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Journée de la mémoire de l’Holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité – 27 janvier

« La France a retenu la date du 27 janvier, jour anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz, pour cette journée de la mémoire.
[…] Cette journée de la mémoire devra faire prendre conscience que le mal absolu existe et que le relativisme n’est pas compatible avec les valeurs de la République. En même temps, il faut montrer que l’horreur s’inscrit dans une histoire qu’il convient d’approcher avec méthode, sans dérive ni erreur. Ainsi appartient-il à notre institution de faire réfléchir les élèves à l’Europe du XXème siècle, avec ses guerres et ses tragédies, mais aussi à ses tentatives de synthèse autour des valeurs des droits de l’homme et à sa marche vers l’unité. Il est nécessaire de montrer aux jeunes que ces valeurs ne sont pas de simples mots. Leur respect dans tous les pays du monde est fondamental et nécessite de la part de chacun d’être attentif à ce qui menace ces valeurs et actif pour les défendre. »             B.O. n°46 du 11 décembre 2003 : www.education.gouv.fr
Nous avons recueilli pour vous quelques extraits de textes qui nous ont paru particulièrement « éclairants » sur le sujet.

Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l’oubli (Elie Wiesel)

« (…) Nous célébrons la « Journée de la mémoire de l’holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité ». Une mémoire qui repose sur les témoignages des acteurs et sur les travaux des historiens. Une mémoire d’autant plus vive, paradoxalement, que les survivants disparaissent, ayant à cœur, s’ils ne l’ont déjà fait, de transmettre aux générations nouvelles ce que, bien souvent, si longtemps, ils ont eu tant de peine à exprimer : « Il est dur pour la langue de prononcer de tels mots, pour l’esprit d’en comprendre le sens, de les écrire sur le papier » (Abraham Lewin). Une mémoire d’autant plus précise que les historiens -et notamment les alsaciens- accèdent à de nouvelles archives, affinent nos connaissances -par exemple sur le camp du Struthof- et s’efforcent d’expliquer ce qui semble parfois échapper à la raison.

Mémoire de la Shoah

Prévention des crimes contre l’humanité en même temps que mémoire de la Shoah, cette journée a également pour but d’intégrer à ce travail de mémoire toutes les victimes des crimes contre l’humanité. Et d’abord, pour en revenir aux victimes de la terreur nazie, outre les communautés juives d’Europe, qui en forment la majeure partie, les populations tziganes ou encore les malades mentaux.

Ce devoir de mémoire, et de prévention est plus actuel que jamais. Aujourd’hui comme hier, aujourd’hui comme demain, aucune forme de racisme et d’antisémitisme quelle qu’elle soit ne saurait être tolérée. Et pourtant des faits récents perpétrés contre la communauté juive de Strasbourg nous rappellent qu’il faut rester vigilants.

Une humanité fondée sur la justice

Une vigilance qui souligne que l’enjeu de la commémoration de la libération du camp d’Auschwitz, camp de concentration et « centre de mise à mort » (Raul Hilberg), ne concerne pas que les bourreaux et leurs victimes juives. Elle est le lieu de mémoire commun d’une mémoire européenne qui ne cesse de se constituer et l’horizon d’une humanité fondée sur la justice, la paix et la tolérance.

 

Un site à visiter : www.cercleshoah.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

International Day of Epidemic Preparedness – 27 December

As exemplified by the ongoing coronavirus disease (COVID-19) pandemic major infectious diseases and epidemics have devastating impacts on human lives, wreaking havoc on long-term social and economic development. Global health crises threaten to overwhelm already overstretched health systems, disrupt global supply chains and cause disproportionate devastation of the livelihoods of people, including women and children, and the economies of the poorest and most vulnerable countries.

There is an urgent need to have resilient and robust health systems, reaching those who are vulnerable or in vulnerable situations.

In the event of the absence of international attention, future epidemics could surpass previous outbreaks in terms of intensity and gravity. There is great need of raising awareness, the exchange of information, scientific knowledge and best practices, quality education, and advocacy programmes on epidemics at the local, national, regional and global levels as effective measures to prevent and respond to epidemics.

It is important to strengthen epidemic prevention by applying lessons learned on epidemic management and how to prevent the stoppage of basic services, and to raise the level of preparedness in order to have the earliest and most adequate response to any epidemic that may arise, and recognizing also the value of an integrated One Health approach that fosters integration of human health, animal health and plant health, as well as environmental and other relevant sectors.

 

Source: Text: https://www.un.org/  Image: WHO

World Day for Prevention of Child Abuse – 19 November

CALL TO ACTION: Commemorate the World Day – 19 November in synergy with the Universal Children’s Day – 20 November 2022

We call on all our coalition members, partners and friends around the world to participate again with local and national activities in the realization of the UN Sustainable Development Goal Target #16.2 « End abuse, exploitation, trafficking, and all forms of violence against and torture of children » to speed up better prevention of violence against children and youth in the world.

With every 5 minutes a child dying as a result of violence around the world, we need to mobilize not only governments, but also all citizens – adults and youth – to commit to the full implementation of children’s right to dignity and non-violence.

For those of you who are new to the 19 November World Day for prevention of child abuse, please note that the Women’s World Summit Foundation (WWSF) inaugurated this Day in the year 2000 with endorsements from many dignitaries, including from Kofi Annan, Paulo Sergio Pinheiro, Desmond Tutu, Her Majesty Queen Rania of Jordan, Jean Zermatten and Prof. Yang-hee Lee, both former chairs of the UN Committee on the Rights of the Child; Marta Santos Pais, Special Representative lf the United Nations General Secretary.

 

Source: Text & Image: https://www.woman.ch/19-days-of-activism-prevention-kit/world-day-for-prevention-of-child-abuse-19-nov/

World Osteoporosis Day – 20 October 2023

World osteoporosis day is a global healthcare event observed every year on 20 October, followed by various awareness campaigns and activities to promote the early diagnosis of osteoporosis, its treatment and preventive tips for strong bones. The campaigns are mainly focused on encouraging people to take preventative measures for their bone health to avoid any risk of osteoporosis and associated complications in the future.

Importance of World Osteoporosis Day (WOD)

Osteoporosis is a medical condition in which bones become very weak and brittle. Usually, it doesn’t show any symptoms unless the fracture happens. In the case of osteoporosis, the bone becomes so fragile that a fracture can occur with a minor fall, bump or sudden movement. The chances of osteoporosis prevail more with ageing. It is one of the most common causes of fractures in the elderly. Because of the asymptomatic nature of this bone disorder, it is essential to look after bone health to prevent complications related to bone fractures.

It is estimated that globally, 1 in 3 women and 1 in 5 men aged 50 years suffer from an osteoporotic fracture, making it one of the leading causes of deadly pain and long-term disability in ageing people. Also, because of the poor healthcare infrastructure, facility, accessibility and lack of awareness, only 20% of patients with osteoporosis are getting diagnosed or treated.

The prevalence of osteoporosis in elderly female has been noticed more, after 5-7 year of menopause they tend to lose their bone density by 20%. To avoid any future complications in bone health, world osteoporosis day (WOD), with the help of concerned organizations and people around the world, creates awareness and encourages people to get an early diagnosis and check for bone density and act accordingly. Implementing a particular lifestyle and adhering to healthy food habits can help ensure healthy bones and prevent prolonged osteoporosis.

World Osteoporosis Day 2023 Theme

This year, 2023, the World Osteoporosis Day Theme is “Build Better Bones”, intending the significance of leading a bone-healthy lifestyle as the foundation for strong bones and fracture-free future.

 

Source: Text & Image: https://www.pacehospital.com/world-osteoporosis-day-20-octobe

Journée mondiale contre le cancer du sein – 19 octobre 2023

Chiffres alarmants et prise de conscience

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le cancer du sein est le cancer le plus courant chez les femmes à travers le monde. On estime qu’en 2022, près de 2,3 millions de femmes ont été diagnostiquées avec cette maladie, et malheureusement, 685 000 d’entre elles ont succombé. Ces chiffres, bien qu’effrayants, mettent en lumière l’importance d’une prise de conscience et d’une intervention précoces.

Détection précoce : une arme redoutable

Une détection précoce peut augmenter considérablement les chances de survie. Les mammographies, un examen radiologique du sein, se sont avérées cruciales pour détecter les tumeurs avant qu’elles ne deviennent palpables. En France, grâce au dépistage organisé, 50% des cancers du sein sont détectés à un stade précoce, augmentant ainsi les chances de survie.

Des traitements en constante évolution

Les avancées médicales ont considérablement amélioré les options de traitement pour les patients atteints de cancer du sein. La chirurgie, la chimiothérapie, la radiothérapie, la hormonothérapie et les thérapies ciblées sont autant d’outils dans l’arsenal médical. De plus, des traitements innovants, tels que l’immunothérapie, sont en cours d’essai et offrent des perspectives prometteuses.

Le rôle crucial du soutien

Au-delà des traitements médicaux, le soutien psychologique est essentiel pour les patients et leurs familles. Les associations, telles que “Ruban Rose” ou “La Ligue contre le cancer”, jouent un rôle primordial dans l’accompagnement des personnes touchées, en offrant des espaces d’écoute, d’échange et de soutien.

Prévention et mode de vie

Des études ont démontré que l’adoption d’un mode de vie sain peut réduire le risque de cancer du sein. Une alimentation équilibrée, riche en fruits et légumes, l’exercice régulier, la limitation de la consommation d’alcool, et l’évitement du tabagisme sont autant de facteurs préventifs.

La Journée mondiale contre le cancer du sein du 19 octobre 2023 n’est pas simplement une journée de sensibilisation, c’est un appel à l’action. Chaque personne peut jouer un rôle, que ce soit en se faisant dépister, en soutenant une personne touchée ou en contribuant à la recherche. Ensemble, nous pouvons faire la différence et œuvrer vers un monde où le cancer du sein sera relégué aux annales de l’histoire.

 

Source: Texte: https://media24.fr/2023/10/18/journee-mondiale-contre-le-cancer-du-sein-le-19-octobre-2023/     Image: CQDM

Journée mondiale pour la vue – 12 octobre 2023

Chaque année, le second jeudi d’octobre, les projecteurs se braquent sur une cause essentielle : la santé visuelle. C’est la Journée mondiale pour la vue, un rendez-vous dédié à la sensibilisation du public face aux défis liés à la cécité et à la déficience visuelle.

Un contexte alarmant

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), environ 1 milliard de personnes souffrent d’une déficience visuelle qui aurait pu être évitée ou reste non corrigée. En d’autres termes, c’est près de 1/7 de la population mondiale qui, avec des interventions appropriées, aurait pu voir le monde autrement.

Par ailleurs, plus de 2,2 milliards de personnes souffrent d’une forme de déficience visuelle. La cataracte demeure l’une des principales causes, comptant pour près de la moitié des cas de cécité dans le monde.

Des inégalités frappantes

Si l’accès aux soins oculaires est pris pour acquis dans de nombreuses régions développées, de vastes pans de populations en Afrique, en Asie ou en Amérique latine restent privés de ce droit fondamental. Le fossé en matière de santé oculaire entre les pays développés et les pays en développement est abyssal, et s’accroît à mesure que les technologies évoluent.

L’importance d’une prise en charge précoce

Les troubles de la vue, souvent insidieux, peuvent s’installer lentement, dérobant à l’individu la clarté de son environnement, parfois sans qu’il ne s’en rende compte. Les campagnes de dépistage, la formation des professionnels de santé, et l’éducation des populations sont donc des maillons cruciaux dans la chaîne de prévention

La Journée mondiale pour la vue du 12 octobre 2023 n’est pas qu’une simple date sur un calendrier. Elle incarne l’espoir de milliards de personnes, celui de voir un monde où la cécité et la déficience visuelle seraient reléguées au rang d’antiques afflictions. Dans cette quête, chaque acteur, qu’il soit un géant de l’industrie, un professionnel de santé ou un citoyen lambda, a un rôle à jouer. Car après tout, quoi de plus précieux que le don de la vue ?

 

Source: Texte (extraits): https://media24.fr/2023/10/11/journee-mondiale-pour-la-vue    Image: https://mairie09.paris.fr/pages/journee-mondiale-de-la-vue-jeudi-12-octobre

Journée mondiale contre la traite d’êtres humains – 30 juillet 2023

Thème 2023 : Chaque victime de traite des êtres humains compte, ne laisser personne de côté

Les crises mondiales, les conflits et l’urgence climatique augmentent les risques de traite d’êtres humains. Les déplacements et les inégalités socio-économiques affectent des millions de personnes dans le monde, les rendant vulnérables à l’exploitation par les trafiquants. Les personnes qui n’ont pas de statut légal, qui vivent dans la pauvreté, qui ont un accès limité à l’éducation, aux soins de santé ou à un travail décent, qui sont confrontées à la discrimination, à la violence ou aux abus, ou qui viennent de communautés marginalisées, sont souvent les premières cibles des trafiquants.

Au niveau mondial, les réponses nationales, en particulier dans les pays en développement, semblent se détériorer. Les taux de détection ont chuté de 11 % en 2020 et les condamnations de 27 %, illustrant un ralentissement mondial de la réponse de la justice pénale à la traite d’êtres humains. La pandémie de COVID-19 a également modifié les caractéristiques de cette traite, en le plongeant davantage dans la clandestinité et en augmentant potentiellement les risques pour les victimes en rendant le crime moins susceptible d’être porté à l’attention des autorités. Ainsi, 41 % des victimes qui parviennent à échapper à leur calvaire s’adressent aux autorités de leur propre initiative – un autre signe clair que les mesures de lutte contre la traite des êtres humains ne sont pas à la hauteur.

Dans le contexte de la traite d’êtres humains, le fait de laisser des personnes de côté signifie :

  • échouer à éliminer l’exploitation des victimes de la traite,
  • échouer à venir en aide aux victimes après leur libération, et
  • laisser des groupes identifiables vulnérables aux trafiquants.

La campagne pour la Journée mondiale contre la traite d’êtres humains a pour objectif de sensibiliser aux évolutions et tendances inquiétantes identifiées dans le dernier rapport mondial sur la traite d’êtres humains de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et invite les gouvernements, les services de détection et de répression, les services publics et la société civile à évaluer et à intensifier leurs efforts pour renforcer la prévention, identifier et soutenir les victimes, et mettre fin à l’impunité.

Pour mettre fin à la traite d’êtres humains (#EndHumanTrafficking), nous ne pouvons pas tolérer que ce crime fasse l’objet d’une indifférence et d’une impunité croissantes. Nous devons renforcer la résilience face à l’exploitation et aux problèmes socio-économiques et culturels sous-jacents qui favorisent cette traite. Nous devons sensibiliser tout le monde à la question de la traite d’êtres humains et ainsi porter notre attention vers ceux qui peuvent faire la différence en termes de changement de politique et de gestion des ressources nationales afin de renforcer les mesures de prévention, d’améliorer l’identification des victimes, d’accroître le soutien aux survivants et de mettre un terme à l’impunité.

Logo pour la campagne Coeur bleu de l'ONUDC

Pourquoi un Cœur bleu ?

Le symbole du Cœur bleu représente la solidarité avec les victimes et l’insensibilité de ceux qui achètent et vendent leurs semblables.

Source: Texte & Images: https://www.un.org/fr/observances/end-human-trafficking-day

World Day Against Trafficking in Persons – 30 July 2023

THEME 2023: « Reach every victim of trafficking, leave no one behind »

The campaign for World Day Against Trafficking in Persons 2023 aims to raise awareness of disturbing developments and trends identified by UNODC and calls on governments, law enforcement, public services, and civil society to assess and enhance their efforts to strengthen prevention, identify and support victims, and end impunity.

In the context of trafficking in persons, leaving people behind means

  • failing to end the exploitation of trafficking victims,
  • failing to support victim-survivors once they are free from their traffickers, and
  • leaving identifiable groups vulnerable to traffickers.

At the implementation mid-point of the 2030 Agenda and ahead of the SDG Summit 2023 this year, it is crucial to raise awareness and reinforce global commitments to eliminate trafficking in persons.

To end human trafficking, we cannot allow this crime to be met with increasing indifference and impunity. We must strengthen resilience against exploitation and the underlying socio-economic and cultural issues that are conducive to trafficking. We must sensitize everyone to the topic of human trafficking and thus push attention towards those who can make a difference in terms of changing policy and national resource management to strengthen prevention measures, improve identification of victims, increase support of survivors and end impunity.

 

Source: Text & Image: https://www.unodc.org/

World Day for Safety and Health at Work – 28 April 2023

A safe and healthy working environment is a fundamental principle and right at work

In June 2022, the International Labour Conference (ILC) decided to include “a safe and healthy working environment” in the ILO’s framework of fundamental principles and rights at work.

On 28 April 2023, the ILO celebrates this decision, bringing together experts and constituents to discuss the implications it has for the world of work, as well as how to practically implement this right in the world of work.

Background

In 2003, the International Labour Organization (ILO), began to observe World Day in order to stress the prevention of accidents and diseases at work, capitalizing on the ILO’s traditional strengths of tripartism and social dialogue.

This celebration is an integral part of the Global Strategy on Occupational Safety and Health of the ILO, as documented in the Conclusions of the International Labour Conference in June 2003. One of the main pillars of the Global Strategy is advocacy, the World Day for Safety and Health at Work is a significant tool to raise awareness of how to make work safe and healthy and of the need to raise the political profile of occupational safety and health.

28 April is also the International Commemoration Day for Dead and Injured Workers organized worldwide by the trade union movement since 1996.

Prevention of occupational accidents and diseases

The annual World Day for Safety and Health at Work on 28 April promotes the prevention of occupational accidents and diseases globally. It is an awareness-raising campaign intended to focus international attention on the magnitude of the problem and on how promoting and creating a safety and health culture can help reduce the number of work-related deaths and injuries.

Each of us is responsible for stopping deaths and injuries on the job. As governments we are responsible for providing the infrastructure — laws and services — necessary to ensure that workers remain employable and that enterprises flourish; this includes the development of a national policy and programme and a system of inspection to enforce compliance with occupational safety and health legislation and policy. As employers we are responsible for ensuring that the working environment is safe and healthy. As workers we are responsible to work safely and to protect ourselves and not to endanger others, to know our rights and to participate in the implementation of preventive measures.

 

Source: Text & Image: https://www.un.org/en/observances/work-safety-day      2nd Image: www.afge.org

 

 

Genocide International Prevention Day – 9 December

By its resolution 69/323 of 29 September 2015, the United Nations General Assembly established 9 December as the International Day of Commemoration and Dignity of the Victims of the Crime of Genocide and of the Prevention of this Crime. 9 December 2022 marks the International Day of Commemoration and Dignity of the Victims of the Crime of Genocide and of the Prevention of this Crime, as well as the 74th anniversary of the 1948 Convention on the Prevention and Punishment of the Crime of Genocide (the “Genocide Convention”), the first human rights treaty adopted by the General Assembly. The Convention signifies the international community’s commitment to “never again” and provides the first international legal definition of “genocide,” widely adopted at national and international levels. It also establishes a duty for State Parties to prevent and punish the crime of genocide. Every year the United Nations Office on Genocide Prevention and Responsibility to Protect organizes events to mark this International Day, honoring the victims of genocide and the anniversary of the Convention.

The Genocide Convention

The Genocide Convention (article 2) defines genocide as « any of the following acts committed with intent to destroy, in whole or in part, a national, ethnical, racial or religious group … « , including:

  • Killing members of the group;
  • Causing serious bodily or mental harm to members of the group;
  • Deliberately inflicting on the group conditions of life calculated to bring about its physical destruction in whole or in part;
  • Imposing measures intended to prevent births within the group;
  • Forcibly transferring children of the group to another group.

The Convention confirms that genocide, whether committed in time of peace or war, is a crime under international law which parties to the Convention undertake “to prevent and to punish” (article 1). The primary responsibility to prevent and stop genocide lies with the State.

Prevention of Genocide

To prevent genocide and genocidal conflicts, it is critically important to understand their root causes. While conflict has many causes, genocidal conflict is identity-based. Genocide and related atrocities tend to occur in societies with diverse national, racial, ethnic or religious groups that are locked in identity-related conflicts. It is not simply differences in identity, whether real or perceived, that generate conflict, but the implication of those differences in terms of access to power and wealth, services and resources, employment, development opportunities, citizenship and the enjoyment of fundamental rights and freedoms. These conflicts are fomented by discrimination, hate speech inciting violence and other violations of human rights.

In terms of prevention, the critical step is to identify the factors (discriminatory practices) in a given situation that lead to or account for acute disparities in the treatment of a diverse population, and to seek ways to diminish and eventually eradicate these possible causes of genocidal violence. Given that no country is perfectly homogeneous, genocide is a truly global challenge.

 

Source: Text: https://www.un.org/en/observances/genocide-prevention-day    Images: Newsd    Facebook