image-i-nations trésor

Comprendre… Com-prendre…

Des termes opposés qui disent… la même chose!
Impossible, direz-vous.
Vous serez tenté/es de penser que le texte qui suit est une blague.
Des expressions contraires ne peuvent pas exprimer une même réalité, vous en êtes convaincu/es.   

                                                                                          
Et pourtant ….
Écoutez ces deux ados qui se remémorent une expérience identique.
L’un dit avec une exubérance évidente: « C’est trop COOL! »
Et son compagnon tout aussi ‘enflammé’ s’écrie: « C’est HOT, trop HOT! »

Ils se souviennent avec un enthousiasme ‘débridé’ d’une aventure qui leur a donné plus qu’ils n’auraient pu imaginer!

Les superlatifs sont impuissants à décrire ce souvenir mais, pour eux, ‘trop COOL’ ou ‘trop HOT’… c’est la même chose = c’était tout simplement ‘extra- ordinaire’!
Leur explosion spontanée de plaisir m’a fait rire mais… elle m’a aussi fait réfléchir.

S’en est suivie une prise de conscience importante: pour comprendre quelqu’un il faut écouter au-delà des mots!
Les deux parties du mot ‘com-prendre’ veulent justement dire ‘prendre avec’.
Pour comprendre une personne, il faut prendre avec soi:

  • leur situation présente,
  • leurs antécédents personnels,
  • leur expérience aux multiples facettes
  • et aussi, bien sûr, les émotions qui les animent.

N’est-ce pas ainsi que VOUS aimez être compris/e?
Les temps changent, le vocabulaire aussi, mais…
le désir, le besoin, d’être compris/e demeurent identiques!

Et Dieu lui-même – j’ose le croire – désire aussi être compris!

COOL? HOT?… COM-PRENDRE!

 

Source : Images : unsplash.com     iLikeWallpaper

 

27è dimanche de l’année B – 2021

La 1ère lecture de ce dimanche (Genèse 2:18-24) s’exprime dans le langage imagé des auteurs du premier livre de la Bible: la Genèse.
Elle nous décrit d’abord le « sommeil mystérieux » de l’homme qui n’a pas encore de compagne qui lui ressemble.

À ce « sommeil mystérieux » de l’homme s’ajoute le rêve de Dieu, un plan tout aussi mystérieux.
Et un Dieu… qui ne l’est pas moins.

Ce Dieu projette pour ses nouvelles créatures que, lui et elle, lui ressemblent : qu’ils reflètent son image.
Qu’en les voyant, lui et elle, on pense à celui qui leur a donné le souffle de vie.

Ce Dieu semble tout ignorer des mathématiques auxquelles nous nous fions, celles où: un et un font deux!
Ce qu’il désire, lui, c’est que… un et une fassent… UN – un couple uni à un point tel que:

« L’homme… sa femme… tous deux ne feront plus qu’un. » 

Le mois dernier, le Pape François visitait la Slovaquie. Aux jeunes venus le rencontrer à Kosice dans l’est de la Slovaquie, le 14 septembre, le Pape a dit:

« Mes amis, ne banalisons pas l’amour, car l’amour n’est pas seulement émotion et sentiment, cela, c’est plutôt le commencement. »
Il ajoutait qu’il faut « aimer pour toute la vie et de tout son être… L’amour est fidélité, don, responsabilité. »
 
Le sommeil de l’homme, le rêve de Dieu…
qu’en est-il de la réalité en ce temps qui est le nôtre?…

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/27th-sunday-of-year-b-2021/

 

Source: Images: The Stick Kit       

Les anonymes de l’évangile, 2è épisode

Espoir… Attente…
Une émotion puissante, parfois audacieuse.
Elle ose envisager le possible, peut-être même l’impensable.
Mais quand l’espoir ne se réalise pas,
quand l’attente n’apporte pas ce que l’on anticipait,
alors… la douleur est profonde, intense.
C’est l’expérience de cet ‘Anonyme de l’évangile’ –
ce père désespéré que nous présente Lise Massé.

 

De la nouveauté…

Ce lundi de la 4è semaine du Carême (Is.65:17-21) parle de choses nouvelles.
En général, les gens aiment la nouveauté.
Ce qui est nouveau, inédit, attire et peut même fasciner.
Mais il y a différentes sortes de nouveauté…
Il y a celle que nous inventons et… celle que Dieu crée!
Annie Couture en a fait l’expérience et nous en parle ouvertement.