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Les Psaumes… toujours actuels, toujours ponctuels – 9è épisode

Détresse, découragement, désespoir – les méfaits de la pandémie
pour plusieurs qui en ont été la proie.
Quand on est seul, on se sent souvent impuissant
et ce fut l’expérience de bien des gens.
Certains diront: « Pourquoi Dieu ne fait-il rien? »
Se pourrait-il qu’il fasse quelque chose…
quelque chose qui nous échappe?

Journée Mondiale de la santé mentale – 10 octobre

En 2004, la Journée mondiale de la santé mentale mettait l’accent sur les liens entre santé mentale et santé physique. Les données dont on dispose aujourd’hui indiquent que les personnes atteintes de maladies mentales, et en particulier celles qui sont placées en établissement, présentent des taux de mortalité par cancer et par cardiopathie plus élevés que la population générale.

Il existe des interventions qui permettent de réduire la détresse physique et mentale des individus et les pertes qu’elle cause à la société. Pourtant, on constate qu’il subsiste une proportion importante de personnes atteintes de troubles mentaux qui ne bénéficient pas du traitement dont elles auraient besoin. Dans la Région européenne de l’OMS, on estime que 50% des personnes dépressives et 20% de celles atteintes de schizophrénie ne reçoivent pas de traitement médical.

« Sans santé mentale et sans bien-être, il n’y a pas de vraie santé« 

C’est en réponse aux préoccupations suscitées dans tous les pays par le lourd tribut prélevé par les troubles mentaux et à l’urgence d’améliorer les politiques de prévention et de traitement qu’est organisée la Conférence ministérielle européenne de l’OMS sur la santé mentale.

Cette conférence témoigne de la volonté des pays de s’inspirer des nombreux exemples existants de bonnes pratiques. Ceux-ci prouvent qu’il est possible de promouvoir la santé mentale et de prévenir ou de traiter efficacement la morbidité mentale.

Relever les défis, trouver des solutions

Mettre en place des systèmes de soins complets et efficaces, promouvoir la santé mentale de la population, faire en sorte que le personnel ait les capacités requises, et donner aux utilisateurs de services de santé mentale et à leur famille les moyens de se prendre en charge. Les états devraient adopter un plan d’action, qui soulignerait l’importance fondamentale de la santé mentale pour la qualité de vie.

Un site à visiter : www.santenpdc.org   Source : Texte (abrégé) : Journée mondiale

La Journée mondiale de la santé mentale du 10 octobre encourage le soutien psychologique

Le lundi 10 octobre 2016, la Section d’Ottawa de l’ACSM se joint à des organismes de santé mentale internationaux pour souligner la Journée mondiale de la santé mentale.

Dirigée par la Fédération mondiale pour la santé mentale, la Journée mondiale de la santé mentale est appuyée par l’Organisation mondiale de la Santé à titre de journée importante pour accroître la sensibilisation et préconiser de meilleurs soins pour les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale à l’échelle mondiale. 

Tout le monde peut être aux prises avec une détresse psychologique et des troubles émotionnels — à la maison, à l’école, dans le milieu de travail ou dans les endroits publics.

Source : Texte : https://ottawa.cmha.ca.fr Image : kisspng (logo-symbole de la santé mentale)

 

Ps.91: Ça m’dit quelque chose

Les semaines passent,
les mercredis se succèdent,
et Teresa Penafiel est toujours là
pour nous aider à découvrir des richesses:
ces richesses bien précieuses des Psaumes.

Le Psaume de cette semaine est spécial –
vraiment unique parmi les 150 que nous offre la Bible!

Journée mondiale des soins palliatifs – 14 octobre

Qu’est-ce que la journée mondiale des soins palliatifs ?
La journée mondiale des soins palliatifs est une journée unitaire d’action qui promeut et soutient les soins palliatifs dans le monde entier.

Pourquoi une journée mondiale des soins palliatifs ?
Tous les ans, des millions de malades en phase terminale éprouvent des douleurs et une détresse inutiles, parce qu’ils ne connaissent pas les soins dont ils ont besoin ou bien ne peuvent pas y accéder. Des soins palliatifs de grande qualité ont pour objectif de prendre en charge les besoins de la personne dans leur globalité : ils peuvent apporter une réponse à la souffrance des personnes malades ou en fin de vie ainsi qu’à leur entourage.

Parce que la question de la fin de la vie nous concerne tous, parce que nous voudrions tous pour nous-même, et pour ceux que nous aimons une fin de vie paisible et confortable, la journée mondiale des soins palliatifs chercher à mobiliser chacun et chacune, sur les cinq continents, pour :

Affirmer notre volonté de rendre les soins palliatifs plus accessibles partout dans le monde, en expliquant les problèmes qui empêchent cet accès aujourd’hui. Nous voulons influencer ceux qui font l’opinion publique et ceux qui définissent les programmes de santé et ceux qui les financent.

Augmenter la prise de conscience et la compréhension des besoins — médicaux, sociaux, pratiques, spirituels — des personnes qui vivent avec une maladie terminale et celle de leurs familles. Expliquer comment les soins palliatifs peuvent transformer la vie des gens et montrer comment ils aident à répondre à ces besoins.

Lever des fonds pour le soutien et le développement des soins palliatifs à travers le monde.
Battre en brèche certaines idées reçues :
La journée mondiale des soins palliatifs est l’occasion de faire reculer les clichés qui circulent sans raisons.

Notre but n’est pas d’aider une personne à mourir, mais plutôt d’aider les malades à vivre de la manière la plus confortable possible avec leur maladie. Les malades sont des personnes vivantes à part entière et non pas des patients en sursis ou des mourants.

Les soins palliatifs ne se limitent pas simplement au soulagement de la douleur et des symptômes, bien que ce soit là une partie très importante des ce type de soins. La démarche palliative une approche holistique (globale) qui respecte les désirs des individus et qui les aide de façon la plus adaptée possible, au plan personnel mais aussi culturel.

Les soins palliatifs ne sont pas lourds à mettre en œuvre : ils sont flexibles et adaptables. Dans beaucoup de situations, les soins peuvent êtres pratiqués à la maison, par exemple grâce au soutien à domicile d’un professionnel spécialisé ou d’un bénévole formé.

Les soins palliatifs ne sont pas nécessairement coûteux. Il y a des médicaments bon marché, des traitements et des manières de procurer du soutien qui peuvent transformer la qualité de vie d’une personne. Mais ces connaissances doivent être partagées, et la mise en place et le fonctionnement de tels programmes doivent être financés.

Source: Texte: sfap.org  Image: Journée Mondiale

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Journée Mondiale des orphelins du SIDA – 7 mai

La journée mondiale des orphelins du sida a été créé en 2002 , dans le but d’attirer l’attention sur la détresse des millions d’enfants affectés par la pandémie. C’est une journée de solidarité et de sensibilisation. C’est une situation pathétique pour ces enfants qui ont été contaminés à la naissance, ou sont tout simplement restés orphelins après le décès de leurs parents. Certains d’entre eux sont abandonnés, sans aucun soutien, déscolarisés, ils errent à longueur de journée, et sont à la merci de tous les vices.

Pour bon nombres d’associations et bien d’autres observateurs, 10 pour-cent des fonds alloués dans la lutte contre le VIH sida devraient être consacrés au soutien des orphelins et des enfants rendus vulnérables à cause du virus.
Malgré les efforts effectués dans la prévention du sida, le traitement et la prise en charge des enfants, il est important de mettre un accent sur toute la famille. Car en cas de décès , les enfants se meurent à petits feux. Traumatisés non seulement par la disparition de leurs parents, mais aussi par le choc de la maladie. Parfois la pilule est si dure à avaler qu’ils dépriment.

Il est vrai qu’avec l’avancée des recherches en matière de transmission mère-enfant, il est désormais possible qu’une femme séropositive, mette au monde un enfant sain, si le traitement est bien suivi. Il y’a plusieurs années en arrière, ce n’était pas le cas. D’où ce chiffre alarmant des enfants orphelins et contaminés. Aujourd’hui encore, dans des villages et autre zones reculées, les femmes accouchent sans faire un réel suivi.

Ces jeunes sont l’avenir de demain, c’est la raison pour laquelle, un suivi rigoureux, une prise en charge globale et familiale, et un réel encadrement sont nécessaires, afin qu’ils ne se sentent pas condamnés.

 Source: Texte & Image: Laotravoz.info