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21st Sunday of Year C – 2022

Pretexts and excuses – we must admit that such claims are often used in many situations nowadays !
It would seem that our 21st century is quite similar to the 1st century where we meet Jesus and the people surrounding him.

The gospel text of this Sunday (Luke 13:22-30) shows us people trying to make themselves acceptable.
They justify themselves in what appears to be convincing words:

“We once ate and drank in your company;
you taught in our streets.”

In the eyes of God (represented by the master of the house) this is not sufficient.
Such justification is not a valid representation of a true relationship.
This is what God expects of us: a life lived in a genuine relationship with him.

External conformity to traditions, faithfulness to rituals, observance of certain religious prescriptions –
these may have some merit, but they are not the essential.
They may obtain the response:

 

I do not know where you come from…”

The essential, for God, lies deeper, much deeper.
It is found in a personal relationship with God our Father, our Brother, our Counsellor.
A relationship lived from day to day, walking in the steps of Christ, under the guidance of his Spirit.

From day to day, step by step…
until the day when we will, indeed, share in the feast he has prepared for us:

“the feast in the kingdom of God.”
 

 

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/21e-dimanche-de-lannee-c-2022/

 

Source: Images: SlidePlayer  Scripture Images

 

Journée internationale du bonheur – 20 mars 2020

Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ? il ne vous reste plus qu’à créer la journée internationale du bonheur.

Présenté comme cela, c’est presque drôle. Ce qui l’est moins, c’est que cette journée existe bel et bien et qu’elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.

Une journée alibi ?
La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.

Pour faire bonne mesure l’auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.

Un objectif fondamental de l’être humain
On aurait pu aussi parler de journée gadget… mais c’est loin d’être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite:

Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.

La journée mondiale du bonheur est bien dans l’air du temps et de la recherche d’un « mieux vivre ». Les économistes cherchent aujourd’hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.

On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays et qu’un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.

Un site à visiter : www.un.org  Source: Texte: Journée Mondiale Image: © robdigphot – fotolia.com

Note de l’éditrice:

Cette publication avait été rédigée avant ce que l’on nomme maintenant ‘la pandémie’… les illustrations ci-contre seraient plus appropriées à la situation présente…

Source: Images: Unsplash