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33è dimanche de l’année, A

Différents aspects du texte de l’évangile de ce dimanche (33è dimanche, année A – Mt.25 :14-30) peuvent retenir notre attention.
Pour ma part, quelques mots m’ont frappée d’une manière particulière.
La parabole de Jésus intitulée : La parabole des talents dit qu’avant son départ, le maître a distribué à ses serviteurs des pièces d’argent qu’il leur confie.
Le texte précise : « À chacun selon ses capacités. »

Ces mots ont réveillé en moi le souvenir d’une lecture faite il y a longtemps.
J’ai oublié le nom de l’auteur qui avait rédigé la réflexion spirituelle mais je me souviens qu’il appartenait à la Compagnie de Jésus – oui, il était jésuite.
Il parlait de la manière dont Dieu nous respecte nous, les êtres qu’il a créés.
L’auteur ajoutait que Dieu connaît même nos muscles et nos tendons et qu’il sait s’ajuster à nos besoins !

Toute une image de Dieu – elle est demeurée avec moi jusqu’à ce jour !
Et elle me revient à propos de ce texte de l’évangile de Matthieu.

Il est intéressant de remarquer que le maître ne reproche pas au deuxième serviteur de ne par avoir rapporté 10 talents, comme le premier a fait.
No, le maître est satisfait que ce serviteur lui remette 4 talents… selon sa capacité !

Ce qui condamne le troisième serviteur n’est pas qu’il se soit montré moins habile que les deux autres.
C’est tout autre chose qu’on lui reproche…
C’est qu’il s’est laissé vaincre par son jugement négatif de son maître et par sa peur d’un châtiment en cas d’insuccès.

Un message qui nous touche de près s’il en est un car il touche l’image que nous nous faisons de Dieu, notre Père.
Non plus ‘Dieu-Maître’ mais ‘Dieu-Père’.
Le craignons-nous ?
Redoutons-nous le jugement qu’il nous réserve ?

Si nous faisons de notre mieux, si au jour le jour nous faisons des efforts pour accomplir ce qu’il attend de nous, nous n’avons rien à craindre.
Seulement nous rappeler les paroles de l’apôtre Jean : (1 Jn.3 :19-20):

« Devant lui nous apaiserons notre cœur
si notre cœur venait à nous condamner,
car Dieu est plus grand que notre cœur,
et il connaît tout. »

Source: Images: Free Bible Images

29th Sunday of Year A

The last verse of this Sunday’s gospel text (29th of Year A – Mt.22 :15-21) is so well-know to us that we sometimes use it ourselves… for our own purposes!
“Give back to Caesar what belongs to Caesar and to God what belongs to God.”

The meaning of the words is obvious and we do not question what the saying aims at as far as Caesar is concerned.
People will immediately think of such duties as: obeying the law, paying taxes, selecting just leaders by voting and… paying fines (if one is guilty of an offence involving such returns).
And what belongs to God? What are we expected to ‘render’ him?
Some will say: respect, adoration, obedience, prayer, thanksgiving, etc.
And much more…

All in all, it is plain, clear, simple, obvious!
But as I reflect on this gospel text I tell myself that, perhaps, yes perhaps… I should add something.
Not to the list of items to ‘give back’ but to the… beneficiaries!
Somehow, I feel that there are a number of people to whom I should return something for what they have done, and keep doing, for me.

My mind brings back to me the memory of:

– The good teachers who have provided me with sound knowledge.
– The skilled surgeon who operated on me and the medical staff who assisted him in bringing me back to health.
– The lawyer who wisely defended me when I had been wrongfully accused of a misdeed.
– The kind neighbour always ready to help me with this or that.
– The faithful friend always there when I need her assistance.
– The dynamic fellow coaching my children in their sport activities.
– The ever-smiling garage mechanic on whom I can safely rely.

This is my list… and you surely have yours…
I feel I should give back something to them for their kindness, their assistance, their good-humour, the wisdom they share with me, and their presence when I am in need.

Yes, I SHALL give back to Caesar, to God, and… to all those kind-hearted people who make life so much lighter and enjoyable!

Image: stjohspr.org

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World Day to Overcome Extreme Poverty – 17 October

On October 17, 1987,World Day to Overcome Extreme Poverty , at the call of Father Joseph Wresinski , 100,000 human rights defenders gathered at the Parvis du Trocadéro in Paris to honor the victims of hunger, violence, ignorance and violence. To say their refusal of misery and call on humanity to unite to make respect for Human Rights..

A slab, proclaiming this message, was inaugurated on this occasion on the Parvis des Libertés and Human Rights, where the Universal Declaration of Human Rights was signed in 1948.

Source: Text: Zyppia, NationalPedia Image:UN

 

 

Journée mondiale d’action pour le travail décent – 7 octobre

A l’initiative du mouvement syndical, la journée du 7 octobre est devenue, en 2008, la Journée mondiale d’action pour le travail décent.

Les syndicats et toutes les organisations œuvrant pour le travail décent dans le monde entier y voient une occasion sans précédent de se rallier à une large mobilisation mondiale plaçant l’homme au centre de la réflexion sur le travail. Une nouvelle mondialisation à inventer qui prônerait d’abord le respect de la dignité humaine en commençant par le droit de chacun d’accéder à un travail décent.

Qu’est-ce qu’un travail décent ?
Tout individu, partout dans le monde, devrait pouvoir exercer un métier qui lui permette de mener une vie digne et répondant à ses besoins essentiels ainsi qu’à ceux de sa famille.

Pourtant, dans de nombreuses régions du monde, on constate qu’il n’y a ni salaire équitable ni conditions de travail dignes… au profit d’une vision de l’économie uniquement basée sur les profits. Le combat pour un travail décent reste pourtant la meilleure manière de lutter contre la pauvreté mondiale et le but de cette journée mondiale est de favoriser les actions qui permettront d’y parvenir.

Rendons à César ce qui revient à César…
Au fait, nous avons signalé au démarrage de ce billet que l’origine de cette journée était le mouvement syndical… il faut se souvenir de ceux qui se sont battus depuis plus d’un siècle sont d’horizons philosophiques très diversifiés et que c’est l’Eglise Catholique elle-même qui a œuvré la première dans cette direction avec sa Doctrine Sociale, élaborée au temps du Pape Léon XIII.

Dans un souci d’équilibre, il nous est difficile de ne pas mentionner l’action de la CGT en faveur du travail décent et inciter nos internautes à visiter leur site internet: www.cgt.fr

Un site à visiter : 2015.wddw.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

Journée Mondiale des enseignantes et des enseignants – 5 octobre

Les enseignantes et les enseignants ouvrent les portes vers un monde meilleur*

« Sans les enseignantes et les enseignants, l’éducation ne remplirait pas le rôle qui lui est assigné, car enseigner ne signifie pas uniquement apprendre à l’ élève une série de faits et nombres. C’est inspirer, libérer le potentiel de l’enfant, lui offrir de nouvelles perspectives. Enseigner c’est aider les enfants à concrétiser leurs rêves d’un monde meilleur.

C’est pourquoi l’Internationale de l’Education insiste tellement sur le droit de chaque enfant dans le monde de bénéficier de l’attention de personnels qualifiés.

Tout au long des différentes étapes de la scolarité, du jardin d’enfants à l’éducation supérieure, il faut des enseignantes et des enseignants qualifiés pour guider les élèves et les encourager à cultiver des valeurs fondamentales telles que la paix, la tolérance, l’égalité, le respect et la compréhension. Les enseignantes et les enseignants qualifiés aident les enfants, les jeunes et les adultes à devenir des citoyens critiques, responsables, capables d’agir sur le monde qui les entoure. Ils éveillent aussi leur sens du dialogue et leur sentiment de confiance en eux et envers les autres. Les enseignantes et les enseignants constituent les piliers de l’éducation. Enseigner c’est ouvrir les portes d’un monde meilleur.

De la qualité de l’enseignement dépend la qualité du monde de demain. »

* Thème de la journée mondiale de 2003

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale de la non-violence – 2 octobre

En juin 2007, l’assemblée générale de l’ONU a décidé de célébrer la Journée Internationale de la non-violence le 2 octobre de chaque année, jour anniversaire de la naissance du Mahatma Gandhi.

Elle souhaitait par ailleurs rendre hommage à l’action de son ancien secrétaire général Kurt Waldheim, décédé le 14 juin de la même année.

La culture de la non-violence et de la paix
Dans sa réflexion, l’assemblée générale de l’ONU a proposé huit grands axes de travail qui sont:

  • le renforcement d’une culture de la paix par l’éducation
  • la promotion et le développement économique et social durable
  • la promotion et le respect de tous les droits de l’homme
  • l’égalité entre les femmes et les hommes
  • la participation démocratique
  • le développement de la compréhension, la tolérance et la solidarité
  • le soutien de la communication participative et de la libre circulation de l’information et des connaissances
  • la promotion de la paix et de la sécurité internationales
Un site à visiter : www.journeedelanonviolence.org     Texte : Journée Mondiale   Image : Gandhi : Political Violence at A Glance

International Day of Peace – 27 September

Each year the International Day of Peace is observed around the world on 21 September. The General Assembly has declared this as a day devoted to strengthening the ideals of peace, both within and among all nations and peoples.

The theme for 2017 is “Together for Peace: Respect, Safety and Dignity for All.”

The theme honours the spirit of TOGETHER, a global initiative that promotes respect, safety and dignity for everyone forced to flee their homes in search of a better life. TOGETHER unites the organizations of the United Nations System, the 193 Member States of the United Nations, the private sector, civil society, academic institutions and individual citizens in a global partnership in support of diversity, non-discrimination and acceptance of refugees and migrants. It was initiated during the United Nations Summit for Refugees and Migrants on 19 September 2016.

“In times of insecurity, communities that look different become convenient scapegoats,” said United Nations Secretary-General António Guterres. “We must resist cynical efforts to divide communities and portray neighbours as ‘the other’. Discrimination diminishes us all. It prevents people — and societies — from achieving their full potential.” He added, “Together, let us stand up against bigotry and for human rights. Together, let us build bridges. Together, let us transform fear into hope.”

This year, the International Day of Peace will focus on engaging and mobilizing people throughout the world to show support for refugees and migrants. Its messages will be shared with communities hosting refugees and migrants as well as people concerned that refugees and migrants may bring physical and economic insecurity to their lives.

The Day will highlight solidarity with refugees and migrants and showcase the shared benefits of migration to economies and nations, while also acknowledging legitimate concerns of host communities. Ultimately, it will be about bringing people together and reminding them of their common humanity.

Source: Text & Image: UN

Journée Internationale de la paix – 27 septembre

Chaque année à travers le monde, nous célébrons la Journée internationale de la paix le 21 septembre. Cette journée a été déclarée par l’Assemblée générale des Nations Unies en vue de renforcer l’idéal de paix, tant au sein des pays et qu’entre les pays eux-mêmes.

Le thème de la Journée en 2017 est : « Ensemble pour la paix : Respect, dignité et sécurité pour tous ».

Ce thème a été choisi pour mettre à l’honneur la Campagne ENSEMBLE, une initiative mondiale des Nations Unies qui favorise le respect, la sécurité et la dignité pour toute personne forcée par les circonstances à fuir son domicile à la recherche d’une vie meilleure.

ENSEMBLE réunit les organismes du système des Nations Unies, les 193 États Membres de l’Organisation des Nations Unies, des entités du secteur privé et de la société civile, des établissements universitaires et des citoyens dans le cadre d’un partenariat mondial en vue de soutenir la diversité, la non-discrimination et l’acceptation des réfugiés et des migrants. La campagne a été lancée le 19 septembre 2016 à l’occasion du Sommet des Nations Unies pour les réfugiés et les migrants.

« En période d’insécurité, les groupes dont la différence est visible, sont pris pour boucs émissaires, par facilité », a souligné le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres. C’est la raison pour laquelle il faut résister aux forces cyniques qui cherchent à diviser les communautés et à diaboliser autrui. « La discrimination nous avilit tous. Elle empêche les personnes et les sociétés de réaliser tout leur potentiel », a-t-il déclaré en janvier 2017, lors d’un Forum de haut niveau sur la lutte contre la discrimination et la haine envers les musulmans.

Cette année, la Journée internationale de la paix mettra donc en évidence l’engagement et la mobilisation d’individus issus des quatre coins du monde en faveur des réfugiés et des migrants. Nous partagerons les expériences vécues par les communautés qui accueillent celles et ceux forcés de fuir leur foyer, ainsi que des récits de réfugiés et de migrants.

Notre objectif est de mettre en lumière les bénéfices mutuels de la migration mais aussi d’aborder les craintes et les questions qui surgissent au sein des communautés d’accueil. L’initiative vise à réfléchir ensemble à toutes ces questions et défis, tout en rappelant l’un de nos fondements commun : notre humanité.

Source: Texte: ONU Image: Journée Mondiale

12th Sunday of the Year, A

« To speak or not to speak: that is the question”, some would say…
This is what we are confronted with in the last lines of this Sunday’s gospel (Mt.10:26-33, 12th Sunday of the Year, Year A) as we hear Jesus tell us:

“If anyone declares himself for me in the presence of people,
I will declare myself for that person
in the presence of my Father in heaven.
But the one who disowns me in the presence of people,
I will disown in the presence of my Father in heaven.”
 
Words that are direct, challenging and perhaps a little disturbing…
Disturbing in this day and age when many will tell you that religion is a private matter.
Some people claim that one should keep to oneself what he or she believes.
We are not to bother others with matters of faith, they say.
Matters of faith which may not interest them, in any case, and which may even antagonize them.

It is true that much harm can be done by speaking in a way that shows no respect for the beliefs of others.
Trying to coerce people to take on our own ways of relating to God – for this is what religion is about – is certainly not what he expects from us.
Yet, there are times when we should speak, situations which call for our intervention.

But we should speak with tact as much as enthusiasm.
Our words should be voiced with as much discretion as conviction.
To be a witness, surely, to speak for God and about God, most certainly but…
it should be done with consideration, compassion, as much as conviction.

We need to allow the Holy Spirit to guide us to speak or not to speak…
He is the one who will enable us to blend, in the proper way, wise speech and respectful silence…

Source: Image: Dissolve
 

1st Sunday of Lent, Year A

  We are all familiar with the use of magnets. A mechanic finds very useful a screwdriver with a magnet to gather screws and bolts.
A seamstress also sees as very practical her scissors with a magnet to pick up pins scattered on the floor.
And many of us have those small magnetic items stuck on the door of the fridge as ‘Bear in mind’ message holders.

These items exert a strong pull on different objects and, as such, I find them an excellent example to illustrate what… temptation is!
For this is very much the theme of this 1st Sunday of Lent, Year A.

What is a temptation really?
We all know it… from experience!
It is a strong pull, a powerful urge awakening in us a desire.
It leads us to want, to want urgently, absolutely, something… someone…

The scene of Jesus’ temptations in today’s gospel (Mt.4:1-11) shows temptation emerging mostly in 3 areas – the areas of… the 3 Ps: Pride – Power – Pleasure.

And our own lives will provide occasions a-plenty, for temptation to manifest itself in the same 3 areas:

PRIDE: Too much arrogance – Not enough respect for others.
POWER: Too much domination – Not enough compassion.
PLEASURE: Too much selfish enjoyment – Not enough true joy shared with others.

Lent is a good period to look precisely at this: the too much and the not enough aspects of our lives and… to increase and to diminish the respective amounts according to the gospel message!

Source: Images:  www.dhgate.com;  Amazon.com;; AliExpress.com;  storiesnow.com