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Journée Mondiale de la mer – 28 septembre 2023

Journée Mondiale de la mer
Tous les ans, l’Organisation maritime internationale, ses 164 États Membres et ses trois Membres associés célèbrent la Journée mondiale de la mer, le dernier jeudi de septembre. L’occasion de faire connaître à un large public les objectifs et les réalisations de l’Organisation mais aussi de le sensibiliser davantage au rôle vital que joue le secteur maritime dans la vie de tout un chacun.

Pleins feux sur la sureté maritime

En 2002, l’OMI a souscrit à un nouvel énoncé de mission, prenant acte de l’évolution de ses priorités, le mot d’ordre « Pour une navigation plus sûre et des océans plus propres » devenant « Sécurité, sûreté et efficacité de la navigation sur des océans propres ». Cette nouvelle formulation était mieux adaptée aux objectifs plus larges de l’Organisation et donnait un schéma directeur pour les actions à entreprendre. En choisissant le thème de la Journée mondiale de la mer de cette année, nous avons voulu mettre en évidence l’importance particulière que l’OMI accorde, ces derniers temps, à la sûreté maritime.

Alors même que les risques naturels ne manquent pas en mer, chacun sait aujourd’hui que la navigation est aussi exposée au risque de la criminalité en mer et au fléau du terrorisme international. Malheureusement, ce phénomène n’a rien de nouveau. À la fin des années 70 déjà, l’OMI a dû s’occuper de la baraterie, la capture illégale de navires et de leur cargaison ou d’autres formes de fraude maritime. Depuis 1982, l’OMI surveille l’évolution de la piraterie et des vols à main armée visant les navires, dans différentes régions du monde, et a pris des mesures pour lutter contre ce phénomène dans les zones les plus touchées.

Après le drame de l’Achille Lauro en 1985, où des terroristes s’étaient emparés d’un navire de croisière italien et avaient tué un passager avant de négocier leur retraite, l’OMI a commencé à élaborer une série de dispositions techniques visant à empêcher les actes illicites contre les passagers et les équipages à bord des navires, ce qui a abouti en mars 1988 à l’adoption de la Convention pour la répression d’actes illicites contre la sécurité de la navigation maritime (Convention SUA) et de son protocole relatif aux plates-formes au large.

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route – 20 novembre

 
Cette journée fait partie des célébrations décrétées directement par l’ONU, qui invite, depuis 2005, « Les États Membres et la communauté internationale à célébrer chaque année, le troisième dimanche de novembre, la Journée mondiale du souvenir des victimes de la circulation routière, en hommage aux victimes des accidents de la route et à leurs familles. » (extrait de la résolution RES/60/5 du 1er décembre 2005). Cette Journée mondiale est depuis lors commémorée dans un certain nombre de pays, même si elle reste assez peu relayée dans les grands médias.Elle cherche à attirer l’attention du grand public sur l’ampleur des dégâts causés par les accidents de la route, aussi bien matériels qu’émotionnels, et rendre hommage à toutes les victimes de la route ainsi qu’aux services de secours et de soutien.

Beaucoup d’accidents auraient pu être évités

C’est avec cette idée forte que de nombreuses associations luttent et tentent de promouvoir des comportements civiques et sécuritaires plus forts chez les conducteurs, sans négliger l’action auprès des pouvoirs publics, reponsables quant à eux, de la subsistance de nombreux points noirs.

Un site à visiter : www.violenceroutiere.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale de l’habitat – 2 octobre

Journée Mondiale de l'habitat

Sur la recommandation de la Commission des établissement humains, l’Assemblée générale a décidé, en 1985, que le premier lundi d’octobre de chaque année serait la « Journée mondiale de l’Habitat » (résolution 40/202 A). La journée a été célébrée pour la première fois en 1986 pour marquer le dixième anniversaire de la première conférence internationale sur le sujet. “Nous vivons une ère d’urbanisation rapide où près de la moitié de la population des pays en développement et les trois quarts de la population des pays développés vivent et travaillent dans les villes”, a rappelé Mme Tibaijuka à Nairobi, il y a 15 ans, lors de la célébration de la Journée mondiale de l’habitat 2004.UN-Habitat, a élaboré un plan modèle visant à combiner des politiques d’urbanisation judicieuses à des initiatives rurales axées sur le développement en vue d’aider à modifier le flux de demandeurs d’emplois vers les centres urbains.

Zéro Expulsion

Depuis 2005, en prolongement de la journée mondiale de l’habitat, l’Alliance Internationale des Habitants a lancé la campagne expulsion zéro ainsi que la journée mondiale expulsion zéro.
Afin de réagir à l’augmentation des expulsions à travers le monde (15% de la population mondiale est menacée) pour les raisons suivantes:

  • investissements étrangers dans les pays endettés.
  • les privatisations du secteur et la libéralisation du marché immobilier.
  • les nettoyages ethniques.
  • les occupations et les guerres
  • les spéculations humaines sur les désastres naturels.

L’idée est de faire réagir l’ONU qui vise l’amélioration des conditions d’habitations de 100 millions de personnes, tandis que le risque de mal logés devrait augmenter lui aussi.

L’Alliance Internationale des Habitants se base sur le droit de vivre en paix, en sécurité, avec dignité et pour un coût supportable.

 

Un site à visiter : unhabitat.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale des enfants des rues – 12 avril

Pour célébrer le 20ème anniversaire de la Convention relative aux droits de l’enfant (signée en 1989 !), l’UNESCO a organisé en 2009, la journée des enfants des rues. La date est restée dans le calendrier.

International day for street children

De nombreuses associations luttent en faveur des enfants des rues, que ce soit en Europe, en A frique, en Amérique Latine ou en Asie, qu’elles soient ou non confessionnelles. Leur action de terrain permet de réaliser un véritable travail de fourmi en faveur des enfants, de leur éducation, de leur sécurité, allant parfois jusqu’à une véritable renaissance des liens sociaux et familiaux.

Des espaces sûrs pour les enfants des rues

En 2018, le SCC (consortium pour les enfants des rues) avait lancé une campagne intitulée « 4 étapes vers l’égalité », un appel aux gouvernements du monde entier à prendre quatre mesures pour réaliser l’égalité pour les enfants des rues.

Elles sont basées sur l’Observation générale des Nations Unies :

  • S’engager pour l’égalité
  • Protégez chaque enfant
  • Fournir l’accès aux services
  • Créer des solutions spécialisées
Un site à visiter : www.streetchildren.org      Source: Texte: Journée Mondiale    Image: Dianova International

Journée internationale de l’épilepsie – 14 février 2022

Journée internationale de l'épilepsie

L’épilepsie reste une maladie encore mal connue. C’est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l’épilepsie de l’ombre en organisant, depuis l’an 2000 une Journée nationale dédiée à l’épilepsie. La Journée Internationale de l’Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays.

La plupart d’entre nous confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée ; et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n’y a pas une mais des épilepsies…

L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal de l’activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu’au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d’épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n’existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes

Un des buts de cette journée est d’informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise ; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l’empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace

Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l’épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d’épilepsie. Aujourd’hui, 70 % des cas d’épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Un thème pour 2022

« L’épilepsie, parlons-en !« 
pour mieux faire connaître l’épilepsie et ses différentes manifestations
pour combattre la méconnaissance et les préjugés autour de l’épilepsie. 
 

Un site à visiter : www.epilepsie-france.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de la Douane et sur l’éthique – 26 janvier

La Journée internationale de la douane est parrainée par l’Organisation mondiale des douanes. Celle-ci compte 150 états membres et a son siège social à Bruxelles. Son but est de faciliter le commerce et les voyages pour tous les citoyens du monde.

Célébrée chaque année le 26 janvier, cette journée spéciale souligne les efforts des hommes et des femmes qui travaillent dans les administrations douanières du monde entier. C’est l’occasion de rappeler comment les douanes contribuent à assurer la sécurité et la prospérité de nos collectivités comme par exemple en luttant contre les trafics de drogue ou de contrefaçons.

Des manifestations bien discrètes

Traditionnellement, les pays participants organisent pour l’occasion des événements à l’échelle nationale. Mais tout aussi importantes sont les activités plus modestes qui ont cours dans les bureaux locaux ou régionaux. Il peut s’agir d’événements publics ou, plus simplement, les directeurs locaux peuvent réunir leur employés pour les féliciter de leur bon travail à l’occasion d’une pause-café-gâteau.

Source: Texte (abrégé) & Image:  Journée Mondiale

3è dimanche de l’année C – 2022

La 1ère lecture de ce dimanche nous donne une description imagée d’une célébration liturgique chez les Israelites, le peuple que Dieu a choisi (Néhémie 8:2-6,8-10).
Revenus dans leur pays après l’exil, ceux-ci peuvent désormais continuer d’honorer Dieu selon les prescriptions que, bien des siècles auparavant, Moïse leur a léguées.

De ce long texte, une phrase m’a frappée:
« Esdras lisait un passage dans le livre de la loi de Dieu,
puis les Lévites traduisaient, donnaient le sens, et l’on pouvait comprendre. »

Il y a bien longtemps j’ai lu un texte d’un auteur de livres de spiritualité.
L’une de ses paroles est demeurée avec moi jusqu’à ce jour.
Il s’exprimait en des termes semblables à ceux-ci:

« Plus que la nourriture et le breuvage,
plus que la détente et le repos,
plus que quoi que ce soit que l’on juge essentiel pour l’être humain,
ce qu’il lui faut absolument c’est de découvrir un sens à son existence. »

Si vous considérez ce que ce texte affirme, j’ose croire que vous serez bien vite convaincu/es. 
Et peut-être une question surgira-t-elle à votre esprit vous interpelant et vous incitant à vous demander:
‘Ai-je découvert un sens à MA vie sur cette planète?…’

Il en va de notre équilibre et de notre bonheur au quotidien – rien de moins!
Le taux de suicides chez les gens qui, selon l’expression courante ‘ont tout pour être heureux’, en est la preuve évidente.

Si l’on manque cet élément essentiel: la signification de l’existence sur cette planète,
alors, pourquoi se lever chaque matin, vaquer aux occupations du quotidien, s’abandonner au repos et… recommencer le lendemain?

La parole de Dieu nous livre ce secret.
Le message de Dieu qui nous rejoint personnellement nous révèle le pourquoi de notre être, la raison de notre existence.

Et alors, une joie indicible peut devenir nôtre –celle-là dont le sage disait:
« La joie du Seigneur est votre rempart ! »
 
Un rempart… symbole de protection et de sécurité…
Une sécurité qui procure la sérénité à travers tout…
 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/3rd-sunday-of-year-c-2022/

 

Source: Images: Redeedming God   unsplash.com

2è dimanche de l’Avent, année C – 2021

Nous nous efforçons de plaire à Dieu, sans doute.
Il est vrai que nous faisons de notre mieux pour suivre le chemin que Jésus nous a montré.
Mais peut-être n’avons-nous pas toujours conscience que… Dieu s’efforce aussi de nous plaire!

Vous souriez mais, à ce sujet, le texte de la 1ère lecture a quelque chose d’étonnant (Baruch 5:1-9).
À Jérusalem, qui représente le peuple de Dieu, le prophète Baruch dit:

« Jérusalem, quitte ta robe de tristesse et de misère,
et revêts la parure de la gloire de Dieu pour toujours,
enveloppe-toi dans le manteau de la justice de Dieu,
mets sur ta tête le diadème de la gloire de l’Éternel. »

Un texte assez spécial!
Tout ce dont nous devons nous revêtir vient de Dieu!
Sa « parure de gloire, son manteau de justice et son diadème de gloire. »

Un peu comme des enfants qui désirent prouver à leurs parents qu’ils/elles sont capables de réussir,
nous croyons souvent qu’il faut réaliser nous-mêmes ce que Dieu désire accomplir en nous!

En cette période de l’Avent, il convient peut-être de nous poser quelques questions :

  • Sommes-nous prêt/es à dépendre de lui, ou tentons-nous de tout faire nous-mêmes?
  • Attendons-nous avec confiance son intervention, ou désirons nous faire les choses à notre façon?
  • Voulons-nous prouver quelque chose à Dieu, ou sommes-nous content/es de nous en remettre à ce qu’il est prêt à réaliser en nous?

Évidemment, nos efforts sont requis, notre bonne volonté doit se manifester au quotidien.
Mais le plus important est d’accepter de recevoir de Dieu tout ce dont il désire nous combler.

Et alors, nous assure Baruch: « Dieu a décidé » que nous cheminerions dans la SÉCURITÉ et qu’il nous conduirait dans la JOIE !

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-advent-year-c-2021/

Et dans une courte vidéo, Ghislaine Deslières nous partage ses pensées en ce 2è dimanche de l’Avent, année C:  https://youtu.be/jN7uIU0V9-E

 

Source: Images: Catechisme Emmanuel    Robe

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route – 21 novembre 2021

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route

Cette journée fait partie des célébrations décrétées directement par l’ONU, qui invite, depuis 2005, « Les États Membres et la communauté internationale à célébrer chaque année, le troisième dimanche de novembre, la Journée mondiale du souvenir des victimes de la circulation routière, en hommage aux victimes des accidents de la route et à leurs familles. » (extrait de la résolution RES/60/5 du 1er décembre 2005).

Cette Journée mondiale est depuis lors commémorée dans un certain nombre de pays, même si elle reste assez peu relayée dans les grands médias.

Elle cherche à attirer l’attention du grand public sur l’ampleur des dégâts causés par les accidents de la route, aussi bien matériels qu’émotionnels, et rendre hommage à toutes les victimes de la route ainsi qu’aux services de secours et de soutien.

Beaucoup d’accidents auraient pu être évités

C’est avec cette idée forte que de nombreuses associations luttent et tentent de promouvoir des comportements civiques et sécuritaires plus forts chez les conducteurs, sans négliger l’action auprès des pouvoirs publics, reponsables quant à eux, de la subsistance de nombreux points noirs.

Ironie de la situation

En 2020, avec les 2 confinements, on a beaucoup moins roulé. Les chiffres de mortalité sur les routes se sont améliorés. Les chiffres de 2021 tomberont dans quelques mois et nous saurons si nous avons renoué avec le « monde d’avant » !

Un site à visiter : www.violenceroutiere.org

Journée Internationale de la femme rurale – 15 octobre

Cette journée, connue au départ (2008) sous le nom de Journée Internationale des Paysannes, est depuis 2012 repertoriée comme étant la journée internationale de la femme rurale.

C’est l’ONU qui en est à l’origine et c’est son secrétaire général de l’époque, Ban Ki-moon, qui avait délivré un message à l’occasion de son lancement:

« L’autonomisation des femmes revêt une importance cruciale pour éradiquer la faim et la pauvreté. En privant les femmes de leurs droits et de possibilités, ce sont leurs enfants et leurs sociétés que nous privons d’un avenir meilleur. C’est la raison pour laquelle l’Organisation des Nations Unies a récemment lancé un programme d’autonomisation des femmes rurales et de renforcement de la sécurité alimentaire.« 

Un rôle incontournable

Les femmes rurales jouent un rôle essentiel et inconturnable dans les économies rurales des pays en voie de développement. Dans la plupart d’entre eux, elles participent à la production agricole, fournissent la nourriture, l’eau et le combustible pour leur foyer. Elles mènent de front d’autres travaux en dehors de la ferme pour améliorer le niveau de vie de leur famille.

De plus, elles sont en première ligne pour assurer des fonctions vitales comme l’éducation des enfants, la prise en charge des malades et des personnes âgées.

Les reconnaître et les soutenir en tant que telles peut constituer un levier de développement extrêmement puissant.

Sur la même thématique, vous pouvez aussi visiter la page consacrée à la Journée Mondiale des luttes paysannes, célébrée le 17 avril.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale