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De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée Internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition – 23 août

La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition est célébrée le 23 août de chaque année. C’est dans la nuit du 22 au 23 août 1791 qu’a commencé à Saint-Domingue (aujourd’hui Haïti et République dominicaine) l’insurrection qui devait jouer un rôle déterminant dans l’abolition de la traite négrière transatlantique.

La route des esclaves
La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition vise à inscrire la tragédie de la traite dans la mémoire de tous les peuples. Conformément aux objectifs du projet interculturel  elle doit offrir l’occasion d’une réflexion commune sur les causes historiques, les modalités et les conséquences de cette tragédie, ainsi que d’une analyse des interactions qu’elle a générées entre l’Afrique, l’Europe, les Amériques et les Caraïbes.

Le Directeur général de l’UNESCO invite les Ministres de la culture de tous les États membres à organiser des actions en associant l’ensemble des populations de leurs pays et en particulier les jeunes, les éducateurs, les artistes et les intellectuels.

Note: on peut voir aussi: https://image-i-nations.com/image-symbolique-riche-evocation/

Un site à visiter : portal.unesco.org   Source : Texte & Image: Journée Mondiale  Image (à droite): cunoastelumea.ro

Journée mondiale de l’aide humanitaire – 19 août

Dans de nombreuses régions du globe, les humanitaires travaillent, parfois au péril de leur vie, souvent dans l’anonymat le plus total. Même s’ils accomplissent un travail de fourmi, leurs interventions sont indispensables et permettent souvent à des populations de retrouver un minimum de dignité.

L’ONU a promulgué le 19 août, Journée Mondiale de l’aide humanitaire en espérant sensibiliser l’opinion publique à l’assistance humanitaire et à la nécessité de soutenir ces actions partout dans le monde.

« Les travailleurs humanitaires sont ceux que nous dépêchons sur place pour montrer notre solidarité avec ceux qui souffrent. Ils représentent ce qu’il y a de meilleur dans la nature humaine mais leur travail est dangereux… »  Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

À l’occasion de la Journée mondiale de l’aide humanitaire, nous continuons d’attirer l’attention sur les millions de civils touchés par les conflits armés chaque jour. Ceux qui habitent dans les villes luttent pour trouver de la nourriture, de l’eau et un abri sûr, tandis que les combats chassent des millions d’autres de leurs foyers. Les enfants sont recrutés et utilisés pour se battre, et leurs écoles sont détruites. Les femmes sont maltraitées et humiliées.

Et alors que les travailleurs humanitaires apportent de l’aide et que les travailleurs médicaux traitent les blessés et les malades, ils sont directement pris pour cibles, traités comme des menaces et empêchés d’apporter secours et soins à ceux qui en ont désespérément besoin.

Ces descriptions ne représentent qu’une partie de tous ceux qui sont touchés par les conflits dans le monde. Des personnes handicapées aux personnes âgées, aux migrants et aux journalistes, tous les civils pris dans les conflits doivent être protégés.

Source : Texte & Image : ONU

Un cheminement assez spécial…

En cette Journée internationale de la Jeunesse (12 août) le récit intéressant d’un cheminement assez spécial… (note de l’éditrice)

Pour éviter la prison, il accepte de faire les chemins de Compostelle  

Le 25 juillet dernier, un tribunal italien à Venise s’est abstenu de prononcer la condamnation d’un jeune accusé. La cause de cette clémence ? Le jeune homme a accepté de faire un pèlerinage de pénitence à Saint-Jacques de Compostelle.

Âgé de 22 ans, un jeune italien avait été arrêté après avoir commis quelques délits sous l’effet de drogues. Fait rare voire unique, le juge n’a pas envoyé ce jeune homme derrière les barreaux… « Au lieu de t’envoyer en prison, je préfère que tu ailles en pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle », a proposé le juge de Venise au jeune délinquant, quelques mois avant qu’il ne comparaisse devant un tribunal. L’accusé a accepté et a pris la route. Résultat : parce qu’il a effectué un pèlerinage à pied de 1.500 kilomètres au sanctuaire espagnol de Saint-Jacques de Compostelle, le juge a considéré que le jeune homme avait fidèlement appliqué une peine de réinsertion originale et unique. Une étonnante histoire de réinsertion et de cheminement personnel.

Le pèlerinage ou la prison
On sait peu de choses sur le jeune pénitent. Originaire d’Afrique du Nord et de nationalité italienne, le jeune homme vient d’une famille défavorisée. Rapidement, il tombe dans l’addiction à la drogue. Il multiplie très tôt les soucis avec la justice. Quand il comparaît une nouvelle fois pour une affaire plus grave que les autres, le juge a l’idée de le confier à Lunghi Cammini (longues marches, ndlr), une association italienne fraîchement créée à Mestre (Nord de l’Italie) et qui propose aux jeunes en difficulté la marche comme moyen de réinsertion sociale.

Dans un premier temps, le jeune homme a dû suivre un stage d’adaptation à l’univers du travail professionnel. Il a également effectué différentes tâches bénévoles au sein de l’association, avec des résultats probants. Au bout de quelques mois, en collaboration avec le département d’assistance sociale du Tribunal de Venise, l’association décide de lui préparer un programme spécial pour qu’il puisse purger sa peine d’une manière inattendue.

Une marche éducative
Suivant les conseils de Lunghi Cammini, le juge lui propose donc le pèlerinage en lui imposant des conditions bien précisées. Le jeune homme  doit s’engager à faire tout le chemin à pied. Il lui est interdit de consommer drogue, alcool et tabac. De même, il s’engage à n’utiliser son portable en aucun cas. Si l’une de ces conditions n’est pas respectée, le jeune condamné sera renvoyé immédiatement derrière les barreaux.

Le contrat dans la poche, le condamné pénitent est parti accompagné d’un « ange gardien », Fabrizio, un professeur retraité bénévole de 68 ans. C’est lui qui a été chargé de témoigner du bon respect de l’exécution de la peine selon les conditions requises. Les deux pèlerins ont eu un budget de 40 euros par jour pour se nourrir, se loger et cheminer tout le long des 1.500 kilomètres à parcourir.

Entre dispute et prière
Et le chemin n’a pas toujours été aisé. Le jeune homme s’est mis régulièrement en colère et a connu de nombreux moments de doute. Le long du chemin, le temps a égrené les disputes et les prières. Peu à peu, un lien plus fort s’est finalement créé entre les deux hommes. Surmontant de nombreux moments de découragement, ils sont finalement parvenus à Saint Jacques de Compostelle.

À leur retour à Venise, ils ont témoigné chacun du cheminement bouleversant qu’ils ont vécu et de l’amitié qui est née entre eux. Fabrizio a ainsi décrit un pèlerinage qui a été pour lui un véritable « apprentissage d’ouverture, de compréhension et d’acceptation de l’autre ». Quant au jeune condamné, la marche lui a permis de « réfléchir sur sa vie ». Il a exprimé son immense gratitude envers Fabrizio : « Sa présence était pour moi comme une épine qui me piquait en permanence. Mais c’était une épine douloureuse et bonne à la fois : elle m’a montré une vraie vie et les vraies valeurs. En plus j’ai trouvé un grand père ! ».

Pour Isabella Zuliani, directrice de l’association, ces marches de réinsertion sont une solution qui permet d’éviter les risques liés à l’emprisonnement. Leur force : être marquées par la difficulté et le renoncement. C’est, selon elle, un excellent moyen d’aider les jeunes à trouver le bon chemin dans leur vie.

Source : Texte : zbieta zajaczkowska, 04 août 2018, Aleteia.fr   Image: pxhere.com
 
 

 

Journée Internationale de la jeunesse – 12 août

L’objectif de la Journée internationale de la jeunesse est de promouvoir, tout particulièrement auprès des jeunes, le Programme d’action mondial pour la jeunesse à l’horizon 2000 et au-delà.

« La jeunesse est l’avenir de l’homme »
Ce programme encourage l’action en faveur des jeunes dans dix domaines prioritaires : éducation, emploi, malnutrition et pauvreté, santé, environnement, toxicomanie, délinquance juvénile, loisirs, petites filles et jeunes femmes et pleine et entière participation des jeunes à la vie de la société et à la prise de décisions. Une action de mise en oeuvre du Programme aux niveaux national, régional et mondial y est également recommandée.

Les jeunes, qui selon les critères des Nations Unies correspondent à la tranche d’âge 15 à 24 ans, représentent un sixième de la population mondiale. La majorité de ces jeunes hommes et femmes vit dans des pays en développement et leur nombre devrait augmenter substantiellement au XXIè siècle.

C’est en 1991 que les jeunes réunis à Vienne (Autriche) pour le premier Forum mondial de la jeunesse organisé par le système des Nations Unies ont proposé d’instaurer une Journée internationale de la jeunesse. Le Forum recommandait qu’une telle Journée soit célébrée en partenariat avec des associations de jeunes dans l’objectif plus particulier d’organiser des activités promotionnelles et d’appels de fonds pour soutenir le Fonds des Nations Unies pour la jeunesse.

En 1998, par une résolution adoptée lors de la première Conférence mondiale des ministres de la jeunesse – tenue par le Gouvernement portugais en collaboration avec les Nations Unies à Lisbonne du 8 au 12 août 1998 – le 12 août a été déclaré Journée internationale de la jeunesse.

Cette recommandation a ensuite été entérinée lors de la cinquante-quatrième session de l’Assemblée générale par l’adoption de la résolution A/RES/54/120, en date du 17 décembre 1999 et intitulée « Politiques et programmes mobilisant les jeunes ».

Un site à visiter : www.un.org       Source : Texte & Image: Journée mondiale   Photo: UNICEF/Pirozzi – www.un.org

 

Journée Internationale des Populations autochtones – 9 août

En 1994, l’Assemblée générale des Nations Unies a décidé de faire du 9 août la Journée internationale des populations autochtones (résolution 49/214), chaque année pendant la Décennie internationale des populations autochtones. Cette date marque le jour de la première réunion du Groupe de travail sur les populations autochtones de la Sous-Commission de la promotion et de la protection des droits de l’homme en 1982.

Le but de cette Décennie est de renforcer la coopération internationale pour résoudre les problèmes rencontrés par les populations autochtones dans des domaines tels que les droits de l’homme, l’environnement, le développement, l’éducation et la santé. Le coordonnateur de la Décennie est le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme.

En avril 2000, la Commission des droits de l’homme a adopté une résolution sur l’établissement de l’Instance permanente sur les questions autochtones qui a été approuvée par le Conseil économique et social le 28 juillet 2000. (E/RES/2000/22). L’Instance permanente devra fournir des conseils sur les questions touchant au développement social et économique, aux droits de l’homme, à l’éducation, à la santé et à l’environnement.

Un site à visiter : www.un.org       Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

Journée internationale de la femme africaine – 31 juillet

Le 31 juillet a été consacré « Journée de la femme africaine » à l’occasion du premier congrès de l’Organisation Panafricaine des Femmes (PAWO en anglais) qui s’était tenu à Dakar, au Sénégal, le 31 juillet 1974.

La date historique de 1962 souvent retenue pour cette journée est le 31 juillet 1962. Ce jour là, à Dar es Salaam (Tanzanie), des femmes de tout le continent africain s’étaient réunies pour la première fois et avaient créé la première organisation de femmes, la « Conférence des Femmes Africaines » (CFA).

Un rôle de pionnières
Le rôle historique joué par les femmes en Afrique témoigne de leur capacité de réaliser et conduire les changements sur le continent. Souvenons-nous que les peuples africains se libéraient alors peu à peu de la tutelle des pays colonisateurs.

La libération totale du continent africain, l’élimination de l’apartheid et l’instauration d’une justice commune qui défende les droits de l’Homme en tant qu’être humain, devenaient alors les objectifs prioritaires du mouvement.

Du chemin a été parcouru, du chemin reste à parcourir !

Un site à visiter : www.journeefemmeafricaine.com      Source : Texte : Journée Mondiale Image : womenrockproject.com

 

Journée internationale du tigre – 29 juillet

Parmi les éspèces sauvages menacées aujourd’hui, le tigre occupe une place peu enviable…

Les tigres sont en voie de disparition
La population mondiale de tigres sauvages a chuté de 97% au cours du XXème siècle. Faute d’un recensement réellement efficace, certains pays risquent de voir disparaître purement et simplement leur population de tigre.

Le WWF a joué un rôle moteur dans l’organisation du « sommet international du tigre » et compte bien continuer en perspective de l’objectif mondial Tx2 de 2022.

Objectif Tx2
Cela désigne l’objectif en terme de repopulation en tigre. Le WWF reste cependant lucide et sait que l’opération sera difficile à mener à bien, mais le jeu en vaut la chandelle. Il en va de la préservation d’une espèce rare !

La journée mondiale
Ce sont les 13 pays de l’aire de répartition du tigre (c’est à dire ceux dans lesquels vivent des tigres: Bangladesh, Bhoutan, Chine, Cambodge, Inde, Indonésie, Laos, Malaisie, Myanmar, Népal, Russie, Thaïlande et Viet Nam) qui ont créé la Journée mondiale du tigre lors du sommet du tigre, tenu en Novembre 2010 à Saint-Pétersbourg (Russie).

La date retenue est celle du 29 juillet et le but essentiel de la journée est la sensibilisation des populations à la conservation des tigres sauvages.

Un site à visiter : www.wwf.fr     Source: Texte : Journée Mondiale   Images : ranthamborenationalpark.com   kaziranga-national-park.com

Journée mondiale contre l’hépatite – 28 juillet

Cette journée mondiale, voulue par l’OMS, est destinée à faire connaître les différentes formes d’hépatite au grand public et fournir des axes d’action:

  • comment reconnaitre les hépatites ?
  • comment l’hépatite se transmet-elle ?
  • qui est exposé à l’hépatite ?
  • quelles sont les différentes méthodes de prévention et de traitement ?

Malgré les ravages provoqués, les différentes hépatites sont en grande partie méconnues, elle ne sont souvent pas diagnostiquées ni traitées. Plus d’un milliard de personnes sont infectées par une hépatite B ou C.

L’OMS tire le signal d’alarme
La journée contre l’hépatite vient à point nommé nous rappeler l’ampleur du fléau : les risques hépatiques représentent un risque majeur pour la santé dans le monde avec près de 1,4 million de décès enregistrés chaque année et des centaines de millions de personnes touchées par cette affection chronique.

Hépatite A : 1,4 million de cas d’hépatite A sont enregistrés chaque année.

Hépatite B : 2 milliards de personnes infectées par l’hépatite B

Hépatite C : 150 millions de personnes sont porteuses de l’infection chronique par l’hépatite C.

Des actions de dépistage
Des manifestations dans le but de sensibiliser la population existent dans de nombreux pays et enregistrent des résultats. Le Ministère de la santé canadien a mis un place un mois complet de sensibilisation.

Un site à visiter : www.hepatites-info-service.org       Source : Texte : Journée Mondiale  Images: Journée Mondiale   www.awarenessdays.com

 

 

Journée internationale Nelson Mandela – 18 juillet

Elle est plus connue sous son nom anglais, Mandela day, et existe depuis 2010.
En novembre 2009, l’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré que le 18 juillet serait une « Journée internationale Nelson Mandela » en l’honneur du travail effectué par l’ancien président sud-africain en faveur de la paix et de la liberté.

67 minutes…
Le 18 juillet de chaque année, jour de la naissance de Nelson Mandela, l’ONU se joint à la Fondation Nelson Mandela pour exhorter le monde à consacrer 67 minutes de son temps à aider les autres, afin de commémorer la Journée internationale qui lui est consacrée.
67 minutes de son temps à passer pour servir les autres et le bien public, en souvenir des 67 années de militantisme du vieux leader Sud Africain, aujourd’hui décédé.

Célebration post-mortem ?
De nombreux internautes se sont étonnés de trouver encore cette journée dans le site… bien que le vieux sage se soit aujourd’hui éteint, les Nations Unies la maintiennent effectivement toujours dans leur calendrier.
Le monde aime les anniversaires et les célébrations, laissons aujourd’hui le monde célébrer l’Afrique !

Source : Texte & Image : Journée Mondiale Image Mandela : healthstaff.co.za

Journée mondiale de la justice internationale – 17 juillet

Le 17 juillet 1998, le statut de la Cour Pénale internationale était adopté à Rome. C’est pour marquer cet anniversaire fondateur que la journée du 17 a été décrétée « Journée de la Justice Internationale ».

La Cour Pénale Internationale
Il s’agit en fait de la première cour pénale permanente créée pour combattre l’impunité des auteurs des crimes les plus graves qui touchent la communauté internationale.

Elle est une organisation internationale indépendante, qui n’appartient pas au système des Nations Unies ni, bien entendu, à aucun état. Elle siège est à La Haye, aux Pays Bas.

Son inspiration est déjà ancienne et correspond avec la découverte des génocides, crimes de guerre et crimes contre l’humanité perpétrés tout au long du XXème siècle. Les premiers procès, comme Nuremberg (1945) et Tokyo (1946) ont jugé des auteurs de crimes de guerre, de crimes de guerre et contre l’humanité commis pendant la seconde guerre mondiale.

C’est ensuite dans les années 90, juste après la fin de la guerre froide, que des tribunaux internationaux se sont réunis pour juger des crimes de même nature comme pour l’ex-Yougoslavie ou encore le Rwanda.

Refus de l’impunité
Le refus de l’impunité, généralement partagé dans toute la communauté internationale faisait son oeuvre… Malheureusement, ces tribunaux n’étaient créés que pour une période et un conflit précis.

La nécessité d’une cour pénale indépendante et permanente est devenue une évidence et a fini par s’imposer. Le 17 juillet 1998, c’était chose faite et 120 États ont adopté le Statut de Rome, qui a posé les bases juridiques de la création de la CPI. Le Statut de Rome est entré en vigueur 4 ans plus tard, le 1er juillet 2002, après sa ratification par 60 pays.

Un site à visiter : www.icc-cpi.int Source : Texte & Image : Journée Mondiale