – un autre signe clair que les mesures de lutte contre la traite des êtres humains ne sont pas à la hauteur.

Dans le contexte de la traite d’êtres humains, le fait de laisser des personnes de côté signifie :

  • échouer à éliminer l’exploitation des victimes de la traite,
  • échouer à venir en aide aux victimes après leur libération, et
  • laisser des groupes identifiables vulnérables aux trafiquants.

La campagne pour la Journée mondiale contre la traite d’êtres humains a pour objectif de sensibiliser aux évolutions et tendances inquiétantes identifiées dans le dernier rapport mondial sur la traite d’êtres humains de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et invite les gouvernements, les services de détection et de répression, les services publics et la société civile à évaluer et à intensifier leurs efforts pour renforcer la prévention, identifier et soutenir les victimes, et mettre fin à l’impunité.

Pour mettre fin à la traite d’êtres humains (#EndHumanTrafficking), nous ne pouvons pas tolérer que ce crime fasse l’objet d’une indifférence et d’une impunité croissantes. Nous devons renforcer la résilience face à l’exploitation et aux problèmes socio-économiques et culturels sous-jacents qui favorisent cette traite. Nous devons sensibiliser tout le monde à la question de la traite d’êtres humains et ainsi porter notre attention vers ceux qui peuvent faire la différence en termes de changement de politique et de gestion des ressources nationales afin de renforcer les mesures de prévention, d’améliorer l’identification des victimes, d’accroître le soutien aux survivants et de mettre un terme à l’impunité.

Logo pour la campagne Coeur bleu de l'ONUDC

Pourquoi un Cœur bleu ?

Le symbole du Cœur bleu représente la solidarité avec les victimes et l’insensibilité de ceux qui achètent et vendent leurs semblables.

Source: Texte & Images: https://www.un.org/fr/observances/end-human-trafficking-day

Journée internationale de la phénylcétonurie (PCU) – 28 juin

Les journées mondiales consacrées à des maladies rares ou orphelines sont nombreuses dans ce site, et la phénylcétonurie (ou PCU) en fait partie. Il s’agit d’une maladie génétique qui reste encore trop méconnue aujourd’hui. Le grand public est insuffisamment informé et sensibilisé aux risques encourus par les porteurs de cette maladie.

PKU-DAY, mieux comprendre la maladie

La phénylcétonurie est une maladie génétique héréditaire qui empêche les enfants qui en sont atteints d’assimiler une substance naturellement présente dans l’alimentation, la phénylalanine.

Quand elle n’est pas diagnostiquée et traitée très tôt, la maladie entraîne une accumulation de phénylalanine dans l’organisme, substance particulièrement toxique pour le cerveau en développement de l’enfant.

C’est pourquoi, en France et dans d’autres pays, la phénylcétonurie est dépistée systématiquement à la naissance. L’identification très rapide des nouveau-nés atteints permet de les traiter, et empêche l’apparition des manifestations de la maladie. Ce traitement leur permet par la suite de mener une vie normale.

Le choix du 28 juin

La date a été choisie en hommage au grand médecin Robert Guthrie, né le 28 juin 1916. Il est considéré dans le monde entier comme le grand pionnier des tests de masse chez les nouveau-nés.

Un site à visiter : www.pkuday.org      Source: Texte & 2è image: Journée mondiale    1ère image: Robert Guthrie PKU

Journée mondiale de la liberté de la presse – 3 mai 2022

Le 3 mai sert à rappeler aux gouvernements la nécessité de respecter leur engagement en faveur de la liberté de la presse et constitue également une journée de réflexion pour les professionnels des médias sur les questions relatives à la liberté de la presse et à l’éthique professionnelle.

Tout aussi importante, la Journée mondiale de la liberté de la presse est une journée de soutien aux médias qui sont des cibles pour la restriction ou l’abolition de la liberté de la presse. C’est aussi une journée de commémoration pour les journalistes qui ont perdu la vie dans la poursuite d’une histoire.

Du 2 au 5 mai 2022, l’UNESCO et la République d’Uruguay accueilleront la conférence mondiale annuelle de la Journée mondiale de la liberté de la presse dans un format hybride à Punta Del Este, en Uruguay. Sous le thème « Le journalisme sous l’emprise du numérique », il sera question de l’impact de l’ère numérique sur la liberté d’expression, la sécurité des journalistes, l’accès à l’information et la vie privée.

MESSAGE DE LA DIRECTRICE GÉNÉRALE

« Il  nous  incombe  à  tous  d’en  faire  plus  pour gérer  les  risques  et  saisir  les  possibilités  qu’offre  l’ère  du  numérique.  En  cette  Journée  mondiale  de  la  liberté  de  la  presse, j’invite les États membres, les entreprises technologiques et la communauté des médias, ainsi que le reste de la société civile, à unir leurs forces pour établir une nouvelle configuration numérique qui protégerait à la fois le journalisme et les journalistes. »
— Audrey Azoulay, Directrice générale, Journée mondiale de la liberté de la presse

Source: Texte & Image: https://fr.unesco.org/

Journée Mondiale pour la sécurité et la santé au travail – 28 avril

Le monde du travail, en collaboration avec l’Organisation internationale du travail (OIT), célèbre partout dans le monde cette journée avec l’objectif commun de promouvoir la « culture de la sécurité ».

Depuis 1996, chaque année le 28 avril, le mouvement syndical mondial rend hommage aux victimes des accidents et des maladies du travail. C’est en 2003 que le OIT a entrepris d’observer une « Journée mondiale pour la sécurité et la santé au travail » en mettant l’accent sur la prévention des accidents du travail et maladies professionnelles.

La sécurité en chiffres

Le principal objectif de cette journée est de promouvoir une culture de la sécurité et de santé au travail.
Le Bureau international du travail a publié un rapport « La sécurité en chiffres » qui montre que 2,2 millions de travailleurs dans le monde meurent chaque année dans le cadre de leur travail, à la suite d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle, soit 5 000 personnes par jour.

Accidents et maladies

L’augmentation des accidents du travail et des maladies professionnelles continue. Une nouvelle estimation du BIT nous apprend que le nombre d’accidents du travail et de maladies professionnelles est en augmentation du fait de la rapide industrialisation de certains pays en voie de développement.

Il se produit chaque année près de 268 millions d’accidents du travail non mortels dans le monde, et 160 millions de nouveaux cas de maladies professionnelles qui sont enregistrés chaque année. L’OIT a déjà estimé à près de 4% la part des indemnités et absences du travail dues aux accidents du travail et aux maladies professionnelles dans le PIB mondial.

Sécurité et pays en developpements

La répartition par régions montre que le nombre des accidents du travail a diminué dans beaucoup de pays industrialisés, contrairement à certains pays d’Asie et d’Amérique latine qui connaissent un développement rapide, où ces accidents sont en progression. En Chine, les accidents mortels auraient fortement augmenté, mais il reste difficile de trouver des sources fiables.

En Amérique latine, l’augmentation des effectifs du secteur du bâtiment et le développement de ce secteur, auraient déclenché une forte progression des accidents mortels.

Les maladies et le travail

Les maladies professionnelles les plus courantes sont légion: cancers provoqués dus aux substances dangereuses, affections musculo-squelettiques, maladies respiratoires,  perte de l’audition, maladies circulatoires, maladies contagieuses causées par une exposition à des agents pathogènes, et bien d’autres encore. Dans beaucoup de pays industrialisés où le nombre des décès causés par un accident du travail a diminué, le nombre des décès causés par une maladie professionnelle est en augmentation.

Sécurité et santé

L’action de l’OMS en matière de santé au travail met l’accent sur le renforcement de la surveillance, l’évaluation du poids de la santé au travail, le développement d’une base de données par pays, et ce afin de mieux soutenir les politiques de santé au travail et les plans d’action au niveau national.

L’OMS définit un minimum de services que chaque pays doit fournir en matière de prévention primaire et de santé au travail.

Plus de cent pays participent à la célébration de la Journée mondiale pour la sécurité et la santé au travail en organisant des manifestations et activités spéciales dans ce cadre. L’OMS et le BIT unissent leurs forces pour promouvoir et renforcer leur coopération au niveau national entre les ministères du Travail et ceux de la Santé de même qu’avec les milieux d’affaires, les organisations de travailleurs et les employeurs.

Un site à visiter : www.un.org      Source: Texte: Journée mondiale    Images: voisinage.net   www.cchst.ca

Journée mondiale des ONG – 27 février

Imaginée par un étudiant en 2009, puis reconnue par 12 pays situés autour de la Mer Baltique en 2010, la journée mondiale des ONG prend une dimension internationale le 27 février 2014 avec sa reconnaissance par l’ONU.

Défendre les droits fondamentaux

Déclarées d’utilité publique, les ONG (organisations non gouvernementales), ont pour but de défendre et de promouvoir les droits fondamentaux de la personne humaine (les droits de l’Homme), et donc de se dresser face aux injustices ; parfois même à leurs risques et périls.

La journée mondiale des ONG

On peut légitimement se poser la question de l’utilité de cette journée, dans la mesure où de nombreuses organisations bénéficient déjà d’un éclairage médiatique important au travers de la cause qu’ils défendent…

Ce serait oublier la multitude de petites organisations qui, pour oeuvrer dans l’anonymat, n’en font pas moins un travail indispensable. Leur consacrer une journée mondiale, c’est donc reconnaître leurs caractère incontournable et rendre hommage à tous leurs membres qui travaillent en permanence dans les zones les plus exposées de la planète. 

 

Un site à visiter : www.mediaterre.org     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Internationale contre l’abus et le trafic illicite de drogues – 26 juin

L’Assemblée Générale des Nations Unies a décidé, en 1987, de réagir face au fléau que représentent les drogues.

Ces substances, licites ou illicites, ont un effet néfaste sur le physique et/ou le psychisme du consommateur en en prenant le contrôle. Elles participent aussi à l’asservissement des producteurs agricoles en nuisant aux productions vivrières traditionnelles des régions de production (car les cultures liées à la production de drogue sont plus rémunératrices que celles liées à la production de nourriture). Elles oppriment les communautés par les trafics illégaux qui découlent de leur commercialisation.

Une Journée Internationale contre l’abus et le trafic de Drogues a donc été instaurée, à la date du 26 juin. Cette journée de mobilisation est destinée à sensibiliser la population aux risques encourus lors de la consommation de ces substances.

Y a -t-il des drogues nocives et d’autres moins ? Si vous avez des doutes, lisez la suite :

Au commencement étaient le tabac et l’alcool…
La consommation de drogues par un individu modifie ses fonctions physiques ou psychologiques, mais aussi ses réactions et ses états de conscience. On appelle « drogue » les produits créant une dépendance (addiction) et reconnus comme nocifs pour l’individu, à commencer par l’alcool et le tabac.

La quête du plaisir, le désir de quitter la réalité ou de faire une nouvelle expérience sont souvent des moteurs de consommation de drogues, mais il faut savoir que cette consommation de stupéfiants entraîne très rapidement des conséquences néfastes.

Un individu sous l’emprise de ces substances peut en effet mettre sa vie et celle des autres en danger, de par la lenteur de ses réflexes, de ses réactions, mais aussi par la modification de sa personnalité. Cela entraîne également une dépendance et d’importants risques pour la santé (overdose).

La dépendance
En plus des effets sur la conscience du consommateur, les drogues créent une double dépendance aux produits consommés: une dépendance physique (mal-être, impression de manque, …) et une dépendance psychologique (abattement, état de dépression, …) plus insidieuse, pouvant survenir même en cas de consommation faible. Si certaines drogues, tel le cannabis, ne provoquent qu’une dépendance psychologique, la majorité d’entre elles entraînent une dépendance physique, dont l’intensité peut varier selon les individus. Dès la première prise, la drogue peut être mortelle !

Un site à visiter : www.un.org Source : Texte : Journée Mondiale Image : nonaladrogue-auvergne.blogspot.com

 

 

Journée Mondiale sur la sécurité et la santé au travail – 28 avril

Des travailleurs, des employeurs, des gouvernements et des ministères de la santé et de la sécurité, en collaboration avec l’Organisation internationale du travail (OIT), célèbrent partout dans le monde cette journée avec l’objectif commun de promouvoir la  » culture de la sécurité « .

Depuis 1996, chaque année, le 28 avril, le mouvement syndical mondial rend hommage aux victimes des accidents et des maladies du travail. C’est en 2003 que le BIT a entrepris d’observer une « Journée mondiale pour la sécurité et la santé au travail » en mettant l’accent sur la prévention des accidents du travail et maladies professionnelles, tirant parti de ce qui fait traditionnellement la force de l’Organisation, à savoir le tripartisme et le dialogue social.

La sécurité en chiffres
Le principal objectif de cette journée est de promouvoir dans le monde entier une culture de la sécurité et de santé au travail. A l’occasion de cette journée, le Bureau international du travail a publié un rapport « La sécurité en chiffres » qui montre que 2,2 millions de travailleurs dans le monde meurent chaque année dans le cadre de leur travail, à la suite d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle, soit 5 000 personnes par jour.

Accidents et maladies
L’augmentation des accidents du travail et des maladies professionnelles continue.
Face à l’augmentation du nombre des accidents et des maladies, ainsi que des décès liés au travail, le Bureau international du Travail (BIT) et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont décidé de marquer la Journée internationale de la sécurité et de la santé au travail par un appel conjoint pour le développement d’une culture de la sécurité préventive

D’après une nouvelle estimation du BIT des accidents du travail et des maladies professionnelles1 qui causent la mort de deux millions de personnes chaque année, le risque professionnel est en augmentation du fait de la rapide industrialisation de certains pays développés.

D’après cette évaluation, le risque de maladie professionnelle serait aujourd’hui le plus grand danger auquel seraient exposés les travailleurs sur leur lieu de travail. En effet, ces maladies tuent 1,7 million de personnes par an, ce qui donne un rapport de quatre décès causés par une maladie professionnelle pour un décès causé par un accident.

Il ressort des dernières estimations du BIT que, en plus des décès liés au travail, il se produit chaque année près de 268 millions d’accidents du travail non mortels, qui sont suivis d’au moins trois jours consécutifs de congé, sans compter les 160 millions de nouveaux cas de maladies professionnelles qui sont enregistrés chaque année. L’OIT a déjà estimé à près de 4 pour cent la part des indemnités et absences du travail dues aux accidents du travail et aux maladies professionnelles dans le PIB mondial.

L’action de l’OMS en matière de santé au travail met l’accent sur le renforcement de la surveillance, l’évaluation du poids de la santé au travail, le développement d’une base de données par pays, et ce afin de mieux soutenir les politiques de santé au travail, les plans d’action au niveau national. Un autre rôle clé est le développement des compétences à travers un réseau de Centres de collaboration de l’OMS en matière de Santé au Travail qui échange leurs informations sur les facteurs de risques (chimiques, physiques, ergonomiques, psychosociaux, biologiques, accidents).

Un site à visiter : www.ilo.org        Source : Texte abrégé : Journée Mondiale Image : Wikiwand

Journée mondiale des accidents vasculaires cérébraux – 29 octobre

L’accident vasculaire cérébral tue ou peut laisser des séquelles irréversibles…

Agir Vite pour le Cerveau
Tel pourrait être le mot d’ordre de la journée de l’AVC, célébrée chaque 29 octobre.

L’objectif principal de cette journée est essentiellement de sensibiliser le maximum de personnes à cette grande cause de santé publique.

 Connaissons-nous les signes avant-coureurs des AVC ?
Faute d’une prise en charge très rapide, les lésions peuvent devenir irréversibles. Chaque minute compte.
L’ancienne ministre de la santé français, Madame Roselyne Bachelot, avait en son temps rappelé la nécessité de se mobiliser pour réduire la fréquence et la gravité des séquelles fonctionnelles des AVC.

La ministre dressait alors un état des lieux chiffré de la situation française, pour le moins alarmant : Les attaques cérébrales touchent chaque année 150.000 nouvelles personnes, se positionnant ainsi à la troisième place dans les cause de mortalité en France (la deuxième chez les femmes).

Les enfants aussi…
Dans notre inconscient collectif, les AVC touchent essentiellement les adultes et le risque s’accroit avec l’âge. Et pourtant, les enfants aussi sont concernés et on recense de nombreux cas d’AVC chez des nourrissons ou des enfants. L’association AVC de l’enfant s’est créée pour informer les parents sur la maladie, les causes connues, les séquelles et les conduites quand survient un accident vasculaire cérébral chez un enfant.

Un site à visiter : sante-medecine.commentcamarche.net.  Source: Texte & Image: Journée Mondiale