image-i-nations trésor

Journée mondiale de la Schizophrénie – 18 mars 2023

En 2023, la journée mondiale de la shizophrénie se déroule pour la 20ème fois.Et comme ses initiateurs ne font pas les choses à moitié, ils ont décidé de consacrer une semaine complète à l’événement ! Les « journées » se dérouleront donc du 18 mars au 25 mars.

On a tous un côté décalé !

La schizophrénie est une maladie du cerveau qui affecte la pensée, les sentiments et les émotions. Toutes ces fonctions ne sont pas perturbées au même moment et dans la même mesure.

De nombreuses personnes souffrant de schizophrénie peuvent avoir un comportement normal pendant une longue période et être perturbées uniquement pendant des périodes de crise.

La schizophrénie pertube souvent l’attention, la mémoire, l’apprentissage et le traitement de l’information.

Une personne atteinte de schizophrénie peut:

  • Percevoir des difficultés à établir un contact avec son entourage ou son/ses ami(s)
  • Etre submergée par des idées étranges
  • Avoir la sensation d’entendre des voix qui n’existent pas dans la réalité
  • Avoir beaucoup de difficultés à différencier ce qui est réel de ce qui ne l’est pas
  • Avoir l’impression que des personnes de son entourage lui veulent du mal
  • Se replier sur elle-même et se comporter de façon étrange
  • Ressentir une insécurité en permanence

La schizophrénie touche, à l’échelle mondiale, 1% de la population. Elle survient surtout chez les jeunes à la fin de l’adolescence ou au début de la vie adulte.

Mais la Schizophrénie n’est pas:

  • Un dédoublement de la personnalité
  • Causée par des parents négligents ou dominateurs
  • La conséquence d’une exprérience traumatisante vécue pendant l’enfance

Depuis ces dernières années la Schizophrénie est devenu une maladie traitable qui permet de réduire en grande partie les effets négatifs ressentis par les malades et leur entourage.

Un site à visiter : schizinfo.com    Source: Texte:  Journée mondiale      Image: Passeport santé

Ascension du Seigneur, année B – 2021

Bien des gens n’aiment pas les changements soudains qui perturbent leur routine quotidienne.
Particulièrement si leurs habitudes sont bouleversées et qu’ils doivent adopter de nouvelles attitudes.
Si le changement touche de près leur relation avec des personnes qui leur sont proches, alors là, les choses se compliquent vraiment.

J’imagine que c’est ce qui s’est produit pour les apôtres lors de l’Ascension de Jésus.
Il leur avait dit qu’il les quitterait, mais ses amis avaient-ils compris le sens de ses paroles?
On peut en douter.
Ils étaient tellement habitués à vivre avec lui au quotidien qu’il devait leur être bien difficile d’imaginer la vie sans lui!

La 1ère lecture de ce dimanche (Actes 1:1-11) décrit la scène du ‘départ’ de Jésus précisément comme une ascension vers… vers quoi au juste?
Vers les cieux, représentés sans doute par un amas de nuages comme c’est souvent le cas.
Le texte dit :

« Une nuée vint le soustraire à leurs yeux. »
 
Mais eux, ils restent là, les yeux rivés plus haut, là où ils l’ont vu disparaître.
Il ne faut rien moins que les paroles d’un messager céleste pour leur faire réaliser que Jésus ne réapparaîtra pas soudain comme ils le désirent sans doute.

Il leur faut apprendre à découvrir sa présence devenue autre mais non moins réelle.
Une découverte à faire au quotidien et en identifiant les signes toujours nouveaux – parfois déroutants – qui confirment qu’il est bien présent.

En réfléchissant à la nuée dont les apôtres ont fait l’expérience, je pense à mes nuées qui, occasionnellement, me cachent la présence de Dieu dans ma vie.

– La nuée de la lassitude à faire des efforts, jour après jour…
– La nuée de l’égoïsme qui me renferme en moi-même…
– La nuée du pessimisme qui me cache tout le positif qui m’entoure…
– La nuée du découragement face aux difficultés qui semblent insurmontables…
– La nuée du doute que la présence de Dieu est vraiment réelle…

Comme le révèle l’image ci-contre, des nuages lourds et menaçants, il y en aura toujours.
Mais ils ne font pas disparaître la nuée lumineuse d’une présence indéfectible – celle de Dieu TOUJOURS PRÉSENT.

 

Note: Une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/ascension-of-the-lord-year-b-2021/

 

Source: Image: freepik

 

 

2è dimanche de Pâques, année C – 2019

EN CAS D’ABSENCE…

Il y a des personnes – prudentes et prévoyantes – qui semblent penser à tout!
Sur un coin de leur bureau, bien en évidence, il y a une note portant clairement l’indication :
« En cas d’absence… »
Ces gens veulent que, s’ils ne sont pas de retour à une date déterminée, certaines choses soient faites pour eux.

Ce n’était évidemment pas le cas de l’apôtre Thomas! 
Il était absent et il a manqué quelque chose – quelqu’un – de bien important!
Regrette-t-il son absence?
Comment regretterait-il puisqu’il ne croit pas avoir manqué quoi que ce soit.
De nos jours, on dirait de lui : « En voilà un qui sait résister à la pression sociale! »

Croire sans voir? Allons donc!
Thomas veut une preuve, une preuve… palpable, c’est le cas de le dire –
Oui, quelque chose qu’il peut toucher, s’assurer que c’est bien réel.
Croire c’est quelque chose de trop sérieux pour faire confiance à des racontars.

Thomas résiste à la pression sociale qui le pousse à… croire…
Alors que, pour nous, la pression sociale va tout à fait… en sens contraire!
Croire, de nos jours, ‘pas facile’, direz-vous et avec raison.
Croire sans voir, sans entendre, sans toucher.

On veut justement TOUCHER Dieu, faire l’expérience de sa présence avec ce que nous sommes,
cela veut dire une expérience qui rejoigne… nos sens et qui ait un sens!…
On ne veut pas être naïfs ou dupes de gens… bien pensants mais facilement crédules.
On désire être certains, assurés, on ne prend pas le risque de…?
De faire confiance à Dieu?…
 
Mais alors que Thomas reçoit une correction, nous recevons une bénédiction :
« Parce que tu m’as vu, Thomas, tu crois.
Heureux ceux qui croient sans avoir vu. »

Je veux certainement être du nombre de ceux à qui cette bénédiction est donnée :

  • ceux qui se fient sans preuve …
  • ceux qui acceptent de croire sans voir…
  • ceux qui perçoivent sans toucher…

Au fond, quand on y pense, peut-être s’agit-il moins de toucher Dieu que de…
lui permettre, à lui, de nous toucher… à sa manière…

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-easter-year-c-2019/
Et dans une vidéo (en anglais), Thomas, personnifié par Arnold Rodriguez, raconte ce qui lui est arrivé : https://image-i-nations.com/thomas-the-apostle/

Source : Image : lds.org

 

 

Journée mondiale de la Schizophrénie – 17 mars

En 2018, la journée mondiale de la shizophrénie se déroulera pour la 15ème fois. Et comme ses initiateurs ne font pas les choses à moitié, ils ont décidé de consacrer une semaine complète à l’événement ! La « journée » se déroulera donc du 17 mars au 24 mars.

On a tous un côté décalé !

La schizophrénie est une maladie du cerveau qui affecte la pensée, les sentiments et les émotions. Toutes ces fonctions ne sont pas perturbées au même moment et dans la même mesure. De nombreuses personnes souffrant de schizophrénie peuvent avoir un comportement normal pendant une longue période et être perturbées uniquement pendant des périodes de crise.
La schizophrénie perturbe souvent l’attention, la mémoire, l’apprentissage et le traitement de l’information.

Une personne atteinte de schizophrénie peut :

Percevoir des difficultés à établir un contact avec son entourage ou son/ses ami(s)
Etre submergée par des idées étranges
Avoir la sensation d’entendre des voix qui n’existent pas dans la réalité
Avoir beaucoup de difficultés à différencier ce qui est réel de ce qui ne l’est pas
Avoir l’impression que des personnes de son entourage lui veulent du mal
Se replier sur elle-même et se comporter de façon étrange
Ressentir une insécurité en permanence

La schizophrénie touche, à l’échelle mondiale, 1% de la population. Elle survient surtout chez les jeunes à la fin de l’adolescence ou au début de la vie adulte.
Mais la Schizophrénie n’est pas :

Un dédoublement de la personnalité
Causée par des parents négligents ou dominateurs
La conséquence d’une expérience traumatisante vécue pendant l’enfance

Depuis ces dernières années la Schizophrénie est devenu une maladie traitable qui permet de réduire en grande partie les effets négatifs ressentis par les malades et leur entourage.

Un site à visiter : www.info-schizophrenie.ch    Source : Texte & Image : http://www.journee-mondiale.com

Célébration de Noël, année B

« Un enfant nous est né… »   (1ère lecture, nuit de Noël – Is.9 :1-6)

Il faut … traduire pour qu’il nous inspire…

 

NOËL : il y a la magie et la féérie,

            Il y a la trève et le rêve,

            Il y a l’historique et le poétique,

            Il y a le pratique et le théologique,

            Il y a le savoir, la mémoire, l’espoir,

            Il y a les désirs, les plaisirs, les sourires,

            Il y a les chansons, les dons, les pardons.

            Il y a le présage, l’image, le message.

            Il y a le présent et… le Présent,

            Il y a l’avènement, l’enfantement, l’enchantement.

            Il y a la vie… la Vie – le divin devenu humain,

                        Le ‘réellement RÉEL’ : L’Emmanuel !

Un jour… pour toujours !

 

Source: Image: YouTube  lds.org

4è dimanche de l’année, C

imagesD4O1A5IApinterestImaginez un peu : Si lors de la célébration du 4è dimanche de l’année C, au moment de lire l’évangile, le célébrant, au lieu de prononcer les mots : Lecture de l’évangile selon saint Luc, disait : Tentative d’assassinat du Messager de Dieu : la victime s’échappe indemne.

images0VGJI1YJjerusalem streetsVous souriez, et vous savez aussi bien que moi qu’il y aurait sans doute beaucoup plus d’auditeurs attentifs à la deuxième version qu’à la première! Les journaux papier – et maintenant les médias sociaux – attirent et retiennent notre attention avec des titres sensationnels aux caractères gras! Et les événements datés de quatre chiffres indiquant le 21è siècle semblent susciter plus d’intérêt que ceux que l’on inscrit avec seulement deux chiffres suivi des lettres AD!

Il se peut que notre difficulté vienne, non pas que nous ne connaissions pas suffisamment les textes des évangiles, mais que nous les connaissions trop! Lorsque la lecture est faite d’une parabole ou d’un récit bien connu, il n’est pas rare que notre attention se porte… ailleurs. On ‘zappe’ à une autre station, pour ainsi dire.

Que faire pour remédier à cette situation? Chacun, chacune, doit trouver sa solution qui l’aidera à se rendre plus attentif et réceptif au message biblique. Je suggère simplement quelques moyens. C’est d’aborder le texte comme quelque chose de RÉEL, DE CONCRET, DE VÉCU par des gens comme vous et moi. Essayer aussi, peut-être, de… se mettre à leur place et tenter de com-prendre (= ‘prendre avec’ soi) ce que leur expérience a été dans telle ou telle situation. Remettre un texte dans son contexte est aussi très utile.

Regardons de plus près le texte de l’évangile de ce dimanche (Luc 4:21-30) dont les premières lignes répètent le texte de dimanche dernier. On y voit Jésus dans la synagogue de Nazareth lisant un texte du prophète Isaïe. Il termine la lecture en disant : « Cette parole de l’Écriture que vous venez d’entendre, c’est aujourd’hui qu’elle s’accomplit. »

Observez la réaction des gens : 

  • « Tous dans la synagogue avaient les yeux fixés sur lui. »
  • « Ils s’étonnaient du message de grâce qui sortait de sa bouche. » 
  • « Ils se demandaient… » 
  • « Tous devinrent furieux. »
  • « Ils se levèrent, poussèrent Jésus hors de la ville, et le menèrent jusqu’à un escarpement de la colline où la ville est construite pour le précipiter en bas. »

Tentative d’assassinat : N’en est-ce pas une? Et ce n’est que le début du ministère de Jésus! Éclairant, n’est-ce pas?
À suivre!… Oui, vraiment, c’est à suivre… non simplement comme observateur… mais comme un DISCIPLE sait le faire!

Source: Image, gauche: bbs.tiexue.net;  image, droite: pinterest.com