?

De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée Mondiale de l’eau – 22 mars

L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté le 22 décembre 1992 la résolution A/RES/47/193 qui déclara le 22 mars de chaque année « Journée mondiale de l’eau », à compter de l’année 1993, conformément aux recommandations de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement (CNUED)

Un plan d’action pour le XXI° siècle
Cette résolution invitait les États à consacrer ce jour selon le contexte national, en concrétisant des actions telles que la sensibilisation du public par des publications, des diffusions de documentaires, l’organisation de conférences, de tables rondes, de séminaires et d’expositions liés à la conservation et au développement des ressources en eau et à la mise en œuvre des recommandations d’Action 21.

L’eau à la source de la sécurité alimentaire
Plus de 20 après, l’alimentation en eau potable à travers le monde n’est pas encore assurée partout, loin s’en faut, et de nombreuses zones agricoles souffrent encore d’une alimentation médiocre, source de maladies et nuisibles au développement.

Un site à visiter : www.unwater.org   Source: Texte & Image: http://www.journee-mondiale.com

 

Journée mondiale de la Trisomie-21 – 21 mars

Une résolution de l’ONU en 2011 a institué la date du 21 mars comme Journée mondiale de la Trisomie-21. L’occasion se présente donc pour faire le point sur la situation actuelle de la Trisomie-21 au Québec.

Dans un premier temps, il est utile de se remémorer quelques-uns des grands titres de l’actualité en lien avec la Trisomie-21. «Saint Jude; un homme atteint de Trisomie-21 passe plusieurs jours avec le cadavre de son frère avant de mourir de faim et de soif (2010)», «Utilisation du Taser pour maîtriser un homme de 43 ans atteint de Trisomie-21 (2009)», «Un homme accusé d’avoir agressé sexuellement une dame trisomique de 47 ans (2008)», «Hôpital Sainte-Justine: un garçon de 9 ans trisomique n’est plus le bienvenu (2006)», «L’agresseur d’une jeune trisomique voit sa peine réduite (2004)», «Une fillette trisomique de 7 ans n’est pas la bienvenue dans sa classe (2004)», «Une femme trisomique de 41 ans morte de faim et de soif après le suicide de son frère aîné qui s’occupait d’elle (2004)».

Sans oublier l’actuel gouvernement du Québec qui a mis en place un programme de dépistage prénatal de la Trisomie-21, envoyant ainsi le message à la population que mieux vaut ne pas vivre du tout que de vivre avec une Trisomie-21. À l’égard de celles-ci, ce fut d’ailleurs la seule générosité dont s’est senti capable le gouvernement du Québec. Cette politique du «contentezvous» les a enfoncées brutalement, ainsi que leur famille, dans une situation de repli et dans un grand sentiment d’isolement et d’incompréhension.

Ce petit tour d’horizon nous fait constater à quel point rien n’est facile, même de nos jours, pour les personnes vivant avec une Trisomie-21. Il s’agit bien là d’une grave injustice à leur égard puisqu’elles méritent bien plus que l’abandon général à leur endroit.

En effet, les personnes vivant avec une Trisomie-21, bien qu’aux prises avec un retard sur le plan intellectuel, sont en avance sur nous tous quant à certaines qualités de coeur remarquables comme l’amour inconditionnel et leur capacité de vivre sans préjugés envers les autres. Elles nous invitent, par leur exemple, au dépassement de nos limites personnelles.

Par ailleurs, le rayonnement de la démocratie et de notre Assemblée nationale du Québec doit rejoindre l’ensemble des citoyennes et des citoyens du Québec, y compris les 10 500 Québécoises et Québécois vivant avec une Trisomie-21. Ce rayonnement doit être souligné concrètement et avec fierté à leur endroit. Ces personnes apportent par leur exemple d’aimer inconditionnellement une contribution unique, originale et majeure à la construction du Québec d’aujourd’hui et de demain. Cet exemple n’est maîtrisé que par ceux et celles qui sont sur un chemin trop peu fréquenté. Le rayonnement de la démocratie sait reconnaître l’égalité des chances et sait aussi reconnaître en chacun la capacité de fournir un apport positif à notre collectivité québécoise. Sur le plan humain, les personnes vivant avec une Trisomie-21 ont assurément beaucoup à nous apprendre.

En cette Journée mondiale de la Trisomie-21, je vous invite tous à prendre contact avec une personne ayant une Trisomie-21 de votre entourage. Ce sera son plus grand bonheur. Offrez-lui d’aller prendre une marche, d’aller manger une crème glacée, de jouer au ballon, d’aller aux quilles, etc., puis regardez doucement et attentivement dans ses yeux. Vous y verrez de l’amour à perte de vue…

Source: Texte: Sylvain Fortin, président de la Société québécoise de la Trisomie-21 www.degaulle-trisomie21.org Le Soleil 21 mars 2012 Image : jolpress.com

Journée Internationale pour l’élimination de la discrimination raciale – 21mars

La Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale est célébrée chaque année le 21 mars, pour commémorer ce jour de 1960 où, à Sharpeville (Afrique du Sud), la police a ouvert le feu et tué 69 personnes lors d’une manifestation pacifique contre les lois relatives aux laissez-passer imposées par l’apartheid.

En proclamant la Journée internationale en 1966, l’Assemblée a engagé la communauté internationale à redoubler d’efforts pour éliminer toutes les formes de discrimination raciale [résolution 2142 (XXI)].

A l’occasion de la journée 2004, Kofi Annan, secrétaire général des Nations unies, a eu l’occasion de diffuser le message suivant:

Le 21 mars 1960, une manifestation non violente de protestation contre la loi sur les laissez-passer – une des institutions les plus honnies de l’apartheid – eut lieu à Sharpville, en Afrique du Sud. Bilan : 69 morts parmi les manifestants. Le massacre de Sharpville fut un moment décisif dans la lutte contre l’apartheid. Il amena aussi l’Assemblée générale [des Nations unies] à instituer cette journée annuelle, dont l’objet est d’appeler l’attention sur la lutte contre le racisme, où qu’il se manifeste et quelle que soit l’époque.

Cette année (2004) est celle du dixième anniversaire du génocide rwandais, ce qui nous rappelle les horreurs que peut entraîner la haine ethnique et raciale. C’est aussi celle du bicentenaire de la révolution à Haïti, grâce à laquelle les peuples des Caraïbes et d’Amérique latine furent libérés de l’esclavage. Et 2004 est enfin, comme l’a décidé l’Assemblée générale, l’Année internationale de commémoration de la lutte contre l’esclavage et de son abolition. A travers ces trois événements, nous devons non seulement honorer la mémoire des victimes de tragédies passées, mais aussi manifester notre ferme volonté d’éviter que d’autres ne subissent un sort semblable à l’avenir.

Cela veut dire que nous devons mettre fin aux conséquences, qui persistent à ce jour, de l’esclavage et du commerce des esclaves. Ces injustices historiques sont parmi les causes de la pauvreté, du sous-développement, de la marginalisation, de l’exclusion sociale, des disparités économiques, de l’instabilité et de l’insécurité dont beaucoup souffrent aujourd’hui dans différentes parties du monde, en particulier dans les pays en développement.

Le racisme est aussi une des racines du génocide. Les pratiques racistes, les idéologies racistes, et les discours déshumanisants qui nient la dignité et les droits de groupes entiers doivent être condamnés. La tolérance, le dialogue interculturel et le respect de la diversité sont plus indispensables que jamais dans un monde où les peuples sont plus interconnectés que jamais.

Un site à visiter : www.stop-discrimination.info     Source: Texte, résumé & Image: : http://www.journee-mondiale.com       Nations unies, New York, 17 mars 2004

 

Journée mondiale du bonheur – 20 mars

Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ? il ne vous reste plus qu’à créer la journée internationale du bonheur.

Présenté comme cela, c’est presque drôle. Ce qui l’est moins, c’est que cette journée existe bel et bien et qu’elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.

Une journée alibi ?
La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.

Pour faire bonne mesure l’auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.

Un objectif fondamental de l’être humain
On aurait pu aussi parler de journée gadget… mais c’est loin d’être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite:

Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.

La journée mondiale du bonheur est bien dans l’air du temps et de la recherche d’un « mieux vivre ». Les économistes cherchent aujourd’hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.

On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays et qu’un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.

Un site à visiter : www.un.org       Source: Texte: http://www.journee-mondiale.com/306/journee-mondiale-du-bonheur Image: timeanddate.com

 

Pic : timeanddate.com

Nouvel An Hindou – 19 mars

Hindouisme :

Cheti Chand (चेटी चन्ड) est un festival qui marque le début du Nouvel An hindou pour le groupe des croyants Sindhi. La date de ce festival est fixée selon les cycles du calendrier lunisolaire Hindou. C’est le premier jour de l’année du mois Sindhi nommé Chet (Chaitra). Cette célébration prend place vers la fin de mars ou début d’avril du calendrier grégorien environ à la même période que Gudi Padwa dans la région de  Maharashtra et Ugadi dans d’autres secteurs de la région de Deccan en Inde.

Source: Texte: Wikipedia Image: Happy New Year

 

 

Journée mondiale de la Schizophrénie – 17 mars

En 2018, la journée mondiale de la shizophrénie se déroulera pour la 15ème fois. Et comme ses initiateurs ne font pas les choses à moitié, ils ont décidé de consacrer une semaine complète à l’événement ! La « journée » se déroulera donc du 17 mars au 24 mars.

On a tous un côté décalé !

La schizophrénie est une maladie du cerveau qui affecte la pensée, les sentiments et les émotions. Toutes ces fonctions ne sont pas perturbées au même moment et dans la même mesure. De nombreuses personnes souffrant de schizophrénie peuvent avoir un comportement normal pendant une longue période et être perturbées uniquement pendant des périodes de crise.
La schizophrénie perturbe souvent l’attention, la mémoire, l’apprentissage et le traitement de l’information.

Une personne atteinte de schizophrénie peut :

Percevoir des difficultés à établir un contact avec son entourage ou son/ses ami(s)
Etre submergée par des idées étranges
Avoir la sensation d’entendre des voix qui n’existent pas dans la réalité
Avoir beaucoup de difficultés à différencier ce qui est réel de ce qui ne l’est pas
Avoir l’impression que des personnes de son entourage lui veulent du mal
Se replier sur elle-même et se comporter de façon étrange
Ressentir une insécurité en permanence

La schizophrénie touche, à l’échelle mondiale, 1% de la population. Elle survient surtout chez les jeunes à la fin de l’adolescence ou au début de la vie adulte.
Mais la Schizophrénie n’est pas :

Un dédoublement de la personnalité
Causée par des parents négligents ou dominateurs
La conséquence d’une expérience traumatisante vécue pendant l’enfance

Depuis ces dernières années la Schizophrénie est devenu une maladie traitable qui permet de réduire en grande partie les effets négatifs ressentis par les malades et leur entourage.

Un site à visiter : www.info-schizophrenie.ch    Source : Texte & Image : http://www.journee-mondiale.com

Journée internationale d’action pour les rivières – 14 mars

La journée d’action pour les rivières tire son origine d’une initiative brésilienne contre les grands barrages et les dégâts qu’ils occasionnent. Elle entend donc logiquement lutter contre les barrages et pour les rivières, pour l’eau et pour la vie.

Une histoire qui coule de source…

L’idée de la journée a été adoptée lors du premier sommet international des personnes affectées par les barrages (International Meeting of People Affected by Dams). Les représentants de 20 pays ont décidé que la Journée international d’action aurait lieu le 14 mars, date de la journée d’action contre les grands barrages au Brésil.

Tous les ans, des milliers d’individus de par le monde élèvent la voix pour honorer les rivières du monde et les personnes qui luttent pour leur protection. La Journée internationale d’action pour les rivières est un jour où nous célébrons des victoires comme le démantèlement des barrages et la restauration de rivières.

Un site à visiter : www.internationalrivers.org       Source : texte & Image Journée mondiale

Des hackers… au Vatican!

Au Vatican, 120 hackers vont  se mettre au service de l’Homme
120 hackers venus du monde entier sont au Vatican du 8 au 11 mars pour participer à un « Hackathon » baptisé « VHacks ».

Objectif ?
Trouver des solutions aux problèmes de l’inclusion sociale, du dialogue interreligieux et de la crise des réfugiés. Une initiative spectaculaire soutenue par le pape François.

Organisé par Optic, un think-tank sur l’éthique des nouvelles technologies, le premier hackathon jamais organisé par le Vatican démarre ce jeudi 8 mars. Baptisé « VHacks », ce rendez-vous collaboratif soutenu vivement par le pape François vise à développer des programmes dédiés à des projets solidaires.

Le soutien du pape François
Les organisateurs se sont inspirés de cette interrogation du Pape François : « Ne serait-il pas merveilleux si les innovations scientifiques et technologiques contribuaient à plus d’égalité et d’insertion sociale ? »

Source : Texte (abrégé) : John Burger/Marzena Devoud | 08 mars 2018 Image : tours-italy.com

Journée Internationale de la Femme – 8 mars

Une date unique dans le monde entier
La Journée Internationale de la Femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l’histoire
La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l’émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques
1909 – Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910 – L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.

1911 – À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.

Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.

1913-1914 – Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.

1917 – Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir  » du pain et la paix « . Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.

Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

Source: Texte: Journée Mondiale Image: 6f6d.over-blog.com

 

Journée Internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants – 6 mars

La Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants a lieu le 6 mars. C’est une journée ou les professionnels des médias du monde entier se mettent sur la même longueur d’onde que les enfants.

Ils diffusent des émissions de qualité destinées et consacrées aux enfants. Mais, surtout, ils donnent l’occasion aux enfants de participer à la production des émissions, de parler de leurs espoirs et de leurs ambitions et d’échanger des informations entre eux.

La télévision en fête
La Journée est une initiative conjointe de l’UNICEF et de l’Académie internationale des Arts et Sciences de la télévision. Chaque année, des milliers de personnalités de la radio et de la télévision dans plus de cent pays prennent part à cette Journée, la fêtant sous des formes aussi exceptionnelles et particulières que les enfants eux-mêmes.

La Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants est maintenant une tradition en Amérique latine qui participe à la Journée internationale tous les ans depuis 1994.

Les actions
Dans le cadre de cette Journée internationale, des producteurs du monde entier sont invités à consacrer des émissions à la situation des enfants et à donner l’occasion aux enfants de participer à la production d’émissions.

Elle permet à ces médias d’exploiter le pouvoir de la télévision et de la radio pour sensibiliser les populations aux problèmes de l’enfance. Lors de la “Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants” de 1998, quelque 2000 organismes établis dans 170 pays ont diffusé des programmes spéciaux sur l’enfance, souvent préparés par des enfants.

Un site à visiter : www.unicef.org  

Source: Texte : Journée Mondiale     Images: Web Search Secrets; Medical News Today