image-i-nations trésor

Journée internationale des gauchers – 13 août

Journée internationale des gauchers

Qu’ont en commun Jules César, Jimi Hendrix, Bill Gates, Albert Einstein, Léonard de Vinci, Lord Robert Baden-Powell et Ernö Rubik, l’inventeur du Rubik’s cube ? Ils sont tous gauchers

Une journée internationale leur est consacrée, et c’est le 13 août qui a été choisi. Un jour de chance ?Ils « ne » représentent « que » environ 12% de la population, mais les gauchers ont toujours fait l’objet de nombreuses idées reçues. Longtemps considérés comme des anormaux, les écoliers gauchers étaient incités (au siècle dernier) à utiliser leur main droite pour écrire et dessiner.

Avantage ou inconvenient ?

Aujourd’hui, les mentalités ont évolué et être gaucher est même parfois considéré comme un avantage dans certains domaines, comme le sport par exemple.

La différence entre droitiers et gauchers se trouve au niveau du cerveau ou, en termes plus techniques, de la latéralité, c’est-à-dire le fait de préférer un membre double à l’autre, la main gauche à la main droite par exemple.

Un site à visiter : www.lesgauchers.com    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

3è dimanche du Carême, année A

Ce texte de la Samaritaine rencontrant Jésus au puits de Jacob nous est bien connu (Jn 4: 5-15,19-26,39-42).
Les différents aspects de cette scène font l’objet de multiples commentaires et les réflexions d’auteurs spirituels se multiplient pour en faire ressortir ce qui peut nous inspirer.

Pour ma part, ce qui me fascine c’est… ce qui n’est pas dit, plus précisément : les questions qui ne sont pas posées !
Dans la mentalité juive de l’époque, et particulièrement celle des scribes et des Pharisiens du temps, on pourrait s’attendre à ce que Jésus demande à la femme :

  • Pourquoi vis-tu avec cet homme qui n’est pas ton mari ?
  • Pourquoi changes-tu, à tout moment, tes compagnons de vie?
  • Pourquoi n’observes-tu pas les commandements de Dieu – tu les connais !

Mais voilà : Jésus ne partage pas la mentalité – les jugements hâtifs et les condamnations sans appel – des scribes et des Pharisiens !
Il est le messager du Dieu de miséricorde et toute sa personne – ses paroles, ses attitudes, en témoignent.

Étrange aussi, pour notre mentalité parfois strictement légaliste, Jésus n’attend pas que la femme fasse une… confession : il la fait pour elle !
« L’homme avec qui tu vis n’est pas ton mari, » – pas une condamnation, mais une invitation à continuer la conversation dans la vérité.

Et, de son côté, la femme ne pose pas à Jésus la question qui semblerait évidente dans la situation : « Mais, qui es-tu… pour lire ainsi en moi ? »
Elle mentionne simplement la foi de son peuple, les Samaritains. Elle affirme :

« Je sais qu’il vient, le Messie, celui qu’on appelle Christ.
Quand il viendra, c’est lui qui nous fera connaître toutes choses. »

 
Et alors, c’est Jésus qui fait une… ‘confession’ et dit à la Samaritaine :
« Je le suis, moi qui te parle. »

Il se révèle à une femme, à CETTE femme, une non-juive, et une femme qui vit une relation coupable, dirait-on en langage moderne !
Les personnages religieux du temps lui avaient demandé avec insistance :
« Pourquoi nous garder en suspens ? Si tu es le Christ, dis-le nous ! «  (Jn.10:24)
Il ne l’avait pas fait, mais à cette femme il dévoile qui il est vraiment.
Il affirmait que Dieu est son Père, mais il ne proclamait jamais : « Je suis le fils de Dieu », se disant toujours : « le fils de l’Homme ».

Mais aujourd’hui il ne dissimule pas son identité réelle : « Je le suis » – un écho à l’identité de Dieu : « Je suis celui qui est. » (Ex.3:14)
 
Moment de vérité s’il en est un!
Pour lui, pour elle…
Et pour nous… si nous consentons à la même démarche de vérité…
Et si, du plus profond de nous même, là où se trouve… la Source, nous osons faire la même demande :
« Seigneur, donne-moi de cette eau, que je n’aie plus soif. »

Voir aussi: http://image-i-nations.com/la-samaritaine-2/

Source: Image: You Tube