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11th Sunday of the Year, C

The scene is well-known, the story it depicts as well, and the woman character in it is no less famous, could we say. So many works of art, works of fiction and of theological reflection are centred on the subject: Mary Magdalene, the women of Magdala.

The gospel text of this Sunday (11th Sunday of the Year, C – Lk.7:36-50) brings again this scene to our minds and hearts. Much has been said and much more could be said about the woman and about her encounter with the Man of Nazareth, that Teacher so different from all others.

For me, the story could be summarizwoman-anointing Im-international.used in two verses of the Psalms:
“My sacrifice is this broken spirit, you will not scorn this broken heart.”   (Ps.51:17)
“The Lord is near to the broken of heart, he helps those whose spirit is crushed.”   (Ps.34:18)

More than the broken jar of her perfume, Mary Magdalene brought to Jesus her broken heart – her sorrow for what she had been and… for what she had not been!
Her crushed spirit was filled with regrets, sincere repentance for what her life had been so far; this is what she brings silently before the Man of God.

Her broken heart shows the scars of what the contempt, the arrogance, the selfishness of people have inflicted on her.
All this added to the bitterness of being conscious of her failings – this is what she can place near the feet that she washes and dries with her hair.

She speaks no word, no confession is heard, no self-accusation or even promise of doing better – all is expressed in her silent offering.
Jesus receives it as it is offered, and he is indeed near the woman with a broken heart.
His nearness makes of him her defender against the silent accusation of the self-righteous Pharisee.

Amazingly, Jesus condemns nobody, not even Simon – he, himself, is the one giving the correct answer which condemns him.
It seems that, like some people still today, he has all the answers but… so little compassion!
And, it seems also that our God is a God of compassion… the very compassion that the Man of Nazareth is showing to the woman at his feet.

Source: Image: Im-international.us

Journée Mondiale des orphelins du SIDA – 7 mai

Toutes les 15 secondes, le SIDA tue un papa ou une maman. Le 7 mai, c’est la Journée Mondiale des Orphelins du Sida… En 2005, ils sont déjà plus de 15 millions. Suite à la mort de leur fils au cours d’une mission héliportée au Mali Albina du Boisrouvray et Bruno Bagnoud fondent, en 1989, l’Association François-Xavier Bagnoud (AFXB) pour perpétuer l’idéal de compassion et de générosité qui guidait sa vie et poursuivre, dans des activités de développement, les missions de sauvetage qu’il pratiquait de son vivant.sida

La mission de l’AFXB est de lutter contre la pauvreté et le SIDA et de soutenir les orphelins et les enfants vulnérables que la pandémie laisse dans son sillage en militant pour leurs droits fondamentaux et en offrant un appui global aux familles et communautés qui les prennent en charge.L’AFXB retisse les liens qui se sont brisés autour d’eux pour leur assurer un futur décent. En mettant en place des programmes de développement communautaire durable, elle renforce les capacités des familles et des collectivités dévastées par la pauvreté et le SIDA afin qu’elles soient en mesure d’élever leurs orphelins et enfants vulnérables.

L’AFXB milite pour que les responsables politiques considèrent ces enfants largués comme une priorité et que des mesures urgentes soient prises pour les intégrer dans notre société globale. Leur prise en charge constitue un défi humanitaire, économique, sécuritaire et social majeur. L’objectif est de réinsérer dans leur société ces enfants vulnérables qui, privés de tout repère et d’amour, sont des proies faciles pour la délinquance, la prostitution, les conflits armés, le terrorisme ou la drogue. Depuis sa création, l’AFXB est intervenue auprès de plus de 1 million 500 mille personnes dans 17 pays à travers le monde.

« Les orphelins du SIDA, ainsi que tous les enfants affectés et/ou infectés par le virus, sont parmi les enfants les plus vulnérables de la planète. Ils sont le reflet des millions d’orphelins d’autres causes et des millions d’enfants des rues, à la dérive de la civilisation. »
Albina du Boisrouvray

Un site à visiter : www.afxb.org        Source: Texte & image: Journée mondiale

Journée mondiale des malades – 11 février

maladesLa maladie et la souffrance peuvent parfois bouleverser nos vies ou celles de nos proches: pour nous encourager à donner de notre temps, soutenir les malades, être attentif à leurs besoins, une journée mondiale des malades, créée en 1992 par le Pape Jean-Paul II, est célébrée chaque année, le 11 février, jour de la fête de Notre-Dame de Lourdes.

Avoir le souci des malades
Les malades se sentent très rapidement mis à part de la vie des bien portants, c’est pourquoi les liens de solidarité, et tout ce qui permet aux personnes atteintes de maladie de se sentir écoutées, reconnues est extrêmement important. Bien que cette journée ait un sens tout particulier pour les Chrétiens, il n’est pas nécessaire d’avoir des convictions religieuses pour apporter son aide et sa compassion à des personnes souffrantes, un petit geste suffit !

Message du Pape François pour la journée 2016
« La maladie, surtout lorsqu’elle est grave, met toujours l’existence humaine à l’épreuve et apporte avec elle des interrogations qui creusent en profondeur. Parfois, le premier moment peut être de révolte : pourquoi est-ce que cela m’est arrivé ? On se sent désemparé, la tentation devient grande de penser que tout est perdu, que désormais rien n’a plus de sens… Dans ces situations, la foi en Dieu est, d’une part, mise à l’épreuve et, d’autre part, révèle en même temps toute sa puissance positive. Non parce que la foi fait disparaître la maladie, la douleur ou les problèmes qui en dérivent, mais parce qu’elle offre une clé avec laquelle nous pouvons découvrir le sens le plus profond de ce que nous sommes en train de vivre. »

Source: Texte & image: Journée mondiale

2nd Sunday of the Year, C

The Wedding Feast at Canathefirstmiracle_wide_t

It seems that we know the text of this gospel scene so well (Jn.2:1-11), we could repeat it with all its details. And that is precisely the danger: perhaps we know it too well!

If someone were to ask me to summarize this text in a few sentences, I would say this. For me this scene is about a woman’s attention and sensitivity to the needs of those around her. And the sensitivity and compassion of God-made-man to those around him.

1st miracle, cana, www.chaosnode.netI can imagine Mary noticing what was happening – a serious shortage of wine for the feast – and making a ‘sign’ to her son, Jesus. Then, THE ‘sign’ followed – that of Jesus, his miracle, changing the water into wine. This part is the one that remains imprinted in our memories, but the previous section is as important: the noticing and the feeling concerned, concerned enough to do something about the situation of need.

We may not be able to work miracles in the strict sense of the word. But do you know the miracles of the 3 Cs? CONCERN, COMPASSION, CARE. These miracles, I am convinced that the Spirit in us is willing to enable us to do them – if only we ask him and are willing, ourselves, to act on his impulse.

Source: Images: kitwechurch.com; www.chaosnode.net

Journée Mondiale de la Paix – 2016

La journée Internatinale de la Paix se célèbre le 21 septembre mais depuis le 1er janvier 1968 à l’instigation du Pape de l’époque, Paul VI, l’Église catholique propose au monde entier de célèbrer la Journée Mondiale de la Paix le 1er janvier. Voici quelques extraits du message du Pape François pour la 49è Journée Mondiale de la Paix ayant pour thème: Gagne sur l’indifférence et remporte la paix !

PopeFrancis-81. Dieu n’est pas indifférent ! Dieu accorde de l’importance à l’humanité, Dieu ne l’abandonne pas ! Au début de l’année nouvelle, je voudrais accompagner de cette profonde conviction les vœux d’abondantes bénédictions et de paix, sous le signe de l’espérance, pour l’avenir de tout homme et de toute femme, de toute famille, peuple et nation du monde, ainsi que des Chefs d’État et de Gouvernement et des Responsables des religions. En effet, ne perdons pas l’espérance de voir en 2016 chacun, engagé fermement et avec confiance, à différents niveaux, à réaliser la justice et à œuvrer pour la paix. Oui, celle-ci est don de Dieu et œuvre des hommes. La paix est don de Dieu, mais don confié à tous les hommes et à toutes les femmes qui sont appelés à le réaliser.

2. Les guerres et les actions terroristes, avec leurs tragiques conséquences, les séquestrations de personnes, les persécutions pour des motifs ethniques ou religieux, les prévarications, ont marqué l’année passée du début à la fin, se multipliant douloureusement en de nombreuses régions du monde, au point de prendre les traits de ce qu’on pourrait appeler une « troisième guerre mondiale par morceaux ». Mais certains événements des années passées et de l’année qui vient de s’achever m’invitent, dans la perspective de l’année nouvelle, à renouveler l’exhortation à ne pas perdre l’espérance dans la capacité de l’homme, avec la grâce de Dieu, à vaincre le mal et à ne pas s’abandonner à la résignation et à l’indifférence. Les événements auxquels je me réfère représentent la capacité de l’humanité à œuvrer dans la solidarité au-delà des intérêts individuels, de l’apathie et de l’indifférence vis-à-vis des situations critiques. (…)

Il y a de multiples raisons pour croire en la capacité de l’humanité à agir ensemble, en solidarité, dans la reconnaissance de sa propre interconnexion et interdépendance, ayant à cœur les membres les plus fragiles et la sauvegarde du bien commun. Cette attitude de coresponsabilité solidaire est à la racine de la vocation fondamentale à la fraternité et à la vie commune. La dignité et les relations interpersonnelles nous constituent comme êtres humains, voulus par Dieu à son image et ressemblance. En tant que créatures dotées d’une inaliénable dignité, nous existons en relation avec nos frères et sœurs, envers lesquels nous avons une responsabilité, et avec lesquels nous agissons en solidarité. En dehors de cette relation, nous serions des êtres moins humains. C’est justement ainsi que l’indifférence constitue une menace pour la famille humaine. Alors que nous nous mettons en marche vers une année nouvelle, je voudrais inviter chacun à reconnaître ce fait, pour vaincre l’indifférence et conquérir la paix. (…)

Jésus nous enseigne à être miséricordieux comme le Père (cf. Lc 6, 36). Dans la parabole du bon samaritain (cf. Lc 10, 29-37), il dénonce l’omission d’aide devant l’urgente nécessité de ses semblables : « Il le vit et passa outre » (cf. Lc 10, 31.32). En même temps, à l’aide de cet exemple, il invite ses auditeurs, et en particulier ses disciples, à apprendre à s’arrêter devant les souffrances de ce monde pour les soulager, devant les blessures des autres pour les soigner, avec les moyens dont on dispose, à commencer par son temps, malgré les nombreuses occupations. L’indifférence, en effet, cherche souvent des prétextes : dans l’observance des préceptes rituels, dans la quantité de choses qu’il faut faire, dans les antagonismes qui nous tienne éloignés les uns des autres, dans les préjudices de tout genre qui nous empêchent de nous faire proche. (…)peace-bird-isolated-colorful-design-world-concept-design-55851579 pour PAIX

Ainsi, nous aussi, nous sommes appelés à faire de l’amour, de la compassion, de la miséricorde et de la solidarité un vrai programme de vie, un style de comportement dans nos relations les uns avec les autres. Cela demande la conversion du cœur : c’est à dire que la grâce de Dieu transforme notre cœur de pierre en un cœur de chair (cf. Ex 36, 26), capables de s’ouvrir aux autres avec une solidarité authentique. Cela en effet, est beaucoup plus qu’un « sentiment de compassion vague ou d’attendrissement superficiel pour les maux subis par tant de personnes, proches ou lointaines » La solidarité « est la détermination ferme et persévérante de travailler pour le bien commun, c’est-à-dire pour le bien de tous et de chacun parce que tous nous sommes vraiment responsables de tous » parce que la compassion jaillit de la fraternité. (…)

8. Dans l’esprit du Jubilé de la Miséricorde, chacun est appeler à reconnaître comment l’indifférence se manifeste dans sa propre vie, et à adopter un engagement concret pour contribuer à améliorer la réalité dans laquelle il vit, à partir de sa propre famille, de son voisinage ou de son milieu de travail. Les États sont aussi appelés à des gestes concrets, à des actes de courage à l’égard des personnes les plus fragiles de leurs sociétés, comme les prisonniers, les migrants, les chômeurs et les malades. (…)

Du Vatican, 8 décembre 2015, Solemnité de l’Immaculée Conception de la Bienheureuse Vierge Marie, Ouverture du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde