image-i-nations trésor

Journée Mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse – 17 juin

Le 17 juin 1992, l’ONU a adopté la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Cette journée a pour but de nous rappeler les dangers de la désertification et de la sécheresse dans le monde.

Tout d’abord, il est important de souligner que les déserts ne sont pas uniquement des lieux où l’on trouve des dunes de sables et des nomades les parcourant (et Tintin aussi ! Mais là c’est une autre histoire). Ainsi l’Antarctique, ou le grand Nord, sont des espaces désertiques, parce que l’eau y est prise en glace. Deuxièmement, l’homme n’est pas responsable, à l’origine, des déserts mais aujourd’hui il y contribue.

Selon les critères de l’UNCCD, la désertification est la dégradation des sols dans les zones arides et semi-arides. Quand les sols sont fragilisés, le couvert végétal s’amenuise et le climat impitoyable fait le reste.

Cela représente 4 milliards d’hectares de terres émergées (soit 1/3 de la surface du globe) ou encore 1/5ème de la population mondiale. Chaque année, ce sont des milliers d’hectares de sols fertiles qui disparaissent. 30% du territoire des États-Unis est affecté par la désertification. Le nombre de personnes touchées directement par le problème est en forte croissance et on estime que 280 000 personnes sont mortes des suites de la sécheresse entre 1990 et 2000.

Quels impacts ?
Les impacts les plus visibles se situent au niveau de l’environnement, car la désertification rend les terrains inondables, ce qui entraîne une salinisation des sols, et donc une détérioration de la qualité de l’eau.

En second lieu, l’impact est aussi économique. En effet, au niveau planétaire le manque à gagner s’élève, selon la banque mondiale, à 42 milliards de dollars pour les régions touchées par la désertification (paradoxalement, le coût annuel de la lutte contre la désertification est seulement de 2.4 milliards)

Enfin, la dégradation des sols entraîne la pauvreté et la migration de masse à cause des famines qu’elle génère. (environ 60 millions de personnes partiront des zones désertifiées de l’Afrique sub-saharienne pour le Maghreb et l’Europe entre 1997 et 2020).

Des pistes de solutions ?
En la matière, la panacée n’existe pas mais des solutions locales peuvent -et doivent- être mises en oeuvre rapidement pour faire bouger les choses. Parmi elles, et pas forcément très coûteuses, nous pouvons relever la régénération des sols et sa fertilisation grâce au compost et sa matière organique. Le reboisement est aussi une solution car les arbres permettent de fixer les sols, renforcer la fertilité et absorber l’eau lors des fortes précipitations. La technique ancestrale de la jachère constitue aussi une alternative intéressante…

Un site à visiter : www.notre-planete.info      Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée Mondiale des océans – 8 juin

La Journée des océans, célébrée le 8 juin, vise à nous rappeler le rôle des océans comme source de vie partout dans le monde. Il s’agit d’une célébration internationale proclamée il y a dix ans à l’occasion du Sommet de la Terre et des Nations Unies tenu à Rio de Janeiro.

Après des débuts timides, cet événement a aujourd’hui une grande ampleur dans le domaine de la sensibilisation à la santé des océans et celui d’une meilleure gestion de l’Océan et de ses ressources.

Un évènement international
Simultanément sur les 5 continents, les Aquariums, Centres de Sciences, Musées, Associations et Institutions d’éducation à l’environnement marin du RESEAU OCEAN MONDIAL proposent à leur public des festivités pleines d’animations ludiques et d’actions concrètes, les petits et grands. Ateliers artistiques et pédagogiques, conférences, nettoyage de plages/de ports, films, contes et concours sont organisés simultanément sur l’ensemble de la semaine ou du week-end autour du 8 juin. Des opérations sont prévues sur les cinq continents, aussi bien en France qu’en Mauritanie, Italie, Etats-Unis Australie ou Danemark.

Ce que nous faisons au sein de notre communauté peut avoir des effets positifs ou négatifs sur nos océans. L’eau passe de nos océans à l’atmosphère puis aux terres avant de retourner dans les océans. Les ressources en eau sont limitées et nous ne disposons que des quantités existantes sur Terre. La protection de nos océans commence par celle de nos bassins hydrographiques, et nous comptons sur vous pour l’assurer !

Quatre objectifs principaux
L’adoption d’une nouvelle perspective en encourageant les individus à réfléchir à ce que l’eau signifie pour eux et aux raisons de lui attacher une grande valeur;

La sensibilisation un grand nombre de gens ne réalisent pas la profusion de créatures vivantes et d’habitats dont la beauté n’a d’égale que la diversité, que renferment nos rivières et nos océans, ni l’impact de nos actions sur ces ressources;

Le changement de nos habitudes les citoyens doivent être encouragés à devenir les gardiens de nos eaux afin de les préserver pour les générations futures;

La célébration, que vous habitiez à l’intérieur des terres ou sur la côte, vous pouvez organiser des événements sur le thème de l’eau ou y participer.

Les océans en quelques chiffres
Plus de 90% des 10 espèces de poissons les plus pêchés sont en voie de disparition et près de 50% des autres espèces commerciales sont menacées par l’industrie de la pêche, par ailleurs 80% de la pollution des océans provient des terres.

Par ailleurs, une pétition a été mise en place conjointement avec THE OCEAN PROJECT pour faire du 8 juin la Journée Mondiale de l’Océan officiellement reconnue par l’ONU. Proposée au Sommet de la Terre de Rio en 1992 par le Canada, la Journée Mondiale de l’Océan a, jusqu’à présent, était peu suivie. Or l’Océan recouvre plus des deux tiers de la Terre. Il joue un rôle essentiel dans la régulation des climats, la qualité de l’air et de l’eau.

Un site à visiter : www.worldoceannetwork.org   Images : nationofchange.org  www.cybelle-planete.org

Nettoyons nos océans
En 2018, la Journée mondiale de l’océan sera centrée autour du thème: « océans propres », et portera sur des initiatives qui visent à prévenir la pollution par le plastique.

Source: Texte: www.un.org

Journée Mondiale de l’environnement – 5 juin

Cette journée a été promulguée par le PNUE, comprenez le Programme des Nations Unies pour l’Environnement. Elle est célébrée depuis de nombreuses années et soulève régulièrement les questions essentielles de la protection de l’environnement et ses conséquences sur la qualité de vie des populations et la survie de notre planète.

Le PNUE a établi une liste de points noirs sur lesquels un effort important doit être entrepris de toute urgence :

  • lutte contre la destruction de la couche d’ozone
  • lutte contre la déforestation
  • préservation de la qualité des réserves d’eau
  • lutte contre la désertification et la sécheresse

Le constat du PNUE est sévère car peu de ces objectifs ont été atteints et le cri d’alarme lancé à l’occasion de la conférence RIO + 20 paraît désespéré !

Economie verte, en faisons-nous partie ?
Le développement économique est souvent pointé du doigt par les instances internationales qui tentent de promouvoir un développement raisonné respectueux de la planète. Notre fameux développement durable…

Le décalage entre les pays dits développés et les pays en voie de développement est criant. Si les économies européennes prennent de plus en plus en compte ces problématiques dans leur développement, que dire d’une économie US encore très en retrait sur toutes ces questions et celle de certains pays du sud-est asiatique où ces recommandations sont surtout l’expression de l’égoïsme des pays riches.

Message d’espoir
Le message envoyée par Irina Bokova, la directrice générale de l’UNESCO, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement 2012, est riche de promesses :  « Nous voulons un avenir où nous pourrons vivre dans un environnement sain en entretenant des liens solides avec la nature et des relations sociales riches et diversifiées. Pour cela, nous devons créer un environnement florissant. Nous devons créer des économies vertes ».    

Un site à visiter : www.unesco.org Source : Texte & Image : Journée Mondiale 

Un programme d’action
La Journée mondiale de l’environnement est la journée la plus importante célébrée par les Nations Unies visant à encourager la sensibilisation et des actions mondiales en faveur de la protection de notre environnement. Depuis son lancement en 1974, cette journée est devenue une plate-forme mondiale de sensibilisation du public célébrée dans plus de 100 pays.

Le thème
Chaque Journée mondiale de l’environnement est organisée autour d’un thème visant à attirer l’attention du public sur une préoccupation environnementale particulièrement d’actualité. Le thème de cette année 2018 est la lutte contre la pollution plastique.

Le pays hôte
Chaque année, la journée mondiale de l’environnement est organisée par un pays hôte différent, où se déroulent les célébrations officielles. L’accent mis sur le pays hôte contribue à mettre en évidence les défis environnementaux auxquels celui-ci est confronté et chaque pays est invité à initier des efforts pour y remédier. Le pays hôte de cette année est l’Inde.

Source : Texte : https://worldenvironmentday.global Image : IndiaCelebrating.com

Saviez-vous que…

  • Chaque année la population mondiale utilise 500 milliards de sacs de plastique.
  • Durant la dernière décennie nous avons produit plus de plastique que durant tout le siècle précédent.
  • Nous achetons un million de bouteilles de plastique par minute.
  • Le plastique compte pour 10% des déchets que nous produisons.
Source : Statistiques : ONU

Journée Internationale des casques bleus – 29 mai

Le 29 mai a été proclamé Journée internationale des Casques bleus de l’ONU. Cette Journée a un double objectif :

  • honorer la mémoire des Casques bleus de l’ONU qui ont perdu la vie au service de la cause de la paix;
  • rendre hommage à tous ceux, hommes et femmes, qui ont servi et continuent de servir dans les opérations de maintien de la paix de l’ONU pour leur professionnalisme, leur dévouement et leur courage.

Depuis leurs débuts en 1948, les opérations de maintien de la paix des Nations Unies constituent l’un des outils principaux utilisé par la communauté internationale pour gérer les crises complexes qui menacent la paix et la sécurité internationales. Plus d’un million de militaires, policiers et personnel civil ont été déployés dans ces opérations.

La Journée internationale des Casques bleus de l’ONU, commémorée chaque année le 29 mai (résolution 57/129), rend hommage au professionnalisme, au dévouement et au courage des Casques bleus, qui servent aujourd’hui dans des conditions difficiles voire explosives. C’est aussi l’occasion d’honorer la mémoire des plus de 3.700 Casques bleus qui ont perdu la vie au service de la cause de la paix (à date, 2017).

Ainsi que l’a évoqué le Secrétaire général dans son message pour 2015, « les opérations de maintien de la paix des Nations Unies concrétisent le but de la Charte d’« unir nos forces pour maintenir la paix et la sécurité internationales ». Au prix d’années de lutte et de sacrifices, les emblématiques Casques bleus sont devenus un symbole d’espoir pour les millions de personnes qui vivent dans des pays ravagés par la guerre ».

Un site à visiter : www.un.org     Source : Texte : www.minusca.unmissions.org Image UN           

Journée internationale du vivre ensemble – 16 mai

Cette journée a été décrétée par l’ONU le 8 décembre 2017 et désormais, chaque 16 mai sera la journée du vivre ensemble.

Un plaidoyer pour la paix
Le texte de cette déclaration a été présenté par l’Algérie et adopté sans vote. Le 16 mai sera désormais la Journée internationale du vivre-ensemble en paix et tentera de mobiliser les efforts de la communauté internationale en faveur de la paix, de la tolérance, de l’inclusion, de la compréhension et de la solidarité.

Tout un chacun sera invité à exprimer le désir profond de vivre et d’agir ensemble, unis dans la différence et dans la diversité, en vue de bâtir un monde viable reposant sur la paix, la solidarité et l’harmonie.

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

Journée mondiale des espèces menacées – 11 mai

D’après une étude de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (IUCN), ce sont plus de 20 000 espèces de plantes et animaux qui sont en danger de disparition imminente chaque année. La journée internationale a pour but de sensibiliser le monde scientifique et le grand public à ce constat inquiétant.

Au niveau européen, l’IUCN souligne que 7,5 % des espèces marines sont menacées et ont atteindrait 40 % pour la catégorie des requins et des raies. La France a elle seule figure parmi les 10 pays hébergeant le plus grand nombre d’espèces menacées. Ce ne sont pas moins de mille espèces menacées au niveau mondial qui sont présentes sur le territoire national (métropole et outre-mer confondus).

Liste rouge
La Liste rouge de l’UICN est l’indicateur par excellence qui permet de suivre l’état (et l’évolution) de la biodiversité dans le monde. Avec cet état des lieux, on sait aujourd’hui qu’une espèce de mammifères sur quatre, un oiseau sur huit et un amphibien sur trois sont menacés. Coté végétal, ce n’est guère plus brillant si on songe qu’une espèce de conifères sur trois est menacée de disparition.

Modifier nos comportements
La nature a été confiée à l’homme non pas pour qu’il la détruise mais pour pour qu’il l’apprivoise (La Bible: Gn.1:26) et ce sont souvent les comportements humains qui sont à la source de toutes ces catastrophes (déchets plastiques dans la mer, émissions polluantes danas l’atmosphère, etc…).

Faudra-t-il atteindre le point de non retour pour que l’homme accepte enfin de modifier ses habitudes de vie et de consommation ?

Note de l’éditrice: Un rapport publié en mai 2019 par les Nations Unies affirmait qu’un million d’espèces sont sur le point de disparaître!...
On nous dit clairement qu’une telle extinction aurait des conséquences alarmantes pour la survie du genre humain…

Un site à visiter: www.uicn.fr  Source: Texte: Journée Mondiale     Image: Daily Advent

Journée mondiale de la liberté de la presse – 3 mai

Le 3 mai a été proclamé Journée mondiale de la liberté de la presse par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1993, suivant la recommandation adoptée lors de la vingt-sixième session de la Conférence générale de l’UNESCO en 1991. Ce fut également une réponse à l’appel de journalistes africains qui, en 1991, ont proclamé la Déclaration de Windhoek sur le pluralisme et l’indépendance des médias.

Tous les ans, la Journée mondiale de la liberté de la presse permet de :

  • célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse;
  • d’évaluer la liberté de la presse à travers le monde;
  • de défendre l’indépendance des médias; et
  • de rendre hommage aux journalistes qui ont perdu leur vie dans l’exercice de leur profession.

Cette année l’UNESCO célèbrera la 25e édition de la Journée mondiale de la liberté de la presse sur le thème Médias, justice et état de droit : les contrepoids du pouvoir, et les célébrations porteront sur les questions des médias et de la transparence du processus politique, de l’indépendance du système judiciaire et de ses connaissances en matière de médias, et de la responsabilité des institutions de l’État vis-à-vis du public. La journée sera aussi l’occasion d’examiner les défis actuels de la liberté de la presse en ligne.

La contribution des médias à la bonne gouvernance et au développement a été reconnue dans le Programme de développement à l’horizon 2030, adopté par les États Membres des Nations Unies en septembre 2015. Alors que les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) qui ont guidé les actions menées par la communauté internationale pour le développement entre 2000 et 2015 ne faisaient aucune référence explicite au rôle des médias, les objectifs de développement durable (ODD) reconnaissent l’importance de l’accès du public à l’information et aux libertés fondamentales, y compris la liberté d’expression.

Source : Texte & Image : ONU Image : en.unesco.org

Journée internationale de sensibilisation au problème des mines et assistance à la lutte anti-mines – 4 avril

« L’ONU est fermement résolue à mieux faire connaître le problème des mines et à lancer des initiatives visant à les éliminer, et ce, dans le monde entier. En cette Journée internationale, nous réaffirmons notre engagement en faveur d’un monde exempt du danger que représentent les mines et les autres restes de guerre. »
Message de M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU, le 4 avril 2013

Depuis 2005
Cette journée a été proclamée par l’ONU suite à la déclaration prononcée le 8 décembre 2005 et qui prévoyait que la date du 4 avril serait désormais celle à laquelle serait commémorée cette journée.

[ndlr: La symbolique liée au choix de cette date du 4 avril ne nous est pas connue pour le moment.]

Les mines anti-personnel sont des engins explosifs généralement placés sous le sol ou au niveau du sol et qui explosent au passage d’un véhicule ou un piéton. Elles ont la particularité de rester actives même après la résolution des conflits et constituent à ce titre des menaces pendant de très longues années.

Un traité d’interdiction trop souvent ignoré
La situation a-t-elle évolué depuis cette époque ? Il est à craindre que non et, même si un « Traité d’interdiction des mines » a été signé en 1997, il n’a pas été ratifié par tous les pays du monde loin s’en faut. Savoir que ni les Etats-Unis d’Amérique, ni la Russie, ni la Chine, ni l’Inde ne font partie des états signataires fait froid dans le dos. On pourra parcourir avec intérêt la liste des états signataires.

A ce propos, les états membres sont régulièrement encouragés à ratifier tous les instruments relatifs au désarmement, au droit humanitaire et aux droits de l’homme qui concernent les mines antipersonnel, les restes explosifs de guerre et les personnes ayant survécu aux effets dévastateurs de ces engins. Vaste programme…

Un site à visiter : www.un.org   En savoir plus sur : Handicap International.    Source : Texte : Journée Mondiale Images : pri.org   removethewall.org

Journée mondiale du travail invisible – 3 avril

Donner de la visibilité à de l’invisible, tel est le challenge relevé par cette journée mondiale d’origine canadienne, célébrée depuis quelques années déjà*. 

Mais qu’est-ce que le travail invisible ?
Si vous cherchez quelque chose de louche, de glauque, de honteux… vous n’y êtes pas du tout !

On parle habituellement du travail invisible dans le cadre familial avec le travail des mères de familles, essentiel et pourtant toujours aussi méconnu. Son qualificatif d’invisible lui vient du fait que sa valeur n’est pas reconnue ni comptabilisée dans les comptes nationaux comme par exemple le PIB (produit intérieur brut).

D’après l’association canadienne Afeas à l’origine de cette réflexion, on estimait déjà, en 1995, à 11 000 milliards de dollars américains la valeur annuelle du travail invisible et non rémunéré des femmes à travers le monde (source ONU).

Une journée pour donner de la visibilité
Difficile de changer le cours des choses en la matière… espérons tout de même qu’une telle journée permettra à tous de mieux comprendre et apprécier la valeur de ce travail « invisible ».

* la date retenue par l’Afeas est en principe le premier mardi de chaque mois d’avril.

Source: Texte: http://www.journee-mondiale.com/379/journee-mondiale-du-travail-invisible   Image: YouTube

Journée Mondiale de l’eau – 22 mars

L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté le 22 décembre 1992 la résolution A/RES/47/193 qui déclara le 22 mars de chaque année « Journée mondiale de l’eau », à compter de l’année 1993, conformément aux recommandations de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement (CNUED)

Un plan d’action pour le XXI° siècle
Cette résolution invitait les États à consacrer ce jour selon le contexte national, en concrétisant des actions telles que la sensibilisation du public par des publications, des diffusions de documentaires, l’organisation de conférences, de tables rondes, de séminaires et d’expositions liés à la conservation et au développement des ressources en eau et à la mise en œuvre des recommandations d’Action 21.

L’eau à la source de la sécurité alimentaire
Plus de 20 après, l’alimentation en eau potable à travers le monde n’est pas encore assurée partout, loin s’en faut, et de nombreuses zones agricoles souffrent encore d’une alimentation médiocre, source de maladies et nuisibles au développement.

Un site à visiter : www.unwater.org   Source: Texte & Image: http://www.journee-mondiale.com