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Journée mondiale des villes – 31 octobre 2023

Cette journée a été décrétée par les Nations Unies et la date retenue, à la toute fin du mois d’octobre, correspond à la fin de la campagne annuelle « Octobre urbain » (qui existe depuis 2014). Elle est organisée chaque année dans une ville différente et avec un thème différent.
ONU-Habitat s’emploie à faire progresser la localisation des Objectifs de Développement Durable (les ODD) en fournissant une expertise technique, en dirigeant le développement de la recherche de pointe, en habilitant les gouvernements locaux et régionaux sur la localisation des ODD et en renforçant la voix des communautés locales.

Source: Texte: Journée mondiale

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Le thème de la Journée mondiale des villes 2023 sera lié au financement d’un avenir urbain durable pour tous.

« En cette Journée mondiale des villes, engageons-nous à œuvrer pour des zones urbaines qui soient non seulement des moteurs de croissance, mais également des modèles de durabilité, de résilience et de prospérité pour toutes et pour tous. » Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres
Un site à visiter : www.un.org        Source: Image: The United Nations

Le Carême, un temps pour inventorier… bien des choses

Le Carême est peut-être un temps particulier pour faire… un inventaire – l’inventaire de tant de choses que l’on ne considère peut-être pas souvent…

Le quotidien cache parfois des souvenirs et des expériences qui ont beaucoup à nous apprendre et qui peuvent faciliter notre croissance comme personne, comme chrétien/ne.

Dans la vidéo qui suit, Teresa Peñafiel fait son propre inventaire qu’elle partage avec nous…

 

Journée internationale du bonheur – 20 mars

Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ? il ne vous reste plus qu’à créer la journée internationale du bonheur.

Présenté comme cela, c’est presque drôle. Ce qui l’est moins, c’est que cette journée existe bel et bien et qu’elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.

Une journée alibi ?

La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.

Pour faire bonne mesure l’auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.

Un objectif fondamental de l’être humain

On aurait pu aussi parler de journée gadget… mais c’est loin d’être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite: 

Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.

La journée mondiale du bonheur est bien dans l’air du temps et de la recherche d’un « mieux vivre ». Les économistes cherchent aujourd’hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.

Se lever de bonheur…

On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays et qu’un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.

Un site à visiter : www.un.org      Source: Texte: Journée Mondiale   Images: abenchaalors.fr   thepressfree.fr

Journée internationale du bonheur – 20 mars 2020

Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ? il ne vous reste plus qu’à créer la journée internationale du bonheur.

Présenté comme cela, c’est presque drôle. Ce qui l’est moins, c’est que cette journée existe bel et bien et qu’elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.

Une journée alibi ?
La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.

Pour faire bonne mesure l’auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.

Un objectif fondamental de l’être humain
On aurait pu aussi parler de journée gadget… mais c’est loin d’être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite:

Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.

La journée mondiale du bonheur est bien dans l’air du temps et de la recherche d’un « mieux vivre ». Les économistes cherchent aujourd’hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.

On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays et qu’un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.

Un site à visiter : www.un.org  Source: Texte: Journée Mondiale Image: © robdigphot – fotolia.com

Note de l’éditrice:

Cette publication avait été rédigée avant ce que l’on nomme maintenant ‘la pandémie’… les illustrations ci-contre seraient plus appropriées à la situation présente…

Source: Images: Unsplash

Journée internationale des migrants – 18 décembre 2018

 

« Les migrations favorisent la croissance économique, le dynamisme des sociétés et la tolérance. Elles offrent une chance à des millions de personnes en quête d’une vie meilleure, et profitent aussi bien aux communautés d’origine et qu’à celles de destination. » — António Guterres, Secrétaire général de l’ONU

La Journée internationale des migrants est l’occasion de dissiper les préjugés et de sensibiliser l’opinion à leurs contributions dans les domaines économique, culturel et social, au profit tant de leur pays d’origine que de leur pays de destination.

Les migrations sont une réalité incontournable. De nombreuses raisons amènent les gens à se déplacer – que ce soit pour étudier à l’étranger, rejoindre des membres de la famille, chercher un emploi ou des moyens de subsistance, ou assurer un meilleur avenir à leurs enfants. D’autres quittent leur pays pour fuir la criminalité, la violence, les conflits, la persécution, l’insécurité, la discrimination, les catastrophes naturelles et la dégradation de l’environnement, ou encore la pauvreté.

Les migrations volontaires comme les déplacements forcés ont toujours été le lot commun de l’humanité. La plupart des gens comptent probablement parmi leurs ancêtres des personnes ayant migré.

En ces temps de mondialisation et d’interdépendance, la migration internationale pourrait bien devenir un phénomène encore plus répandu. L’intégration croissante des marchés du travail, la baisse du prix des transports et l’existence de réseaux d’information et de communication et de réseaux sociaux bien établis sont autant de facteurs qui favorisent la mobilité.

Si la plupart des migrations internationales sont motivées par des raisons économiques, les conflits, les violences, les persécutions, la répression politique et les autres violations graves des droits de l’homme figurent parmi les principales causes des mouvements de réfugiés et de déplacés.

Le 19 septembre 2016, à l’occasion d’un Sommet de haut niveau qui a eu lieu au Siège de l’ONU, l’Assemblée générale a adopté des engagements essentiels visant à renforcer la protection de millions de personnes déplacées de force et qui se déplacent pour d’autres motifs dans le monde entier. Par ce texte, appelé la Déclaration de New York, les États Membres se sont engagés à :

  • Protéger les droits des réfugiés et des migrants;
  • Sauver des vies;
  • Partager la responsabilité du soutien et de l’accueil de ces réfugiés et migrants;
  • Entamer des négociations menant à une conférence internationale; et
  • Adopter en 2018 un pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière.

Thème 2018 : Migration avec dignité

En 2018, près de 3400 migrants et réfugiés ont perdu la vie.Traiter chaque migrant avec dignité est l’une des exigences fondamentales qui doit guider chacune de nos actions. La migration est le grand enjeu de notre époque mais elle représente également un moteur pour la dignité, car elle permet aux individus de choisir de participer plutôt que de s’isoler.

Nous devons honorer ces choix en les respectant, et nous les respectons en traitant ceux qui font de tels choix avec dignité. À l’occasion de cette Journée internationale, notre appel est que les migrations soient sûres, régulières et dignes pour tous.

Source: Texte (résumé) & Image: www.un.org

 

 

32è dimanche de l’année, C

« Il était une fois… » Des histoires, des contes, des récits de choses merveilleuses, d’aventures captivantes, de personnages étranges ou héroïques – notre enfance en était enchantée. Plus tard, les récits ont continué de faire partie de notre imaginaire et ont joué une autre fonction.

bible-pictures-sadducees-pharisees-1138177-wallpaperLa 1ère lecture de ce dimanche (32è, année C: 2 Maccabées 7:1-2,9-14) nous offre un récit édifiant de la tradition juive alors que l’évangile nous propose une histoire inventée de toutes pièces qui doit servir… de piège, ni plus ni moins. Des Sadducéens, dont il est précisé qu’ils « soutiennent qu’il n’y a pas de résurrection » (Lc.20:27-38) veulent éprouver la connaissance théologique de Jésus et lui présente leur récit un peu fantastique qui se termine avec une question qui se veut astucieuse. La veuve de sept maris sera l’épouse duquel d’entre eux après la mort?

Jésus répond d’une manière… pour le moins désarmante! En langage courant on dirait : « Vous êtes tout à fait en dehors du sujet! » Ou, pire encore : « Vous êtes carrément à côté de la réalité. » Et lui, Jésus, affirme cette réalité plus merveilleuse que le plus merveilleux des contes : « Les morts ressuscitent… car Dieu est le Dieu des vivants. »

 VIVRE! Vivre d’une vie pleine, intense, exaltante, riche de possibilités, débordante de joie! Et surtout, oui surtout, que cela ne finisse jamais. N’est-ce pas ce que nous désirons tous et toutes? C’est justement cette vie qui nous est promise, ou peut-être devrais-je dire… offerte. Oui, c’est cela la ‘résurrection’, mais il faut faire ce geste libre, vraiment responsable, pleinement humain, de l’accepter.

Les derniers mots de l’évangile sont les paroles de Jésus qui dit : « Tous en effet vivent pour lui. » Est-ce vrai? Vraiment vrai? Pour moi, dans ma vie d’aujourd’hui?

On parle beaucoup, souvent, et de bien des manières de ‘la vie après la mort’. Mais qu’en est-il de ‘la vie avant la mort?’ Est-ce qu’elle est déjà pour moi une… résurrection à petits pas?! Au jour le jour, plus riche de croissance – croissance dans la joie, dans la foi, dans la vision de ce qui m’attend, non, de ce qui grandit en moi : l’oeuvre de ce « Dieu des vivants. »

Source: Image: The church of Jesus Christ of Latter-day Saints