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L’alphabet du Carême – Lettre G

G pour GRAND

Les scènes de l’évangile ont parfois quelque chose de bien contemporain.
On pourrait parfois s’y reconnaître comme dans un miroir.
Il faut avouer que les imperfections et les limitations des personnages se retrouvent parfois… en nous!

Le texte qui suit l’exprime bien :

« Ils (Jésus et ses apôtres) arrivèrent à Capernaüm.
Lorsqu’il fut dans la maison, Jésus leur demanda:
‘De quoi discutiez-vous en chemin?’

Mais ils gardèrent le silence, car en chemin ils avaient discuté entre eux pour savoir qui était le plus grand.
 Alors il s’assit, appela les douze, et leur dit:
‘Si quelqu’un veut être le premier, il sera le dernier de tous et le serviteur de tous’. » (Marc 9:33-35).

 

Être grand/e, non, être le/la plus grand/e – c’est ce que nous désirons, n’est-ce pas?
Se distinguer…
Devancer les autres…
Être plus apprécié/e que les gens qui nous entourent…
Prendre la première place…
Avoir une réputation qui dépasse celle des autres…
Être traité/e avec un respect qui nous mette à part…

Tout comme les apôtres, nous ne voudrions pas le dire à haute voix.
Il vaut mieux ne pas le proclamer ouvertement mais… atteindre quand même le statut convoité!

Mais voilà que Jésus donne une consigne qui va à l’encontre de notre façon de penser.
Une seule phrase qui nous interpelle fortement :

« Si quelqu’un veut être le premier, il sera le dernier de tous et le serviteur de tous. »

Les apôtres ne choisissaient pas spontanément ce chemin vers la grandeur.
Et, d’ordinaire, nous ne sommes pas plus disposé/es à le faire…

Il nous faut en faire l’apprentissage… jour après jour…
Nous mettre à l’école du Maître… à l’écoute de son Esprit qui nous rappelle ce message

 

Source: Image: The Church of Jesus Christ of Latter-Day Saints

 

The Alphabet of Lent – Letter G

G for GREAT

The scenes of the gospel have sometimes a very contemporary aspect.
We could recognize ourselves there as in a mirror.
We must admit that the imperfections and the limitations of the characters can sometimes be found… in us!

The following text shows it clearly:

“They (Jesus and his apostles) came to Capernaum. 
When he was in the house, he asked them, 
‘What were you arguing about on the road?’
But they kept quiet because on the way they had argued about who was the greatest.
Sitting down, Jesus called the Twelve and said, 
‘Anyone who wants to be first must be the very last, and the servant of all’.” (Mark 9:33-35).

To be great, no, to be the greatest – this is what we want, is it not?
To distinguish oneself…
To outdo the others…
To be more appreciated than people around us…
To take the first place…
To have a reputation which surpasses that of others…
To be treated with the respect that makes us stand out…

Like the apostles, we would not want to say it aloud.
It is better not to proclaim it openly but still… attain the desired status!

But Jesus gives a piece of advice which goes against our way of thinking.
A single sentence which challenges us with force:

“Anyone who wants to be first must be the very last, and the servant of all”.

The apostles did not choose spontaneously this path to greatness.
And, usually, we are not more inclined to do so…

We need to learn… day after day…
Following the teaching of the Master… listening to his Spirit reminding us of this message…

 

Source: Image: The Church of Jesus Christ of Latter-Day Saints

 

6th Sunday of Year B – 2024

The Bible offers all kinds of texts to our meditation.
These texts, from different authors and times, are presented in different literary styles.
Some are deep spiritual reflections, others give us more practical guidelines.

Today’s 2nd reading belongs to this last group of texts.
In his letter to the Corinthians, the apostle Paul outlines what their behavior should be
(1 Corinthians 10:31 – 11:1).

One verse has caught my attention:

“I try to be helpful to everyone at all times,
not anxious for my own advantage
but for the advantage of everybody else”.   (Bible of Jerusalem translation)

Quite an inspiring way of life, very demanding indeed, but essentially Christian.
Just imagine for a moment what daily life would be if every believer lived in this way!
No more envy, injustice, anger, vengeance…
No more attempts to outdo others, deceive them, cheat or steal.
No more conflicts of any kind…

A society where the rights of everyone are respected.
A group of people where each makes the contribution that he/she can to the needs of others.
Among them, there is sharing and mutual help, truth and justice prevail.

Reading these lines, you may say that… I am dreaming!
I suppose that I am… dreaming as Jesus taught (Matthew 5:3-12) –
the kind of dream that makes the ‘dreamers’… “blessed and happy”!

 

Note: Another text is available on a different theme, in French, at: https://image-i-nations.com/6e-dimanche-de-lannee-b-2024/

Source: Image: Uplifting Scripture

 

 

 

 

 

World Consumers Rights Day – 15 March 2023

The consumer movement marks 15th March with World Consumer Rights Day every year, as a means of raising global awareness about consumer rights and needs. Celebrating the day is a chance to demand that the rights of all consumers are respected and protected, and to protest against market abuses and social injustices which undermine those rights. 

World Consumer Rights Day is globally recognised and accredited by the United Nations. For 40 years Consumers International has run the campaign, uniting the consumer movement to celebrate together. Consumers International Members help to select the campaign topic each year to help mobilise global action on pressing issues impacting consumers.  

On 15 March 1962, President John F Kennedy sent a special message to the US Congress in which he formally addressed the issue of consumer rights. He was the first world leader to do so, and the consumer movement now marks 15 March, with World Consumer Rights Day, every year as a means of raising global awareness about consumer rights and needs. 

President Kennedy said: ‘Consumers include us all. They are the largest economic group, affecting and affected by almost every public and private economic decision. Yet they are the only important group… whose views are often not heard.’

 

Source: Text & Image: https://www.consumersinternational.org/    

Journée Mondiale du migrant et du réfugié – 25 septembre 2022

Après le mois de décembre (Journée internationale des migrants) et le mois de juin (Journée Mondiale des réfugiés), c’est la troisième journée consacrée à la douloureuse question des migrants.Au delà de ce téléscopage de dates, la Journée Mondiale du migrant et du réfugié a été célébrée chaque 2ème dimanche après le 6 janvier, à l’initiative de l’église catholique. A partir de 2019, la date retenue varie, et est en principe fixée au dernier dimanche de septembre. Sauf exception. En 2022, la date retenue est le dimanche 25 septembre.
L’engagement de l’Eglise n’est pas nouveau et de nombreux prêtres et évèques prennent position dans le débat, au nom des droits de l’homme et du respect de la dignité humaine.

Les droits élémentaires de la personne humaine

« le fait d’être en situation irrégulière ne fait pas perdre ses droits élémentaires à quelque personne que ce soit. (…) Nous voulons dire notre admiration et notre soutien aux chrétiens qui se mettent au service de leurs frères déplacés, avec un grand désintéressement personnel et associatif… »
Mgr Vingt-Trois, ancien archevèque de Paris.

2022, la 108 ème édition

Chaque année, la journée est placée sous un thème proposé par le Conseil Pontifical pour la Pastorale des Migrants et des Personnes en Déplacement.

Construire l’avenir avec les migrants et les réfugiés

C’est le thème retenu pour l’édition 2022 et vous pouvez découvrir le texte intégral du message envoyé par le pape François à cette occasion.

 

Un site à visiter : migrants-refugees.va     Source: Texte: Journée mondiale   Image: Service national Missions et Migrations – église catholique

Journée internationale de l’amitié – 30 juillet

Journée internationale de l'amitié

Elle a été proclamée en 2011 par l’ONU pour promouvoir l’amitié entre les peuples, les pays, les cultures et les individus et inspirer autant que faire se peut les efforts de paix entre communautés… un discours qui fait du bien même si il faut se reférer au Docteur Coué !

Amitié, culture de paix

La résolution 65/275 votée par l’ONU insiste sur la participation des jeunes et sur celle des futurs dirigeants de pays, à des activités qui impliquent les différentes cultures et proment la compréhension entre les pays et les communautés et le respect de la diversité.

La Journée Internationale de l’amitié soutient aussi les buts et les objectifs de la « Déclaration et du Programme d’action sur une culture de la paix » (ONU).

L’ONU encourage les gouvernements, les ong et les individus à organiser toutes sortes d’événements, activités et initiatives qui contribuent aux efforts de la communauté internationale de promotion d’un dialogue entre les civilisations, la solidarité, la compréhension mutuelle et la réconciliation.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale du jeu d’échecs – 20 juillet

Journée mondiale du jeu d'échecs

Il s’agit d’une journée bel et bien officielle, décrétée par les Nations Unies (A/RES/74/22), le jeudi 12 décembre 2019. La date du 20 juillet a été retenue comme étant la «Journée mondiale du jeu d’échecs». L’ONU a souligné que ce jeu contribue à l’égalité des genres (sic) et participe à la mise en oeuvre des objectifs de développement pour 2030.

« Le jeu d’échecs permet le renforcement de l’éducation, de l’égalité des genres et de l’avancement des femmes et des filles, ainsi que de l’inclusion, la tolérance, la compréhension mutuelle et le respect».

L’ONU invite tous les Etats membres à célébrer la Journée mondiale du jeu d’échecs. La résolution a été proposée par plusieurs pays parmi lesquels ont retrouve l’Arménie, la Russie, le Bangladesh, l’Inde, la Chine, le Cameroun, Cuba et le Liban.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale      Illustration: couverure de l’album « Le joueur d’échecs » de David Sala, d’après l’oeuvre de Stefan Zweig

Journée mondiale du travail social – 15 mars 2022

Le but de cette journée est de mettre en évidence l’utilité du travail des « professionnels de l’action sociale ». Il s’agit d’une journée relativement ancienne puisque sa première édition remonte à 1983.

Chaque année, un thème est retenu. Après 2015, où nous étions invités à réfléchir sur la question de la dignité humaine, 2017 a proposé une réflexion sur le développement durable. En 2019, le thème retenu était « Promouvoir l’importance des relations humaines ».

Le thème retenu pour 2022 est « Co-construire un nouveau monde éco-social : Ne laisser personne de côté ».
Guidés par des principes éthiques, les praticiens et éducateurs du travail social et du développement social ont un rôle essentiel à jouer pour connecter les personnes, les communautés et les systèmes; co-concevoir et co-construire des communautés durables et promouvoir une transformation sociale inclusive..

Des relations sociales vraiement… humaines

L’action sociale n’est plus vécue uniquement comme un « service social » mais bien comme un « service à la personne » une relation qu’il faut « garantir » dans un environnement à préserver et promouvoir. La journée 2022 associe le respect de la personne humaine et celui des relations du même nom. Tout un programme.

Un site à visiter : www.anas.fr     Source: Texte & Image: Journée Mondiale   2è image: The Social Worker – WordPress.com