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Journée mondiale des poissons migrateurs – 21 mai

Journée mondiale des poissons migrateurs

Il arrive que l’intitulé d’une journée mondiale fasse sourire et il faut parfois s’y reprendre à deux fois pour mieux en cerner les enjeux…

Les poissons migrateurs

Plusieurs espèces de poissons sont dites « migratrices » (si vous êtes savant vous pouvez aussi dire « amphihalines », c’est la même chose!) car elles ont besoin de réaliser une partie de leur cycle de vie dans les fleuves en eau douce d’une part et dans la mer d’autre part. Le saumon est un parfait exemple de ce phénomène.

Ces espèces connaissent, pour la plupart, un déclin continu depuis plusieurs décennies, souvent lié aux aménagements humains réalisés sur les fleuves.

La communauté scientifique a alerté les opinions sur ces questions et plusieurs pays ont mis en place des plans pour enrayer ce déclin.

C’est le cas de la France qui s’est dotée d’une « stratégie nationale » de gestion des poissons migrateurs. Cette action est pilotée par le ministère de l’environnement et du développement durable.

World fish migration day

A l’échelle internationale, ce ne sont pas moins de 1000 associations qui oeuvrent dans le monde entier et proposent des actions pour lutter contre la raréfaction des espèces de poissons migrateurs. Le site internet dédié à la journée permet d’ailleurs d’enregistrer les événements locaux organisés pour cette occasion.

Un site à visiter : www.ern.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

La tempête… la peur… le calme…

La Covid-19 – simplement prononcer ce mot éveille de l’anxiété.
La mention du Coronavirus, comme on le nomme aussi,
évoque restrictions, perturbations, distanciation,
pire encore: il présente l’image de souffrance et de mort.

Le 27 mars dernier, le Pape François a donné
une bénédiction spéciale ‘à la Ville et au Monde’ – urbi et orbi.
Il a alors fait une homélie riche de signification pour notre temps.
Ses paroles portaient sur un texte de l’évangile (Marc 4:35-41)
qui nous rejoint en cette période où nous connaissons
notre ‘tempête’ et la peur bien particulière qui est la nôtre.

Dans la vidéo qui suit, Teresa Penafiel, revoit cette scène de l’évangile…

Image symbolique, riche évocation…

En cette journée internationale de commémoration de la traite des Noirs, l’artiste Nina Simone présente une oeuvre d’art qui se révèle un puissant symbole facilitant l’évocation de cette réalité historique…

 

En souvenir de l’holocauste Africain. Sculpture en l’honneur des Africains à bord de navires d’esclaves et jetés à  la mer durant le voyage transatlantique. Cette pièce est située dans la Mer des Caraïbes sur la côte de Grenade.

 

Image : cunoastelumea.ro

2è dimanche du Carême, année B

Lors d’une tempête, quand la mer agitée menace de faire sombrer une embarcation, les marins savent que l’instrument qui peut leur sauver la vie, c’est l’ancre.
Avant l’ère moderne où la technologie a inventé de multiples moyens de stabiliser un navire de taille, c’était ce qui donnait stabilité et sécurité dans bien des situations.

C’est l’image qui m’est venue en lisant la 2è lecture de la liturgie d’aujourd’hui (2è dimanche du Carême, année B – Rom.8:31b-34).
Écrivant aux premiers chrétiens de la ville de Rome, Paul leur dit :

« Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ?
Il n’a pas épargné son propre Fils, mais il l’a livré pour nous tous :
comment pourrait-il, avec lui, ne pas nous donner tout ? »
 

Des paroles qui m’étonnent à tout coup !
Quand on est aux prises avec des difficultés de tous genres, on a désespérément besoin de quelqu’un qui soit littéralement ‘pour nous’.
Les problèmes de la vie abondent, chacun/e peut en faire un inventaire détaillé.
À prime abord, certains obstacles nous paraissent… à taille humaine – on croit pouvoir sans sortir seul/e et sans trop de lutte.

Mais. Il y a d’autres circonstances où la situation nous paraît désespérée dès que nous tentons d’y faire face.
On se sent à court de moyens – on n’a définitivement pas ce qu’il faut pour en sortir vainqueur, pour en sortir tout court !
Nous avons besoin d’aide, une aide efficace, et vite ! pour ne pas sombrer.
Pas nécessairement dans une mer agitée, mais dans un quotidien qui engouffre nos ressources de force, de courage, d’espoir, de désir de vivre…
On n’en peut plus… il faut que quelque chose… non, que quelqu’un nous vienne en aide.

Mais ce qui est merveilleux c’est que justement l’aide est là, toujours là..
Encore faut-il y croire et la demander !
Oui, « Dieu est pour nous. »

Et Paul nous rappelle que « Dieu n’a pas épargné son propre Fils, mais il l’a livré pour nous tous. »
Et. en lui, nous avons TOUT reçu, nous dit l’apôtre – tout ce dont nous avons besoin pour survivre, pour vivre… aujourd’hui, et demain, et… tous les lendemains de notre vie.

Étrange combien l’image de l’ancre ressemble à celle de… la croix !
Une pensée… ‘salutaire’ en cette période de Carême…
S’y accrocher permet de marcher avec solidité, en sécurité et avec sérénité

Source : Images : rocket-backlinks.com; Pinterest

Note: Une réflexion sur la 1ère lecture de ce dimanche est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-lent-year-b/

Et une courte réflexion sur l’évangile de ce dimanche est disponible en français à: https://image-i-nations.com/careme-transformation-transfiguration/

Une tempête… pas comme les autres

Ce  mercredi de la 1ère semaine du Carême nous présente une section de l’histoire du prophète Jonas.
Le chapitre précédant le texte d’aujourd’hui évoque une forte tempête
qui menaçe d’engloutir l’embarcation dans laquelle se trouve le prophète.
L’évangile rapporte une tempête semblable dont la menace n’est pas moindre.
Marie Hébert nous en parle et nous livre sa réflexion sur cet événement.

 

La mer… la marée…

Un sage a dit :
« Il y a la marée haute,
il y a la marée basse,
mais la mer reste toujours la mer… »

Et il en est ainsi… de la présence dans notre vie
du Créateur de la mer…

Dans notre vie il y a…
les jours de joie intense et les jours de peine profonde;
les jours de succès inespéré et les jours d’échec décourageant;
les jours d’espérance audacieuse et les jours de désespoir lancinant;
les jours de rencontre surprenante et les jours d’adieu déchirant.

Tout cela et bien plus encore…
Mais Sa présence demeure en permanence… inlassable, indéfectible, au plus intime…

Source : Image : Riithink Digital Marketing Agency

Le flot de réfugiés continue…

Le bulletin de nouvelles internationales (BBC World, 1er juillet 2017) nous informe que le mois dernier près de 11000 réfugiés sont arrivés sur les rives de l’Italie en seulement cinq jours…

Et combien d’autres ont été engloutis par la mer?…

C’est l’actualité en continu…
Oui, vraiment une actualité qui INTERPELLE!

Que faire? Comment faire?…
Les instances gouvernementales des différents pays d’Europe discutent et cherchent une solution.
Il n’est pas facile de réconcilier les équations économiques et… la compassion.

Source: Image: cdn.images.express.co.uk

La Journée Internationale de la diversité Biologique – 22 avril

La Journée Internationale de la diversité Biologique, organisée chaque année par la Vague Verte, est l’occasion de sensibiliser le grand public et d’apporter des réponses à ses questions sur la biodiversité. En 2009, l’accent avait été mis sur les espèces exotiques envahissantes, dites EEE, qui constituent une des plus grandes menaces à la biodiversité et à l’écologie.

Pour faire simple, une EEE est un organisme vivant, animal ou végétal, qui s’installe dans un milieu naturel qui n’est pas le sien, le colonise, déréglant ainsi l’équilibre naturel du milieu concerné. L’exemple de l’algue Caulerpa taxifolia est célèbre: implantée accidentellement aux abords du musée océano- algue, prévention, stratégie, collbgraphique de Monaco, elle envahit les fonds marins, détruisant toutes les autres espèces sur son passage.

« La méthode de contrôle la plus efficace et réalisable est la prévention. Pour réussir, cette stratégie exige une collaboration entre les gouvernements (…), et les organisations internationales. »  Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon

Les touristes ramenant des animaux exotiques sur leur lieu de vie sont l’une des principales causes d’invasion de ces espèces envahissantes. Pour contrer cette invasion, Ban Ki-Moon annonce une règle simple: « laissez les organismes vivants dans leur habitat naturel et ramenez à la maison seulement des souvenirs. »

Toute l’année 2010 sera consacrée à la biodiversité, ce qui augure bien d’une journée mondiale exceptionnelle. Le thème de cette prochaine journée sera la diversité biologique pour le développement et la réduction de la pauvreté.

Biodiversité : combien d’espèces connaît-on aujourd’hui dans le Monde ?
La biodiversité englobe l’ensemble des espèces animales et végétales vivantes sur terre (et dans les mers). La biosphère abriterait entre 5 et 30 millions d’espèces (estimation).
Environ 1,7 million d’espèces animales sont répertoriées, et chaque année de nouvelles espèces sont répertoriées. Malheureusement, de nombreuses espèces disparaissent également, souvent à cause des actions irresponsables de la société humaine.

De nombreux sites internet sont consacrés à ce sujet et on pourra utilement visiter le site des Nations Unies sur la Convention sur la diversité biologique. Il sera peut-être plus facile de vous documenter en visitant le site proposé par le ministère (français) de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire.

Un site à visiter : www.unep.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale