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De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Nouvel An Vietnamien 2018 – 16 février

Le Nouvel an est la fête la plus importante du Vietnam. Elle marque la fin d’une année lunaire et le début d’une nouvelle année. On célèbre le Têt entre le 1er et le 7e jour de l’année lunaire soit, grosso modo, entre la dernière semaine de janvier et la troisième de février (ni avant ni après cette période).

Le Têt marque également l’arrivée du printemps, d’où son nom vietnamien qui signifie «fête de la Première Aurore ».
Les Vietnamiens en profitent pour prendre leurs vacances à ce moment-là : 3 jours fériés.

Pourquoi le Têt est-il si important ? Parce que c’est le seul jour de l’année, selon la tradition, où les âmes des morts reviennent sur terre. Il ne faut donc pas rater le rendez-vous avec elles. Les vivants doivent impérativement être présents pour les recevoir devant l’autel des Ancêtres. Les pétards faisant chaque année des victimes, ils sont totalement interdits depuis le 1er janvier 1995.

Pendant les journées qui précèdent, les marchés débordent de fleurs, les branches de pruniers aux fleurs jaunes (cây mai) étant les plus recherchées pour décorer les maisons. Les familles se réunissent. Dans les pagodes, on brûle du santal dans des encensoirs.

On présente au génie gardien du foyer des plateaux de friandises et des objets en papier. Cette cérémonie de « l’adieu aux dieux lares » est censée marquer le voyage vers le Ciel de l’Esprit de la Terre qui s’en va faire un rapport annuel sur les vivants auprès du Tout-Puissant Empereur de Jade. Avant le jour même du Têt, on confectionne le bánh chưng, un gâteau de riz gluant.

Le 1er jour de la nouvelle année est d’une importance cruciale pour les Vietnamiens. Tout ce qui se dit et se fait ce jour-là influence le reste de l’année. La première personne qui franchit le seuil de la maison doit être une personne vertueuse et fortunée, pour apporter prospérité et bonheur sur la famille pendant les 365 jours suivants. Il est interdit de se quereller ce jour-là.

Source : Text & Image : http://www.routard.com/    

Chinese New Year 2018 – 16 February

Chinese New Year in 2018 is on Friday, the 16th of February (16/2/2018).
According to the Chinese 12-year animal zodiac cycle, the Chinese year beginning in 2018 is the year of the Dog. Each Chinese zodiac year begins on Chinese New Year’s Day.

Dog years are believed to be the most unlucky for people born in previous years of the Dog.

Chinese New Year, also known as the « Spring Festival » in modern Mainland China, is China’s most important traditional festival, celebrated at the turn of the traditional lunisolar Chinese calendar, which consists of both Gregorian and lunar-solar calendar systems. Chinese New Year can begin anytime between late January and mid-February.

Source: Text: www.when-is.com  Image: Vecteezy

Nouvel An Chinois 2018 – 16 février

C’est 4716 : bonne année du Chien!

Vous avez mal commencé l’année? Réjouissez-vous, vous aurez bientôt une deuxième occasion de repartir du bon pied : le Nouvel An chinois, qui dans le calendrier traditionnel luni-solaire marque le début de l’année 4716 et qui aura lieu, cette année, le 16 février 2018.

NDR : Cette année se terminera le 4 février 2019.

Source : Texte : www.montreal.org  Image: HoroscopeChinois.Guru

Les célébrations, coutumes et tabous de la fête de printemps varient dans les détails selon les régions ou les époques. La pratique générale veut qu’on s’efforce de repartir sur un nouveau pied après s’être débarrassé des mauvaises influences de l’an passé, accompagné de signes de bon augure. On a recours à des objets ou aliments présentant une homophonie avec un mot de sens auspicieux.

Le « passage de l’année » (過年 / 过年 guònián) s’effectue dans la nuit du dernier jour du douzième mois. Le mot signifiant année est considéré comme étant à l’origine le nom d’un monstre, Nian, qui venait autrefois rôder autour des villages une nuit par an, obligeant les habitants à se calfeutrer et à veiller jusqu’à son départ au petit matin. Les célébrations principales comportent un réveillon  comprenant des plats aux noms auspicieux, suivi d’une nuit de veille gage de longévité, que certains occupent à jouer au mahjong, la distribution d’étrennes  contenues dans des enveloppes rouges, l’allumage de pétards à mèches pour chasser les mauvaises influences.

Source : Texte : Wikipedia

 

Journée internationale du cancer de l’enfant – 15 février

Le cancer chez l’enfant est la deuxième cause de mortalité dans les pays développés.
Cette journée internationale vise à mieux faire connaître cette réalité et promouvoir les actions de prévention, mes aussi les soins et la recherche.

Les enjeux du Plan cancer 2014-2019
Les cancers pédiatriques font partie intégrante de ce plan gouvernemental, aussi bien au niveau de la recherche que pour la prise en charge des enfants malades et de leurs familles.
En France, 1 700 nouveaux cas dénombrés chaque année.

« Les cancers chez l’enfant restent, encore aujourd’hui, souvent synonymes d’isolement et de rupture du lien social et scolaire. Si, la Ligue contre le cancer soutient les orientations prises dans le cadre du Plan cancer 2014-2019, il est de notre devoir d’exiger la mise en œuvre de solutions concrètes pour aider les enfants et leurs familles, avant, pendant et après la maladie ». Pr Jacqueline Godet, présidente de la Ligue contre le cancer.

Une loi pour le droit à l’oubli
Bonne nouvelle, on guérit du cancer. De plus en plus. Mais la société n’a pas encore adapté son comportement à cette nouvelle donne et les anciens malades souffrent toujours de discriminations. Accès à l’assurance, à l’emprunt, discriminations à l’embauche… les anciens enfants malades doivent pouvoir bénéficier du droit à l’oubli et concrètement ne plus devoir mentionner cette maladie dans les déclarations d’assurance.

Un site à visiter : www.ligue-cancer.net      Source: Texte: Journée Mondiale       Image: Fondation Bomoko
 

Journée internationale de sensibilisation aux cardiopathies congénitales – 14 février

Une journée consacrée aux maladies cardiaques le 14 février, fête des amoureux ? le raccourci est facile mais il permettra au moins de penser un peu plus aux peines de coeur les plus sérieuses… l’histoire commence en 1999, aux USA, où J. Imperati, mère d’un enfant atteint d’une malformation cardiaque, a l’idée que le jour de la Saint Valentin serait un jour de sensibilisation du grand public aux cardiopathies congénitales.

En quelques mois, grâce à l’élan de l’association C.H.I.N (Congenital Heart Information Network), de nombreux états des Etats-Unis et de nombreux pays dont l’Australie, le Canada, l’Allemagne, la République Indienne, le Liban, l’Irlande, la Pologne, Les Emirats Arabes, l’Angleterre et d’autres acceptent cette proclamation.

Le nom officiel de cette journée est « Congenital Heart Defect Awareness Day », que l’on pourra traduire « Journée Nationale de sensibilisation aux malformations cardiaques congénitales ».

Vous avez dit cardiopathie congénitale…
Il naît chaque année en France entre 6500 à 8000 enfants portant une malformation cardiaque, appelée cardiopathie congénitale. Ces malformations peuvent être plus ou moins invalidantes, sont – ou ne sont pas – opérables, mais constituent dans tous les cas un handicap durable pour les personnes atteintes.

Des association luttent pour permettent aux personnes atteintes de mieux s’insérer et voir reconnaître leurs droits dans la société.

Un site à visiter : www.ancc.asso.fr    Source: Texte: Journée Mondiale      Image: Unsplash

 

Journée mondiale de la radio – 13 février

En 2012, afin de mettre en relief la puissance de la radio comme plate-forme pour l’éducation et la liberté d’expression ainsi que son rôle vital dans la réponse aux crises et aux catastrophes, l’UNESCO a appelé à célébrer le 13 février de chaque année, une Journée Mondiale de la radio.

« Toutes les radios sont invitées à s’associer à cet événement », a déclaré le porte parole de l’UNESCO dans son communiqué de presse.

Média peu coûteux, nécessitant la mise en oeuvre d’une technologie relativement simple, la radio atteint des auditeurs éloignés sur tous les points du territoire et des groupes nomades. Selon l’union internationale des télécommunications, plus de 75% des foyers des pays en développement possèdent au moins un récepteur radio.

Afin d’encourager les diffuseurs publics, privés et communautaires à célébrer la Journée, l’UNESCO a créé un site web avec des messages audio en plusieurs langues ou des manuels à l’usage des radios communautaires.

Un vecteur de liberté
Nous ne saurions terminer sans faire une rapide évocation de la radio comme vecteur de liberté en en citant quelques unes de celles qui sont restées dans l’histoire : Radio Londres qui transmettait les messages à la résistance française aux plus sombres heures de l’occupation, Radio Free Europe qui permet aux populations situées derrière le rideau de fer de recevoir une information différente de celle transmise par les autorités, Radio Caroline qui émettait depuis un bateau ou encore l’épopée des radios libres de 1981 et la fin du monopole d’état en France.

Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée Internationale des enfants soldats – 12 février

Ces dernières décennies, la proportion des victimes civiles des conflits armés a augmenté de façon spectaculaire; elle dépasserait à présent les 90 %. La moitié environ de ces victimes sont des enfants. Vingt millions d’enfants peut-être ont été contraints de fuir de chez eux en raison des conflits et des violations des droits fondamentaux, et vivent comme réfugiés dans les pays voisins ou sont déplacés dans leur propre pays.

Au cours de la décennie écoulée, les conflits armés ont directement tué plus de 2 millions d’enfants. Ils sont plus de trois fois plus nombreux – au moins 6 millions – à avoir été frappés d’une invalidité permanente ou grièvement blessés. Plus d’un million d’enfants ont été rendus orphelins ou ont été séparés de leur famille. Entre 8,000 et 10,000 enfants sont tués ou mutilés par des mines terrestres chaque année.

300 000 enfants soldats
On estime que 300 000 enfants soldats – des garçons et des filles de moins de 18 ans – sont mêlés à plus de 30 conflits dans le monde. Ils sont utilisés comme combattants, coursiers, porteurs ou cuisiniers, et pour fournir des services sexuels. Certains sont recrutés de force ou enlevés, d’autres s’enrôlent pour fuir la pauvreté, la maltraitance et la discrimination, ou pour se venger des auteurs d’actes de violence commis à leur encontre ou contre leur famille.

En 2002, le Protocole facultatif à la Convention relative aux droits de l’enfant concernant la participation des enfants aux conflits armés est entré en vigueur. Il interdit la participation d’enfants de moins de 18 ans aux hostilités. Outre qu’il exige des Etats qu’ils portent à 18 ans l’âge du recrutement obligatoire et de la participation directe aux hostilités, le Protocole facultatif leur fait obligation de porter au-delà du minimum actuel de 15 ans l’âge du recrutement volontaire.

Pendant les conflits armés, les filles et les femmes sont menacées de viol, de violence, d’exploitation sexuelle, de traite, et d’humiliation et de mutilation sexuelles. L’utilisation du viol et d’autres formes de violence contre les femmes est devenue une stratégie dont se prévalent toutes les parties aux conflits. Les rapports d’enquête établis à la suite du génocide commis en 1994 au Rwanda ont conclu que presque toutes les femmes de plus de 12 ans ayant survécu au génocide avaient été violées. Pendant le conflit dans l’ex-Yougoslavie, on a calculé que plus de 20,000 femmes avaient été victimes de violences sexuelles. Par ailleurs, les conflits désintègrent les familles, alourdissant encore le fardeau économique et psychologique pesant sur les femmes.

Environ un tiers des 25 pays où vivent la plus forte proportion d’enfants rendus orphelins par le SIDA ont été touchés ces dernières années par des conflits armés. Sept des dix pays à plus fort taux de décès parmi les moins de cinq ans sont touchés par des conflits de ce type.

Les enfants mêlés à des conflits armés sont régulièrement confrontés à des événements émotionnellement et psychologiquement douloureux, tels que la mort violente d’un parent ou d’un proche, la séparation d’avec leur famille, le fait d’avoir vu des êtres chers tués ou torturés, l’éloignement de leur foyer et de leur communauté, l’exposition aux combats, aux bombardements et à d’autres situations mettant leur vie en danger; les mauvais traitements, tels que l’enlèvement, l’arrestation, la détention, le viol ou la torture, la perturbation des études et de la vie communautaire, le dénuement et un avenir incertain. Certains prennent même part à des actions violentes. De plus, les enfants, quel que soit leur âge, sont profondément affectés par le niveau de stress que connaissent les adultes qui s’occupent d’eux.

Un site à visiter : www.in-terre-actif.com       Source: Texte: Journée Mondiale  Image: BBC News

Journée mondiale des malades – 11 février

Historique
Célébrée le 11 février de chaque année, la Journée mondiale des malades (JMM) nous invite à la solidarité avec les personnes qui, autour de nous, expérimentent la dure réalité de la maladie et de la souffrance. Sous l’inspiration de Jean-Paul II, cette journée rappelle la dignité de toute personne, malade ou âgée.

JE SUIS LÀ
Quel réconfort et quel  soulagement avons-nous lorsqu’un proche, un ami nous dit « Je suis là ».  Quelle consolation lorsque ces mots deviennent une expérience de vie, une conviction intérieure que quelqu’un est là pour nous.

La Journée mondiale des malades du 11 février 2018 propose une réflexion sur la confiance qui peut se tisser dans le parcours d’une vie. Au fil du quotidien de nos joies, de nos peines, de nos maladies, il est possible de s’appuyer sur une présence bienveillante qui nous dit : Je suis là. 

Les images et le texte de la carte veulent rendre compte de la richesse de cette réflexion.

Source: Texte & Illustration: CHU de Québec, Université Laval

La Journée mondiale contre la traite des personnes – 8 février

En 2015, le Pape François institua le 8 février, fête de Ste Bakhita, * comme Journée internationale de prière et de sensibilisation contre la traite des êtres humains (JMPT).

La journée est célébrée chaque année le jour où nous nous souvenons de la mémoire liturgique de Sainte Bakhita, qui a connu dans sa vie les souffrances de l’esclavage.

La Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite des personnes (GMPT), qui sera célébrée le 8 février 2018, aura pour thème : « Migration sans trafic. Oui à la liberté! Non au chemin! 

Vous êtes invité à allumer une bougie pour ces frères et sœurs victimes de la traite humaine et un signal de notre engagement à lutter contre la traite. Allumons surtout nos cœurs et nos vies afin d’être une lumière accueillante qui donne de l’espérance dans nos rencontres. 

Source : Texte & Illustrations: renate-france.wordpress.com

Note: RENATE (Religious in Europe Network Against Trafficking and Exploitation) dont la traduction en français est Religieuses en Europe coNtre lA Traite et l’Exploitation présent dans plus de 20 pays. 

* Sainte Joséphine Bakhita était une Soudanaise qui a été vendue et revendue cinq fois sur les marchés comme esclave, maltraitée et fut finalement libérée. Elle a été canonisée par le Pape Jean Paul ll en 2000.

Source: Image: dowym.com

Message du Pape pour le Carême

Dans une semaine, la période du Carême débutera. Le Pape ne manque pas de nous adresser un message pour nous y préparer. Déjà le jour de la Toussaint, 1er novembre 2017, il avait rédigé son texte et celui-ci a été publié hier. Le pape dénonce ce qu’il nomme “la duperie de la vanité et la froidure de la charité”. En voici quelques extraits.

« Chers frères et soeurs, Cette année encore, à travers ce message, je souhaite inviter l’Église entière à vivre ce temps de grâce dans la joie et en vérité…

D’autres faux prophètes sont ces « charlatans » qui offrent des solutions simples et immédiates aux souffrances, des remèdes qui se révèlent cependant totalement inefficaces : à combien de jeunes a-t-on proposé le faux remède de la drogue, des relations « use et jette », des gains faciles mais malhonnêtes ! Combien d’autres encore se sont immergés dans une vie complètement virtuelle où les relations semblent plus faciles et plus rapides pour se révéler ensuite tragiquement privées de sens ! Ces escrocs, qui offrent des choses sans valeur, privent par contre de ce qui est le plus précieux : la dignité, la liberté et la capacité d’aimer (…)

Ce qui éteint la charité, c’est avant tout l’avidité de l’argent, « la racine de tous les maux » (1Tm 6:10); elle est suivie du refus de Dieu, et donc du refus de trouver en lui notre consolation, préférant notre désolation au réconfort de sa Parole et de ses sacrements. Tout cela se transforme en violence à l’encontre de ceux qui sont considérés comme une menace à nos propres « certitudes »: l’enfant à naître, la personne âgée malade, l’hôte de passage, l’étranger, mais aussi le prochain qui ne correspond pas à nos attentes.

La création, elle aussi, devient un témoin silencieux de ce refroidissement de la charité : la terre est empoisonnée par les déchets jetés par négligence et par intérêt ; les mers, elles aussi polluées, doivent malheureusement engloutir les restes de nombreux naufragés des migrations forcées ; les cieux – qui dans le dessein de Dieu chantent sa gloire – sont sillonnés par des machines qui font pleuvoir des instruments de mort (…)

Je voudrais que ma voix parvienne au-delà des confins de l’Église catholique, et vous rejoigne tous, hommes et femmes de bonne volonté, ouverts à l’écoute de Dieu. »

Source: Texte: La Croix, 06/02/2018 Illustration: Zenit