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Journée mondiale du coloriage – 6 mai

Le coloriage, souvent relégué au rang d’activité ludique pour les enfants, bénéficie d’une reconnaissance internationale à travers la Journée Mondiale du Coloriage. Chaque année, le 6 mai, cette journée spéciale célèbre la magie des crayons, des feutres et des pastels. Les adultes et les enfants du monde entier se rejoignent pour explorer cet art intemporel. Plongeons dans l’histoire et les bienfaits de cette journée, tout en découvrant les raisons de sa popularité croissante.

Origine de la journée mondiale du coloriage

Lancée pour la première fois en 2008 par la marque Staedtler, un fabricant allemand de matériel d’écriture et de coloriage, la Journée Mondiale du Coloriage visait initialement à sensibiliser le public aux besoins des enfants défavorisés. Staedtler encourageait les enfants et les adultes à dessiner pour soutenir une cause sociale, en reversant une partie de ses bénéfices à des œuvres caritatives.

Depuis lors, cet événement a évolué et s’est transformé en une célébration mondiale du coloriage, suscitant un intérêt croissant dans les écoles, les foyers, et même les lieux de travail. Aujourd’hui, des millions de participants issus de plus de 100 pays participent chaque année à cette journée, renforçant la conviction que le coloriage est bien plus qu’un simple passe-temps.

Les bienfaits du coloriage pour les enfants

Le coloriage offre de nombreux avantages sur le plan cognitif, émotionnel et physique chez les enfants.

  • Développement de la Motricité Fine : Les enfants doivent tenir fermement les crayons et utiliser une pression contrôlée pour colorier, renforçant ainsi leur dextérité et leur coordination œil-main.
  • Amélioration de la Concentration : Les enfants apprennent à se concentrer sur une tâche pendant de longues périodes, ce qui peut être particulièrement bénéfique dans leur parcours scolaire.
  • Stimulation de la Créativité : Choisir les couleurs, imaginer des motifs et décider des nuances permet aux enfants d’explorer librement leur créativité.
  • Expression Émotionnelle : Le coloriage est également un moyen d’exprimer des émotions souvent difficiles à verbaliser. Les enfants utilisent les couleurs pour traduire leurs sentiments, qu’ils soient joyeux, tristes ou anxieux.

Le coloriage chez les adultes: Un phénomène en pleine croissance

L’intérêt des adultes pour le coloriage connaît un regain depuis quelques années. Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène :

  • Réduction du Stress : Des études psychologiques ont montré que le coloriage active un état de relaxation proche de la méditation, réduisant ainsi le stress et l’anxiété.
  • Retour en Enfance : Beaucoup d’adultes trouvent du plaisir à retrouver une activité autrefois appréciée pendant leur jeunesse, ce qui procure un sentiment de nostalgie et d’évasion.
  • Favoriser l’Attention Pleine : Le coloriage demande une attention particulière aux détails, ce qui favorise la pratique du « mindfulness » ou pleine conscience, aidant les individus à se concentrer sur le présent.
  • Création d’un Sens de Réalisation : Compléter un dessin et admirer le produit fini offre un sentiment d’accomplissement, renforçant la confiance en soi.

Chiffres clés du coloriage adulte

Le marché du coloriage adulte a connu une croissance exponentielle ces dernières années. Quelques chiffres illustrent cette tendance :

  • Nombre de Livres Vendus : En 2015, le marché mondial du coloriage adulte a enregistré plus de 12 millions de livres vendus, témoignant d’une demande croissante pour ces ouvrages.
  • Popularité sur les Réseaux Sociaux : Les hashtags #adultcoloring et #coloringbook rassemblent plus de 10 millions de posts sur Instagram, montrant l’engouement des adultes pour cette pratique.

La Journée Mondiale du Coloriage du 6 mai 2024 nous rappelle l’importance de s’accorder du temps pour s’exprimer créativement, en s’éloignant des écrans pour renouer avec une activité tactile. En offrant des bienfaits cognitifs, émotionnels et physiques tant aux enfants qu’aux adultes, le coloriage représente une forme d’expression artistique universelle qui transcende les générations et les cultures. Alors, que vous soyez un amateur ou un professionnel, sortez vos crayons le 6 mai prochain et laissez les couleurs s’épanouir sur la toile de votre imagination.

 

Source: Texte (abrégé): https://media24.fr/2024/05/05/journee-mondiale-du-coloriage-le-6-mai-2024    Image: Jounée mondiale

6è dimanche de Pâques, année A – 2023

 

Il arrive souvent que le texte de l’évangile nous surprenne.
C’est le cas aujourd’hui alors que quelques versets du chapitre 14 de Jean sont offerts à notre réflexion (Jean 14:15-21).
La scène nous présente Jésus lors de son dernier repas avec les apôtres avant sa Passion.

Il leur dit:
« Moi, je prierai le Père,
et il vous donnera un autre Défenseur
qui sera pour toujours avec vous: l’Esprit de vérité. »

On s’attendrait à ce que Jésus dise:
« Priez le Père qu’il vous donne l’Esprit. »
Mais ce n’est pas ce qu’il dit; il promet plutôt que lui-même fera cette demande au Père pour nous!

Il est évident que la prière de Jésus ne peut manquer d’être reçue par le Père!
Tout aussi évident donc que l’Esprit est avec nous.

Et c’est ce que Jésus affirme:
« L’Esprit de vérité… demeure auprès de vous,
et il sera en vous.
 »

 
Une affirmation dont l’évidence nous échappe peut-être…
la profondeur de cette réalité dépassant notre attention et notre compréhension.

Alors, peut-être nous faut-il prier à notre tour –
prier Jésus d’éveiller notre attention et d’approfondir notre compréhension
qui nous permettront de réaliser que vraiment l’Esprit de vérité demeure auprès de nous.

 
Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/6th-sunday-of-easter-year-a-2023/

 

Source: Image: DailyVerses.net       

Journée mondiale de la Schizophrénie – 18 mars 2023

En 2023, la journée mondiale de la shizophrénie se déroule pour la 20ème fois.Et comme ses initiateurs ne font pas les choses à moitié, ils ont décidé de consacrer une semaine complète à l’événement ! Les « journées » se dérouleront donc du 18 mars au 25 mars.

On a tous un côté décalé !

La schizophrénie est une maladie du cerveau qui affecte la pensée, les sentiments et les émotions. Toutes ces fonctions ne sont pas perturbées au même moment et dans la même mesure.

De nombreuses personnes souffrant de schizophrénie peuvent avoir un comportement normal pendant une longue période et être perturbées uniquement pendant des périodes de crise.

La schizophrénie pertube souvent l’attention, la mémoire, l’apprentissage et le traitement de l’information.

Une personne atteinte de schizophrénie peut:

  • Percevoir des difficultés à établir un contact avec son entourage ou son/ses ami(s)
  • Etre submergée par des idées étranges
  • Avoir la sensation d’entendre des voix qui n’existent pas dans la réalité
  • Avoir beaucoup de difficultés à différencier ce qui est réel de ce qui ne l’est pas
  • Avoir l’impression que des personnes de son entourage lui veulent du mal
  • Se replier sur elle-même et se comporter de façon étrange
  • Ressentir une insécurité en permanence

La schizophrénie touche, à l’échelle mondiale, 1% de la population. Elle survient surtout chez les jeunes à la fin de l’adolescence ou au début de la vie adulte.

Mais la Schizophrénie n’est pas:

  • Un dédoublement de la personnalité
  • Causée par des parents négligents ou dominateurs
  • La conséquence d’une exprérience traumatisante vécue pendant l’enfance

Depuis ces dernières années la Schizophrénie est devenu une maladie traitable qui permet de réduire en grande partie les effets négatifs ressentis par les malades et leur entourage.

Un site à visiter : schizinfo.com    Source: Texte:  Journée mondiale      Image: Passeport santé

28è dimanche de l’année C, 2022

Récemment, je visitais une amie, la grand-maman d’un petit bout-d’chou adorable.
Le petit Stéphane, 4 ans, sait comment enjôler son entourage et obtenir ce qu’il désire.

À un certain moment, il a demandé à sa mamie un verre de jus.
Suzanne, mon amie, a tendu le bras pour lui présenter le verre et Stéphane a bien vite tenté de le prendre.
Mais Suzanne retenant le verre de jus a regardé son petit-fils dans les yeux et lui a demandé:
« Qu’est-ce qu’on dit? »
Le petit n’a pas hésité à répliquer: « Merci! »

Cette scène m’est revenue à l’esprit en lisant l’évangile de ce dimanche (Luc 17:11-19).
Un texte bien connu mais qui interpelle chaque fois qu’on le lit, ou qu’on l’entend proclamé.
Dix lépreux supplient Jésus de les guérir de leur condition.
Leur situation était pénible, douloureuse sans doute, mais pénible aussi parce qu’elle les obligeait à se tenir loin des autres.
Ils étaient considérés comme des ‘intouchables’ et on les évitait par crainte d’être contaminé.

Et voilà que Jésus les guérit, sans délai, sans hésitation, comme ça, tout bonnement…
Il leur dit simplement d’aller faire constater leur guérison par les autorités religieuses, comme la loi l’exigeait.

Ils étaient dix, l’un d’eux, un Samaritain, était considéré comme un étranger.
Et pourtant… c’est justement celui-là qui, réalisant qu’Il est guéri, retourne se jeter aux pieds de Jésus pour le remercier.

Chaque fois que je relis ce passage, j’ai peine à le croire…
Être guéri de la LÈPRE – une maladie redoutable et honteuse aux yeux des gens de l’époque –
et ne pas apprécier le geste de celui qui a redonné la dignité autant que la santé.
C’est impensable!…

Mais… je dois me corriger rapidement en regardant un peu en arrière…

  • Je revois les dons et les pardons multiples que j’ai reçus.
  • Je me souviens des guérisons nombreuses obtenues pour moi et pour les miens.
  • Je me remémore les situations répétées où j’ai fait l’expérience de la gratuité.
  • Je me rappelle les événements fréquents qui m’ont révélé la générosité des autres et… de Dieu!

Et si je regarde la liste des ‘Mercis’ que j’ai adressés…
elle ne se compare pas avec l’énumération des bienfaits reçus de part et d’autre…
J’ai bien parfois manqué d’attention et de considération envers mon entourage…
J’ai souvent tenu pour acquis les bénéfices et les ‘gâteries’ qui me parvenaient…

Dieu lui-même en est… le témoin et… le sujet!…

J’ai beaucoup à apprendre de ‘cet étranger’ qui s’est mérité la louange de Jésus!

 

Note: Cette scène de l’évangile est représentée dans la vidéo qui suit: https://youtu.be/mKsWkpQGsKQ

Une autre réflexion est offerte sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/28th-sunday-of-year-c-2022/

 

Source: Image: revlisad.com                

3rd Sunday of Lent, Year C – 2022

Do you sometimes wonder at… God’s ways?
What he does can be quite astonishing…
And, at times, the way he deals with us, human beings, can leave us rather puzzled.

The scene presented in the 1st reading of this Sunday is indeed surprising (Ex.3:1-8,10,13-15).
We see a bush burning but not diminishing in size and not being consumed by fire.
Quite unusual a sight, really.

It is the way God has chosen to draw the attention of Moses –
in fact, to draw Moses himself to God’s presence.
God intends to send him to his people to make himself known to them.

I pause and… I wonder…
I look at my life and I ask myself what are the ways that God uses to draw MY attention…
What is my own ‘burning bush’?

And… what can I say about God to people?
What does he want me to reveal to them of who he is and what he wants to be for us?

The burning bush can lead to an interesting personal discovery…
of God, and of myself…
 

And another reflection, on a different theme, is available in French at: https://image-i-nations.com/3e-dimanche-du-careme-annee-c-2022/

 

Source: Image: YouTube

 

 

 

28è dimanche de l’année C – 2019

L’évangile de ce jour (Lc.17:11-19) est étonnant, c’est le moins qu’on puisse dire!

Jésus guérit, d’une seule parole, dix hommes atteints d’une maladie terrible, honteuse au regard leur entourage,
et pour laquelle on ne connaissait pas de remède.
Et, sur les dix qui ont bénéficié d’un tel geste, un seul revient remercier Jésus.

Dix ont été guéris, ils peuvent commencer à vivre normalement, sans peine ni honte, mais…
revenir vers celui qui leur accorde cette nouvelle vie, cela… ils ne le font pas.

Un sur dix = 10% – ce n’est pas un résultat satisfaisant, il va sans dire.
De nos jours, les spécialistes des affaires seraient remplis de honte et de récriminations!
On blâmerait vite la stratégie, la publicité, celui-ci ou celle-là –
il faudrait absolument attribuer la responsabilité à quelqu’un!
C’est là le monde DES affaires.

Mais la reconnaissance, la gratitude – pour employer des termes un peu désuets –
ça ne fait pas partie du monde des affaires.
Dire ‘Merci’ c’est UNE affaire… de cœur.

Si les termes de gratitude ne se retrouvent pas souvent dans nos conversations,
peut-être est-ce parce que cette attitude est souvent absente de nos relations?

La reconnaissance suppose l’attention et l’appréciation.
On porte attention à ce qui nous est donné, à ce qu’on fait pour nous.
Mais nous sommes parfois si distrait/es, ‘éparpillé/es’ diront certains.
Et l’appréciation signifie que l’on sait reconnaître la valeur du don que l’on nous fait –
une valeur bien souvent qu’on ne peut monnayer mais qui est riche de chaleur humaine.

On peut alors exprimer cette appréciation:
« C’était gentil de ta part de penser à moi. »
« Ton geste m’a touchée. »
« Ta gentillesse m’a fait plaisir. »
« Ton conseil m’a été d’une grande aide. »

Même Dieu n’est pas indifférent à une telle expression, en fait… il l’attend.
Malheureusement… il doit souvent attendre l o n t e m p s . . . avant de percevoir de notre part un signe de reconnaissance…
Et pourtant, ses dons et ses bénédictions nous rejoignent jour après jour!

Note : Cette scène de l’évangile est représentée dans la vidéo qui suit : https://youtu.be/mKsWkpQGsKQ

Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à : https://image-i-nations.com/28th-sunday-of-year-c-2019/

 

Source : Image : America Magazine

 

4è dimanche de l’Avent, année C

Choisir UN seul thème pour la réflexion de la semaine n’est pas toujours facile. Les 3 lectures et le Psaume de la célébration offrent bien souvent de multiples pistes de méditation. Quoi retenir et quoi… laisser de côté ?

Sacrifier une idée au profit d’une autre… oui, il est sage de le faire pour concentrer son attention et soutenir sa prière sans essayer de tout couvrir et découvrir !

Ce 4è dimanche de l’Avent (année C) est riche mais quelques mots de la 2è lecture tirée de l’épître aux Hébreux (He.10:5-10) ont retenu mon attention. L’auteur met dans la bouche du Christ ces paroles :

« Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m’as formé un corps…
alors, j’ai dit : Me voici… »

Nous allons bientôt célébrer cette venue dans le monde – il y a bien longtemps – de Jésus, cet envoyé de Dieu, le Christ. Et ces paroles que lui attribue l’auteur du texte renferment une révélation des plus importantes.

Ce que Dieu désire ce ne sont PAS des choses – fussent-elles sacrées comme des sacrifices rituels ou des holocaustes – mais ce qu’il veut c’est… nous-mêmes – RIEN DE MOINS !

Nos bonnes actions, il les reçoit ; nos sacrifices, il les accepte. Mais ce qu’il désire c’est NOUS – faibles, fragiles et faillibles, sans doute, mais en désir et en attente de lui – c’est ce qui est le plus précieux pour lui.

Jésus le savait si bien… il nous reste à le découvrir, à nous en convaincre et… à le vivre.

A compter de Noël… à compter de MAINTENANT !

« Me voici !… »

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/4th-sunday-of-advent-year-c/

 

Source : Image : pixabay.com 

 

 

 

Journée Mondiale de prévention du suicide – 10 septembre

La Journée mondiale de prévention du suicide attire l’attention sur le nombre estimatif d’un million de vies perdues par an à cause du suicide. En 2005, les organisateurs souhaitent insister sur le fait que la prévention du suicide concerne tout un chacun et n’est pas de la seule responsabilité des experts. Au cours de cette journée, ils demandent instamment aux communautés, aux individus, aux professionnels et aux bénévoles de prendre part aux activités de sensibilisation à ce problème de santé publique et de lancer de nouvelles initiatives et méthodes de prévention.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) considère le suicide comme un problème de santé publique énorme mais en grande partie évitable, aujourd’hui à l’origine de près de la moitié de toutes les morts violentes. On compte actuellement près d’un million de décès annuels dus au suicide, et le coût économique se chiffre en milliards de dollars. Selon les estimations, le nombre de décès dus au suicide pourrait passer à 1,5 million d’ici 2020. Après le succès de la Journée mondiale de prévention du suicide de l’an dernier, la Journée sera organisée à nouveau le 10 septembre par l’OMS et l’Association internationale pour la Prévention du Suicide (AIPS) pour attirer l’attention de l’opinion mondiale et lancer un appel en faveur de l’action. (…)

Les associations qui agissent pour la prévention du suicide sont nombreuses et nous citerons par exemple: www.sos-suicide-phenix.org dont l’accroche mérite à elle seule le détour : En parler, c’est déjà revivre !

Un site à visiter : www.who.int   Source : Texte : Journée mondiale Image : calendeo.com

23rd Sunday of Year B

 

A COMMUNICATION department might easily choose
such an illustration to advertise a coming workshop.


And, waiting for the lecturer, a scene such as this one
may be… well, the norm!

Nowadays, for many people, communication refers mostly to the ‘tools’ of communication but it is a simplified definition indeed.

The gospel text of this Sunday (23rd Sunday of Year B – Mk.7:31-37) helps us to reflect on COMMUNICATION in a different way.
The text presents us with the scene of Jesus healing a man who is deaf and who has a speech impediment.
His situation is one of being deprived of the ability to hear and the power to speak properly –
a sad condition indeed.

I like to imagine the condition of this man once he has been cured by Jesus…
It seems to me that he would delight in listening, he would pay attention to the sounds and voices.
And, slowly learning to speak, he would probably utter words with care while anticipating the outcome of what he is going to day.

Delight, attention, care, anticipation… are these not important ingredients of a good communication?

  • Delighting in what we can hear…
  • Paying attention to those who speak to us…
  • Being careful in what we say so as not to hurt…
  • Foreseeing what may result from the words spoken…

The gesture of Jesus is one healing and of liberation –
liberation for the give and take of sharing among people.
In this parable, perhaps there is more than meets the eye!

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/23e-dimanche-de-lannee-b/

Source: Images: gograph.com   idealo.de

 

Journée mondiale de la Schizophrénie – 17 mars

En 2018, la journée mondiale de la shizophrénie se déroulera pour la 15ème fois. Et comme ses initiateurs ne font pas les choses à moitié, ils ont décidé de consacrer une semaine complète à l’événement ! La « journée » se déroulera donc du 17 mars au 24 mars.

On a tous un côté décalé !

La schizophrénie est une maladie du cerveau qui affecte la pensée, les sentiments et les émotions. Toutes ces fonctions ne sont pas perturbées au même moment et dans la même mesure. De nombreuses personnes souffrant de schizophrénie peuvent avoir un comportement normal pendant une longue période et être perturbées uniquement pendant des périodes de crise.
La schizophrénie perturbe souvent l’attention, la mémoire, l’apprentissage et le traitement de l’information.

Une personne atteinte de schizophrénie peut :

Percevoir des difficultés à établir un contact avec son entourage ou son/ses ami(s)
Etre submergée par des idées étranges
Avoir la sensation d’entendre des voix qui n’existent pas dans la réalité
Avoir beaucoup de difficultés à différencier ce qui est réel de ce qui ne l’est pas
Avoir l’impression que des personnes de son entourage lui veulent du mal
Se replier sur elle-même et se comporter de façon étrange
Ressentir une insécurité en permanence

La schizophrénie touche, à l’échelle mondiale, 1% de la population. Elle survient surtout chez les jeunes à la fin de l’adolescence ou au début de la vie adulte.
Mais la Schizophrénie n’est pas :

Un dédoublement de la personnalité
Causée par des parents négligents ou dominateurs
La conséquence d’une expérience traumatisante vécue pendant l’enfance

Depuis ces dernières années la Schizophrénie est devenu une maladie traitable qui permet de réduire en grande partie les effets négatifs ressentis par les malades et leur entourage.

Un site à visiter : www.info-schizophrenie.ch    Source : Texte & Image : http://www.journee-mondiale.com