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Journée internationale du procès équitable – 14 juin

Journée internationale du procès équitableLe Conseil des Barreaux européens (CCBE) a lancé, en partenariat avec plusieurs associations représentant la profession d’avocat, une nouvelle initiative annuelle qui sera célébrée chaque 14 juin.

Un procès équitable pour tous les justiciables de tous les pays

Cette Journée internationale du procès équitable vise à attirer l’attention du public sur la situation difficile des personnes poursuivies pour lesquelles les principes relatifs à un procès équitable ne sont pas observés ou respectés.

Un hommage posthume

Chaque année, une conférence sera dédiée à un pays choisi en raison du niveau de préoccupation concernant le manque de respect du droit à un procès équitable. Le prix Ebru Timtik (avocate Turque décédée le 27 août 2020 au terme d’une grève de la faim de 238 jours) sera remis lors de cette journée afin de récompenser une personne ou une organisation ayant contribué à garantir le droit à un procès équitable dans le pays choisi.

Un site à visiter : www.dbfbruxelles.eu        Source: texte & Image: Journée mondiale

Journée Internationale du droit d’accès à l’information – 28 septembre 2023

Journée Internationale du droit d'accès à l'information

La communauté internationale, au travers d’institutions telles que l’Unesco ou l’Union Euroepéenne reconnaît le droit d’accès à l’information publique comme étant « un droit humain nécessaire pour la protection et la jouissance des autres droits, y compris le droit à la liberté d’expression« . Bref, on ne plaisante pas avec l’accès à l’information…

Lutter contre la corruption

Permettre au citoyen lambda d’accéder à l’information participe activement à la lutte contre la corruption dans la vie publique; il est aussi une condition indispensable à la promotion de la culture pour tous les citoyens.

S’informer pour participer

Encourager la participation des citoyens à la vie publique et leur permettre de jouir de leurs droits civils et politiques passe, normalement, par la fourniture d’une information sincère et complète à tout un chacun…

Cette journée internationale en est, en 2023, à sa 18ème édition.

 

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de la liberté de la presse – 3 mai 2022

Le 3 mai sert à rappeler aux gouvernements la nécessité de respecter leur engagement en faveur de la liberté de la presse et constitue également une journée de réflexion pour les professionnels des médias sur les questions relatives à la liberté de la presse et à l’éthique professionnelle.

Tout aussi importante, la Journée mondiale de la liberté de la presse est une journée de soutien aux médias qui sont des cibles pour la restriction ou l’abolition de la liberté de la presse. C’est aussi une journée de commémoration pour les journalistes qui ont perdu la vie dans la poursuite d’une histoire.

Du 2 au 5 mai 2022, l’UNESCO et la République d’Uruguay accueilleront la conférence mondiale annuelle de la Journée mondiale de la liberté de la presse dans un format hybride à Punta Del Este, en Uruguay. Sous le thème « Le journalisme sous l’emprise du numérique », il sera question de l’impact de l’ère numérique sur la liberté d’expression, la sécurité des journalistes, l’accès à l’information et la vie privée.

MESSAGE DE LA DIRECTRICE GÉNÉRALE

« Il  nous  incombe  à  tous  d’en  faire  plus  pour gérer  les  risques  et  saisir  les  possibilités  qu’offre  l’ère  du  numérique.  En  cette  Journée  mondiale  de  la  liberté  de  la  presse, j’invite les États membres, les entreprises technologiques et la communauté des médias, ainsi que le reste de la société civile, à unir leurs forces pour établir une nouvelle configuration numérique qui protégerait à la fois le journalisme et les journalistes. »
— Audrey Azoulay, Directrice générale, Journée mondiale de la liberté de la presse

Source: Texte & Image: https://fr.unesco.org/

Journée mondiale d’action en faveur du droit de grève – 18 février

Consacrer une journée mondiale au droit de grève ? Ne serait-il pas reconnu partout et « inscrit dans le marbre » ?

Apparemment ce n’est pas le cas partout et au risque d’enfoncer des portes ouvertes, on a toujours intérêt à se mobiliser pour sauvegarder ses droits fondamentaux.

Une remise en question du droit de grève semble en effet défendue par certains acteurs siégeant à l’OIT, l’organisation Internationale du Travail (dépendant de l’ONU).

Des réactions nombreuses se font entendre et la CSI (Confédération Syndicale Internationale) a lancé une grande campagne afin de défendre ce droit des salariés. Le droit de grève doit être un fondement solide et essentiel de la démocratie et de la justice économique, un rempart contre l’injustice et contre l’exploitation.

Convention 87

Le risque de déséquilibre du rapport de force sur le lieu de travail, c’est ce que dénonce la CSI en précisant que le droit de grève est à ce jour inscrit dans la constitution de nombreux pays.

La convention 87, celle-là même par laquelle le droit de grève est contesté, fait partie des huit conventions fondamentales qui ne nécessitent pas de ratification des Etats membres de l’OIT pour être appliquées. Les conventions ont valeur de traités internationaux et engagent les états à mettre leur législation en conformité avec le droit international.

La CSI a donc décidé d’informer et faire pression sur les gouvernements afin qu’un recours soit déposé devant la Cour de Justice Internationale sur la question du droit de grève dans le cadre de la convention 87.

Remettre en cause le droit de grève, c’est remettre en cause la possibilité des salariés d’inverser le rapport de forces avec l’employeur et les priver de la possibilité de faire valoir leurs droits.

Un site à visiter : www.ilo.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale de solidarité avec le peuple palestinien – 29 novembre

Journée Internationale de solidarité avec le peuple palestinien

En 1977, l’Assemblée générale de l’ONU a demandé que soit célébrée chaque année, le 29 novembre, la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien. Car c’est le 29 novembre 1947 qu’elle avait adopté la résolution sur le partage de la Palestine.

Des droits inaliénables 

L’Assemblée, le 3 décembre 2001, a autorisé le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien à continuer à promouvoir l’exercice de ces droits, à apporter à son programme de travail les aménagements qu’il jugerait nécessaires compte tenu de l’évolution de la situation et à mettre l’accent sur la nécessité de mobiliser aide et appui en faveur du peuple palestinien.

Terre contre paix

Le 3 décembre 2003, l’Assemblée a souligné la nécessité de s’attacher à la vision de la solution de deux États et au principe de la terre contre la paix, et d’appliquer les résolutions du Conseil de sécurité. Elle a également souligné la nécessité d’assurer le retrait d’Israël du territoire palestinien occupé depuis 1967 et d’assurer la réalisation des droits inaliénables du peuple palestinien dont, au premier rang, le droit à l’autodétermination et le droit de créer un État indépendant.

Un site à visiter : www.france-palestine.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale des veuves – 23 juin

« Lorsqu’elle perd son mari, la femme ne devrait pas perdre ses droits. Pourtant, 115 millions de veuves vivent dans la pauvreté et 81 millions ont été victimes de violences physiques. Les filles mariées à des hommes beaucoup plus âgés sont particulièrement vulnérables.« 

M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU

Protéger les personnes fragilisées

On doit cette journée, célébrée depuis 2011, à la Première Dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba. Ell s’est en effet engagée dans la promotion et la protection des droits des personnes fragilisées.

Sous son impulsion, le Gabon a porté aux Nations Unies un projet de résolution qui a été adopté par l’Assemblée Générale des Nations-Unies le 21 décembre 2010.

De nombreux pays, notamment sur le continent africain, ont apporté leur parrainage à cette initiative tant elle rejoint les préoccupations actuelles. Par cet journée, la Communauté internationale s’engage à accorder une attention particulière à la situation des veuves dans le monde.

Journée Mondiale de la liberté de la presse – 3 mai 2021

Journée Mondiale de la liberté de la presse

La Journée mondiale de la liberté de presse a été instaurée par l’Assemblée générale des Nations Unies en décembre 1993 après la tenue du Séminaire pour le développement d’une presse africaine indépendante et pluraliste.

Ce séminaire s’est déroulé à Windhoek (Namibie) en 1991, et a conduit à l’adoption de la Déclaration de Windhoek sur la promotion de médias indépendants et pluralistes.La Déclaration de Windhoek exigeait l’établissement, le maintien et la promotion d’une presse pluraliste, libre et indépendante et mettait l’accent sur l’importance d’une presse libre pour le développement et la préservation de la démocratie au sein d’un État, ainsi que pour le développement économique. La Journée mondiale de la liberté de presse est célébrée le 3 mai de chaque année, date à laquelle la Déclaration de Windhoek a été adoptée.

L’histoire

Même si l’on célèbre depuis 1993 la Journée mondiale de la liberté de presse, celle-ci s’enracine encore plus loin dans l’histoire des Nations Unies. En effet, il est stipulé, dans l’Article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 que : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Aujourd’hui, dans le monde entier, le 3 mai est devenu l’occasion d’informer le public à propos des violations du droit à la liberté d’expression et le moment de se rappeler que plusieurs journalistes risquent la mort ou la prison en transmettant la nouvelle aux gens.

Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), qui coordonne chaque année les activités qui soulignent le 3 mai, la Journée mondiale de la liberté de presse, c’est :

  • une journée d’action, qui favorise et permet de mettre sur pied des initiatives qui visent la défense de la liberté de la presse.
  • une journée d’évaluation, afin de dresser le portrait de la liberté de la presse à travers le monde.
  • une journée de rappel, qui permet de rappeler aux États le respect des engagements qu’ils ont pris envers la liberté de la presse.
  • une journée d’alerte, pour alerter le public et accroître la sensibilisation à la cause de la liberté de la presse.
  • une journée de réflexion, pour stimuler le débat parmi les professionnels des médias sur les problèmes qui touchent la liberté de la presse et l’éthique professionnelle.
  • une journée commémorative en mémoire des journalistes qui ont perdu la vie pendant qu’ils exerçaient leur profession.
  • une journée d’appui envers les médias qui sont victimes de mesures qui entravent la liberté de la presse ou qui visent à l’abolir.

Une seul arme… la presse

La liberté de la presse est considérée comme une pierre angulaire des droits de la personne et comme une assurance que les autres droits seront respectés. Elle favorise la transparence et une bonne gouvernance et représente, pour la société, la garantie que régnera une véritable justice. La liberté de la presse est le pont qui relie la compréhension et le savoir. Elle est essentielle à l’échange d’idées entre les nations et les cultures, qui est lui-même une condition menant à une compréhension et à une coopération durables.

Un site à visiter : www.rsf.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale   2è image: L’Écho du Mardi

Journée Internationale des droits des consommateurs – 15 mars

 Depuis 1983, l’association internationale des consommateurs « Consumer International » célèbre la journée mondiale des droits des consommateurs le 15 mars.
Dans un discours devant le Congrès américain, le 15 mars 1962, le président américain J.F. Kennedy avait énoncé les quatre droits fondamentaux du consommateur : droit à la sécurité, droit à l’information, droit de choisir et droit d’être entendu. En France, la « défense du consommateur » est relayée par de nombreuses associations et une revue telle que « 60 millions de consommateurs », réalisée par des journalistes professionnels travaillant en étroite collaboration avec les experts de l’INC, assure une mission de service public en totale indépendance vis-à-vis des fabricants et des distributeurs.
Un site à visiter : www.60millions-mag.com    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale des orphelins de guerre – 6 janvier

 
5 jours après la Journée Mondiale de la Paix, on parle des orphelins de guerre. Leur journée mondiale est d’origine Onusienne et c’est d’ailleurs la convention relative aux droits de l’enfant qui affirme que les droits des enfants doivent être respectés même en période de guerre ou de conflit armé.

Les enfants ne sont pas responsables…

… et ne doivent pas devenir les victimes de la bêtise de leurs parents. Les enfants ont le droit d’être protégés dans toutes les circonstances et de vivre dans un environnement pacifique, même si les adultes n’ont pas été capables de régler leurs conflits de façon intelligente.

Orphelins de guerre de par le monde

La situation matérielle des orphelins de guerre dans les zones touchées par les conflits reste extrêmement problématique et l’appel aux états pour remédier à cet état de fait toujours aussi nécessaire…

Une initiative du musée virtuel canadien mérite d’être relayée dans ce site: elle trouve sa source dans le sort d’un groupe d’orphelins juifs de la deuxième guerre mondiale qui a émigré au Canada. Cette histoire (vraie) appartient autant au passé qu’au présent et peut constituer un appel et une mise en garde contre l’indifférence et la passivité de ceux qui ne sont pas touchés par ces questions.

Il y a actuellement de très nombreux réfugiés pour cause de guerre dans le monde; plus de la moitié sont des enfants et parmi eux les orphelins sont très nombreux.

Un site à visiter : www.in-terre-actif.com    Source: Texte: Journée mondiale       Image: Unsplash (free download)
 

Journée internationale des migrants – 18 décembre

Le 18 décembre est célébrée la Journée Internationale des Migrants. C’est l’occasion, dans le monde entier, de réaffirmer et de promouvoir les droits des migrants. La date a été choisie par l’ONU pour attirer l’attention sur une convention adoptée par l’assemblée générale des Nations unies le 18 décembre 1990 mais restée inapplicable faute de ratifications suffisantes.

Une convention que la France* n’a toujours pas ratifiée…

Cette Convention pour la protection des droits de tous les travailleurs migrants et de leur famille concerne tous les migrants qui  » vont exercer, exercent et ont exercé  » un travail pendant  » tout le processus de migration « . Pour tous, avec ou sans papiers, des droits fondamentaux sont réaffirmés en  » considérant la situation de vulnérabilité dans laquelle se trouvent fréquemment les travailleurs migrants et les membres de leurs familles « .

Les migrants dans le monde

L’Europe accueille 15 Millions d’immigrés sur les 175 Millions de par le monde.
La Convention n’est entrée en vigueur que le 1er juillet 2003. A ce jour, 27 Etats l’ont ratifiée : seulement des pays d’émigration, aucun des pays les plus industrialisés. Depuis quatorze ans, la France, ses partenaires européens et la plupart des pays d’immigration de la planète éludent la ratification. Pourtant la défense des droits de l’homme a une portée universelle et ne peut donc pas exclure les migrants.

Pas de nouveaux droits

Depuis 1990, la précarisation des droits des migrants est en aggravation constante. L’Union européenne offre la libre circulation aux citoyens des Etats membres tout en durcissant, pour les autres, les règles de l’asile et du séjour ; le principe de non-discrimination inscrit dans le traité d’Amsterdam a pourtant exclu la discrimination fondée sur la nationalité.

Face à la dégradation des droits des migrants, les Nations unies ainsi que de nombreuses institutions européennes ou organisations de la société civile rappellent l’importance de la convention des Nations unies. Le gouvernement français qui prône un rôle accru des Nations unies dans les affaires internationales ne doit pas rester sourd à ces appels.

Les pays signataires

Les pays ayant ratifié la Convention à la date de janvier 2011 sont (par ordre alphabétique) : Albanie, Algérie, Argentine, Azerbaïdjan, Belize, Bolivie, Bosnie-Herzégovine, Burkina Faso, Cap-Vert, Chili, Colombie, Égypte, Équateur, Ghana, Guatemala, Guyana, Guinée, Honduras, Kirghizistan, Lesotho, Libye, Mali, Maroc, Mexique, Nicaragua, Pérou, Philippines, Salvador, Sénégal, Seychelles, Sri Lanka, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Syrie, Tadjikistan, Timor oriental, Turquie, Ouganda et Uruguay.

* comme aucun autre pays occidental

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte: Journée mondiale        Image: Espace Manager