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Journée internationale du bambou – 18 septembre

Nous relayons ici une journée internationale voulue par une profession et relayée par un état directement concerné, la Thaïlande.

Congrès mondial du bambou

C’est lors du huitième Congrès mondial du bambou (WBC/ World Bamboo Congress) qui s’est tenu en 2009 à à Bangkok (Thaïlande) et auquel 350 participants et représentants de 43 pays ont assisté, que la Journée mondiale du bambou a été instaurée par le Département royal des forêts.

Pourquoi une journée du bambou / World bamboo day ?

Elle a pour but de faire prendre conscience de la contribution impressionnante de cette herbe (le bambou n’est pas un arbre) à la protection de l’environnement, à la prévention de la déforestation et à la conservation de la biodiversité dans le monde entier.

Le bambou est l’un des produits forestiers non ligneux les plus précieux au monde, générant des revenus pour des millions de familles dans les communautés rurales. C’est une source naturelle renouvelable et à croissance rapide qui permet de multiples applications, de la nourriture au carburant, en passant par le mobilier et la construction.

Contribution environnementale

Les forêts de bambou fournissent d’importants services environnementaux : stabilisation des sols, élévation de la nappe phréatique et fourniture d’un important puits de carbone. Les États membres de l’INBAR (International Bamboo and Rattan Organization) se sont engagés à restaurer plus de 5 millions d’hectares de terres dégradées avec du bambou au cours de la décennie 2020-2030.

Le bambou joue également un rôle important dans la conservation de la biodiversité, en tant que source d’habitat et d’abri pour plusieurs des espèces les plus emblématiques et les plus menacées du monde.

Un site à visiter : www.inbar.int     Source: Texte: Journée mondiale      Image: unsplash

Journée mondiale des ravageurs – 6 juin

Journée mondiale des ravageurs

Pour bien « rendre » cette journée mondiale, il vaut mieux se référer à son nom anglais « World pest Day » et oublier la traduction française fort maladroite… quoi qu’il en soit, cette journée a été lancée en 2017 par un ensemble d’organisations de différents pays, pour sensibiliser à la grave question de la lutte contre les parasites. La Journée mondiale des ravageurs est célébrée chaque année le 6 juin. Cette journée est consacrée à la sensibilisation à la lutte antiparasitaire et à ses avantages. Elle vise également à expliquer aux populations concernées la nécéssité de garder les cultures, les arbres et les plantes exempts de ravageurs.

Depuis 2017

La Journée mondiale de sensibilisation aux ravageurs, a été célébrée pour la première fois à Beijing (Pékin) le 6 juin 2017. La Chinese Pest Control Association a observé pour la première fois cette journée pour sensibiliser le public au enjeux de la lutte antiparasitaire. Elle avait été parrainée par l’Association of Asian and Oceania Pest Managers, la National Pest Management Association et également la Confederation of European Pest Management Associations.

Source: Texte & Image:  Journée mondiale

Journée Mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse – 17 juin

Le 17 juin 1992, l’ONU a adopté la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Cette journée a pour but de nous rappeler les dangers de la désertification et de la sécheresse dans le monde.

Tout d’abord, il est important de souligner que les déserts ne sont pas uniquement des lieux où l’on trouve des dunes de sables et des nomades les parcourant (et Tintin aussi ! Mais là c’est une autre histoire). Ainsi l’Antarctique, ou le grand Nord, sont des espaces désertiques, parce que l’eau y est prise en glace. Deuxièmement, l’homme n’est pas responsable, à l’origine, des déserts mais aujourd’hui il y contribue.

Selon les critères de l’UNCCD, la désertification est la dégradation des sols dans les zones arides et semi-arides. Quand les sols sont fragilisés, le couvert végétal s’amenuise et le climat impitoyable fait le reste.

Cela représente 4 milliards d’hectares de terres émergées (soit 1/3 de la surface du globe) ou encore 1/5ème de la population mondiale. Chaque année, ce sont des milliers d’hectares de sols fertiles qui disparaissent. 30% du territoire des États-Unis est affecté par la désertification. Le nombre de personnes touchées directement par le problème est en forte croissance et on estime que 280 000 personnes sont mortes des suites de la sécheresse entre 1990 et 2000.

Quels impacts ?
Les impacts les plus visibles se situent au niveau de l’environnement, car la désertification rend les terrains inondables, ce qui entraîne une salinisation des sols, et donc une détérioration de la qualité de l’eau.

En second lieu, l’impact est aussi économique. En effet, au niveau planétaire le manque à gagner s’élève, selon la banque mondiale, à 42 milliards de dollars pour les régions touchées par la désertification (paradoxalement, le coût annuel de la lutte contre la désertification est seulement de 2.4 milliards)

Enfin, la dégradation des sols entraîne la pauvreté et la migration de masse à cause des famines qu’elle génère. (environ 60 millions de personnes partiront des zones désertifiées de l’Afrique sub-saharienne pour le Maghreb et l’Europe entre 1997 et 2020).

Des pistes de solutions ?
En la matière, la panacée n’existe pas mais des solutions locales peuvent -et doivent- être mises en oeuvre rapidement pour faire bouger les choses. Parmi elles, et pas forcément très coûteuses, nous pouvons relever la régénération des sols et sa fertilisation grâce au compost et sa matière organique. Le reboisement est aussi une solution car les arbres permettent de fixer les sols, renforcer la fertilité et absorber l’eau lors des fortes précipitations. La technique ancestrale de la jachère constitue aussi une alternative intéressante…

Un site à visiter : www.notre-planete.info      Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée Mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse – 17 juin

Le 17 juin 1992, l’ONU a adopté la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Cette journée a pour but de nous rappeler les dangers de la désertification et de la sécheresse dans le monde.

Tout d’abord, il est important de souligner que les déserts ne sont pas uniquement des lieux où l’on trouve des dunes de sables et des nomades les parcourant (et Tintin aussi ! Mais là c’est une autre histoire). Ainsi l’Antarctique, ou le grand Nord, sont des espaces désertiques, parce que l’eau y est prise en glace.

Deuxièmement, l’homme n’est pas responsable, a l’origine, des déserts mais aujourd’hui il y contribue.

Selon les critères de l’UNCCD, la désertification est la dégradation des sols dans les zones arides et semi-arides. Quand les sols sont fragilisés, le couvert végétal s’amenuise et le climat impitoyable fait le reste.

Cela représente 4 milliards d’hectares de terres émergées (soit 1/3 de la surface du globe) ou encore 1/5ème de la population mondiale. Chaque année, ce sont des milliers d’hectares de sols fertiles qui disparaissent. 30% du territoire des États-Unis est affecté par la désertification. Le nombre de personnes touchées directement par le problème est en forte croissance et on estime que 280 000 personnes sont mortes des suites de la sécheresse entre 1990 et 2000.

Quels impacts ?
Les impacts les plus visibles se situent au niveau de l’environnement, car la désertification rend les terrains inondables, ce qui entraîne une salinisation des sols, et donc une détérioration de la qualité de l’eau.

En second lieu, l’impact est aussi économique. En effet, au niveau planétaire le manque à gagner s’élève, selon la banque mondiale, à 42 milliards de dollars pour les régions touchées par la désertification (paradoxalement, le coût annuel de la lutte contre la désertification est seulement de 2.4 milliards).

Enfin, la dégradation des sols entraîne la pauvreté et la migration de masse à cause des famines qu’elle génère. (environ 60 millions de personnes partiront des zones désertifiées de l’Afrique sub-saharienne pour le Maghreb et l’Europe entre 1997 et 2020).

Des pistes de solutions ?
En la matière, la panacée n’existe pas mais des solutions locales peuvent -et doivent- être mises en oeuvre rapidement pour faire bouger les choses. Parmi elles, et pas forcément très coûteuses, nous pouvons relever la régénération des sols et sa fertilisation grâce au compost et sa matière organique. Le reboisement est aussi une solution car les arbres permettent de sécheresse, climat, er les sols, renforcer la fertilité et absorber l’eau lors des fortes précipitations. La technique ancestrale de la jachère constitue aussi une alternative intéressante…

Un site à visiter : www.notre-planete.info   Source : Texte et Image : Journée Mondiale