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Journée Mondiale de la ménopause – 18 octobre

L’Organisation Mondiale de la Santé estime qu’en 2030, 1,2 milliard de femmes seront âgées de 50 ans ou plus et qu’un nombre croissant de ces femmes peut s’attendre à vivre plusieurs décennies après la ménopause.
Malheureusement, une durée de vie plus longue entraîne aussi une augmentation spectaculaire de l’incidence des maladies et des affections qui peuvent être associées à la perte d’œstrogènes au milieu de la vie. Ce jour, qui est la Journée Mondiale de la Ménopause, l’International Menopause Society (IMS) presse les nations de prendre des mesures actives pour éduquer les femmes concernant les implications de la ménopause pour la santé.

Honorer les femmes

La Journée Mondiale de la Ménopause a pour objectif d’honorer toutes les femmes. Elle vise les millions de femmes qui, partout dans le monde, arrivent chaque jour à ce stade vital de leur vie, même si bon nombre d’entre elles ne comprennent pas bien ce qu’est la ménopause et quels sont ses impacts sur leur santé.

Favoriser la recherche

Le défi que lance la Journée Mondiale de la Ménopause appelle toutes les nations à donner à la santé après la ménopause une place primordiale dans la recherche et la santé publique, afin d’aider les femmes à éviter les symptômes désagréables susceptibles d’affecter la productivité et la qualité de vie, et afin de réduire les taux d’ostéoporose, de maladies cardiaques, de cancer du côlon et autres maladies du vieillissement liées aux œstrogènes.

Un site à visiter : www.sante-sur-le-net.com    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale du végétarisme – 1er octobre

Journée mondiale du végétarisme

Commençons par une définition. Le mouvement végétarien regroupe les personnes dont la pratique alimentaire exclut la consommation de chair animale, et ce pour des motivations plutôt diverses. Pour certains végétariens il s’agira simplement de santé, pour d’autres de religion ou de culture, pour une troisième catégorie enfin (les plus militants semble-t-il), passer au végétarisme signifiera l’adoption d’une critique générale de l’alimentation moderne, de sa traçabilité, des conditions d’élevage et d’abattage des animaux ou encore de l’accès aux denrées alimentaires ou de l’impact environnemental des modes de production.Il faut de tout pour faire un monde, sauf des produits animaux !

Joie et compassion

Cette journée mondiale nous vient tout droit des Etats-Unis. Elle a été décidée à l’origine en 1977 par la société végétarienne nord-américaine (NAVS) pour développer la joie, la compassion et promouvoir la vie (sic).

Dés 1978, la Journée Mondiale Végétarienne a été adoptée par l’Union Végétarienne Internationale, une organisation fondée en 1908 !

Végétarisme et santé

Cette journée est bien entendu une occasion révée pour rappeler une évidence trop souvent tue: nous mangeons trop de viandes, trop de charcuteries, trop riches et trop grasses, et c’est néfaste pour notre santé !

D’après le site www.cancer.be, les viandes rouges et les charcuteries sont notamment à l’origine d’un risque accru de cancer du côlon, de l’oesophage, de l’estomac, du poumon, du pancréas et de l’endomètre. Un menu qui laisse réveur !

Un site à visiter : www.vegetarisme.fr      Source: Texte & Image: Journée mondiale

International Childhood Cancer Day – 15 February

HISTORY OF INTERNATIONAL CHILDHOOD CANCER DAY

Childhood Cancer International, a network of parent organizations that spans continents, instituted International Childhood Cancer Day to ensure that children with cancer get the best possible care. The day is set aside to raise awareness about childhood cancers and the treatments available for these diseases. Every year, more than 400,000 children, teenagers, and young adults under the age of 20 are diagnosed with cancer. While cancer is one of the leading causes of death from disease among children, the actual number of children who die because of cancer has reduced over the years.

Most cancers have effective treatments and management methods that have increased the survival rate significantly. Childhood cancers require specialized treatment plans developed by pediatric oncologists, and this day helps to publicize the existence of such treatments. International Childhood Cancer Day was also instituted to improve treatment rates and reduce the pain and suffering caused by cancer among children around the globe. While the chances of full recovery for children with cancer can reach 80% in countries that have a high G.D.P., in the middle and lower-income countries, the chances can slip down to 20%.

The I.C.C.D. focuses on the importance of equitable access to treatment for cancer among children who are suffering or are survivors of cancer. It works to ensure that all over the world, children have access to the best possible care, and can overcome the difficulties cancer poses to them and their quality of life. The initiative aims to make childhood cancer a priority in the world. It works in line with the WHO Global Initiative on Childhood Cancer towards a 60% survival rate for children with cancer.

 

Source: Text & Image: https://nationaltoday.com/international-childhood-cancer-day/

Journée mondiale des lymphomes – 6 septembre

Journée mondiale des lymphomes

Des cancers méconnus mais de plus en plus répandus ! Depuis plus de vingt ans, le nombre de nouveaux cas de lymphomes a presque doublé, principalement dans les pays développés.Cette forme de cancer du sang peut survenir à tout âge et toucher tout le monde. Elle reste pourtant encore très méconnue et c’est bien l’objectif de cette journée mondiale que de le faire connaître auprès du grand public.

Originalité de cette journée mondiale, elle est organisée en France par une association de patients France Lymphome Espoir, sous l’égide de la Lymphoma Coalition.

 

Un site à visiter : www.journeefrancelymphomeespoir.fr    Source: Texte & Image:  Journée Mondiale

Journée internationale du cancer de l’enfant – 15 février

Le cancer chez l’enfant est la deuxième cause de mortalité dans les pays développés.

Cette journée internationale vise à mieux faire connaître cette réalité et promouvoir les actions de prévention, mes aussi les soins et la recherche.

La stratégie de lutte contre les cancers 2021-2030

Les cancers pédiatriques font de longue date partie intégrante des plans gouvernementeaux, aussi bien au niveau de la recherche que pour la prise en charge des enfants malades et de leurs familles. Cet effort se poursuit avec la nouvelle stratégie mise en place.

En France, 2500 nouveaux cas dénombrés chaque année

Le cancer chez l’enfant est une maladie rare qui représente 1 à 2 % de l’ensemble des cancers. On dénombre près de 2 500 nouveaux cas chaque année en France. Certaines formes de cancers sont spécifiques à l’enfant et, inversement, la plupart des cancers de l’adulte n’existent pas chez l’enfant.

Les facteurs favorisant le développement du cancer ont été clairement identifiés chez l’adulte (alcool, tabac, produits toxiques, virus, etc.), mais ces cause sont très rarement présentes chez l’enfant.

Les traitements ont fait des progrès considérables au cours des dernières décennies et on atteint aujourd’hui un taux de guérison de 80%. Les efforts se poursuivent.

Une loi pour le droit à l’oubli

Bonne nouvelle, on guérit du cancer. De plus en plus. Mais la société n’a pas encore adapté son comportement à cette nouvelle donne et les anciens malades souffrent toujours de discriminations. Accès à l’assurance, à l’emprunt, discriminations à l’embauche… les anciens enfants malades doivent pouvoir bénéficier du droit à l’oubli et concrètement ne plus devoir mentionner cette maladie dans les déclarations d’assurance.

Un site à visiter : www.ligue-cancer.net    Source: Texte: Journée Mondiale    Image: Fondation Bomoko

Journée mondiale de sensibilisation aux tumeurs neuro-endocrines – 10 novembre

« Les tumeurs neuro-endocrines, si vous ne les soupçonnez pas, vous ne les détectez pas ». 

L’APTED (Association des patients porteurs de tumeurs endocrines diverses) a choisi ce slogan pour la première édition (2012) de la journée mondiale de sensibilisation aux cancers et tumeurs neuro-endocrines. L’association souhaite saisir l’occasion pour sensibiliser le grand public et les professionnels de santé, améliorer l’information sur ces maladies ainsi que la prise en charge des malades.

Des tumeurs méconnues

Malgré des décédés « célèbres » (le regretté Steve Jobs), ces tumeurs restent trop peu connues du public, et pourtant, elles sont en en augmentation dans le monde. Elles sont la particularité d’être difficiles à détecter et à diagnostiquer.

Les TNE peuvent survenir dans différentes parties du corps, les plus fréquentes étant l’appareil digestif, les bronches et les poumons, mais aussi dans des organes tels que la thyroïde, les grandes surrénales et les reins.

Un site à visiter : incalliance.    Source: Texte: Journée Mondiale  Images:  Journée Mondiale   NIDIRIKI

Journée mondiale contre le cancer du sein – 19 octobre 2021


Journée mondiale contre le cancer su sein

Plusieurs sites espagnols mentionnent son existence mais la date en semble assez variable. Nous avons retenu le 19 octobre qui semble recueillir le maximum de suffrage. N’oublions pas que le 19 octobre tombe en plein dans la mobilisation Octobre Rose.

Race for the Cure®

Signalons une initiative belge pour cette cause : soutenez les personnes touchées par le cancer du sein en paricipant à une épreuve de course à pieds, la Race for the Cure®, organisée en collaboration avec Think Pink Europe. Il s’agit d’un événement annuel, le plus grand événement sportif en Europe qui soutient la lutte contre le cancer du sein, selon les organisateurs. Alors, vous participez ?

Octobre Rose

En réalité l’événement le plus médiatique concernant le cancer du sein est Octobre Rose. En fait, il ne s’agit pas d’un mais de nombreux événements répartis sur tout le mois d’octobre. Découvirez-en plus dans le site cancerdusein.org (ci-dessous).

Octobre Rose est une occasion de mettre en lumière celles et ceux qui combattent cette maladie, d’intensifier l’information et la sensibilisation et de réunir des fonds pour aider les chercheurs et les soignants. De grands évènements ont marqué les différentes campagnes d’Octobre Rose, et le plus spectaculaire est l’illumination (en rose bien entendu) de la Tour Eiffel.

En 2021, nous célébrons la 28ème campagne d’Octobre Rose.

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Description

Le sein féminin est composé de glandes mammaires et de canaux galactophores (servant à acheminer le lait vers le mamelon) qui sont entourés de tissu graisseux et de tissu conjonctif. Une croissance anarchique des cellules dans l’un ou l’autre de ces tissus peut provoquer le cancer du sein.

Le cancer du sein est la forme de cancer féminin la plus répandue. 

Il survient généralement à un âge plus précoce que les autres formes de cancer, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux. La probabilité de cancer du sein augmente de façon spectaculaire avec l’âge : 13 femmes sur 1 000 femmes quadragénaires; 23 femmes sur 1 000 femmes quinquagénaires; 29 femmes sur 1 000 femmes sexagénaires; 31 femmes sur 1 000 femmes septuagénaires.

Les cas de cancer du sein masculin sont rares et représentent moins de 1 % de tous les cas. Par contre, le cancer du sein féminin occupe le 2e rang parmi les causes de décès lié au cancer.

Causes

Les cellules de l’organisme se reproduisent tout au long de la vie afin de remplacer de façon ordonnée les cellules des tissus qui se sont détériorés. Le cancer du sein, comme toutes les formes de cancer, survient lorsque ce processus est compromis et que les cellules commencent à se diviser à un rythme inhabituellement rapide.

Il n’y a pas une cause unique ni un seul déclencheur du cancer du sein.

(…) En fait, pour la plupart des femmes, le seul facteur de risque est leur âge, quand elles ont plus de 50 ans. Toute inquiétude à ce sujet doit être abordée avec le médecin.

 

Source: Texte: https://ressourcessante.salutbonjour.ca/condition/getcondition/cancer-du-sein   Image: FDA

Journée mondiale contre la douleur – 16 octobre 2023

L’OMS s’associe à la Journée mondiale contre la douleur célébrée tous les ans le 3° lundi du mois d’octobre.

Le traitement de la douleur et les soins palliatifs font partie intégrante du droit à jouir d’une bonne santé, estime l’Organisation mondiale de la Santé.

Proposer des traitements

« C’est en majorité dans les pays à revenu faible ou moyen, où les maladies chroniques comme le cancer et le Sida gagnent du terrain, que les malades sont privés de traitement anti-douleur », explique le Dr Catherine Le Galès-Camus, chargée à l’OMS du groupe Maladies non transmissibles et santé mentale. « Ce n’est pas parce que les ressources sanitaires sont comptées que les malades et leur famille doivent se voir refuser ce traitement ».

L’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP) et la Fédération européenne des sections locales de l’IASP (EFIC) coordonnent les actions mises en place pour cette Journée mondiale.

Selon l’IASP et l’EFIC, une personne sur cinq souffre de douleurs chroniques modérées à fortes, et la douleur rend une personne sur trois incapable ou difficilement capable de mener une vie indépendante. En outre, une personne sur quatre rapporte que la douleur perturbe ou détruit ses relations avec sa famille et ses amis.

La morphine par voie orale s’est avérée d’un bon rapport coût-efficacité pour le traitement de la douleur modérée à forte chez les cancéreux et les personnes vivant avec le VIH/SIDA, note l’OMS dans un communiqué. Toutefois, ces analgésiques ne sont pas partout disponibles, en particulier dans les pays en développement à cause d’une méconnaissance de leur usage médical, de restrictions réglementaires et de leur prix.

« Le soulagement de la douleur devrait être un droit de tout être humain, qu’il soit atteint d’un cancer, d’une infection à VIH/SIDA ou de n’importe quelle autre maladie douloureuse », affirme Sir Michael Bond, président de l’IASP.

Un problème sous-estimé

Pour le Pr. Harald Breivik, président de l’EFIC, « la douleur chronique est l’un des problèmes les plus sous-estimés par les services de santé dans le monde aujourd’hui » alors qu’elle devrait être considérée comme « une maladie en tant que telle ».

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale contre le cancer – 4 février 2023

Le cancer constitue encore aujourd’hui la première cause de mortalité dans le monde, bien avant les guerres et autres catastrophes naturelles. Il fait beaucoup moins parler de lui, mais il tue. Pourtant, il se soigne et l’intérêt de cette journée est aussi de faire prendre conscience de l’utilité d’un dépistage précoce permettant d’arriver à une guérison.

Le cancer en chiffres

En 2020, on estimait que le nombre de personnes qui vont recevoir un diagnostic de cancer dépasse les 18 millions et que plus de 9 millions en décéderont. Les cancers les plus fréquents seront ceux du sein, de la prostate, du poumon et du côlon.

Une initiative intéressante a été prise par l’ARC récemment, à savoir la création d’un site internet entièrement dédié au cancer et permettant aux internautes de trouver des réponses à leur questions : www.arc-cancer.net

Hémisphère nord vs hemisphère sud

Les différentes régions du globe ne sont pas à égalité devant le cancer et si l’hémisphère nord bénéficie de moyens importants dans la détection et le traitement des cancers, les pays du sud, comme à l’accoutumé ne bénéficient pas de telles attentions.

Un site à visiter : www.ligue-cancer.net   Source: Texte & Image:  Journée mondiale

Les précurseurs

La lutte contre le cancer, aussi bien dans le domaine de la recherche et des thérapeutiques, que de celui des progrès accomplis sur le plan social et humain est une préoccupation relativement récente. Dans un passé encore proche de nous, le cancer était considéré comme une maladie incurable et les malades qui en étaient atteints se voyaient refuser l’accès aux hôpitaux, car on les considérait comme contagieux.

Ce furent des œuvres charitables religieuses, parfois aussi laïques, qui prirent l’initiative de faire quelque chose pour les cancéreux. Elles se contentaient de les héberger, de les nourrir et de les panser, puisqu’il n’existait pratiquement pas de traitement ; mais cela était déjà beaucoup pour ces malheureux abandonnés et rejetés par tous.

En France, c’est le chanoine Jean Godinot, vicaire général de l’Abbaye Saint Nicaise de Reims, qui eut l’idée d’ouvrir en 1740 un établissement spécialisé pour les « cancérés ». Ce fut l’ancêtre des centres anticancéreux modernes. Puis en 1842, Madame Jeanne Garnier-Chabot fonde à Lyon une association mi-laïque, mi-religieuse, composée de veuves et de femmes charitables appelée « Calvaire », pour donner des soins dans un hospice à des cancéreuses avancées. Un « Calvaire » analogue s’est ouvert ensuite à Paris, rue de Lourmel. Des fondations semblables se créent par la suite pour les hommes sous les auspices de Saint Jean de la Croix.

Ces exemples porteront leurs fruits puisqu’en 1846, on admit les cancéreux dans les hôpitaux et les hospices généraux. L’Assistance Publique fit une première tentative dans deux services dits « d’incurables » à la Salpétrière et à Bicêtre. En 1897 l’Assistance publique ouvre un pavillon spécialisé à Brévannes.

Une histoire du cancer

Les traces les plus anciennes du cancer se trouvent dans des fragments de squelettes humains datant de la préhistoire. On le rencontre aussi sur des momies découvertes dans des pyramides égyptiennes. On parle également du cancer sur des tablettes recouvertes de caractères cunéiformes de la bibliothèque de Ninive. On le rencontre encore lors de la découverte de monuments funéraires étrusques ou sur des momies péruviennes.

Le plus ancien texte connu à ce jour semble être le papyrus chirurgical dit de Edwin Smith qui daterait de l’ancien empire égyptien et qui serait attribué à Imouthes, grand prêtre d’ Héliopolis et Premier ministre du roi Djoser vers 2800 avant J-C. Hérodote nous apprend qu’ Atossa, fille de Cyrus et femme de Darius, fit appeler vers 525 (avant J-C) Democedes, le fameux médecin grec, pour une tumeur ulcérée du sein qu’il réussit à guérir sans que le traitement employé ne soit connu.

Quelques temps plus tard, en Grèce, Hippocrate, dans les nombreux écrits qui lui sont attribués, fait plusieurs fois allusions au cancer, dont le nom vient de l’aspect de sa propagation, ressemblant à des pattes de crabe.

Les anciens hindous, 2000 ans avant notre ère , essayèrent de détruire les cancers en y appliquant des cataplasmes de pâte corrosive contenant de l’arsenic. Pour le petite histoire, les personnes qui ne mourraient pas du cancer mourraient empoisonnées par l’arsenic.

Au Moyen-âge, en France, Henri de Mondeville écrivait en 1320 :  » aucun cancer ne guérit, à moins d’être radicalement extirpé tout entier. En effet, si peu qu’il en reste, la malignité augmente dans la racine.  »

Au XVIIè siècle Gendron, médecin du frère de Louis XIV, conçoit le cancer comme une modification tissulaire localisée qui s’étend par prolifération, curable si elle est extirpée dans sa totalité , il jette un pont de deux siècles et demi entre lui et nous. Anne d’Autriche, reine de France et mère des précédents, fut atteinte d’un cancer du sein, elle supporta très courageusement la maladie mais ne put en être guérie.
C’est à Bichat et Laënnec que l’on doit la conception anatomique de la maladie cancéreuse. Puis vient la notion de tissu avec l’allemand Muller en 1826. Rudolph Virchow prouve quant à lui que la cellule cancéreuse naît toujours d’autres cellules. La seconde moitié du XIXè siècle verra s’accélérer les progrès de la médecine.

Chronomogie de la lutte contre le cancer

  • 1885 Roentgen découvre les rayons X
  • 1898 Pierre et Marie Curie découvrent le radium
  • 1918 Le Dr Sonia Fabre, assistante bénévole dans le service du Pr Hartmann de l’Hôtel-Dieu de Paris, est la première à envisager une lutte systématique contre le cancer. Le 14 mars, Justin Godart fonde la LIGUE
  • FRANCO-ANGLO-AMERICAINE CONTRE LE CANCER qui deviendra en 1927 la LIGUE FRANCAISE CONTRE LE CANCER.
  • 1922 Début de l’action de l’Etat dans la lutte contre le cancer
  • Autour de la Ligue naissent des Associations en Province, en premier lieu à Lyon. Naissance des premiers Comités de la Ligue
  • La Ligue publie la « Revue analytique des travaux sur le cancer » dont le Comité de rédaction était assuré par les professeurs Hartmann, Rigaud, Roussy, Lacassagne.
  • 1923 Une loi fait figurer pour la première fois au budget de la Nation la lutte contre le cancer. La Ligue publie son premier bulletin  » La lutte contre le cancer  » destiné à informer le public et qui deviendra  » Vivre  » au fil des années.
  • 1927 La Ligue Franco-Anglo-Américaine devient la LIGUE FRANCAISE CONTRE LE CANCER. La « Revue analytique » prend le nom de « Index analyticus cancerologiae ». Sa diffusion était mondiale. Son dernier numéro parut en 1962.
  • 1930 L’Office national d’hygiène sociale et la Ligue organisent la première  » Semaine nationale de défense contre le cancer  » sous le patronage de Monsieur Désiré FERRY Ministre de la Santé Publique (presse, affichage, radio, cinéma…).
  • 1946 L’administration des Postes émet un timbre au profit de la Ligue à l’effigie du Pr. BECQUEREL.
  • 1949 Institution de la première quête nationale.
  • 1950 La Ligue organise à la Sorbonne le 5è Congrès International sur le Cancer, plus de 400 communications de renommées internationales y font le point sur les cancers.
  • 1955 La LIGUE FRANCAISE CONTRE LE CANCER devient la LIGUE NATIONALE FRANCAISE CONTRE LE CANCER
  • 1957 Reconnaissance officielle des Comités départementaux de la Ligue par une Circulaire de la Direction Générale de la Santé.
  • 1960 Le Comité de la Seine met au point un « service d’hospitalisation à domicile » qui deviendra en 1962 « Santé Service ».
  • 1982 L’Assemblée Générale Extraordinaire établit les statuts-types des Comités.
  • 1989 21 des plus grandes associations caritatives françaises, dont la Ligue, rédigent une Charte de Déontologie des organisations sociales et humanitaires faisant appel à la générosité du public.
  • 1991 La Ligue est agréée par le Comité de la Charte dès cette date, l’ensemble des Comités en 1992.
  • 1992 Cette charte reçoit l’engagement formel de tous les Comités. Chacun des présidents départementaux signe conjointement avec le président national. Ainsi tous les membres de la Ligue s’engagent à respecter les règles éthiques de la Charte : recueil de fonds, transparence financière, affectation des subventions conformément aux statuts, contrôle de l’utilisation des ressources.
  • 1992 une Assemblée générale ordinaire modifie le nom de la Ligue qui devient LIGUE NATIONALE CONTRE LE CANCER.
  • 1998 Premiers états généraux des malades atteints de cancer. La Ligue est reconnue comme le porte parole des malades pour exprimer leurs attentes et leurs besoins auprès des soignants et des responsables de santé.
  • 2000 deuxièmes états généraux des malades. 2000 personnes réunies par la Ligue au CNIT : malades, anciens malades, proches, professionnels de la santé… Tous ont dialogués ensemble et témoigné de leur expérience du cancer pendant cette journée qui a été celle de la détermination des malades.
Un site à visiter : www.ligue-cancer.net  Texte pour semaine du cancer en France 13-19 mars 2023

Journée mondiale de la générosité – 1er décembre

Journée mondiale de la générosité

Le nom complet de cette journée est « Journée Mondiale de la générosité et de la solidarité ». Elle est aussi connue sous le nom « Giving Tuesday », dévoilant ainsi son origine Nord-Américaine.

Le nom fait référence au mardi qui suit Thanksgiving. Il s’agit d’un mouvement de charité au début des fêtes de fin d’année. La première édition semble avoir été 2012 aux USA.La première édition en France s’est déroulée le 27 novembre 2018 et a rencontré un grands succés. Plus de 300 projets ont pu être menés à bien par 180 partenaires mobilisés partout en France. La date retenue pour 2020 est le mardi 1er décembre.

A l’Institut Pasteur de Lille…

Les exemples concrets d’action initiées dans le cadre de cette journée sont nombreux et comme nous ne pouvons pas parler de toutes les initiatives, nous en avons choisi une.

L’Institut Pasteur de Lille est une fondation de recherche reconnue d’utilité publique dont l’objectif est d’élaborer les traitements
de demain contre certaines maladies : cancer, maladie d’Alzheimer, maladies cardiovasculaires, diabète, etc…

Comme le dit la sagesse populaire, la santé de tous n’a pas de prix, mais la recherche a un coût !

Chacun est invité à soutenir les actions de l’Institut en diffusant les visuels présentés au sein d’un kit de communication comportant un mode d’emploi et différents supports à imprimer pour agrémenter ses photos.

Un site à visiter : givingtuesday.fr    Source: Texte & Images: Journée mondiale