young woman thinking d.man thinkingÀ bien y penser... Blogue

Sous cette rubrique, divers thèmes sont abordés. Ils se veulent à la fois intéressants, percutants et, oui, intéressants.

Les textes présentés ici seront un peu plus longs que ceux des autres sections.

Comme tous les autres, ils invitent à une réflexion personnelle et à un échange avec d'autres internautes.

 

Les cendres… et nous…

Les cendres … on les retrouve…

partout, ou à peu près!   

– Cendres du foyer…
– Cendres du feu de camp…
– Cendres des souvenirs qu’on a brûlés…   
– Cendres des arbres calcinés du feu de forêt…

Cendres aux multiples usages : engrais, contrôle des insectes en été, fonte accélérée de la neige en hiver.
Et, bien sûr, nos grands-mères les utilisaient pour la fabrication du savon!

Il y a aussi… il y aura… les cendres de… ce que nous avons été…
LES CENDRES… C’EST NOUS !

Alors que j’écris ces mots, mon esprit se rebelle.
Je m’arrête pour en prendre conscience et… tout mon être en nie la possibilité!

NON! On ne peut réduire en cendres une personnalité!
On ne peut détruire un être spirituel.

Les cendres ce n’est que l’écorce, la coquille, l’enveloppe – pas le moi profond,
l’identité de ce que je suis demeure à jamais indemne.

Nous ne sommes pas destiné/es au néant – nous sommes promis/es à l’immortalité!
L’ancienne légende pressentait cette réalité en présentant l’image du phoenix qui renaît de ses cendres.

Ce qui était un pressentiment confus, une croyance imprécise, sont devenus pour notre foi promesse de vie transformée,
oui, et débouchant sur… l’éternité!
Que vienne la Résurrection!

Source: Images: pexels.com (Sarah;  Vlad Bagacian; Oscar Sanchez)   www.keyword-suggestions.com

Journée internationale de sensibilisation aux cardiopathies congénitales – 14 février 2024

Coincidence intéressante: on célèbre à la fois aujourd’hui (14 février) la journée mondiale… du CŒUR et la SAINT-VALENTIN!

Le CŒUR – cet organe vital de notre anatomie.
Oui, et bien davantage!
On vous dira qu’il s’agit aussi du siège de nos émotions – évidemment!
Et quoi encore?

Ce petit mot de 5 lettres est présent dans notre langage sous de multiples formes
et il est intéressant de scruter le message que nous y découvrons.

Au cœur du monde’ de nombreuses situations nous interpellent.
 
Lors des situations joyeuses qu’offre la vie… on s’en donneà coeur-joie’.
De quelqu’un dont on admire l’énergie et le courage, on dit : il/elle a ‘du cœur au ventre’.
Souvent cette personne se jette dans une expérience ‘à cœur perdu’.
On suggère qu’il faut ‘prendre à cœurune tâche à accomplir.
Pour encourager quelqu’un à agir ainsi on conseille : ‘Mets-y tout ton cœur’.
Il se peut que la personne réponde : ‘J’n’ai pas l’coeur à ça…’
Évidemment, il faut parfois ‘faire contre mauvaise fortune bon cœur’.

D‘une situation touchante et émouvante, on admet que cela nous atteint ‘en plein cœur’.
D’un sujet difficile à comprendre pour quelqu’un d’autre on admettra : ‘C’est ‘une affaire de cœur’.
On identifiera la personne aimée entre toutes comme ‘l’élue de son cœur’ –
quelqu’un avec qui on partage ‘cœur à cœur’,
et on lui demande avec insistance : ‘Garde-ça dans ton cœur’.
Causer de la peine, de la douleur à cette personne c’est vraiment lui ‘briser le coeur…’
 
Quelqu’un qui ne se soucie pas de ce qui touche les autres, on l’accusera d’être ‘sans cœur’,
ou que cette personne a ‘un cœur de pierre’.
Au contraire, de ceux et celles qui sont généreux on affirmera qu’ils et elles ont ‘le cœur sur la main’.
Ces gens aident les autres à ‘reprendre cœur dans une situation éprouvante.

Mémoriser un texte signifie pour plusieurs l’apprendre par cœur.
 
D’une intervention chirurgicale précise, les gens parlent d’une ‘opération à cœur ouvert’.

Nous savons ce que Dieu attend de nous : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur… » (Mt.22:38)
Et… c’est ainsi que LUI nous aime !

C’est vraiment là… le coeur de notre existence et sa signification profonde!

Source: Images: pexels.com (Monstera Production)    Pngtree
 

L’alphabet du Carême – Introduction

               Le CARÊME – Introduction 

 

             C ’est une période privilégiée

             A yant pour but de nous aider à

             R evenir de tout cœur à Dieu

             E t lui permettre de nous rejoindre

             M ême au plus intime de notre être

             E t de nous guérir en profondeur . . .

 

Prenons le temps…

Laissons à Dieu le temps…

Émerveillons-nous de ce qui s’en suit!…

 

Durant cette période de Carême, une réflexion quotidienne apparaîtra du lundi au vendredi dans la série intitulée L’alphabet du Carême. Les textes seront centrés sur des thèmes tirés de l’évangile, chaque jour selon une lettre de l’alphabet.

Les textes seront publiés en français et en anglais sur le site www.image-i-nations.com dans les sections suivantes: À bien y penser (texte français) et Anglophones, anglophiles (texte anglais).

Les réflexions sur les lectures des célébrations du dimanche seront disponibles le samedi.

La page Facebook du site offrira aussi les présentations.

 

Note: La première réflexion paraîtra le 15 février.

 

Source: Images: pexels.com    (Djordge Petrovic,    Engin Akyurt)

Le Carnaval… et les masques pour ce festival!…

Tout est prêt! Le Carnaval est à nos portes – ou du moins aux portes de RIO !
C’est une célébration annuelle qu’il ne faut pas manquer car suivra de près… le Carême!
Perspective plus austère, monastique, diront certains.

Il y a un élément souvent associé au Carnaval, un élément intéressant, intriguant: ce sont les MASQUES.
À travers l’histoire, les masques sont présents – présents dans différents cultures.
Présents aussi dans l’art, particulièrement celui de la scène: théâtre, opéra.
D’âge en âge, le masque a été utilisé pour dissimuler un visage et en représenter un autre.
Il pouvait être un objet associé au divertissement ou à un rituel particulier.

Voilà que dernièrement, ma pensée sur ce sujet a été stimulée par un livre intitulé: Les masques de Dieu, (Olivier Le Gendre).

La lecture terminée, j’ai poursuivi ma réflexion…
Il n’est déjà pas facile de connaître Dieu, se pourrait-il que notre recherche pour découvrir sa présence soit rendue plus compliquée du fait qu’il se dissimule derrière un masque, des masques?!

Et si ce n’était pas lui qui se cachait mais nous qui lui prêtions des masques?
Et ceux-ci peuvent être d’une multiplicité effarante…

  • Le masque du Dieu lointain et indifférent à ce que nous vivons…
  • Le masque du Dieu qui épie nos moindres actes pour en relever les imperfections…
  • Le masque du Dieu exigeant et jamais satisfait de notre performance…
  • Le masque du Dieu facilement en colère à nos prétendus manques de respect…
  • Le masque du Dieu justicier d’une justice qui nous demeure impénétrable…
  • Le masque du Dieu bon grand-papa toujours prêt à satisfaire nos caprices…
  • Le masque du Dieu que l’on peut apaiser avec des rituels strictement fidèles aux prescriptions…
  • Le masque du Dieu qui est l’idole de notre imagination édifiée à la mesure de nos désirs…

Je vous laisse le loisir d’ajouter à cette liste, car il est toujours possible d’en créer de plus astucieux et aussi faux les uns que les autres!

Mais Dieu peut-il être aperçu sans être caché, pire encore défiguré par des masques?
Le visage de Dieu est-il visible quelque part sans masque?

Oui, cette image sans caricature et sans bavure nous est offerte, non, donnée, directement, précisément, éternellement.
Donnée par celui-là même qui en est l’effigie humaine incarnée (Col.1:15).

La peinture verbale, unique, que lui continue de nous donner est nulle autre que celle que l’on trouve dans le texte de l’évangile de Luc au chapitre 15, versets 11 à 32 –
tous les masques à jamais disparus, devenus sans signification, inutiles!

Source: Images: riocarnaval.org   mrpgvwrinkler.wordpress.com   theatrelitwiki.wikispaces.com

Je l’avoue… Je suis atteinte de…

D’ordinaire, quand une personne prononce ces paroles, elle baisse le ton, un ton de confidence.
Souvent son visage reflète une profonde tristesse et une inquiétude troublante…
« Je suis atteinte.. »
On pense immédiatement à une condition grave, à une affliction sérieuse…
L’avenir sans doute incertain pour celui, ou celle, qui parle ainsi.

Présentement, la porte d’entrée d’un Centre d’achats de mon quartier affiche un panneau visuel de grandeur moyenne qui montre une dame prononçant ces mots : « Je suis atteinte… »

Mais son visage ne manifeste aucun signe de regret ou de peine.
Il semblerait même qu’elle considère sa condition comme… enviable!

Et, elle l’est ! Car cette dame affirme « Je suis atteinte d’altruisme. »
Je me demande combien de gens visitant les magasins de ce Centre auront aperçu l’image ET le message…
Personnellement, il m’a fait réfléchir et… je me surprends à désirer contracter la même infection!

L’altruisme: on le définit comme « un sentiment désintéressé d’amour pour autrui » (Larousse).
Il est à l’opposé de l’égoïsme. On dit qu’il peut être instinctif, ou réfléchi, selon les personnes.
Le vocabulaire chrétien utilise le terme: ‘charité’, mais ce mot est employé pour tant de situations qu’il a parfois perdu son sens profond et dynamique.

Penser à l’autre…
Être touché par ce qui lui arrive, se sentir concerné par sa condition quelle qu’elle soit.
Partager sa joie, soulager sa peine, apprécier ses qualités.
Lui redonner courage et l’aider à retrouver l’espérance.
Minimiser ses erreurs, pardonner ses fautes, oublier ses négligences.
Faire valoir ses dons, stimuler ses efforts, récompenser ses succès.
Ne pas l’abandonner quand tous les autres le font.

L’altruisme: à la fois empathie, compassion, indulgence…
Un sérieux virus !

Source: Image: Dissolve

Comprendre… Com-prendre…

Des termes opposés qui disent… la même chose!
Impossible, direz-vous.
Vous serez tenté/es de penser que le texte qui suit est une blague.
Des expressions contraires ne peuvent pas exprimer une même réalité, vous en êtes convaincu/es.   

                                                                                          
Et pourtant ….
Écoutez ces deux ados qui se remémorent une expérience identique.
L’un dit avec une exubérance évidente: « C’est trop COOL! »
Et son compagnon tout aussi ‘enflammé’ s’écrie: « C’est HOT, trop HOT! »

Ils se souviennent avec un enthousiasme ‘débridé’ d’une aventure qui leur a donné plus qu’ils n’auraient pu imaginer!

Les superlatifs sont impuissants à décrire ce souvenir mais, pour eux, ‘trop COOL’ ou ‘trop HOT’… c’est la même chose = c’était tout simplement ‘extra- ordinaire’!
Leur explosion spontanée de plaisir m’a fait rire mais… elle m’a aussi fait réfléchir.

S’en est suivie une prise de conscience importante: pour comprendre quelqu’un il faut écouter au-delà des mots!
Les deux parties du mot ‘com-prendre’ veulent justement dire ‘prendre avec’.
Pour comprendre une personne, il faut prendre avec soi:

  • leur situation présente,
  • leurs antécédents personnels,
  • leur expérience aux multiples facettes
  • et aussi, bien sûr, les émotions qui les animent.

N’est-ce pas ainsi que VOUS aimez être compris/e?
Les temps changent, le vocabulaire aussi, mais…
le désir, le besoin, d’être compris/e demeurent identiques!

Et Dieu lui-même – j’ose le croire – désire aussi être compris!

COOL? HOT?… COM-PRENDRE!

 

Source : Images : unsplash.com     iLikeWallpaper

 

Les jours sombres de janvier…

Aimez-vous lire les annonces dans le métro? C’est une occupation intéressante et… révélatrice!
On annonce bien des choses et on nous en promet encore davantage!…

Dernièrement, à la sortie de l’une des stations, mon regard s’est arrêté alors qu’on projetait une annonce pour de la ‘Lumino-thérapie par les contes’. Impossible de lire toute la publicité avant qu’elle ne disparaisse pour céder sa place à une autre offre intéressante. Mais j’étais déjà captivée par la LUMINO-THÉRAPIE.

Nous sommes bientôt à la mi-janvier, les jours se succèdent souvent sombres et grisâtres. Il semble que l’astre solaire a disparu pour de bon favorisant désormais de lointaines destinations plus agréables que la nôtre. La luminosité est à la baisse et, souvent, notre courage et notre joie de vivre également. On nous affirme que les journées allongent, mais… il nous semble qu’elles le font… au compte-goutte, ajoutant quelques secondes quotidiennement – ça ne change pas grand-chose à nos paysages mornes et sans attrait.

On égrène les heures dans l’ombre comme on égrène les perles usées d’un vieux chapelet. Il nous manque… de la lumière! C’est la conclusion qui m’est apparue si… clairement (!) pendant le reste du trajet, en autobus cette fois.

Poursuivant ma réflexion, j’ai réalisé que j’avais à ma disposition une source de luminosité toujours disponible, une thérapie offerte gratuitement et en permanence! Les textes sont venus, spontanément, un à un, chacun apportant son éclairage particulier et offrant une vision tellement plus… oui, lumineuse, du quotidien!

Jésus a dit : « Moi, lumière, je suis venu dans le monde
pour que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres. » (Jn.12:46)

« Je suis la lumière du monde, qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres. »
« Celui qui marche dans les ténèbres ne sait pas où il va.
Tant que vous avez la lumière, croyez en la lumière,
afin de devenir des êtres de lumière. » (Jn.12:35-36)

« Une lampe sur mes pas, ta parole,
une lumière sur ma route. » (Ps.119:105)

« Le Seigneur est ma lumière et mon salut; de qui aurais-je crainte? » (Ps.27:1)

Il suffirait donc de m’exposer à la lumière,
de lui ouvrir mon être
et de la laisser pénétrer jusqu’au plus profond de moi-même
pour que devienne agissante cette thérapie bénéfique?!…

Source: Images: webmobilize.net;  Dan Rupple;  spuzio.libero.it

 

                                                                                                                           

L’étoile des Mages et… les vôtres!


LES ÉTOILES…

Il y en a de toutes les sortes –
Il y a, bien sûr, le firmament étoilé qui attire nos regards et nous fascine.

Il y a toutes ces étoiles suspendues à nos sapins de Noël qui enchantent les enfants.
L’étoile fixée avec grand soin au-dessus de la crèche pour montrer le chemin aux Rois Mages de plâtre ou de papier mâché.

Il y a aussi, comment les oublier? Ces étoiles du monde des sports et les vedettes de cinéma que l’on qualifie de ‘stars’!

Mais mon ciel quotidien me révèle d’autres ‘étoiles’…

  • Le sourire de l’enfant qui illumine ma journée.
  • Le service rendu par cette voisine qu’on ne dérange jamais.
  • L’accueil de la caissière qui me sert avec empressement.
  • Le travail assidu du concierge toujours prêt à aider.
  • La remarque positive de cette dame paraplégique qui ne se plaint jamais.
  • La conversation agréable avec une collègue de travail.
  • Le conseil judicieux du médecin, du comptable, de la préposée aux soins…

Des étoiles… parfois fugitives comme… une étoile filante!
Vite disparue, effacée de mon souvenir, et pourtant…
La lumière de ces ‘étoiles’ me rejoint par une journée de grisaille ou de déprime…

Et si, en cette nouvelle année qui s’amène, je devenais… une ‘étoile’ pour ceux et celles qui m’entourent…

Source: Images: cscgr.geekabit.co.za;  Freepik

Un cocktail de fin d’année… il en faut un!

Il ne reste que quelques heures à cette denière journée de l’année, oui, une nouvelle année se pointe déjà. Étonnant comment 365 jours peuvent s’envoler! 2024 est déjà à nos portes – nous l’anticipons avec grand espoir et nous saluons cette Nouvelle Année avec un cocktail assez spécial!

31 décembre La veille du Jour de l’An – il faut bien déguster… un cocktail ! En voici un… plutôt original – il vous faut goûter cet élixir.

Sa concoction exige deux ingrédients essentiels : Le 1er, une chanson de Jacques Brel et, le 2è, une vieille prière de Thomas More que le Pape François aime bien. Et voici…

 

À la bonne vôtre !

 

 

                     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Donne-moi une bonne digestion, Seigneur, et aussi quelque chose à digérer. Donne-moi la santé du corps, avec la bonne humeur pour la garder au mieux. Donne-moi une âme sainte, Seigneur, qui ait les yeux sur la beauté et la pureté, afin qu’elle ne s’épouvante pas en voyant le péché, mais qu’elle trouve dans Ta présence la voie pour redresser la situation. Donne-moi une âme qui ignore l’ennui, le gémissement et le soupir, et ne permets pas que je me fasse trop de souci pour cette chose encombrante que j’appelle « moi ». Seigneur, donne-moi l’humour, concède-moi la grâce de comprendre la plaisanterie, pour que je tire quelque bonheur de cette vie et que j’en fasse profiter les autres. Ainsi soit-il ».

 
Source: Images: The Chutney Life   la-croix.com   es.wikipedia.org

As-tu compté les étoiles?

Vous connaissez peut-être la chanson intitulée: « As-tu compté les étoiles? »
Les enfants la fredonnent parfois se rappelant l’avoir apprise lors d’une leçon d’éveil de la foi.

Cette question qui semblerait étonnante est celle-là même que Dieu a adressée à Abraham.
Nous la retrouvons dans la 1ère lecture de la célébration de la fête de la Sainte Famille.
Elle a inspirée le texte de réflexion qui suit…

As-tu compté les étoiles?
Un jésuite américain, Guy Consolmagno, est directeur de l’Observatoire du Vatican. Il fait partie de ce groupe de savants qui étudient les étoiles, les planètes et les ‘habitants’ de ‘l’au-delà’. Il est spécialiste en météorites. Les textes qu’il publie attirent toujours mon attention. Pourquoi? Parce que cet auteur sait faire de la théologie en… regardant les étoiles!

Son nom me vient à l’esprit aujourd’hui alors que je lis la 1ère lecture de ce cette célébration (Gn.15:1-6; 21:1-3). De toutes les invitations de Dieu dans la Bible – et il y en a plusieurs, il faut en convenir – celle mentionnée dans cette lecture est assez spéciale : Dieu invite Abraham à… compter les étoiles, rien de moins!

Des étoiles, nous nous en créons et de toutes sortes. Il y a les artistes qu’on a précisément surnommés les ‘pop stars’. Il y a es personnalités du monde des sports qui nous donnent d’assister justement au ‘Match des étoiles’! Et nous avons tous et toutes des héros et héroïnes qui remplissent ce rôle : ils/elles éveillent en nous admiration et inspiration.

Mais pourquoi Dieu demande-t-il à Abraham de compter les étoiles? Pour lui redonner… ESPOIR! Abraham avançait en âge et il n’avait pas d’enfant – une situation considérée chez les Juifs de ce temps comme une honte sinon une malédiction. Alors Dieu promet à Abraham que ses descendants seront aussi nombreux que les étoiles du ciel que le pauvre homme n’arrive évidemment pas à compter! Et choses absolument étonnante, Abraham y a cru à un tel point que Dieu s’est réjouit de sa foi – dans le langage biblique : « Dieu le lui compta comme justice » (v.6).

Alors quand je suis en manque… en manque d’espoir, je compte les étoiles – les étoiles des multiples interventions de Dieu dans ma vie – en ‘comptant’ aussi que ma foi, à son tour, réjouira Dieu!

Source: Image: absfreepic.com