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Journée Internationale de la paix – 27 septembre

Chaque année à travers le monde, nous célébrons la Journée internationale de la paix le 21 septembre. Cette journée a été déclarée par l’Assemblée générale des Nations Unies en vue de renforcer l’idéal de paix, tant au sein des pays et qu’entre les pays eux-mêmes.

Le thème de la Journée en 2017 est : « Ensemble pour la paix : Respect, dignité et sécurité pour tous ».

Ce thème a été choisi pour mettre à l’honneur la Campagne ENSEMBLE, une initiative mondiale des Nations Unies qui favorise le respect, la sécurité et la dignité pour toute personne forcée par les circonstances à fuir son domicile à la recherche d’une vie meilleure.

ENSEMBLE réunit les organismes du système des Nations Unies, les 193 États Membres de l’Organisation des Nations Unies, des entités du secteur privé et de la société civile, des établissements universitaires et des citoyens dans le cadre d’un partenariat mondial en vue de soutenir la diversité, la non-discrimination et l’acceptation des réfugiés et des migrants. La campagne a été lancée le 19 septembre 2016 à l’occasion du Sommet des Nations Unies pour les réfugiés et les migrants.

« En période d’insécurité, les groupes dont la différence est visible, sont pris pour boucs émissaires, par facilité », a souligné le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres. C’est la raison pour laquelle il faut résister aux forces cyniques qui cherchent à diviser les communautés et à diaboliser autrui. « La discrimination nous avilit tous. Elle empêche les personnes et les sociétés de réaliser tout leur potentiel », a-t-il déclaré en janvier 2017, lors d’un Forum de haut niveau sur la lutte contre la discrimination et la haine envers les musulmans.

Cette année, la Journée internationale de la paix mettra donc en évidence l’engagement et la mobilisation d’individus issus des quatre coins du monde en faveur des réfugiés et des migrants. Nous partagerons les expériences vécues par les communautés qui accueillent celles et ceux forcés de fuir leur foyer, ainsi que des récits de réfugiés et de migrants.

Notre objectif est de mettre en lumière les bénéfices mutuels de la migration mais aussi d’aborder les craintes et les questions qui surgissent au sein des communautés d’accueil. L’initiative vise à réfléchir ensemble à toutes ces questions et défis, tout en rappelant l’un de nos fondements commun : notre humanité.

Source: Texte: ONU Image: Journée Mondiale

21è dimanche de l’année A

L’évangile de ce dimanche (21è de l’année A – Mt.16 :13-20) a quelque chose d’assez surprenant.
Il nous présente une scène inusitée et des questions qui le sont encore plus.
Voilà que Jésus demande à ses apôtres comment les gens le voient.
Il semble vouloir savoir ce que les gens pensent de lui, comment ils le perçoivent.

N’est-ce pas un peu étrange que Jésus se… préoccupe de l’impression que sa personne et son enseignement donnent à ses auditeurs?
Il savait déjà ce que les Pharisiens pensaient de lui – ils disaient ouvertement qu’il était possédé (Mc.3:22-30) (Jn.8:51-52) – même si l’un d’eux avait pourtant affirmé  que nul homme n’a parlé comme lui  ! (Jn.7:46).
Les scribes reconnaissaient qu’il agissait avaec droiture et qu’il ne faisait pas de différence entre les gens. (Lc.20:20-21)

Et, comme nous tous, Jésus devait deviner un peu ce que les gens disaient à son insu!
Il était évident que ses auditeurs – et auditrices, sûrement – étaient suspendu/es à ses lèvres (Lc.19:48).
On se questionnait ouvertement : Où a-t-il pris cette sagesse et ces pouvoirs miraculeux? (Mt.13:54).

Pourtant, Jésus ne semble pas satisfait de cela, il pose une question directe à ceux qui cheminent avec lui depuis un certain temps déjà.
Alors qu’il approche de Césarée de Philippe avec eux, Jésus demande à ses disciples :
« Au dire des gens, qui est le Fils de l’homme ? »
 
On se demande : ‘Pourquoi’? Pourquoi Jésus pose-t-il cette question?
On peut faire maintes suppositions et spéculations – et plusieurs sans doute s’adonnent à cet exercice.
Mais nous ne saurons jamais la réponse à ce pourquoi.
Mais ce n’est pas là l’important, vraiment pas!

La conversation se poursuit avec la réponse des apôtres qui répètent ce qu’ils ont entendu – le nom de personnages célèbres dans l’histoire de leur peuple, des prophètes que l’on croit revenus à la vie !

La question, et la réponse qu’elle obtient, n’étaient en fait que le début de… l’interrogation.
Une autre question va suivre – plus immédiate, plus personnelle, plus… engageante :
« Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? »
 
Interpelés par ces paroles, les apôtres laissent prudemment à Pierre la responsabilité de donne une réponse, la BONNE réponse, celle-là même qui ne peut venir que ‘soufflée’ par L’Esprit Saint !

Mais la même question résonne encore en ce 21è siècle qui est le nôtre.
Cette fois, elle s’adresse directement, personnellement et… existentiellement, à chacun et chacune de nous.
On peut tenter de prendre ses distances, de délibérer avec soi-même pendant un certain temps, mais on ne peut y échapper.
Il y a les réponses mémorisées depuis longtemps, les réponses répétées quand il le faut, les réponses qui satisferaient peut-être les professeurs et les théologiens mais . . .

Mais Lui, Il veut NOTRE réponse… personnalisée !
« Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? »

Source: Image: ferrysburgchurch.com

21st Sunday of the Year, A

Questions, questions!
Our world is full of them, our lives are full of them – we can’t escape them!
Our minds search and struggle to find the answers – the correct answers, of course.

“What is this?”
“Where did you go?”
“Whom did you meet?”
“How did you manage?”
“Why did you do this?”

Some questions may be important, very important in themselves.
Others may become so because of the person addressing them to us.

And what if it is… God himself who questions us?
This is what happens in the gospel of this Sunday (21st Sunday of Year A – Mt.16:13-20) where Jesus (God-wit-us) asks his apostles:

“You, who do you say I am?”

This question is over 2000 years old and yet… very actual because we know that – in a mysterious way – it concerns us as well!
As you read these words your mind may be already at work.
If you ask yourself who Jesus is for you, the answer coming may be one of those memorized long ago:

  • He is the Son of God, the second Person of the Holy Trinity.
  • He is our Saviour, our Redeemer.
  • He is the Good Shepherd.
  • He is…

And if I stopped you there and asked as Jesus did: “Who is he for you?”
 
This Sunday provides us with a good opportunity to become aware of this – aware of who he is for us, in our lives, from moment to moment.
Aware of what he wants to be and what kind of very personal relationship he wants with each one of us.
Yes, this is a unique occasion to REAL-ize this!

Source: Image: Free Bible Images

La publicité…

LA PUBLICITÉ…

On ne peut pas y échapper!
Elle attire… elle fascine… elle convainc…
Et elle nous a même emprunté…
Emprunté? Oui, emprunté le vocabulaire et les thèmes familiers… autrefois réservés aux sujets d’un… ‘univers parallèle’ vous diront les gurus de ce siècle!

Vous êtes étonné! Perplexe? Mais voyez par vous-même…

Il y a quelques jours, je me promenais parmi les magasins d’un Centre d‘achats.
Et voilà que je me retrouve devant ce magasin aux fragrances aphrodisiaques – il y en a même une nommée: fragrance PERFECTION!
Oui, je fais face à: la PHARMACIE ÉTERNELLE – rien d’autre!

Assise dans l’abribus pour le retour chez moi, un autobus passe devant moi avec un panneau visuel où la Société de transport m’invite : PARTAGEZ LA BONNE NOUVELLE – et il ne s’agit évidemment pas de l’évangile!

Peu après mon retour, je reçois un appel d’un courtier d’ASSURANCE-VIE qui, à grand renfort arguments, m’assure la SÉCURITÉ si je fais affaire avec leur firme.
Alors que la semaine dernière un autre courtier m’avait venté la FIABILITÉ de leur entreprise.

La télé nous présente les multiples annonces des concessionnaires d’automobiles qui eux nous promettent… vous l’avez deviné : le POUVOIR DE CONTRÔLE!
Durant la pause publicitaire suivante, on m’assure que telle auto – unique, il faut le dire – me conduira à l’infini : INFINITÉ est justement son nom !

Ceux qui offrent de planifier vos vacances en vous libérant de tout souci recommandent un hôtel : ‘Pour faire le vide, ou faire le plein!…’ selon vos désirs.

Plusieurs d’entre vous connaissez les moines bénédictins dont la devise séculaire est : ‘Ora et labora’ – ‘Prie et travaille’.
Eh bien oui, il y a maintenant une résidence moderne, répondant à toutes vos attentes et des plus accueillantes. Son nom? ORA! Une invitation à la prière? Permettez-moi d’en douter!…

J’arrête ici ce répertoire recueilli récemment.
Il m’a fait réfléchir… et m’a fait me poser des questions sérieuses…

  • Quelle est mon… assurance pour la vie?
  • La fiabilité et la sécurité, je les trouve avec qui?
  • L’infini et l’éternité font-ils partie de mon paysage quotidien, ou sont-ils bien loin à l’horizon?
  • Qu’est-ce qui est vraiment ‘bonne nouvelle’ pour moi?
  • Où en suis-je… À faire le plein, ou à faire le vide…? De quoi?
  • La prière… Saint-Benoît s’y connaissait… et moi?
  • Quant à la perfection… j’ose croire que l’Esprit m’y achemine, jour après jour…

Des questions bien sérieuses pour cette saison estivale mais… qui sait?
Les réponses pourraient devenir ‘rafraîchissantes’…

Source: Images: Colourbox.com   123RF.com   Dreamstime.com   valiryo.com  

 

 

La Journée Internationale de la diversité Biologique – 22 avril

La Journée Internationale de la diversité Biologique, organisée chaque année par la Vague Verte, est l’occasion de sensibiliser le grand public et d’apporter des réponses à ses questions sur la biodiversité. En 2009, l’accent avait été mis sur les espèces exotiques envahissantes, dites EEE, qui constituent une des plus grandes menaces à la biodiversité et à l’écologie.

Pour faire simple, une EEE est un organisme vivant, animal ou végétal, qui s’installe dans un milieu naturel qui n’est pas le sien, le colonise, déréglant ainsi l’équilibre naturel du milieu concerné. L’exemple de l’algue Caulerpa taxifolia est célèbre: implantée accidentellement aux abords du musée océano- algue, prévention, stratégie, collbgraphique de Monaco, elle envahit les fonds marins, détruisant toutes les autres espèces sur son passage.

« La méthode de contrôle la plus efficace et réalisable est la prévention. Pour réussir, cette stratégie exige une collaboration entre les gouvernements (…), et les organisations internationales. »  Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon

Les touristes ramenant des animaux exotiques sur leur lieu de vie sont l’une des principales causes d’invasion de ces espèces envahissantes. Pour contrer cette invasion, Ban Ki-Moon annonce une règle simple: « laissez les organismes vivants dans leur habitat naturel et ramenez à la maison seulement des souvenirs. »

Toute l’année 2010 sera consacrée à la biodiversité, ce qui augure bien d’une journée mondiale exceptionnelle. Le thème de cette prochaine journée sera la diversité biologique pour le développement et la réduction de la pauvreté.

Biodiversité : combien d’espèces connaît-on aujourd’hui dans le Monde ?
La biodiversité englobe l’ensemble des espèces animales et végétales vivantes sur terre (et dans les mers). La biosphère abriterait entre 5 et 30 millions d’espèces (estimation).
Environ 1,7 million d’espèces animales sont répertoriées, et chaque année de nouvelles espèces sont répertoriées. Malheureusement, de nombreuses espèces disparaissent également, souvent à cause des actions irresponsables de la société humaine.

De nombreux sites internet sont consacrés à ce sujet et on pourra utilement visiter le site des Nations Unies sur la Convention sur la diversité biologique. Il sera peut-être plus facile de vous documenter en visitant le site proposé par le ministère (français) de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire.

Un site à visiter : www.unep.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Vendredi-Saint, année A

Vendredi-Saint… Jour de questionnement…

La première question qui me vient à l’esprit est : ‘Où sont-ils donc tous passés?…’
 
Oui, où sont-ils les boîteux qui ne boitillent plus.
Les aveugles maintenant voyants.
Les sourds percevant les voix et les sons.
Les paralytiques désormais libres d’aller ici et là.
Les lépreux à la peau renouvelée.
Tous ces gens libérés, affranchis, guéris, de leurs afflictions et de leurs limitations.

Mais où sont-ils allés, où sont-elles disparues?…
Il n’y en a pas un pour dire : ‘Il m’a fait du bien…’
Il n’y en a pas une seule pour affirmer : ‘Je suis guérie grâce à lui…’
La peur, la honte, le souci de ne pas se compromettre, eux, sont bien là.

On reste caché pour ne pas avoir à témoigner.
On se dissimule pour ne pas être pris pour cible.
Les criards crient, ces meneurs à la voix stridente qui entraînent les autres.

Un seul verdict est admissible : coupable.

La deuxième question est celle que j’entends… si faible… des lèvres de Jésus :
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné? » (Mt.27 :46).
Dieu mourant… questionne… Son Dieu, l’Éternel.
On a dit que Dieu ne peut pas mourir –
mais le Dieu-fait-homme est tout près de rendre son dernier souffle d’être humain…

Et la dernière question surgit du plus profond de moi : ‘POURQUOI?…’
 
Un jour, contemplant la scène du Christ en croix, quelqu’un a dit : « L’amour fait de telles choses… »

Source: Image: IndianGoogle.com  H&BPHOTOGRAPHY

5è dimanche du Carême, année A

Des questions! La vie en est remplie, elles défilent sans arrêt au quotidien…

Où est-il? Quand viendra-t-elle?
Qui a fait cela? Pourquoi ne pas le dire?
Et la liste peut s’allonger indéfiniment…

Questions banales ou… lourdes de conséquence…
Dépendamment de ce sur quoi porte la question et…
De qui pose la question…  Et si c’est Dieu qui pose la question…

Oui, Dieu-l’un-de-nous qui demande : « Crois-tu? »
Il ne dit pas : « Connais-tu le credo? »
Il ne demande pas: « Acceptes-tu les dogmes? »
Il ne s’enquiert pas si j’adhère à la foi traditionnelle – non, rien de cela.

Il dit simplement :
« Quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais.
Crois-tu cela ? »

 C’est la question qu’il pose à Marthe dans l’évangile de ce 5è dimanche du Carême (année A, Jn.11 :1-45).

Elle et sa sœur, Marie, pleurent le décès de leur frère, Lazare, l’ami de Jésus.
Oui, c’était connu, Lazare était l’ami de Jésus mais lui, Jésus, n’est pas venu à temps.
Il est là maintenant et il pose cette question, une question qui va au cœur de la réalité humaine –
C’est vraiment une question de vie et… de mort.
Et plus encore !…

Je suis consciente que la question s’adresse à moi également.
J’ai souvent prononcé – plus ou moins consciemment : « Je crois à la résurrection des morts… »
Mais est-ce que je crois – VRAIMENT – en LUI ?

Lui qui dit à Marthe :
« Moi, je suis la résurrection et la vie,
Celui qui croit en moi ne mourra jamais. »
 
Et croire en Lui… ça veut dire quoi ?
Ça engage à quoi ?
Et… ça donne quoi ?… La vie pour toujours !
Vraiment ?…

Il faut risquer… le croire… pour le savoir…


On peut aussi voir la vidéo sur ce thème à: http://image-i-nations.com/marthe-de-bethanie-pleure-mort-de-frere/

Source: Image: Fr. Ed Brown OMV

3è dimanche du Carême, année A

Ce texte de la Samaritaine rencontrant Jésus au puits de Jacob nous est bien connu (Jn 4: 5-15,19-26,39-42).
Les différents aspects de cette scène font l’objet de multiples commentaires et les réflexions d’auteurs spirituels se multiplient pour en faire ressortir ce qui peut nous inspirer.

Pour ma part, ce qui me fascine c’est… ce qui n’est pas dit, plus précisément : les questions qui ne sont pas posées !
Dans la mentalité juive de l’époque, et particulièrement celle des scribes et des Pharisiens du temps, on pourrait s’attendre à ce que Jésus demande à la femme :

  • Pourquoi vis-tu avec cet homme qui n’est pas ton mari ?
  • Pourquoi changes-tu, à tout moment, tes compagnons de vie?
  • Pourquoi n’observes-tu pas les commandements de Dieu – tu les connais !

Mais voilà : Jésus ne partage pas la mentalité – les jugements hâtifs et les condamnations sans appel – des scribes et des Pharisiens !
Il est le messager du Dieu de miséricorde et toute sa personne – ses paroles, ses attitudes, en témoignent.

Étrange aussi, pour notre mentalité parfois strictement légaliste, Jésus n’attend pas que la femme fasse une… confession : il la fait pour elle !
« L’homme avec qui tu vis n’est pas ton mari, » – pas une condamnation, mais une invitation à continuer la conversation dans la vérité.

Et, de son côté, la femme ne pose pas à Jésus la question qui semblerait évidente dans la situation : « Mais, qui es-tu… pour lire ainsi en moi ? »
Elle mentionne simplement la foi de son peuple, les Samaritains. Elle affirme :

« Je sais qu’il vient, le Messie, celui qu’on appelle Christ.
Quand il viendra, c’est lui qui nous fera connaître toutes choses. »

 
Et alors, c’est Jésus qui fait une… ‘confession’ et dit à la Samaritaine :
« Je le suis, moi qui te parle. »

Il se révèle à une femme, à CETTE femme, une non-juive, et une femme qui vit une relation coupable, dirait-on en langage moderne !
Les personnages religieux du temps lui avaient demandé avec insistance :
« Pourquoi nous garder en suspens ? Si tu es le Christ, dis-le nous ! «  (Jn.10:24)
Il ne l’avait pas fait, mais à cette femme il dévoile qui il est vraiment.
Il affirmait que Dieu est son Père, mais il ne proclamait jamais : « Je suis le fils de Dieu », se disant toujours : « le fils de l’Homme ».

Mais aujourd’hui il ne dissimule pas son identité réelle : « Je le suis » – un écho à l’identité de Dieu : « Je suis celui qui est. » (Ex.3:14)
 
Moment de vérité s’il en est un!
Pour lui, pour elle…
Et pour nous… si nous consentons à la même démarche de vérité…
Et si, du plus profond de nous même, là où se trouve… la Source, nous osons faire la même demande :
« Seigneur, donne-moi de cette eau, que je n’aie plus soif. »

Voir aussi: http://image-i-nations.com/la-samaritaine-2/

Source: Image: You Tube

 

 

31 décembre…

Le mois de décembre tire à sa fin –
certains regrettent les bons moments passés…
d’autres anticipent l’avenir avec appréhension…
Plusieurs se posent des questions…

Rachel (personnifiée par Nathalie Ménard) est de ceux-là.
Elle se pose une question fondamentale –
une question qui vient l’inquiéter, la troubler même à certains moments.

‘N’y a-t-il que cela dans la vie?’

Peut-être la même question s’impose-t-elle à vous?…