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Journée mondiale sans sacs plastique – 3 juillet 2023

Journée mondiale sans sacs plastique

La pollution occasionnée par la prolifération des sacs en plastique et – surtout – par leur abandon au gré des vents et des courants, menace de très nombreuses espèces animales. Qui n’a jamais entendu parler du « huitième continent » aura du mal à se représenter l’ampleur des dégâts causés dans la nature par cette source de pollution. Le Centre national d’information sur les déchets (Cniid) a, à de nombreuses reprises, attiré l’attention du public sur la nécessité d’une modification en profondeur de nos habitudes de consommation. Il ne s’agit plus aujourd’hui de produire plus de déchets recyclables, mais bel et bien de produire globalement moins de déchets et gérer autrement les déchets existants.

Entre 1960 à 2000, le tonnage d’ordures ménagères produit a doublé

La croisade contre l’utilisation des sacs plastiques entre symboliquement dans cette logique de réduction des déchets.

Les sacs en plastiques présentent en effet le double désavantage d’être très peu biodégradables et de se disperser très facilement au gré des vents et des courants. Ils pourraient assez facilement être remplacés par des sacs réutilisables et recyclables, voire par des emballages papier même si ces derniers ne sont pas une panacée.

Source: Texte (abrégé) & Image: Journée mondiale

CONNAISSEZ-VOUS LE HUITIÈME CONTINENT ?

Egalement appelé “soupe de plastique”, ce continent est constitué de nos déchets ! Estimé à 6 fois la superficie de la France (3,4 millions de Km²), il a été découvert par hasard en 1997. En effet, tous les déchets que l’activité humaine rejette dans la mer s’agglutinent dans une zone où se rencontrent tous les courants du  Pacifique nord, formant un immense vortex. On relate quatre autres « continents de déchets » dans les autres océans, Atlantique, et Indien.
Les conséquences de cette décharge en pleine mer sont parfois insoupçonnées : les mammifères, tortues et oiseaux qui confondent les déchets avec leur nourriture meurent car les résidus ingérés obstruent leur système digestif.
Le continent est également propice à la reproduction d’une espèce d’araignée d’eau : l’halobate sericeus. Cet insecte, capable de vivre dans un milieu marin, a besoin d’un terrain solide pour pondre ses œufs et ce lieu lui fournit un lieu de vie inespéré. Se nourrissant comme les crabes, poisson et oiseaux de mer de plancton et d’œufs de poisson, elle menace ainsi ces espèces en se reproduisant à vitesse grand V.

Quels sont les risques réels ?

Disparitions d’espèces,  contamination de l’eau, des plages, maladies, les conséquences sont réelles et seront importantes si l’on ne change rien!

Source: Texte & Image: https://www.gardien-asso.fr/connaissez-vous-le-huitieme-continent/

Journée mondiale sans sacs plastique – 3 juillet

La pollution occasionnée par la prolifération des sacs en plastique et – surtout – par leur abandon au gré des vents et des courants, menace de très nombreuses espèces animales. Qui n’a jamais entendu parler du « huitième continent » * aura du mal à se représenter l’ampleur des dégâts causés dans la nature par cette source de pollution.

Le Centre national d’information sur les déchets (Cniid) a, à de nombreuses reprises, attiré l’attention du public sur la nécessité d’une modification en profondeur de nos habitudes de consommation. Il ne s’agit plus aujourd’hui de produire plus de déchets recyclables, mais bel et bien de produire globalement moins de déchets et gérer autrement les déchets existants.

Entre 1960 à 2000, le tonnage d’ordures ménagères produit a doublé
La croisade contre l’utilisation des sacs plastiques entre symboliquement dans cette logique de réduction des déchets.

Les sacs en plastiques présentent en effet le double désavantage d’être très peu biodégradables et de se disperser très facilement au gré des vents et des courants. Ils pourraient assez facilement être remplacés par des sacs réutilisables et recyclables, voire par des emballages papier même si ces derniers ne sont pas une panacée.

* Note de l’éditrice: Le vortex de déchets du Pacifique nord est une zone du gyre subtropical du Pacifique nord, également connue sous le nom de gyre de déchets, soupe plastique2, sixième ou septième continent, vortex d’ordures2 ou encore grande zone d’ordures du Pacifique  (GPGP pour Great Pacific Garbage Patch). Pour les océans, le terme « continent de plastique » est également rencontré.  Une zone similaire a été découverte dans le nord de l’océan Atlantique.     (https://fr.wikipedia.org/wiki/ )

Source: Texte: Journée mondiale   Images: Journée mondiale   PxHere

 

 

Journée Mondiale contre les essais nucléaires – 29 août

La première bombe atomique a été larguée le 6 août 1945 sur la ville d’Hiroshima au Japon, chacun s’en souvient, mais les premiers « essais nucléaires » sont un peu plus anciens puisque le premier a été tenté en juillet 1945. Depuis lors, plus de 2000 essais ont été réalisés, d’abord dans l’atmosphère, puis de façon sous-terraine ou sous-marine.

Une prise de conscience progressive
La prise de conscience des dégâts occasionnés pendant ces campagnes d’essais a été lente à venir mais, peu à peu, de plus en plus de pays ont décidé de renoncer aux essais nucléaires. On se souvient qu’en France cela avait fait partie des premières décisions prises par le Président Chirac en 1995.

Un traité sur l’interdiction totale des essais nucléaires a été ouvert à la signature en 1996… mais jamais mis en application faute, justement, de signataires en nombre suffisant !

Le polygone de Semipalatinsk
C’est en 2009 que les Nations Unies ont proclamé la création de la Journée internationale contre les essais nucléaires et choisi pour la célébrer la date du 29 août. Cette résolution (la 64/35) a été adoptée à l’unanimité.

On se souviendra qu’à l’origine de cette résolution se trouve la République du Kazakhstan, ancienne république membre de l’URSS et indépendante depuis 1991, qui souhaitait commémorer la fermeture du polygone d’essais nucléaires de Semipalatinsk, le 29 août 1991.

Le but final de la résolution de l’ONU est de sensibiliser à la nécessité d’interdire les essais d’armes nucléaires et travailler à l’édification d’un monde plus sûr.

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte : Journée Mondiale Images : Pressenza un.am

Journée internationale d’action pour les rivières – 14 mars

La journée d’action pour les rivières tire son origine d’une initiative brésilienne contre les grands barrages et les dégâts qu’ils occasionnent. Elle entend donc logiquement lutter contre les barrages et pour les rivières, pour l’eau et pour la vie.

Une histoire qui coule de source…

L’idée de la journée a été adoptée lors du premier sommet international des personnes affectées par les barrages (International Meeting of People Affected by Dams). Les représentants de 20 pays ont décidé que la Journée international d’action aurait lieu le 14 mars, date de la journée d’action contre les grands barrages au Brésil.

Tous les ans, des milliers d’individus de par le monde élèvent la voix pour honorer les rivières du monde et les personnes qui luttent pour leur protection. La Journée internationale d’action pour les rivières est un jour où nous célébrons des victoires comme le démantèlement des barrages et la restauration de rivières.

Un site à visiter : www.internationalrivers.org       Source : texte & Image Journée mondiale