?

De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée internationale de la Bible – 24 novembre

La journée internationale de la Bible est une initiative originaire des Etats-Unis et plus particulièrement de l’association de la Bible qui a souhaité promouvoir cette journée à partir du 24 novembre 2014.

Il faut bien garder à l’esprit cette origine américaine pour comprendre cette journée dont le but est d’encourager la lecture de la Bible. L’intention affirmée est clairement prosélyte et les organisateurs n’hésitent pas à affirmer qu’il s’agira également d’une occasion de réunir ceux qui aiment Dieu et veulent Le remercier.

De Saint Jérôme à la journée mondiale…

Une autre journée mondiale fait une référence explicite à la bible. Il s’agit de la Journée mondiale de la traduction fêtée le jour de la Saint Jérôme, saint patron des traducteurs et premier traducteur de la bible en latin.

 

Note: Dans une vidéo, David Minier nous partage sa découverte… de la Bible à:   https://image-i-nations.com/journee-mondiale-de-bible-oui/

 

Un site à visiter : www.christianismeaujourdhui.info. Source: Texte & Image: Journée Mondiale 

Journée Mondiale de la Télévision – 21 novembre

L’UNESCO célèbre le 21 novembre la Journée mondiale de la télévision, proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1996 pour encourager deséchanges mondiaux de programmes télés se concentrant sur la paix, la sécurité, le développement social et économique et l’amélioration de l’échange culturel.

L’UNESCO et la télévision
L’UNESCO reconnaît l’importance de la télévision en tant que premier moyen de communication et passage normal de l’information de masse, ceci est d’autant plus important dans les pays les moins développés. La télévision joue un véritable rôle en ce qui concerne la diffusion de l’information et de la connaissance et constitue un puissant outil reflétant et déterminant les conditions et les aspirations humaines.

Les programmes de l’UNESCO, y compris le Programme international pour le développement de la communication (PIDC), donne la priorité à l’encouragement de la liberté d’expression et au renforcement de la diversité culturelle dans les médias, en particulier en améliorant les capacités endogènes de production et en soutenant la distribution de programmes audiovisuels de qualité.

L’UNESCO s’est engagé à soutenir et à améliorer la radiotélévision indépendante du point de vue de la rédaction mais aussi la conservation de ses contenus, contribuant de ce fait à l’inclusion sociale et au renforcement de la société civile. L’UNESCO favorise la radiotélévision publique comme unique service fournissant un accès universel à l’information et au savoir, par la qualité et les divers contenus reflétant les besoins, les inquiétudes et les espérances des diverses audiences, en particulier les communautés désavantagées.

Pour des programmes de qualité
La création et la diffusion de contenu local reflétant les valeurs et l’expérience des communautés et des cultures locales sont nécessaire à la conservation de la diversité culturelle. La tâche du programme de l’UNESCO pour la création de contenu, de réaliser non seulement une programmation de télévision de qualité mais de manière importante, augmente la production de contenu local reflétant de telles valeurs.

L’UNESCO croit fortement qu’une programmation télévisée, de haute qualité et soutenue, résulte en un public intéressé et bien informé avec la possibilité de participer à des discussions publiques, et de se démener pour des questions d’ordre politiques et d’intérêt commun, et donc soulignant le rôle crucial de la télévision tout en favorisant la démocratie.

Un site à visiter : www.itu.int   Source: Texte (résumé): Journée Mndiale Image: 20 minutes

 

Le Pape François a… une Lamborghini !

La marque italienne a offert un exemplaire unique de son modèle phare Huracan au pape François. Sa vente servira, entre autres, à venir en aide aux chrétiens d’Irak.

Lamborghini, le légendaire constructeur automobile italien a offert au pape François ce 15 novembre un modèle personnalisé de son bolide Huracan. Un don à faire pâlir d’envie les amateurs de belle mécanique. Jugez plutôt. Sous le capot, cette voiture de sport dispose d’un moteur V10 de 5,2 litres développant 610 ch. Elle peut atteindre les 100km/h, départ arrêté, en 2,9 secondes ! Et en circuit, elle emmène son pilote à plus de 325 km/h. Mais il est peu probable que le souverain pontife en fasse l’expérience. En effet, la voiture sera mise aux enchères par Sotheby’s et le produit de la vente sera destiné à financer quatre projets choisis personnellement par le Saint-Père.

Le premier des projets bénéficiaires de cette vente est celui de l’Aide à l’Église en détresse (AED) qui a programmé un véritable plan Marshall pour permettre aux chrétiens de la plaine de Ninive (Irak) de retourner vivre sur leurs terres ancestrales. Le second projet abondé par le produit de cette vente concerne celui d’une maison d’accueil piloté par une association italienne d’aide au femmes victimes de la traite humaine et de la prostitution (Communauté pape Jean XXIII). Enfin, sont concernées deux associations agissant principalement en Afrique : le Groupe international chirurgiens amis de la main (GICAM), et l’association italienne «Amis de la Centrafrique ». Ces deux organisations ont notamment des projets dédiés aux femmes et aux enfants.

Le précédent de la Harley
Ce coup de pouce financier sera loin d’être anodin puisqu’une Lamborghini Huracan affiche un prix catalogue compris entre 200 000 euros et 300 000 euros. Cette somme pourrait être largement dépassée lors de la vente car il s’agit d’un modèle «personnalisé» pour le successeur de Pierre et signé par lui. En 2014, une Harley Davidson offerte au pape François avait été adjugée à près de 242 000 euros, une somme bien supérieure à estimation initiale de 15 000 euros.

Source: Texte: La rédaction d’Aleteia/avec I.Media | 15 novembre 2017   Image: www.motortrend.com

 

Journée mondiale pour la prévention des abus envers les enfants – 11 novembre

La Fondation Sommet Mondial des Femmes : Femmes et en enfant d’abord (FSMF) a lancé en 2000 la Journée Mondiale pour la Prévention des Abus envers les Enfants. Cette journée est célébrée chaque 19 novembre en synergie avec la journée des droits de l’enfant (20 novembre), a pour objectif de mettre en évidence le problème des abus ainsi que la nécessité d’intervenir de toute urgence par la diffusion de programmes de prévention.

Les abus et l’exploitation des enfants (notamment au niveau sexuel) constituent un problème universel et alarmant. Une attention accrue ainsi que des mesures efficaces et soutenues de prévention et de protection sont nécessaires, que ce soit au niveau familial, local, national ou international.

Après une longue tradition du silence, les abus sexuels dont sont souvent victimes les enfants font de plus en plus l’objet de révélations, occupant une place éminente sur la scène publique et politique.

Les Gouvernements et les organisations de la société civile doivent jouer un rôle actif dans la promotion et le respect des droits de l’enfant (énoncés dans la Convention relative aux droits de l’enfant, articles 19 et 34 *)

  • 19 / Les Etats parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l’enfant contre toute forme de violence, d’atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d’abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d’exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu’il est sous la garde de ses parents ou de l’un d’eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié.
  • 34 / Les Etats parties s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitation sexuelle et de violence sexuelle. A cette fin, les Etats prennent en particulier toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher (…)

Agir chaque année
Malgré les nombreux acquis réalisés au profit de l’enfance au cours de ces trente dernières années, les droits de l’enfant continuent de subir des atteintes dans de nombreuses régions, avec la persistance de l’exploitation économique des enfants et tous les préjudices physiques, psychologiques et sociaux qui en découlent, en plus des épreuves et des situations dramatiques dans lesquelles se retrouvent les enfants en période de conflits armés et les diverses formes de désespoir et de souffrance qu’ils éprouvent du fait de la propagation de la pauvreté, de la famine, des fléaux et des endémies.

Un site à visiter : www.grandirensecurite.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale de la tolérance – 16 novembre

Le 12 décembre 1996, l’Assemblée générale des Nations Unies a invité les états membres à célébrer la Journée internationale de la tolérance le 16 novembre de chaque année.

L’UNESCO propose dix pistes d’actions pour lutter contre l’intolérance :

    1. La diversité au sein de votre communauté

Où que vous habitiez, vous seriez probablement surpris de l’extrême diversité qui règne au sein de votre communauté. Quelqu’un a dit que chaque culture est un ensemble d’influences subies. Livrez-vous à une enquête sur la diversité culturelle au sein de votre ville ou communauté. Qui sont les habitants ? Comment vivent-ils ? Des articles, des interviews, des affiches ou des expositions peuvent servir à mettre en lumière la diversité des identités et des cultures. Comment cette diversité s’exprime-t-elle en musique ? Pensez à la multiplicité des danses et musiques traditionnelles que vous connaissez et à tout ce que celles-ci dénotent d’influences mutuelles. Organisez un concert ou un festival réunissant toute une gamme de ces traditions culturelles.

      1. Les droits de l’homme

De quelle manière les droits des membres de minorités nationales, ethniques, religieuses, linguistiques ou autres sont-ils garantis au sein de votre communauté, de votre nation, de votre région ? Qu’en est-il des peuples autochtones, des travailleurs migrants, des demandeurs d’asile et des réfugiés, des handicapés ? Leurs droits sont-ils promus et protégés ? Pensez-vous que les responsables du maintien de l’ordre de votre communauté soient suffisamment informés des droits de l’homme ? Que pouvez-vous faire pour améliorer les attitudes ou les comportements envers les minorités ?

      1. Programmer son action en faveur de la tolérance

Rédigez vous-même un projet ou programme d’activités en faveur de la tolérance. Cela implique de déterminer pour vous-même ce qu’est la tolérance et quel est le meilleur moyen de transmettre les valeurs qui s’y attachent. Passez au crible vos manuels scolaires, les émissions de télévision et les articles de presse pour débusquer les stéréotypes (concernant notamment les sexes) et les préjugés sur les nationalités et les groupes ethniques. Quelles priorités assigneriez-vous, en matière de tolérance, à votre ville, pays ou région ?

      1. Dire non à la violence

Comment naît la violence dans une communauté, une école ou un foyer et comment peut-on l’enrayer ? Reproduisez la dynamique de la tolérance et de l’intolérance par des jeux de rôle, des dialogues, des exercices de résolution de malentendus. Organisez des débats publics où vous vous entraînerez à défendre alternativement deux points de vue opposés. Comment imaginez-vous la coexistence pacifique d’individus et de groupes différents ? Qu’est-ce qui fait qu’elle fonctionne et qu’est-ce qui peut la saper ?

      1. Diversité écologique et diversité humaine

Toute communauté est fondée sur l’interdépendance. Pas plus que les végétaux ou les animaux, nous ne pourrions survivre si nous étions tous semblables. Trouvez des exemples de cette vérité puisés dans la vie quotidienne de votre localité. Montrez par des exemples concrets comment une culture de paix et de tolérance peut promouvoir la sauvegarde de l’environnement. Lancez un projet dans votre école ou votre voisinage.

      1. La tolérance religieuse

Organisez une rencontre de représentants de divers groupes religieux et non confessionnels de votre communauté pour examiner comment chacun enseigne la tolérance. Comment enseigne-t-on la tolérance dans les différentes religions du monde, y compris celles des peuples autochtones ? Toutes les religions étant plus ou moins fondées sur des valeurs d’amour et de justice, aucune ne saurait être invoquée pour justifier la violence ou la guerre. Le dialogue et la discussion entre les représentants des diverses religions sont une tradition séculaire qui n’a en rien perdu sa valeur.

      1. Actualité de la tolérance

Organisez des débats sur les événements de l’actualité analysés en termes de tolérance et d’intolérance. Réfléchissez aux conflits du passé et à ceux d’aujourd’hui. Comment auraient-ils pu être résolus ou évités ? Qu’en est-il de la question des droits de l’homme dans l’actualité aujourd’hui ? Quels sont les droits et libertés fondamentaux reconnus par la communauté internationale ? Comment fonctionnent les pays pluriculturels et multilingues ? Quels sont les intérêts communs aux peuples dans leur diversité ?

      1. La tolérance et le sport

Quelles manifestations sportives ont une envergure internationale ? Quel en est le but ? Quels sont les liens possibles entre le sport et l’intolérance (exclusion des plus faibles, esprit de clocher, violence dans les stades) et comment y remédier ? Organisez une rencontre athlétique sur le thème de la diversité et de la tolérance.

      1. La créativité à l’œuvre

Le message d’une œuvre d’art est inépuisable. Interrogez l’oeuvre d’un artiste d’une autre région du monde et demandez-vous ce qu’elle vous apporte. Concevez des récits, des pièces, des poèmes, des chansons, des articles, des peintures, des affiches, des photographies ou des vidéos illustrant les thèmes liés à la tolérance et publiez-les ou diffusez-les. Ecrivez à des personnalités connues pour leur poser des questions et leur communiquer vos idées sur le sujet de la tolérance.

      1. Créer des liens internationaux

Amorcez un dialogue international ou lancez un projet de jumelage scolaire par lettre ou courrier électronique. Dialoguez avec des correspondants étrangers sur les questions et les problèmes de votre vie quotidienne. Echangez des cassettes ou des photos. Etudiez la possibilité de participer à des stages d’été internationaux ou à un programme d’échange scolaire. Demandez à votre école d’adhérer au Système des écoles associées de l’UNESCO.

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale du recyclage – 15 novembre

Triez, recyclez, triez, recyclez, les objets ont plusieurs vies… grâce à vous !

la journée du recyclage a été instituée en 1994 aux États-Unis et son objectif principal était alors de promouvoir la consommation de produits fabriqués à partir de matériaux recyclés.

La réflexion actuelle sur le recyclage va plus loin et il s’agit bel et bien d’un enjeu écologique majeur car la production de nouveaux matériaux, comparativement à la réutilisation de matériaux existants constitue une économie essentielle sur le plan énergetique et celui des rejets.

Le saviez-vous ?
75% de nos emballages ménagers sont produits à partir de materiaux recyclés.
Certains pays (Allemagne par exemple) réutilisent leur bouteilles de verre et d’autres pas (France par exemple)…

Source: Texte: Journée Mondiale Image: klcc.org

Au Canada, non seulement avons-nous une journée dédiée au recyclage mais toute une semaine pour promouvoir la conscientisation de l’urgence de le faire.

Source: Image: wrw.com

 

Journée mondiale du diabète – 14 novembre

La Journée Mondiale du Diabète, organisée par la Fédération Internationale du Diabète (FID) et soutenue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), est la plus importante campagne mondiale de sensibilisation au diabète. Elle a été lancée en 1991 comme réponse à l’escalade de l’incidence du diabète dans le monde. Depuis, elle a gagné en popularité et rassemble désormais des millions de personnes dans le monde entier, dont les leaders d’opinion, les professionnels et prestataires de soins de santé, les médias, les personnes atteintes de diabète, et le grand public.

Le choix de la date…
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée chaque année le 14 Novembre. Cette date a été choisie car c’est l’anniversaire de Frederick Banting qui, avec Charles Best, a pour premier développé la théorie à l’origine de la découverte de l’insuline en 1922.

Où est elle célébrée ?
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée dans le monde entier par les 190 associations membres de la Fédération Internationale du Diabète (FID) dans 150 pays, ainsi que par d’autres associations, des prestataires de soins de santé, et des personnes avec un intérêt pour le diabète. Les associations membres de la FID organisent un grand nombre d’activités qui sont ciblées vers une variété de groupes, telles que : Emissions de radio et de télévision, Manifestations sportives, Tests de dépistage gratuits, Réunions d’information du public, Campagnes d’affichage (posters et dépliants), Ateliers et expositions sur le diabète, etc…

Le logo de la Journée Mondiale du Diabète
En 1996, un logo permanent a été dessiné pour créer une identité globale et puissante pour la Journée Mondiale du Diabète. Le logo combine l’équilibre et le travail d’équipe et est basé sur le symbole bien connu du Yin et du Yang. Un équilibre exact d’insuline, de médication, d’un régime alimentaire et d’activité physique est essentiel pour la gestion du diabète, tout comme la coopération entre les personnes atteintes de diabète, leurs amis et familles, les professionnels des soins de santé, et les autorités publiques.

Un site à visiter : www.diabete.fr  Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

Journée mondiale de la qualité – 10 novembre

On a l’habitude de déplorer les impacts économiques, sociaux, humains et environnementaux de la non qualité. Nos voisins tunisiens ont depuis quelques années décidé de prendre le taureau par les cornes en instituant le 2ème jeudi du mois de novembre comme Journée Mondiale de la Qualité. Une occasion de réfléchir sur la mise en place de procédures qualité qui permettront à terme des améliorations économiques et sociales tangibles.

Qualité des produits, qualité des services ?
Les enteprises connaissent déjà les normes ISO 9000, 9001 et désormais la norme ISO 14001 qui intégre un volet environnemental. Le respect de ces normes permet de garantir au consommateur final une conformité des produits et services concernés par rapport à un certain nombre d’exigences. Il permet aussi aux différents professionnels de « parler la même langue » et mieux travailler ensemble. L’industrie a été la première à se lancer dans cette démarche, mais elle a aujourd’hui été rejointe par de très nombreux secteurs d’activités, comme par exemple les services (assurances par exemple) ou même la distribution et la restauration.

Qualité des relations ?
Révons un peu… à bien y réfléchir, l’amélioration de la qualité dans les productions des société humaines peut aussi passer par une amélioration de la qualité dans les relations humaines, les relations inter-entreprises, les relations entre états. A ce titre, il nous paraît intéressant de relever que les pays à l’origine de cette journée sont tous des pays communément nommés « en voie de développement » : Algérie, Lybie, Maroc, Mauritanie et Tunisie (par ordre alphabétique). Rendons-leur hommage dans ce combat pour la Qualité !

Un site à visiter : www.forumqualite.com

 

Journée internationale de la radiologie – 8 novembre

Depuis 2012, les radiologues célèbrent la journée internationale de la radiologie… ce qui, en soi, procède d’une certaine logique.
L’idée de départ de la profession était de mieux mettre en évidence le rôle de l’imagerie médicale dans la médecine moderne.

L’inventeur en connaissait un rayon…
Le choix de la date du 8 novembre ne doit rien au hasard puisque c’est le 8 novembre 1895 que Wilhelm Conrad Röntgen découvrit l’existence des rayons X. Cette découverte, essentielle, lui valût la reconnaissance de la communauté scientifique et le Prix Nobel de physique en 1901.

Les premiers clichés radiographiques ont été réalisés sur des proches du physicien qui ont permis – à leur corps défendant – le développement de la science. L’illustration de cet article est un « Röntgenogram » de la main d’Albert von Kolliker réalisé le 23 janvier 1896.
 
Internationalisation
Cette journée mérite bien son qualificatif dans la mesure où elle est portée par la société européenne de radiologie, la société nord-américaine de radiologie et le collège américain de radiologie ainsi que la fédération européenne des sociétés de manipulateurs radio.

Source: Texte & Image : Journée Mondiale

Journée Internationale pour la préservation de l’environnement en temps de guerre – 6 novembre

A l’occasion de la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit, le 6 novembre, le secrétaire général des Nations Unies a souhaité faire connaître son message :

Depuis que la guerre existe, l’environnement et les ressources naturelles en sont les victimes silencieuses. Les récoltes sont incendiées, les puits pollués, les sols empoisonnés et les animaux tués. Les objectifs ne sont pas toujours les mêmes : on peut vouloir se procurer un avantage stratégique, démoraliser des populations locales, venir à bout d’une résistance ou tout simplement nourrir ses soldats. Mais, même lorsqu’elles ne sont pas intentionnelles, les conséquences sont toujours catastrophiques.

Nous assistons à des actes de destruction purs et simples, notamment le rejet de polluants et de substances dangereuses. Nous sommes témoins de bouleversements sociaux, comme la création de populations de réfugiés qui, à leur tour, mettent plus rudement les ressources à contribution. Et puisque la plupart des conflits se déroulent dans les pays pauvres, nous constatons les ravages économiques infligés par les guerres à des populations vulnérables qui sont les moins outillées pour faire face aux dégâts subis par leur environnement et pour surmonter un ralentissement du développement.

Pendant la guerre du Golfe de 1991, les puits de pétrole du Koweït ont été délibérément incendiés et des millions de litres de pétrole brut ont été déversés dans les voies d’eau. Au Cambodge, 35 % de la couverture forestière a été détruite pendant les 20 ans qu’ont duré la guerre civile et les troubles. Au cours du conflit en Angola, le nombre des animaux sauvages a diminué de 90 % et, pendant la guerre du Viet Nam, des millions de tonnes d’agent orange ont été pulvérisées au-dessus des jungles de ce pays, ce qui a eu pour effet de dépouiller de toute végétation de vastes zones dont certaines ne peuvent toujours pas être cultivées aujourd’hui.

Les technologies guerrières et armements modernes continuent à se développer rapidement, ce qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur l’environnement. En même temps, on laisse trop de conflits s’envenimer pendant des années, voire des décennies, et épuiser petit à petit les ressources naturelles. Au moment où nous célébrons la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit armé, prenons conscience du fait qu’aucune guerre et aucun conflit ne se déroule trop loin de nous pour avoir un effet sur notre environnement, quel que soit l’endroit où nous habitons. Et prenons l’engagement de faire ce que nous pourrons pour lutter contre cette menace commune et pourtant souvent oubliée qui met en péril nos vies et notre bien-être.

Un site à visiter : www.un.org  Source: Texte (résumé) & Image: Journée Mondiale