Oui, c’est Noël!
Noël d’enfants, Noël d’antan…
Noël d’autrefois, Noël de Foi…
Noël ce soir, Noël d’Espoir…
Noël dans l’obscurité, Noël de Luminosité!
Oui, c’est Noël!
Noël d’enfants, Noël d’antan…
Noël d’autrefois, Noël de Foi…
Noël ce soir, Noël d’Espoir…
Noël dans l’obscurité, Noël de Luminosité!
Depuis sa création en 2012 par Ozioma Egwuonwu, la Journée mondiale du rêve s’est peu à peu installée dans le paysage et mobiliserait plus de 70 millions de personnes actuellement (chiffres 2020 fournis par les organisateurs français).
La Journée mondiale du rêve, portée en France par un collectif de personnalités et d’entreprises, est associée au Projet World Dream Day d’Ozioma (lien ci-dessous). Elle a pour objectif de porter la dimension inspirante et porteuse d’espoir de l’expression et de la réalisation des rêves de chaque individu et de chaque communauté quels qu’ils soient.
À l’approche de la fin d’une année, deux symboles se présentent :
le calendrier et l’horloge – les marqueurs du temps.
Ces deux images surgissent spontanément dans notre esprit :
le 31 décembre alors que nous allons tourner la page…
Et minuit quand s’ouvrira le livre de 365 pages où encore rien n’est inscrit…
Symboles de tout ce qui n’est pas encore…
Tout ce qui est en attente…
Tout ce qui est possible…
Tout ce qui surviendra…
Tout ce qui se réalisera… pour nous… par nous… sans nous… malgré nous…
Comme l’alphabet qui commence évidemment avec un A,
la nouvelle année pourrait aussi commencer avec un A :
Anticiper les jours à venir avec confiance.
Abandonner les illusions trompeuses.
Arrêter les lamentations et les récriminations.
Aviver l’espoir qui ose les recommencements.
Accomplir chaque jour ce que l’on peut réaliser.
Allumer ici et là une lueur de joie pour les gens qui nous entourent.
Accommoder avec patience ses limites et celles des autres.
Accepter sans amertume ce que l’on ne peut changer.
Accorder le temps qu’il faut à ce qui en vaut la peine.
Aspirer sans se lasser à ce qu’il y a de mieux.
Alors, la nouvelle année pourra être belle et bonne au fil des jours!
On voulait le faire taire (Marc 10:46-52).
Évidemment, on n’aime pas ceux qui crient pour attirer l’attention.
On n’apprécie pas ceux qui étalent leur misère au grand jour.
Il faut respecter l’ordre public et avoir du respect pour les autres…
Mais, parmi les autres, il y avait ce Jésus de Nazareth et lui…
Lui ne parait pas trop se préoccuper de ce genre de considérations des bien-portants.
Il semble comprendre ce besoin, ce besoin de crier et de supplier, d’espérer et d’attendre…
Ne serait-il pas le même aujourd’hui?
Lui qui a appelé l’aveugle malgré les objections de l’entourage.
Il l’a non seulement appelé mais il lui a accordé ce qu’il demandait, tout simplement!
Ne comprendrait-il pas nos cris, nos supplications, notre espoir et notre attente?
Car… notre prière, ne consiste-t-elle pas bien souvent en un cri, une supplication?
Notre espoir et notre attente, n’est-ce pas là l’essentiel de notre prière?
Oui, mais… encore faut-il prendre conscience que… nous avons besoin de voir!
Et réaliser que Dieu est toujours là prêt à nous rendre la vue.
Alors, nous serons en mesure de recevoir la guérison de ceux/celles qui réalisent leur cécité
et qui demandent d’en être guéri/es…
Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à : https://image-i-nations.com/30th-sunday-of-year-b-2021/
L’Assemblée générale des Nations Unies, dans sa résolution 55/282 , en date du 7 septembre 2001, a décidé que la Journée internationale de la paix serait observée chaque année le 21 septembre.
L’Assemblée générale a déclaré que la Journée internationale de la paix serait une journée mondiale de cessez-le-feu et de non-violence, pendant la durée de laquelle toutes les nations et tous les peuples seraient invités à cesser les hostilités. Elle a engagé les États Membres, les organismes des Nations Unies, les organisations régionales et non gouvernementales et les particuliers à célébrer comme il convient la Journée internationale de la paix, y compris au moyen d’activités d’éducation et de sensibilisation, et à oeuvrer, de concert avec l’Organisation des Nations Unies, à l’établissement d’un cessez-le-feu mondial.
Chaque année, l’ONU propose un thème et pour 2021, l’instance mondiale nous invite à réfléchir sur le projet d’un monde durable et équitable…
En 2021, alors que nous essayons de guérir de la pandémie de COVID-19, nous sommes invités à réfléchir de manière créative sur la meilleure façon d’aider tout le monde à mieux se rétablir, à devenir plus résilient et sur comment transformer notre monde en un monde plus égalitaire, plus juste, équitable, inclusif, durable et plus sain.
La pandémie est connue pour avoir frappé le plus durement les groupes défavorisés et marginalisés. Jusqu’à présent (avril 2021), plus de 687 millions de doses de vaccin de COVID-19 ont été administrées dans le monde, mais plus de 100 pays n’ont pas encore reçu une seule dose. Les personnes en zones de conflit sont particulièrement vulnérables en termes de manque d’accès aux soins de santé.
[…] Nous vous invitons à vous joindre aux efforts des Nations Unies alors que nous nous efforçons de mieux nous redresser pour un monde plus équitable et plus pacifique. Célébrez la paix en luttant contre les actes de haine, y compris ceux en ligne, et en répandant la compassion, la gentillesse et l’espoir, afin de combattre cette pandémie et de guérir, ensemble.
On entend parfois l’expression : « C’est une affaire de cœur! »
Il arrive que l’attitude de quelqu’un nous étonne à un point tel que l’on en vient à croire que cette personne est engagée dans une relation romantique –
il n’y a que cela qui puisse expliquer son comportement!
Cette expression m’est venue à l’esprit en lisant le texte de l’évangile de ce dimanche (Mc.7:1-8,14-15,21-23)
et, pour moi, la conclusion s’impose : entre Dieu et nous, c’est une affaire de cœur –
ou du moins, il devrait en être ainsi!
J’ose croire que c’est ce que Dieu lui-même désire puisqu’il regrette que ce ne soit pas le cas!
Jésus lui-même répète les paroles du prophète Isaïe à ce sujet:
« Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. »
Jésus insiste en affirmant :
« C’est du dedans, du cœur de l’homme, que sort… tout le mal. »
Ce qui n’est qu’extérieur, apparent, n’engage pas la personne vraiment.
Mais les désirs profonds, les aspirations secrètes, les espoirs audacieux –
ce qui touche à la racine de l’être –
c’est cela qui tisse une relation vraie.
Et c’est là que Dieu est en attente!…
En attente d’une prière… ‘cœur à cœur’ peut-être…
Une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/22nd-sunday-of-year-b-2021/
Un espoir qui surgit, qui devient conviction, qui pousse à l’audace et… que l’on tente d’éteindre…
C’est là peut-être la description de l’expérience du premier personnage que nous rencontrons dans l’évangile de ce dimanche (Marc 5:21-43).
Il s’agit de Jaïre, chef de la synagogue, qui vient demander à Jésus de guérir sa petite fille que l’on dit « à la dernière extrémité. »
Évidemment, il espère que Jésus interviendra et que le résultat sera positif – sa petite fille sera de nouveau en santé et pleine de vie.
Mais voilà que quelqu’un vient retarder le Maître qui déjà suivait Jaïre: une femme qui, elle aussi, nourrit un espoir secret.
Elle ose toucher le vêtement de Jésus et son intervention, pourtant discrète, suscite une réaction qui révèle son action au grand jour.
C’est alors que des serviteurs venant de la maison du chef de la synagogue viennent l’informer qu’il est inutile de poursuivre sa démarche auprès de Jésus – la petite est déjà morte.
Il n’y a donc plus d’espoir, il est trop tard…
Je devine sans peine ce que Jaïre a dû ressentir : si seulement le Maître n’avait pas été arrêté, si seulement il avait poursuivi sa marche vers la maison de Jaïre, ils seraient peut-être tous deux arrivés à temps!…
Maintenant… c’est fini… les lamentations funèbres ont déjà commencé…
Laissant quelque peu Jaïre à son espoir anéanti, je pense à tous ceux et toutes celles qui connaissent d’expérience ce qu’il a vécu…
Tous ces gens tentés de dire: « Il est trop tard, c’est inutile, c’est fini… »
Plus de place pour l’espoir…
Ce jour-là, arrivé chez Jaïre, on s’est moqué de Jésus, on a ri de lui quand il a affirmé que la petite fille n’était pas morte mais qu’elle dormait.
Et de nos jours, ne se moque-t-on pas de ces personnes qui gardent espoir malgré tout…
Malgré tout ce qui paraît absurde, inutile, sans signification pour notre logique humaine?…
Un espoir purement humain peut s’avérer décevant et conduire au découragement.
Mais l’espoir ancré dans la FOI en celui qui a vaincu la mort devient source d’une attente de tout ce qui se trouve justement au-delà de la mort.
Note: En format vidéo, on peut retrouver la double illustration de l’évangile présentant Jaïre https://youtu.be/hNsszIQIzI8
et la femme avec une perte de sang https://youtu.be/Pb3Bs0FhiOU
Une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/13th-sunday-of-year-b-2021/
Le nom est compliqué, l’objectif est simple: le sport peut être un vecteur de paix entre les peuples, utilisons-le !
La FIFA, instance dirigeante du football mondial, souvent associée au foot spectacle et ses dérives, s’associe fort heureusement à cette initiative en insistant sur l’influence positive du football sur le développement humain et la paix.
Le football bénéficie d’une audience mondiale et donne des opportunités uniques de communiquer avec les peuples de toutes les nations et de toutes les origines.
Ce sont les mots du président de la FIFA, Sepp Blatter, dans un message vidéo. Même dans les contextes les plus difficiles, comme en Afghanistan ou en Somalie, des rencontres sportives ont eu lieu et permis des rapprochements dont aucun politique n’avait osé réver.
On reçoit des invitations de toutes sortes –
certaines d’entre elles n’ont rien qui nous attire.
Mais il y en a d’autres auxquelles on ne peut résister.
On se dit : ‘Je ne peux pas manquer ça!’
C’est peut-être la personne qui invite, ou l’occasion qui se présente,
mais on ne peut vraiment pas refuser!
Et si l’invitation vient… de Dieu?
Plusieurs diront que Dieu donne des commandements, pas des invitations.
Dieu s’abaisserait à… nous inviter… à nous proposer quelque chose
en nous laissant parfaitement libres d’accepter ou de refuser?
Aucun doute sur cela – le texte de l’évangile de ce dimanche est bien précis (Mt.11:28-30).
Jésus s’adresse à nous bien clairement :
« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau,
et moi, je vous procurerai le repos. »
Un soupir de soulagement nous échappe : enfin!
Oui, enfin quelqu’un qui comprend qu’on n’en peut plus.
On est à bout de forces, à bout de patience, à bout de résistance, à bout de… tout!
On n’a plus d’énergie, plus d’inspiration, plus d’espoir peut-être…
Mais… oui, il y a un mais – cette invitation de Dieu, il faut y croire et…
Il faut prendre Dieu au mot!
La deuxième partie de l’invitation de Jésus dit :
« Prenez sur vous mon joug,
devenez mes disciples,
car je suis doux et humble de cœur,
et vous trouverez le repos pour votre âme. »
Un joug, ça n’a rien de reposant, pense-t-on – c’est un poids, un fardeau,
et on en a déjà trop!
Mais Jésus ajoute des paroles étonnantes :
« Mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »
Y croire – n’est-ce pas se bercer d’illusions, faire fausse route complètement?
Les corvées, le travail à n’en plus finir, les frustrations, l’épuisement –
tout cela, Dieu pourrait… y voir?!
Une seule manière de le savoir : vérifier par soi-même,
oser répondre à l’invitation!
Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/14th-sunday-of-year-a-2020/