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Journée Mondiale des Zones Humides – 2 février

Chaque année le 2 février, nous célébrons la Journée mondiale des zones humides pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, au bord de la mer Caspienne.

Chaque année depuis 1997, des organismes gouvernementaux, des organisations non gouvernementales et des groupes de citoyens à tous les niveaux de la société profitent de l’occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public aux valeurs et aux avantages des zones humides en général, et de la Convention de Ramsar en particulier. Ce traité intergouvernemental sert de cadre à l’action nationale et à la coopération internationale pour la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources.

Disparition de 50% des zones humides en 50 ans

Définies comme des étendues de marais, de fagnes, de tourbières ou d’eaux naturelles ou artificielles, permanentes ou temporaires […], les zones humides couvrent dans le monde entre 748 et 778 millions d’hectares. Au cours des cinquante dernières années, le drainage, la pollution, l’irrigation, les guerres et le changement climatique ont entraîné la disparition de 50% de ces zones humides.

Chaque année, le secrétariat de la convention de Ramsar, propose un thème fédérateur en lien avec l’actualité internationale. 2013 est l’année internationale de la coopération dans le domaine de l’eau : une occasion idéale d’examiner le lien entre l’eau et les zones humides. Le slogan choisi « les zones humides protègent notre eau » reflète l’interdépendance entre l’eau et les zones humides et le rôle crucial que jouent celles-ci.

La diversité culturelle et biologique des zones humides constitue une richesse naturelle dont dépend notre bien-être physique et psychologique. Le patrimoine culturel de nos zones humides est le résultat d’une symbiose qui remonte à la nuit des temps entre les populations et les zones humides, une association qui a enrichi les générations passées et qui, avec votre aide, en fera autant pour les générations futures. Cette association s’est développée en raison de l’utilité des zones humides – en bref, la diversité de la vie végétale et animale des zones humides a assuré la subsistance des populations et leur a procuré de nombreux autres avantages.

Un site à visiter : www.mediaterre.org     Source: Texte: Journée Mondiale   Image: iStock

Journée mondiale de sensibilisation aux tsunamis – 5 novembre

Le 26 décembre 2004, un tremblement de terre de magnitude 9,3 se produit au large de l’Indonésie, déclenchant un tsunami dévastateur qui fait plus de 220 000 morts.

Dimanche 26 décembre 2004 – 7h58 heure locale…

La puissance du séisme (le plus important dans le monde depuis 1960) est telle que la terre se soulève, faisant surgir une vague qui dévaste, trente minutes plus tard, la province indonésienne d’Aceh, dans le nord de l’île de Sumatra. Ce sera la région la plus touchée, car, à proximité immédiate de l’épicentre : des dizaines de villages sont rayés de la carte, la puissance de la secousse allant même jusqu’à déplacer des îles. Rien que sur la côte ouest de Sumatra, 131 000 personnes périssent.

La vague déferle ensuite sur l’ensemble du littoral du golfe du Bengale, frappant successivement les côtes de la Thaïlande, de la Birmanie, du Sri Lanka, de l’Inde (notamment les archipels d’Andaman et Nicobar). Environ six heures après le début de la catastrophe, les côtes de l’Afrique de l’Est (Somalie, Tanzanie, Kenya) sont atteintes par le tsunami.

Prévenir les tsunamis

Bien que rares, les tsunamis comptent parmi les catastrophes naturelles les plus dévastatrices qui soient. Ils ne connaissent pas les frontières. Les communautés côtières – souvent concentrées dans des zones de faible altitude et très peuplées – sont les plus vulnérables. La coopération internationale est la clé d’une meilleure organisation des protections contre le phénomène du tsunami et ce sont les systèmes d’alertes installés à des endroits stratégiques du globe qui permettent, seuls, de donner l’alerte à temps.

Une journée pour sensibiliser

En décembre 2015, l’Assemblée générale des Nations Unies a désigné le 5 novembre comme Journée mondiale de sensibilisation aux tsunamis.

Un site à visiter : fr.unesco.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale du souvenir en hommage aux victimes du terrorisme – 21 août

Journée Internationale du souvenir en hommage aux victimes du terrorisme

« Lorsque nous respectons les droits fondamentaux des victimes et que nous leur apportons appui et information, nous réduisons le dommage durable causé par les terroristes aux individus, aux communautés et aux sociétés. »
António Guterres, Secrétaire général de l’ONU

Cette journée internationale a été promulguée par l’assemblée générale de l’ONU le 19 décembre 2017, sur recommandation du Conseil des droits de l’homme (résolution 72/165). Cette journée vise à honorer et soutenir les victimes et les survivants du terrorisme et à promouvoir et protéger le plein exercice de leurs libertés et de leurs droits fondamentaux.

Soutien aux victimes
Trop souvent, les victimes du terrorisme doivent encore lutter pour faire entendre leur voix, l’atrocité des faits subis ne suffisant  apparamment pas à leur permettre d’obtenir automatiquement une assistance et faire respecter leurs droits.

Coopération internationale
À travers cette résolution, l’Assemblée générale des Nations Unies affirme également sa volonté de renforcer la coopération internationale pour prévenir et combattre le terrorisme sous toutes ses formes.

Elle rappele également que tous les actes de terrorisme sans exception sont criminels et injustifiables, quels qu’en soient les motivations, le lieu, l’époque ou les auteurs.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale    2è image: www.atvicannews.va (Lieu de l’explosion, quartier de Cristo del Consuelo à Guayaquil, le 15 août 2022)

Journée Mondiale des enfants disparus – 25 mai

Créée pour renforcer la lutte contre la pédophilie et les réseaux pédo-criminels, cette journée mondiale est soutenue par différentes instances, notamment européennes. En France, environ 40.000 enfants disparaissent chaque année mais fort heureusement, la très grande majorité est retrouvée dans les huit jours. Cependant, certains de ces enfants sont exploités dans des réseaux pédophiles, et ne sont parfois jamais retrouvés.

Pour cette raison, la commission européenne insiste sur la nécessité d’une coopération internationale pour éradiquer les crimes sur internet, la pédo-pornographie et l’exploitation des enfants.

Les ministres de la Justice et de l’Intérieur du G8 ont aussi indiqué vouloir intensifier la lutte contre la pédo-pornographie sur internet: « Nous dénonçons catégoriquement ceux qui exploitent sexuellement les enfants en produisant des images de leurs crimes sexuels et en distribuant ou en collectionnant de telles images ».

Des discussions sont également en cours pour impliquer les fournisseurs d’accès internet dans cette lutte. Soutenue par la commission européenne, une association internationale rassemble depuis 1996 des informations sur les enfants disparus… Child Focus est d’ailleurs en train de mettre en place un numéro de téléphone d’appel international, le 116000.

Un site à visiter : www.childfocus.be        Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée Internationale des Populations autochtones – 9 août

En 1994, l’Assemblée générale des Nations Unies a décidé de faire du 9 août la Journée internationale des populations autochtones (résolution 49/214), chaque année pendant la Décennie internationale des populations autochtones. Cette date marque le jour de la première réunion du Groupe de travail sur les populations autochtones de la Sous-Commission de la promotion et de la protection des droits de l’homme en 1982.

Le but de cette Décennie est de renforcer la coopération internationale pour résoudre les problèmes rencontrés par les populations autochtones dans des domaines tels que les droits de l’homme, l’environnement, le développement, l’éducation et la santé. Le coordonnateur de la Décennie est le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme.

En avril 2000, la Commission des droits de l’homme a adopté une résolution sur l’établissement de l’Instance permanente sur les questions autochtones qui a été approuvée par le Conseil économique et social le 28 juillet 2000. (E/RES/2000/22). L’Instance permanente devra fournir des conseils sur les questions touchant au développement social et économique, aux droits de l’homme, à l’éducation, à la santé et à l’environnement.

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

Journée Mondiale des enfants disparus – 25 mai

Créée pour renforcer la lutte contre la pédophilie et les réseaux pédo-criminels, cette journée mondiale est soutenue par différentes instances, notamment européennes.

En France, environ 40.000 enfants disparaissent chaque année mais fort heureusement, la très grande majorité est retrouvée dans les huit jours. Cependant, certains de ces enfants sont exploités dans des réseaux pédophiles, et ne sont parfois jamais retrouvés.

Pour cette raison, la commission européenne insiste sur la nécessité d’une coopération internationale pour éradiquer les crimes sur internet, la pédo-pornographie et l’exploitation des enfants. Les ministres de la Justice et de l’Intérieur du G8 ont aussi indiqué vouloir intensifier la lutte contre la pédo-pornographie sur internet: « Nous dénonçons catégoriquement ceux qui exploitent sexuellement les enfants en produisant des images de leurs crimes sexuels et en distribuant ou en collectionnant de telles images ».

Des discussions sont également en cours pour impliquer les fournisseurs d’accès internet dans cette lutte. Soutenue par la commission européenne, une association internationale rassemble depuis 1996 des informations sur les enfants disparus… Child Focus est d’ailleurs en train de mettre en place un numéro de téléphone d’appel international, le 116000.

Un site à visiter : www.childfocus.be       Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

Journée mondiale de la radio – 13 février

En 2012, afin de mettre en relief la puissance de la radio comme plate-forme pour l’éducation et la liberté d’expression ainsi que son rôle vital dans la réponse aux crises et aux catastrophes, l’UNESCO a appelé à célébrer le 13 février de chaque année, une Journée Mondiale de la radio.

Toutes les radios sont invitées à s’associer à cet événement a déclaré le porte parole de l’UNESCO dans son communiqué de presse.

Média peu coûteux, nécessitant la mise en oeuvre d’une technologie relativement simple, la radio atteint des auditeurs éloignés sur tous les points du territoire et des groupes nomades. Selon l’union internationale des télécommunications, plus de 75% des foyers des pays en développement possèdent au moins un récepteur radio.

Afin d’encourager les diffuseurs publics, privés et communautaires à célébrer la Journée, l’UNESCO a créé un site web avec des messages audio en plusieurs langues ou des manuels à l’usage des radios communautaires.

Un vecteur de liberté
Nous ne saurions terminer sans faire une rapide évocation de la radio comme vecteur de liberté en en citant quelques unes de celles qui sont restées dans l’histoire : Radio Londres qui transmettait les messages à la résistance française aux plus sombres heures de l’occupation, Radio Free Europe qui permet aux populations situées derrière le rideau de fer de recevoir une information différente de celle transmise par les autorités, Radio Caroline qui émettait depuis un bateau ou encore l’épopée des radios libres de 1981 et la fin du monopole d’état en France.

Source: Texte: Journée Mondiale; Image: CSW61

La Journée mondiale de la radio 2017 célébrée sous le thème « La radio c’est vous! »

Le 13 février est la Journée mondiale de la radio — une date pour célébrer la radio en tant que médium ; développer la coopération internationale entre radiodiffuseurs ; encourager les principaux réseaux ainsi que les radios communautaires à promouvoir l’accès à l’information, la liberté d’expression et l’égalité des genres sur les ondes. La radio demeure le médium capable d’atteindre le plus grand nombre de personne dans le monde et cela, le plus rapidement possible.

Source: Texte: UNESCO