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Un soldat… son expérience

Depuis plus d’un an déjà, les reportages de la guerre en Ukraine
nous en font voir de toutes les couleurs – et c’est peu dire!
Mais ce que les combattants, eux, voient et vivents
c’est une expérience bien différente et tout à fait personnelle.

Dans la vidéo qui suit, Allen Bédard partage ce que cela peut représenter
d’être soldat au combat…

 

Journée internationale des objecteurs de conscience – 15 mai

Journée internationale des objecteurs de conscience

L’objection de conscience est une prise de position personnelle qui se caractérise le plus souvent par le refus d’accomplir certains actes allant à l’encontre d’impératifs religieux, moraux, philosophiques ou éthiques dictés par sa conscience. Ce refus peut aller jusqu’à la désobéissance aux lois. L’idée (et sa pratique) n’est pas nouvelle et on situe souvent la naissance de la journée consacrée à l’objection de conscience à 1961 en Allemagne. 

Une démarche de refus de la guerre

À l’origine l’objection de conscience s’est souvent caractérisée par le refus de participer aux guerres et porter les armes. Les objecteurs se considèrent d’abord comme des pacifistes ou des antimilitaristes. Ils refusent le service militaire obligatoire. L’objection de conscience a très longtemps été réprimée (et l’est toujours dans certains pays), mais la tendance actuelle est plutôt de proposer des alternatives comme par exemple la possibilité d’effectuer un service civil en réalisant gratuitement une tâche utile à la collectivité.

Le choix de dire non

L’objection de conscience concerne aujourd’hui plus généralement les questions touchant à la société ou à l’économie, et les champs sont vastes, couvrant les domaines économiques, religieux, politiques, médicaux, etc… on parle plus souvent alors de clause de conscience.

Un site à visiter : www.lavie.fr       Source: Texte & Image: Journée mondiale  (photo : Franz Jegerstätter, l’objecteur de conscience magnifique)

Journée internationale des femmes – 8 mars

Commençons par l’intitulé de cette journée. L’ONU parle de la journée internationale des femmes (c’est d’ailleurs l’intitulé officiel) alors que la France a plutôt tendance à privilégier la journée internationale des droits de la femme. Bien entendu la différence n’est pas anodine et nous laissons chacun (et chacune) se positionner selon ses préférences. Nous avons choisi de garder l’intitulé des Nations Unies mais nous n’en faisons ni une prise de position politique ni un casus belli avec les militantes les plus virulentes…

Une date unique dans le monde entier

La Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l’histoire

La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis  des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde  industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l’émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques

1909 – Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910 – L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.

1911 – À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.

Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.

1913-1914 – Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.

1917 – Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir  » du pain et la paix « . Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.

Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

Le rôle des Nations Unies

Rares sont les causes dont l’ONU assure la promotion qui aient suscité un appui plus intense et plus vaste que la campagne menée pour promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. La Charte des Nations Unies, signée à San Francisco en 1945, était le premier instrument international à proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine. Depuis, l’Organisation a aidé à créer un patrimoine historique de stratégies, normes, programmes et objectifs convenus au plan international pour améliorer la condition de la femme dans le monde entier.

Au fil des ans, l’action menée par l’ONU en faveur de la promotion de la femme a pris quatre orientations précises : promotion de mesures juridiques; mobilisation de l’opinion publique et de l’action internationale; formation et recherche, y compris compilation de statistiques ventilées par sexe; et assistance directe aux groupes désavantagés. Aujourd’hui, l’un des principes d’organisation centraux des travaux de l’ONU est qu’aucune solution durable aux problèmes sociaux, économiques et politiques les plus pressants de la société ne peut être trouvée sans la pleine participation, et la pleine autonomisation, des femmes du monde entier.

La journée de la femme digitale

Prolongement logique de cette journée, un événement a été créé en 2013 en France et se renouvèle chaque année, la journée de la femme digitaleA découvrir !

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte:  Journée Mondiale    Images: www2.gnb.ca   Bonnes Images   

Journée mondiale des compétences des jeunes – 15 juillet 2022

Journée mondiale des compétences des jeunesEn 2014, l’Assemblée générale des Nations Unies proclamait que le 15 juillet serait désormais célébrée la Journée mondiale des compétences des jeunes. L’idée était de mettre en lumière l’importance de la transmission aux jeunes générations des compétences nécessaires à l’emploi, à l’obtention d’un travail décent et à l’entrepreneuriat.

Réimaginer les compétences des jeunes après la pandémie

La Journée mondiale des compétences des jeunes 2022 va se dérouler dans un contexte inédit de guerre et de tensions internationales, sans parler des tensions internes liées à l’inflation. Se réinventer est devenu un défi à relever et nous ne pourrons pas éluder longtemps le sujet.

Une journée essentielle pour les jeunes du monde entier

La hausse du chômage chez les jeunes est une donnée incontournable de nos économies, que ce soit dans les pays dits développés ou dans les pays en développement.

Le nombre de jeunes actuellement non scolarisés, sans emploi ni formation* augmente, et les jeunes femmes sont deux fois plus susceptibles d’être concernées que leurs homologues masculins, souligne le dernier rapport publié en 2020 par l’Organisation internationale du Travail.

* on les appelle parfois les NEET, acronyme directement issu du terme anglais utilisé : Not in Employment, Education or Training.

Un site à visiter : www.un.org Source: Texte: Journée Mondiale         Photo: UNESCO-UNEVOC/Ruth Oluniyi Pemisola

Journée internationale des femmes – 8 mars 2022

Commençons par l’intitulé de cette journée. L’ONU parle de la journée internationale des femmes (c’est d’ailleurs l’intitulé officiel) alors que la France a plutôt tendance à privilégier la journée internationale des droits de la femme. Bien entendu la différence n’est pas anodine et nous laissons chacun (et chacune) se positionner selon ses préférences. Nous avons choisi de garder l’intitulé des Nations Unies mais nous n’en faisons ni une prise de position politique ni un casus belli avec les militantes les plus virulentes…

Une date unique dans le monde entier

La Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l’histoire

La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis  des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l’émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques

1909 – Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910 – L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.

1911 – À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.

Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.

1913-1914 – Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.

1917 – Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir  » du pain et la paix « . Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.

Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

Le rôle des Nations Unies

Rares sont les causes dont l’ONU assure la promotion qui aient suscité un appui plus intense et plus vaste que la campagne menée pour promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. La Charte des Nations Unies, signée à San Francisco en 1945, était le premier instrument international à proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine. Depuis, l’Organisation a aidé à créer un patrimoine historique de stratégies, normes, programmes et objectifs convenus au plan international pour améliorer la condition de la femme dans le monde entier.

Au fil des ans, l’action menée par l’ONU en faveur de la promotion de la femme a pris quatre orientations précises : promotion de mesures juridiques; mobilisation de l’opinion publique et de l’action internationale; formation et recherche, y compris compilation de statistiques ventilées par sexe; et assistance directe aux groupes désavantagés. Aujourd’hui, l’un des principes d’organisation centraux des travaux de l’ONU est qu’aucune solution durable aux problèmes sociaux, économiques et politiques les plus pressants de la société ne peut être trouvée sans la pleine participation, et la pleine autonomisation, des femmes du monde entier.

La journée de la femme digitale

Prolongement logique de cette journée, un événement a été créé en 2013 en France et se renouvèle chaque année, la journée de la femme digitaleA découvrir !

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte:  Journée Mondiale   Images: www2.gnb.ca   abidjan.net

25è dimanche de l’année B – 2021

On entend parfois le dicton : « Plus ça change, plus c’est la même chose! »
Les gens prononcent parfois ces paroles d’un ton plutôt exaspéré.
On y perçoit un espoir déçu, une attente trompée.
On avait anticipé l’amélioration d’une situation et voilà qu’on se trouve encore à… la case départ!

Les textes de la célébration de ce dimanche en fournissent un peu l’illustration.
La 1ère lecture (Sagesse 2:12,17-20) nous met en présence de gens qui complotent contre une personne juste.
Ils proposent de lui tendre un piège et de l’accuser sans raison.
Outrages et tourments font partie de leur plan, même la mort de leur victime est envisagée.

Dans la 2è lecture (Jacques 3:16 – 4:3), on retrouve « jalousie, rivalités, actions malfaisantes, conflits et guerre. »
 
L’évangile, lui, (Marc 9:30-37) nous ramène à un complot, cette fois contre Jésus lui-même.
Et chez ses apôtres, on discerne ce que l’on nomme de nos jours un esprit de compétition malsain contraire à l’esprit de service que le Maître attend d’eux.

Ne se croitait-on pas à l’écoute du bulletin de nouvelles télévisées ou parcourant certains médias sociaux?
Chaque jour, on assiste à un défilé de complots sordides qui se terminent en homicides insensés ou, à plus grande échelle, en actes terroristes des plus meurtriers.
Il semble que dans tous les secteurs: politique, économie, justice, relations sociales et internationales, bien souvent les responsables manquent d’intégrité et de transparence.

On veut posséder, dominer, assujettir, quel qu’en soit le prix…
Et le prix?… il s’évalue souvent en termes de trahison de soi-même.
On a abdiqué son sens des valeurs pour devenir l’esclave de ses instincts les plus minables.

Mais il faut s’empresser d’ajouter que cela n’est qu’un aspect de la réalité –
c’est un peu comme l’ombre dans un tableau qui met en relief la luminosité de l’œuvre.
Chez nous, les humains, il y a aussi tout ce qui est bien, beau, vrai, authentique!
Évidemment, cela fait rarement les manchettes et, malheureusement passe souvent inaperçu…

La période de la pandémie du Coronavirus nous a fourni des exemples multiples et bien inspirants de la part de ceux et celles que l’on a reconnu comme des héros et des héroïnes.

Le don de son temps et de ses connaissances.
L’oubli de soi à un degré vraiment admirable.
Les nombreux gestes d’attention à l’autre.
Tous les services rendus bien souvent à des inconnu/es.
L’aide personnelle et/ou professionnelle apportée même au risque de sa vie.

Tout cela a été, et demeure, un reflet de celui qui nous a créé/es à son image et à sa ressemblance (Genèse 1:27).

Il arrive que nous brouillions un peu son effigie mais son Esprit continue de la refaire et de la parfaire en chacun/e…
si seulement nous l’acceptons!…

 

Une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/25th-sunday-of-year-b-2021/

 

Source: Images: www.churchofjesuschristoflatterdays.org    Wallpaper Abyss – Alpha Coders    Political Violence at a Glance   RNZ    

Journée internationale des femmes – 8 mars 2021

Thème de la Journée internationale des femmes de 2021 : #RelanceFéministe

Le 8 mars marque la Journée internationale des femmes, un moment visant à célébrer les contributions des femmes et des filles du monde entier, à reconnaître les femmes qui nous inspirent tous et à reprendre la discussion sur l’importance de l’égalité des genres au Canada et dans le monde. 

Répercussions de la COVID-19 sur les femmes 

Des lacunes fondamentales ont été décelées dans notre société; ces dernières ont eu un impact disproportionné sur les personnes déjà marginalisées, vulnérables ou en difficulté. Sur tous les fronts, la pandémie de COVID-19 a érodé les acquis difficilement obtenus en matière d’égalité des genres. Des licenciements au manque de garde d’enfants en passant par l’augmentation du travail non rémunéré et la montée de la violence familiale, les femmes ont été les plus profondément touchées par la crise sanitaire et économique.

Le gouvernement du Canada travaille à la création d’un plan d’action pour les femmes dans l’économie, afin d’aider les femmes à réintégrer le marché du travail et d’inscrire la réponse à cette pandémie et à cette relance dans une optique féministe et intersectionnelle. Ce plan sera dirigé par un groupe de travail diversifié d’expertes et d’experts et guidera une approche pangouvernementale.ment du Canada.

Source: Texte & Image: Gouvernement du Canada
Journée internationale des femmes

Une date unique dans le monde entier

La Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l’histoire

La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l’émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques

1909 – Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910 – L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.

1911 – À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.

Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.

1913-1914 – Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.

1917 – Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir  » du pain et la paix « . Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.

Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

Le rôle des Nations Unies

Rares sont les causes dont l’ONU assure la promotion qui aient suscité un appui plus intense et plus vaste que la campagne menée pour promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. La Charte des Nations Unies, signée à San Francisco en 1945, était le premier instrument international à proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine. Depuis, l’Organisation a aidé à créer un patrimoine historique de stratégies, normes, programmes et objectifs convenus au plan international pour améliorer la condition de la femme dans le monde entier.

Au fil des ans, l’action menée par l’ONU en faveur de la promotion de la femme a pris quatre orientations précises : promotion de mesures juridiques; mobilisation de l’opinion publique et de l’action internationale; formation et recherche, y compris compilation de statistiques ventilées par sexe; et assistance directe aux groupes désavantagés. Aujourd’hui, l’un des principes d’organisation centraux des travaux de l’ONU est qu’aucune solution durable aux problèmes sociaux, économiques et politiques les plus pressants de la société ne peut être trouvée sans la pleine participation, et la pleine autonomisation, des femmes du monde entier.

La journée de la femme digitale

Prolongement logique de cette journée, un événement a été créé en 2013 en France et se renouvèle chaque année, la journée de la femme digitale. A découvrir !

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & image: Journée mondiale

Journée Mondiale des orphelins de guerre – 6 janvier

 
5 jours après la Journée Mondiale de la Paix, on parle des orphelins de guerre. Leur journée mondiale est d’origine Onusienne et c’est d’ailleurs la convention relative aux droits de l’enfant qui affirme que les droits des enfants doivent être respectés même en période de guerre ou de conflit armé.

Les enfants ne sont pas responsables…

… et ne doivent pas devenir les victimes de la bêtise de leurs parents. Les enfants ont le droit d’être protégés dans toutes les circonstances et de vivre dans un environnement pacifique, même si les adultes n’ont pas été capables de régler leurs conflits de façon intelligente.

Orphelins de guerre de par le monde

La situation matérielle des orphelins de guerre dans les zones touchées par les conflits reste extrêmement problématique et l’appel aux états pour remédier à cet état de fait toujours aussi nécessaire…

Une initiative du musée virtuel canadien mérite d’être relayée dans ce site: elle trouve sa source dans le sort d’un groupe d’orphelins juifs de la deuxième guerre mondiale qui a émigré au Canada. Cette histoire (vraie) appartient autant au passé qu’au présent et peut constituer un appel et une mise en garde contre l’indifférence et la passivité de ceux qui ne sont pas touchés par ces questions.

Il y a actuellement de très nombreux réfugiés pour cause de guerre dans le monde; plus de la moitié sont des enfants et parmi eux les orphelins sont très nombreux.

Un site à visiter : www.in-terre-actif.com    Source: Texte: Journée mondiale       Image: Unsplash (free download)
 

Une bonne nouvelle: un cessez-le-feu mondial

Communauté de Sant’Egidio : soutien à un « cessez-le-feu mondial » pour 90 jours

La Fleur Contre Les Armes

Pour « garantir l’assistance humanitaire » aux plus vulnérables

La Communauté de Sant’Egidio soutient la résolution approuvée le 1er juillet 2020 par le Conseil de sécurité des Nations Unies en faveur d’une « cessation immédiate des hostilités dans toutes les situations pendant au moins 90 jours consécutifs », indique un communiqué publié en italien sur le site de Sant’Egidio le lendemain. Cela permettrait de « garantir l’assistance humanitaire aux populations touchées par les conflits et les réfugiés, ainsi que la lutte contre la propagation de Covid-19 ».

Sant’Egidio « s’engage immédiatement à soutenir et à diffuser la résolution » dans tous les pays où, « malgré les difficultés du moment », la communauté poursuit « son engagement à résoudre les conflits et à rechercher une paix durable ».

La résolution est particulièrement axée sur les réfugiés, dont « les conditions de vies se sont aggravées de manière disproportionnée en cette période de pandémie », lit-on dans un communiqué.

Le texte souligne que « la guerre est la mère de toute pauvreté, une réalité dramatique » qui touche surtout « les plus vulnérables ».

La résolution de l’ONU, qui répond à l’appel pour un « cessez-le-feu mondial » lancé le 24 mars dernier par le secrétaire général Antonio Guterres, a été approuvée à l’unanimité le 2 juillet.

 

Source: Texte & Image: https://fr.zenit.org/author/marinadroujinina/

Rencontre inattendue…

Le tournage de la vidéo qui suit à été réalisé tout juste deux semaines avant…
ce qui est notre situation présente – 
situation de confinement qui dure depuis la mi-mars
et qui ne commence qu’aujourd’hui à gagner un peu de souplesse.

Au moment où la scène a été filmée, nul n’aurait pu prévoir ce qui allait suivre:
l’arrivée chez nous d’un intrus venu d’un autre continent:
le Coronavirus, connu sous le nom de Covid-19, qui a transformé notre quotidien
et a chamboulé tous les plans et les projets élaborés pour 2020!

C’est la perspective qui donne à cette vidéo un sens tout particulier
et son message se révèle, oserait-on dire: ‘prophétique’ et bien ponctuel…

BON VISIONNEMENT ET… BONNE RÉFLEXION !