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Journée mondiale des malades – 11 février 2023

Journée mondiale des malades

La maladie et la souffrance peuvent parfois bouleverser nos vies ou celles de nos proches: pour nous encourager à donner de notre temps, soutenir les malades, être attentif à leurs besoins, une journée mondiale des malades, créée en 1992 par le Pape Saint Jean-Paul II, est célébrée chaque année, le 11 février, jour de la fête de Notre-Dame de Lourdes.

Avoir le souci des malades

Les malades se sentent très rapidement mis à part de la vie des bien portants, c’est pourquoi les liens de solidarité, et tout ce qui permet aux personnes atteintes de maladie de se sentir écoutées, reconnues est extrêmement important. Bien que cette journée ait un sens tout particulier pour les Chrétiens, il n’est pas nécessaire d’avoir des convictions religieuses pour apporter son aide et sa compassion à des personnes souffrantes, un petit geste suffit !

Message du Pape François pour la journée 2023 : Prends soin de lui

« La maladie fait partie de notre expérience humaine. Mais elle peut devenir inhumaine si elle est vécue dans l’isolement et dans l’abandon, si elle n’est pas accompagnée de soins et de compassion. Quand on marche ensemble, il arrive que quelqu’un se sente mal, qu’il doive s’arrêter en raison de la fatigue ou d’un incident de parcours. C’est là, dans ces moments-là, que l’on se rend compte de la façon dont nous cheminons… »

 

Un site à visiter : eglise.catholique.fr      Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale du cancer de l’enfant – 15 février

Le cancer chez l’enfant est la deuxième cause de mortalité dans les pays développés.

Cette journée internationale vise à mieux faire connaître cette réalité et promouvoir les actions de prévention, mes aussi les soins et la recherche.

La stratégie de lutte contre les cancers 2021-2030

Les cancers pédiatriques font de longue date partie intégrante des plans gouvernementeaux, aussi bien au niveau de la recherche que pour la prise en charge des enfants malades et de leurs familles. Cet effort se poursuit avec la nouvelle stratégie mise en place.

En France, 2500 nouveaux cas dénombrés chaque année

Le cancer chez l’enfant est une maladie rare qui représente 1 à 2 % de l’ensemble des cancers. On dénombre près de 2 500 nouveaux cas chaque année en France. Certaines formes de cancers sont spécifiques à l’enfant et, inversement, la plupart des cancers de l’adulte n’existent pas chez l’enfant.

Les facteurs favorisant le développement du cancer ont été clairement identifiés chez l’adulte (alcool, tabac, produits toxiques, virus, etc.), mais ces cause sont très rarement présentes chez l’enfant.

Les traitements ont fait des progrès considérables au cours des dernières décennies et on atteint aujourd’hui un taux de guérison de 80%. Les efforts se poursuivent.

Une loi pour le droit à l’oubli

Bonne nouvelle, on guérit du cancer. De plus en plus. Mais la société n’a pas encore adapté son comportement à cette nouvelle donne et les anciens malades souffrent toujours de discriminations. Accès à l’assurance, à l’emprunt, discriminations à l’embauche… les anciens enfants malades doivent pouvoir bénéficier du droit à l’oubli et concrètement ne plus devoir mentionner cette maladie dans les déclarations d’assurance.

Un site à visiter : www.ligue-cancer.net    Source: Texte: Journée Mondiale    Image: Fondation Bomoko

Journée mondiale des solitudes – 23 janvier

On estime que 12% de la population française vit aujourd’hui dans une grande solitude. Plus grave, on observe que la solitude est en forte augmentation dans de nombreux secteurs de la population. Elle est souvent invisible mais toucherait 1 français sur 3. Il n’en fallait pas plus pour que ce mal devienne le sujet d’une nouvelle journée mondiale.

Sensibiliser aux réalités de la solitude

C’est l’association Astrée qui a décidé de lancer la première Journée des Solitudes, le 23 janvier 2018, et elle a obtenu le haut patronage de Madame Agnès Buzyn, la Ministre des Solidarités et de la Santé à l’époque.

Cette journée mondiale des solitudes permet d’apporter un éclairage sur toutes les formes de solitudes, mais aussi de créer un grand élan de solidarité pour lutter contre ce fléau. Tel est l’objectif de la journée : permettre de sortir de l’isolement.

Un site à visiter : astree.asso.fr    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de la Trisomie-21 – 21 mars

Une résolution de l’ONU en 2011 a institué la date du 21 mars comme Journée mondiale de la Trisomie-21. L’occasion se présente donc pour faire le point sur la situation actuelle de la Trisomie-21 au Québec.

Dans un premier temps, il est utile de se remémorer quelques-uns des grands titres de l’actualité en lien avec la Trisomie-21. «Saint Jude; un homme atteint de Trisomie-21 passe plusieurs jours avec le cadavre de son frère avant de mourir de faim et de soif (2010)», «Utilisation du Taser pour maîtriser un homme de 43 ans atteint de Trisomie-21 (2009)», «Un homme accusé d’avoir agressé sexuellement une dame trisomique de 47 ans (2008)», «Hôpital Sainte-Justine: un garçon de 9 ans trisomique n’est plus le bienvenu (2006)», «L’agresseur d’une jeune trisomique voit sa peine réduite (2004)», «Une fillette trisomique de 7 ans n’est pas la bienvenue dans sa classe (2004)», «Une femme trisomique de 41 ans morte de faim et de soif après le suicide de son frère aîné qui s’occupait d’elle (2004)».

Sans oublier l’actuel gouvernement du Québec qui a mis en place un programme de dépistage prénatal de la Trisomie-21, envoyant ainsi le message à la population que mieux vaut ne pas vivre du tout que de vivre avec une Trisomie-21. À l’égard de celles-ci, ce fut d’ailleurs la seule générosité dont s’est senti capable le gouvernement du Québec. Cette politique du «contentezvous» les a enfoncées brutalement, ainsi que leur famille, dans une situation de repli et dans un grand sentiment d’isolement et d’incompréhension.

Ce petit tour d’horizon nous fait constater à quel point rien n’est facile, même de nos jours, pour les personnes vivant avec une Trisomie-21. Il s’agit bien là d’une grave injustice à leur égard puisqu’elles méritent bien plus que l’abandon général à leur endroit.

En effet, les personnes vivant avec une Trisomie-21, bien qu’aux prises avec un retard sur le plan intellectuel, sont en avance sur nous tous quant à certaines qualités de coeur remarquables comme l’amour inconditionnel et leur capacité de vivre sans préjugés envers les autres. Elles nous invitent, par leur exemple, au dépassement de nos limites personnelles.

Par ailleurs, le rayonnement de la démocratie et de notre Assemblée nationale du Québec doit rejoindre l’ensemble des citoyennes et des citoyens du Québec, y compris les 10 500 Québécoises et Québécois vivant avec une Trisomie-21. Ce rayonnement doit être souligné concrètement et avec fierté à leur endroit. Ces personnes apportent par leur exemple d’aimer inconditionnellement une contribution unique, originale et majeure à la construction du Québec d’aujourd’hui et de demain. Cet exemple n’est maîtrisé que par ceux et celles qui sont sur un chemin trop peu fréquenté. Le rayonnement de la démocratie sait reconnaître l’égalité des chances et sait aussi reconnaître en chacun la capacité de fournir un apport positif à notre collectivité québécoise. Sur le plan humain, les personnes vivant avec une Trisomie-21 ont assurément beaucoup à nous apprendre.

En cette Journée mondiale de la Trisomie-21, je vous invite tous à prendre contact avec une personne ayant une Trisomie-21 de votre entourage. Ce sera son plus grand bonheur. Offrez-lui d’aller prendre une marche, d’aller manger une crème glacée, de jouer au ballon, d’aller aux quilles, etc., puis regardez doucement et attentivement dans ses yeux. Vous y verrez de l’amour à perte de vue…

Source: Texte: Sylvain Fortin, président de la Société québécoise de la Trisomie-21 www.degaulle-trisomie21.org Le Soleil 21 mars 2012 Image : jolpress.com

Journée internationale du cancer de l’enfant – 15 février

Le cancer chez l’enfant est la deuxième cause de mortalité dans les pays développés.
Cette journée internationale vise à mieux faire connaître cette réalité et promouvoir les actions de prévention, mes aussi les soins et la recherche.

Les enjeux du Plan cancer 2014-2019
Les cancers pédiatriques font partie intégrante de ce plan gouvernemental, aussi bien au niveau de la recherche que pour la prise en charge des enfants malades et de leurs familles.
En France, 1 700 nouveaux cas dénombrés chaque année.

« Les cancers chez l’enfant restent, encore aujourd’hui, souvent synonymes d’isolement et de rupture du lien social et scolaire. Si, la Ligue contre le cancer soutient les orientations prises dans le cadre du Plan cancer 2014-2019, il est de notre devoir d’exiger la mise en œuvre de solutions concrètes pour aider les enfants et leurs familles, avant, pendant et après la maladie ». Pr Jacqueline Godet, présidente de la Ligue contre le cancer.

Une loi pour le droit à l’oubli
Bonne nouvelle, on guérit du cancer. De plus en plus. Mais la société n’a pas encore adapté son comportement à cette nouvelle donne et les anciens malades souffrent toujours de discriminations. Accès à l’assurance, à l’emprunt, discriminations à l’embauche… les anciens enfants malades doivent pouvoir bénéficier du droit à l’oubli et concrètement ne plus devoir mentionner cette maladie dans les déclarations d’assurance.

Un site à visiter : www.ligue-cancer.net      Source: Texte: Journée Mondiale       Image: Fondation Bomoko