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Journée internationale des pompiers – 4 mai

Le 4 janvier 1999, 4 pompiers périssent dans un feu de forêt en Australie… c’est le début d’une prise de conscience du rôle de ces « soldats du feu » en Australie et ailleurs. La journée du 4 mai, le jour de la Saint Florian, est choisie pour rendre hommage aux pompiers.

Saint Florian ou Sainte Barbe ?

Pour les anglo-saxons, le Saint patron des pompiers est Florian. Pour les européens, c’es plus souvent à Sainte Barbe que ce titre échoit. Faîtes votre choix !

  • Florian de Lorch ou Saint Florian est un Autrichien, mort en 304 en martyr. Il est simultanément un des saints patron de la Pologne, de la ville de Linz (au nord de l’Autriche) mais aussi des ramoneurs, des pompiers et des brasseurs. Il est fêté le 4 mai.
  • La vie de Sainte Barbe nous éclaire sur sa vocation de protectrice des Sapeurs Pompiers. Elle est morte en martyre au 3ème siècle à Nicomédie, en Asie mineure, et fut entre autres enfermée par son père dans une tour à laquelle il mit le feu. Elle est aussi la Sainte Patronne des articifiers, des mineurs et des démineurs.

Soldats du feu

« Dans le service du feu, nous combattons ensemble contre un ennemi commun, l’incendie, peu importe le pays d’où nous sommes, quel uniforme nous portons et quelle langue nous parlons. »

Lt JJ Edmondson, 1999

Dans certains pays, les sirènes des casernes de pompiers sonnent à midi en ce 4 mai, invitant à une minute de silence à la mémoire de tous les pompiers décédés en mission.

Le rôle du combattant du feu dans la société contemporaine implique engagement et sacrifice au service de la société. Sans distinction du pays d’origine et du travail exercé, les pompiers dédient leurs vies à la protection des personnes et des biens contre les incendies. Dans tout les cas, le risque ultime est le sacrifice de la vie du pompier.

La journée internationale des Pompiers est l’instant où la communauté mondiale reconnaît et rend hommage au dévouement dont font preuve les pompiers pour assurer un environnement aussi sécurisé que possible à l’ensemble de la société.

Source: Texte: Journée Mondiale     Image: histoiredespompiers.fr

Journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées – 15 juin

Journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées

Aujourd’hui, la société occidentale s’inquiète des abus adressés aux personnes âgées. L’intérêt pour cette problématique en Europe croît depuis une quinzaine d’années.

La journée a pour but de sensibiliser l’opinion publique sur un phénomène inacceptable et tabou dans notre société, un fléau qu’il faut ensemble condamner, la maltraitance des personnes âgées.

Les victimes

Selon l’Alma (association d’écoute aux victimes), les personnes les plus fragiles, en majorité des femmes (75%), plutôt âgées (en moyenne 79 ans) vulnérables, incapables de se défendre ou de réagir sont des victimes désignées (elles sont souvent dépendantes).

Les maltraitants

Même s’il est difficile de distinguer clairement les divers aspects de la maltraitance, physiques, psychologiques ou financiers, les petits frères des Pauvres qui accompagnent près de 8000 personnes dans l’Hexagone, se préoccupent particulièrement des maltraitances financières, car bien des actes de malveillance et des violences physiques sont motivés par des intérêts matériels. Ils sont souvent d’origine familiale et proviennent aussi de l’entourage non familial de la personne à domicile ou en institution (le voisinage, les personnels soignants, les démarcheurs…). Ces malveillances financières sont souvent des actes à la limite de la légalité, discrets et invisibles, qui passent parfois inaperçus aux yeux des victimes âgées elles mêmes qui peuvent ne pas être en pleine possession de tous leurs moyens.

Le paradoxe COVID19

Quand cela ne va pas, il faut dénoncer. Mais quand cela va bien il faut le dire également. La situation très particulière liée au Covid19 a mis en lumière des trésors d’ingéniosité et de dévouement dans les Ephad et dans tous les lieux d’accueils des personnes agées. Les personnels ont fait preuve d’une volonté et d’une abnégation sans égales pour maintenir la qualité d’accueil dans les établissement ainsi que les liens avec les familles. Merci à eux !

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées – 15 juin 2020

Aujourd’hui, la société occidentale s’inquiète des abus adressés aux personnes âgées. L’intérêt pour cette problématique en Europe croît depuis une quinzaine d’années.
La journée a pour but de sensibiliser l’opinion publique sur un phénomène inacceptable et tabou dans notre société, un fléau qu’il faut ensemble condamner, la maltraitance des personnes âgées.

Les victimes
Selon l’Alma (association d’écoute aux victimes), les personnes les plus fragiles, en majorité des femmes (75%), plutôt âgées (en moyenne 79 ans) vulnérables, incapables de se défendre ou de réagir sont des victimes désignées (elles sont souvent dépendantes).

Les maltraitants
Même s’il est difficile de distinguer clairement les divers aspects de la maltraitance, physiques, psychologiques ou financiers, les petits frères des Pauvres qui accompagnent près de 8000 personnes dans l’Hexagone, se préoccupent particulièrement des maltraitances financières, car bien des actes de malveillance et des violences physiques sont motivés par des intérêts matériels. Ils sont souvent d’origine familiale et proviennent aussi de l’entourage non familial de la personne à domicile ou en institution (le voisinage, les personnels soignants, les démarcheurs…). Ces malveillances financières sont souvent des actes à la limite de la légalité, discrets et invisibles, qui passent parfois inaperçus aux yeux des victimes âgées elles mêmes qui peuvent ne pas être en pleine possession de tous leurs moyens.

Le paradoxe COVID19
Quand cela ne va pas, il faut déoncer. Mais quand cela va bien il faut le dire également. La situation très particulière liée au Covid19 a mis en lumière des trésors d’ingéniosité et de dévouement dans les Ephad et dans tous les lieux d’accueils des personnes agées. Les personnels ont fait preuve d’une volonté et d’une abnégation sans égales pour maintenir la qualité d’accueil dans les établissement ainsi que les liens avec les familles. Merci à eux !

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Un miracle?… Des miracles?…

Alors que la Covid-19 fait rage et multiplie les ravages, les commentaires vont bon train.
On s’accorde pour le dire: Nous vivons une période sans précédent.

Ce qu’il nous faut – à tout prix – c’est… un MIRACLE !
N’est-ce pas ce que tout le monde attend en ce moment?

Le MIRACLE de la disparition de la pandémie que l’on nomme CORONAVIRUS.
Le MIRACLE de la guérison des personnes atteintes.
Le MIRACLE de la rémisson, la rédemption, la libération !
Et l’abolition – enfin – de cette distanciation à laquelle nous sommes condamné/es et qui nous pèse tant.

Ce mirable, oui, c’est LE miracle que nous espérons, 
nous l’attendons impuissants devant un tueur invisible et puissant.

Soudain, une citation de Einstein me vient à l’esprit au sujet de cette réalité –
ou… est-ce un rêve? que l’on nomme un MIRACLE !
Une question surgit: se pourrait-il que l’attente de CE miracle nous cache tous les autres miracles qui se déploient en ce moment autour de nous?

– Le dévouement héroïque de tous le personnel de la santé – professionnels de toutes descriptions qui se dévouent sans arrêt pour sauver des vies.
– Les chercheurs dans les différents domaines de la science – médecine, pharmacologie, immunologie, et j’en passe – qui d’un pays à l’autre unissent leurs efforts pour produire un vaccin effectif.
– Les techniciens d’usines de fabrication de produits différents de leur expertise originale mais offrant maintenant les objets tels que masques, ventilateurs, désinfectants, etc.
– Les responsables de la sécurité, policiers, pompiers, tous et toutes qui, sans relâche, s’emploient à assurer notre bien-être en cette période perturbée.
– Ceux et celles qui continuent d’assurer les services essentiels d’alimentation, de transport, de maintenance, d’entretien, de sanitation, et quoi encore?
– Les bénévoles innombrables qui usent d’ingéniosité autant que de générosité pour venir en aide aux multiples besoins qui surgissent.
– Nos dirigeants que l’on dénigre souvent mais qui en ces moments de crise savent baliser un chemin qui endigue le découragement pour le présent et pour… l’après-Covid!
– Tout un chacun/e qui sort de sa ‘bulle’ pour faire un téléphone, envoyer une courriel, partager un texte, une vidéo, pour soutenir le moral de quelqu’un d’autre.

Et tout ces prophètes qui osent affirmer – arc-en-ciel à la main, ou peint sur les trottoirs: ‘Ça va bien aller’.
N’allons surtout pas les taxer de ‘rêveurs’ car en ces jours que nous vivons le rêve peut prouver – oh combien! – thérapeutique!

Et quand LE miracle aura fait son apparition, saurons-nous garder le souvenir si précieux des autres ‘miracles’ qui ont assuré notre survie!

 

Source: Images: Top Citations Proverbes   AQMFEP-Association Québécoise Des Milieux Familiaux Éducatifs

 

Journée Internationale des casques bleus – 29 mai

Le 29 mai a été proclamé Journée internationale des Casques bleus de l’ONU. Cette Journée a un double objectif :

  • honorer la mémoire des Casques bleus de l’ONU qui ont perdu la vie au service de la cause de la paix;
  • rendre hommage à tous ceux, hommes et femmes, qui ont servi et continuent de servir dans les opérations de maintien de la paix de l’ONU pour leur professionnalisme, leur dévouement et leur courage.

Depuis leurs débuts en 1948, les opérations de maintien de la paix des Nations Unies constituent l’un des outils principaux utilisé par la communauté internationale pour gérer les crises complexes qui menacent la paix et la sécurité internationales. Plus d’un million de militaires, policiers et personnel civil ont été déployés dans ces opérations.

La Journée internationale des Casques bleus de l’ONU, commémorée chaque année le 29 mai (résolution 57/129), rend hommage au professionnalisme, au dévouement et au courage des Casques bleus, qui servent aujourd’hui dans des conditions difficiles voire explosives. C’est aussi l’occasion d’honorer la mémoire des plus de 3.700 Casques bleus qui ont perdu la vie au service de la cause de la paix (à date, 2017).

Ainsi que l’a évoqué le Secrétaire général dans son message pour 2015, « les opérations de maintien de la paix des Nations Unies concrétisent le but de la Charte d’« unir nos forces pour maintenir la paix et la sécurité internationales ». Au prix d’années de lutte et de sacrifices, les emblématiques Casques bleus sont devenus un symbole d’espoir pour les millions de personnes qui vivent dans des pays ravagés par la guerre ».

Un site à visiter : www.un.org     Source : Texte : www.minusca.unmissions.org Image UN           

Journée internationale des pompiers – 4 Mai

Le 4 janvier 1999, 4 pompiers périssent dans un feu de forêt en Australie… c’est le début d’une prise de conscience du rôle de ces « soldats du feu » en Australie et ailleurs. La journée du 4 mai, le jour de la Saint Florian, est choisie pour rendre hommage aux pompiers.

Saint Florian ou Sainte Barbe ?
Pour les anglo-saxons, le Saint patron des pompiers est Florian. Pour les européens, c’est plus souvent à Sainte Barbe que ce titre échoit. Faîtes votre choix !

Florian de Lorch ou Saint Florian est un Autrichien, mort en 304 en martyr. Il est simultanément un des saints patron de la Pologne, de la ville de Linz (au nord de l’Autriche) mais aussi des ramoneurs, des pompiers et des brasseurs. Il est fêté le 4 mai.

La vie de Sainte Barbe nous éclaire sur sa vocation de protectrice des Sapeurs Pompiers. Elle est morte en martyre au 3ème siècle à Nicomédie, en Asie mineure, et fut entre autres enfermée par son père dans une tour à laquelle il mit le feu. Elle est aussi la Sainte Patronne des articifiers et des mineurs.

Soldats du feu
« Dans le service du feu, nous combattons ensemble contre un ennemi commun, l’incendie, peu importe le pays d’où nous sommes, quel uniforme nous portons et quelle langue nous parlons. » Lt JJ Edmondson, 1999 

Dans certains pays, les sirènes des casernes de pompiers sonnent à midi en ce 4 mai, invitant à une minute de silence à la mémoire de tous les pompiers décédés en mission.

Le rôle du combattant du feu dans la société contemporaine implique engagement et sacrifice au service de la société. Sans distinction du pays d’origine et du travail exercé, les pompiers dédient leurs vies à la protection des personnes et des biens contre les incendies. Dans tout les cas, le risque ultime est le sacrifice de la vie du pompier.

La journée internationale des Pompiers est l’instant où la communauté mondiale reconnaît et rend hommage au dévouement dont font preuve les pompiers pour assurer un environnement aussi sécurisé que possible à l’ensemble de la société.

Source: Texte: Journée mondiale Image : stephmckay.vip-blog.com

 

Journée internationale des pompiers – 4 mai

Le 4 janvier 1999, 4 pompiers périssent dans un feu de forêt en Australie… c’est le début d’une prise de conscience du rôle de ces « soldats du feu » en Australie et ailleurs. La journée du 4 mai, le jour de la Saint Florian, est choisie pour rendre hommage aux pompiers.

Saint Florian ou Sainte Barbe ?
Pour les anglo-saxons, le Saint patron des pompiers est Florian. Pour les européens, c’est plus souvent à Sainte Barbe que ce titre échoit. Faîtes votre choix !

  • Florian de Lorch ou Saint Florian est un Autrichien, mort en 304 en martyr. Il est simultanément un des saints patron de la Pologne, de la ville de Linz (au nord de l’Autriche) mais aussi des ramoneurs, des pompiers et des brasseurs. Il est fêté le 4 mai.
  • La vie de Sainte Barbe nous éclaire sur sa vocation de protectrice des Sapeurs Pompiers. Elle est morte en martyre au 3ème siècle à Nicomédie, en Asie mineure, et fut entre autres enfermée par son père dans une tour à laquelle il mit le feu. Elle est aussi la Sainte Patronne des articifiers, des mineurs et des mineurs.

Soldats du feu
« Dans le service du feu, nous combattons ensemble contre un ennemi commun, l’incendie, peu importe le pays d’où nous sommes, quel uniforme nous portons et quelle langue nous parlons. »  Lt JJ Edmondson, 1999

Dans certains pays, les sirènes des casernes de pompiers sonnent à midi en ce 4 mai, invitant à une minute de silence à la mémoire de tous les pompiers décédés en mission.

Le rôle du combattant du feu dans la société contemporaine implique engagement et sacrifice au service de la société. Sans disctintion du pays d’origine et du travail exercé, les pompiers dédient leurs vies à la protection des personnes et des biens contre les incendies. Dans tout les cas, le risque ultime est le sacrifice de la vie du pompier.

La journée internationale des Pompiers est l’instant où la communauté mondiale reconnaît et rend hommage au dévouement dont font preuve les pompiers pour assurer un environnement aussi sécurisé que possible à l’ensemble de la société.

 Source: Texte &Image: Journée Mondiale