L’ingénierie a toujours eu un rôle essentiel dans le développement et le bien-être de l’humanité. Encore faut-il faut veiller à ce que les générations futures d’ingénieurs et de scientifiques soient en mesure de concevoir des solutions durables aux défis locaux et mondiaux.
Inventer des solutions durables
C’est lors de sa de sa 40e session en novembre 2019 que la conférence générale de l’UNESCO a proclamé le 4 mars Journée mondiale de l’ingénierie pour le développement durable.
Elle souhaitait en ce faisant sensibiliser au rôle de l’ingénierie dans la vie moderne, et son impact essentiel pour atténuer les effets du changement climatique
Augmenter la place des femmes
Malgré l’importance de l’ingénierie pour notre vie et notre avenir, les femmes sont toujours sous-représentées dans ce domaine. Elles représentant au mieux 10 à 20 % des personnels concernés. Cette tendance est avérée également dans les pays où le nombre de femmes étudiant les sciences a augmenté.
Trop d’étudiantes diplômées hésitent encore à se diriger vers la profession d’ingénieur. Les obstacles sont souvent liés à la persistance de stéréotypes sexistes, à des politiques inadéquates ou à des environnements éducatifs qui ne répondent pas à leurs besoins et à leurs aspirations.
Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ? il ne vous reste plus qu’à créer la journée internationale du bonheur.
Présenté comme cela, c’est presque drôle. Ce qui l’est moins, c’est que cette journée existe bel et bien et qu’elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.
Une journée alibi ?
La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.
Pour faire bonne mesure l’auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.
Un objectif fondamental de l’être humain
On aurait pu aussi parler de journée gadget… mais c’est loin d’être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite:
Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.
La journée mondiale du bonheur est bien dans l’air du temps et de la recherche d’un « mieux vivre ». Les économistes cherchent aujourd’hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.
Se lever de bonheur…
On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays et qu’un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.
Chaque année le 2 février, nous célébrons la Journée mondiale des zones humides pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, au bord de la mer Caspienne.
Chaque année depuis 1997, des organismes gouvernementaux, des organisations non gouvernementales et des groupes de citoyens à tous les niveaux de la société profitent de l’occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public aux valeurs et aux avantages des zones humides en général, et de la Convention de Ramsar en particulier. Ce traité intergouvernemental sert de cadre à l’action nationale et à la coopération internationale pour la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources.
Disparition de 50% des zones humides en 50 ans
Définies comme des étendues de marais, de fagnes, de tourbières ou d’eaux naturelles ou artificielles, permanentes ou temporaires […], les zones humides couvrent dans le monde entre 748 et 778 millions d’hectares. Au cours des cinquante dernières années, le drainage, la pollution, l’irrigation, les guerres et le changement climatique ont entraîné la disparition de 50% de ces zones humides.
Chaque année, le secrétariat de la convention de Ramsar, propose un thème fédérateur en lien avec l’actualité internationale. 2013 est l’année internationale de la coopération dans le domaine de l’eau : une occasion idéale d’examiner le lien entre l’eau et les zones humides. Le slogan choisi « les zones humides protègent notre eau » reflète l’interdépendance entre l’eau et les zones humides et le rôle crucial que jouent celles-ci.
La diversité culturelle et biologique des zones humides constitue une richesse naturelle dont dépend notre bien-être physique et psychologique. Le patrimoine culturel de nos zones humides est le résultat d’une symbiose qui remonte à la nuit des temps entre les populations et les zones humides, une association qui a enrichi les générations passées et qui, avec votre aide, en fera autant pour les générations futures. Cette association s’est développée en raison de l’utilité des zones humides – en bref, la diversité de la vie végétale et animale des zones humides a assuré la subsistance des populations et leur a procuré de nombreux autres avantages.
Dans le monde anglo-saxon, elle est connue sous le nom Global Wellness Day, bien que son origine soit à aller chercher en Turquie en 2012. Son initiatrice serait en effet une entreprise (Richmond Nua) oeuvrant dans le domaine du bien être.
Une journée peut changer votre vie!
Source: Texte: Journée Mondiale Image: Le Mag Kanata
The Global Wellness Day a été créé en 2012 par Belgin Aksoy, Directrice de création du groupe Richmond International, afin de célébrer chaque 2e samedi du mois de Juin, les activités qui participent à notre Santé, notre Vitalité et notre Sérénité.
L’initiative est simple : sensibiliser le grand public et fédérer les établissement autour d’une journée anti-morosité, « bien-vivre, bon-vivre & joie de vivre », pour donner envie à chacun de bouger, courir, danser & rire…
Avec l ’aide d’ambassadeurs nationaux, cette idée s’est développée dans 3 000 établissements dans 83 pays en juin 2016, du lever de soleil à Fiji jusqu’au coucher du soleil à Hawaï !
Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ? il ne vous reste plus qu’à créer la journée internationale du bonheur.
Présenté comme cela, c’est presque drôle. Ce qui l’est moins, c’est que cette journée existe bel et bien et qu’elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.
Une journée alibi ?
La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.
Pour faire bonne mesure l’auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.
Un objectif fondamental de l’être humain
On aurait pu aussi parler de journée gadget… mais c’est loin d’être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite:
Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.
La journée mondiale du bonheur est bien dans l’air du temps et de la recherche d’un « mieux vivre ». Les économistes cherchent aujourd’hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.
On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays et qu’un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.
Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ? il ne vous reste plus qu’à créer la journée internationale du bonheur.
Présenté comme cela, c’est presque drôle. Ce qui l’est moins, c’est que cette journée existe bel et bien et qu’elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.
Une journée alibi ? La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.
Pour faire bonne mesure l’auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.
Un objectif fondamental de l’être humain On aurait pu aussi parler de journée gadget… mais c’est loin d’être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite:
Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.
La journée mondiale du bonheur est bien dans l’air du temps et de la recherche d’un « mieux vivre ». Les économistes cherchent aujourd’hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.
On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays et qu’un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.
Cette publication avait été rédigée avant ce que l’on nomme maintenant ‘la pandémie’… les illustrations ci-contre seraient plus appropriées à la situation présente…
Des salutations, il y en a de toutes sortes – elles varient selon les gens, les pays, les cultures. Les messages qu’elles nous donnent ont une importance particulière. Izabele de Oliveira nous en parle.
En 2004, la Journée mondiale de la santé mentale mettait l’accent sur les liens entre santé mentale et santé physique. Les données dont on dispose aujourd’hui indiquent que les personnes atteintes de maladies mentales, et en particulier celles qui sont placées en établissement, présentent des taux de mortalité par cancer et par cardiopathie plus élevés que la population générale.
Il existe des interventions qui permettent de réduire la détresse physique et mentale des individus et les pertes qu’elle cause à la société. Pourtant, on constate qu’il subsiste une proportion importante de personnes atteintes de troubles mentaux qui ne bénéficient pas du traitement dont elles auraient besoin. Dans la Région européenne de l’OMS, on estime que 50% des personnes dépressives et 20% de celles atteintes de schizophrénie ne reçoivent pas de traitement médical.
« Sans santé mentale et sans bien-être, il n’y a pas de vraie santé«
C’est en réponse aux préoccupations suscitées dans tous les pays par le lourd tribut prélevé par les troubles mentaux et à l’urgence d’améliorer les politiques de prévention et de traitement qu’est organisée la Conférence ministérielle européenne de l’OMS sur la santé mentale.
Cette conférence témoigne de la volonté des pays de s’inspirer des nombreux exemples existants de bonnes pratiques. Ceux-ci prouvent qu’il est possible de promouvoir la santé mentale et de prévenir ou de traiter efficacement la morbidité mentale.
Relever les défis, trouver des solutions
Mettre en place des systèmes de soins complets et efficaces, promouvoir la santé mentale de la population, faire en sorte que le personnel ait les capacités requises, et donner aux utilisateurs de services de santé mentale et à leur famille les moyens de se prendre en charge. Les états devraient adopter un plan d’action, qui soulignerait l’importance fondamentale de la santé mentale pour la qualité de vie.
Un site à visiter : www.santenpdc.org Source : Texte (abrégé) : Journée mondiale
La Journée mondiale de la santé mentale du 10 octobre encourage le soutien psychologique
Le lundi 10 octobre 2016, la Section d’Ottawa de l’ACSM se joint à des organismes de santé mentale internationaux pour souligner la Journée mondiale de la santé mentale.
Dirigée par la Fédération mondiale pour la santé mentale, la Journée mondiale de la santé mentale est appuyée par l’Organisation mondiale de la Santé à titre de journée importante pour accroître la sensibilisation et préconiser de meilleurs soins pour les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale à l’échelle mondiale.
Tout le monde peut être aux prises avec une détresse psychologique et des troubles émotionnels — à la maison, à l’école, dans le milieu de travail ou dans les endroits publics.
Cet évènement a été célébré pour la première fois le 22 avril 1970. le Jour de la Terre est aujourd’hui reconnu comme l’événement environnemental populaire le plus important au monde.
Le fondateur de cet événement est le sénateur américain Gaylord Nelson. Il encouragea les étudiants à mettre sur pied des projets de sensibilisation à l’environnement dans leurs communautés. Aujourd’hui, le Jour de la Terre est célébré, à travers le monde, par plus de 500 millions de personnes dans 184 pays.
Notre planète en danger Le 30 mars 2005, l’Unesco publiait la première évaluation des écosystèmes pour le millénaire, un rapport accablant sur l’impact de l’homme sur la planète. Au cours des dernières années, les activités humaines ont modifié les écosystèmes pour satisfaire une demande croissante de nourriture, d’eau douce, de bois, de fibre et d’énergie…
Une dégradation irréversible aux conséquences désastreuses puisque le bien-être de l’homme est menacé d’ici à quarante ans.
Un site à visiter : www.earthday.net Source : Texte : Journée Mondiale Image : fotolia
Journée de la Terre : les chiffres hors norme des déchets plastiques
– Le cachalot retrouvé mort en Espagne en février dernier sur une plage de Cabo de Palos, avait avalé 29 kg de plastique, selon les autorités de la région de Murcia le 4 avril. « Les experts estiment que ces matériaux ont pu provoquer la mort de l’animal, par péritonite ou par compactage de l’estomac ».–
– Il faut 1 seconde pour fabriquer un sac plastique, qui mettra ensuite jusqu’à 400 ans pour se désagréger.
– Plus de 150 millions de tonnes de déchets plastiques flottent désormais sur les océans, alerte la fondation Ellen MacArthur.
– Dans l’Océan Pacifique s’étend une mer de déchets plastiques grande comme trois fois la France, selon une étude américaine publiée en mars 2018 dans la revue scientifique Scientific Reports
– Depuis 1950, l’homme a produit 8,3 milliards de tonnes de plastiques, selon une étude publiée en 2017 dans la revue Science Advances suite au travail de scientifiques américains. Ce qui fait désormais du plastique le 3e matériau le plus fabriqué par l’homme après le ciment et l’acier.
Pour vous faire une identité de la quantité, 8,3 milliards de tonnes, c’est l’équivalent de 822 000 tours Eiffel ou 80 millions de baleines, dixit Le Monde…