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Journée mondiale des parents – 1er juin

C’est l’ONU qui est à l’origine de cette journée mondiale.
Dans sa résolution A/RES/66/292 du 17 septembre 2012, l’assemblée générale a proclamé le 1er juin, Journée mondiale des parents, pour mettre à l’honneur les parents du monde entier.

Un père, une mère, des parents…

La responsabilité première des parents a, de tous temps, été de prendre soin des enfants, les protéger et leur assurer un développement harmonieux.

La famille doit garantir aux enfants un climat de bonheur, d’amour et de compréhension, leur permettre de grandir et les rendre aptes à affronter l’avenir.

Journée internationale du thé – 21 mai

Il existe bel et bien une journée internationale consacrée à la boisson la plus consommée dans le monde*. Selon les sources, elle date de 2005 ou de 2007, et sa date « officielle » a lontemps été le 9 décembre pour migrer ensuite vers le 15 du même mois. Une nouvelle date est désormais proposée par l’ONU et elle est fixée au 21 mai.
De nombreux blogs la mentionnent sans réellement se mettre d’accord sur une origine précise. On admet souvent que cette journée a été instituée par les principaux pays producteurs de thé pour rendre hommage à tous les acteurs de la filière, des employés des plantations aux consommateurs, en passant par tous les négociants.

Le thé a-t-il changé le monde ?

Nous ne répondrons pas à cet question mais ferons écho à l’intéressante analyse proposée par le site Alveus: sans eau, l’homme ne peut pas survivre plus de quelques jours. Une abondance d’eau a toujours servi de catalyseur dans le développement des populations. A l’inverse, un manque d’eau a toujours été synonyme de disparition de la vie.

Une boisson issue du fond des âges

Dans l’histoire de l’humanité, les boissons ont marqué l’histoire politique et culturelle de l’humanité. Tout comme le café, le cola, la bière, le vin ou le rhum, le thé a lui aussi changé la société là où il était consommé. De nos jours, le thé reste la boisson la plus consommée au monde, immédiatement après l’eau. *

Un site à visiter : www.un.org.       Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale des abeilles – 20 mai

Journée mondiale des abeilles

Les Nations Unies ont désigné le 20 mai Journée mondiale des abeilles (ou « Beeday » pour les familiers de la langue de Shakespeare). Le 20 mai coïncide avec l’anniversaire d’Anton Janša, l’apiculteur slovène reconnu aujourd’hui comme etant le père de l’apiculture moderne. Il a en son temps rendu hommage à l’abeille pour sa capacité à travailler dur tout en n’ayant besoin que de peu d’attention… mais les temps ont bien changé et l’abeille vit aujourd’hui des jours difficiles avec une mortalité en croissance préoccupante d’année en année.

Le déclin des abeilles

Il existe de multiples raisons à la disparition des abeilles : dérèglement climatique, virus et agents pathogènes, acariens (varroa destructor), parasites (nosema ceranae), disparition des habitats naturels liée aux monocultures et, bien évidemment, l’abus de traitements par produit phytosanitaires.

Un rapport récent (2019) de GreenPeace permet de se faire une idée plus complète sur la question. Télécharger le document.

Indispensables abeilles…

Elles jouent bien entendu un rôle clé en tant que pollinisatrices, et les menaces auxquelles elles sont confrontées les empêchent de jouer correctement ce rôle et mettent en péril notre biodiversité.

En instituant la journée mondiale des abeilles, les Nations Unies nous incitent une fois de plus à réfléchir sur les enjeux et modifier nos comportements.

Protéger les abeilles, c’est pas sorcier !

Les initiés auront compris le clin d’oeil et on ne se lassera pas de voir ou revoir l’émission consacrée à ce sujet dans la série « C’est pas sorcier ».

Un site à visiter : www.un.org.   Source: Texte & Image:  Journée Mondiale

Journées du souvenir et de la réconciliation en l’honneur des morts de la Seconde Guerre mondiale – 8-9 mai

Journées du souvenir et de la réconciliation en l'honneur des morts de la Seconde Guerre mondiale

Il ne s’agit pas d’une mais de deux journées voulues par les Nations Unies et consacrées au souvenir des victimes de la seconde gurerre mondiale. On n’en attendait pas moins, venant justement de l’organisation créée après le second conflit mondial pour permettre au monde de vivre désormais en paix

Colombe de la paix

Dans le hall d’honneur du siège des Nations Unies, se trouve une belle fresque murale représentant une colombe tenant en son bec un rameau d’olivier. Puisse-t-elle inspirer tous ceux qui ne voient que la violence pour tenter de résoudre les conflits !

Source: Texte & Image: Journée mondiale
 

Journée Mondiale de la liberté de la presse – 3 mai 2021

Journée Mondiale de la liberté de la presse

La Journée mondiale de la liberté de presse a été instaurée par l’Assemblée générale des Nations Unies en décembre 1993 après la tenue du Séminaire pour le développement d’une presse africaine indépendante et pluraliste.

Ce séminaire s’est déroulé à Windhoek (Namibie) en 1991, et a conduit à l’adoption de la Déclaration de Windhoek sur la promotion de médias indépendants et pluralistes.La Déclaration de Windhoek exigeait l’établissement, le maintien et la promotion d’une presse pluraliste, libre et indépendante et mettait l’accent sur l’importance d’une presse libre pour le développement et la préservation de la démocratie au sein d’un État, ainsi que pour le développement économique. La Journée mondiale de la liberté de presse est célébrée le 3 mai de chaque année, date à laquelle la Déclaration de Windhoek a été adoptée.

L’histoire

Même si l’on célèbre depuis 1993 la Journée mondiale de la liberté de presse, celle-ci s’enracine encore plus loin dans l’histoire des Nations Unies. En effet, il est stipulé, dans l’Article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 que : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Aujourd’hui, dans le monde entier, le 3 mai est devenu l’occasion d’informer le public à propos des violations du droit à la liberté d’expression et le moment de se rappeler que plusieurs journalistes risquent la mort ou la prison en transmettant la nouvelle aux gens.

Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), qui coordonne chaque année les activités qui soulignent le 3 mai, la Journée mondiale de la liberté de presse, c’est :

  • une journée d’action, qui favorise et permet de mettre sur pied des initiatives qui visent la défense de la liberté de la presse.
  • une journée d’évaluation, afin de dresser le portrait de la liberté de la presse à travers le monde.
  • une journée de rappel, qui permet de rappeler aux États le respect des engagements qu’ils ont pris envers la liberté de la presse.
  • une journée d’alerte, pour alerter le public et accroître la sensibilisation à la cause de la liberté de la presse.
  • une journée de réflexion, pour stimuler le débat parmi les professionnels des médias sur les problèmes qui touchent la liberté de la presse et l’éthique professionnelle.
  • une journée commémorative en mémoire des journalistes qui ont perdu la vie pendant qu’ils exerçaient leur profession.
  • une journée d’appui envers les médias qui sont victimes de mesures qui entravent la liberté de la presse ou qui visent à l’abolir.

Une seul arme… la presse

La liberté de la presse est considérée comme une pierre angulaire des droits de la personne et comme une assurance que les autres droits seront respectés. Elle favorise la transparence et une bonne gouvernance et représente, pour la société, la garantie que régnera une véritable justice. La liberté de la presse est le pont qui relie la compréhension et le savoir. Elle est essentielle à l’échange d’idées entre les nations et les cultures, qui est lui-même une condition menant à une compréhension et à une coopération durables.

Un site à visiter : www.rsf.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale   2è image: L’Écho du Mardi

Journée Mondiale des animaux dans les laboratoires – 24 avril

Cette journée d’action a été reconnue par les Nations Unies et elle se déroule chaque année le 24 avril.

Lutter contre l’utilisation des animaux dans les Laboratoires

À l’occasion de la Journée Mondiale, des militants et sympathisants anti-vivisection se rassemblent partout dans le monde pour sensibiliser le grand public et les pouvoirs publics aux souffrances de millions d’animaux qui périssent dans les laboratoires.

Qu’il s’agisse de tests de produits chimiques ou de mise au point de nouveaux médicaments ou bien encore d’expériences d’ordre psychologiques, les mouvements demandent en bloc l’interdiction totale de l’emploi des animaux et leur remplacement par d’autres méthodes.

Et le progrès de la science ?

La communauté scientifique pourra légitimement s’inquiéter de prises de positions extrêmes en rappelant que l’utilisation des animaux de laboratoires a permis de sauver des millions de vies humaines dans le cadre de la mise au point de médicaments et vaccins… on se rend vite compte que les arguments des uns et des autres sont difficilement compatibles !

Vers une législation européenne ?

L’Union européenne (UE) ne peut pas rester muette sur ce genre de sujets et souhaite mettre un terme à l’expérimentation animale, en proposant des solutions de remplacement. Mais en l’absence possible de telles alternatives, elle propose une réflexion visant à mieux encadrer l’emploi des animaux dans les laboratoires et réduire les essais sur les animaux.

 

Un site à visiter : europa.eu      Source: Texte: Journée Mondaile  Image: futura-sciences.com

Journée mondiale de la créativité et de l’innovation – 21 avril

 La créativité s’exprime de différentes façons, allant de l’expression artistique (musique, dessin, danse, littérature, etc…) à la découverte de solutions dans de nombreux domaines, scientifiques, économiques, sociaux ou même en ce qui concerne celui du développement durable. C’est probablement pour favoriser une prise de conscience de ce phénomène que les Nations Unies ont, en 2017, décrété une journée mondiale tout à fait officielle (résolution A/RES71/284).

L’innovation, richesse des nations

Nous vivons une époque dans laquelle les technologies se développent de façon extrêmement rapide avec le soutien de nombreux chercheurs – on devrait plutôt les appeler des trouveurs – qui imaginent la vie d’après sans se fixer de limites. L’esprit d’innovation n’a-t-il pas permis de développer, en un temps record, une nouvelle technologie vaccinale adaptée à la pandémie mondiale de la Covid?

La créativité, moteur de la culture

L’économie créative comprend de très nombreux secteurs, tels que les produits audiovisuels, le design, les nouveaux médias, les arts du spectacle. Elle est, d’après l’ONU, un des secteurs qui connait la croissance économique la plus rapide au niveau mondial en termes de revenus générés et emplois créés.

Prendre un nouvel élan

Comme nous le rappellent les Nations Unies, la Journée mondiale de la créativité et de l’innovation est là pour rappeler à quel point l’innovation et la créativité sont essentielles pour exploiter le potentiel économique des nations.

Un site à visiter : www.un.org      Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda

Journée Internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda

En 2004, 10 ans après le génocide au Rwanda… Le secrétaire général des Nations Unies lançait un plan d’action de prévention du génocide et attirait l’attention sur les situations en Ituri et au Darfour.

La Commission des droits de l’homme a observé le 7 avril 2004, lors d’une séance d’une heure qui s’est tenue dans la Salle des Assemblées du Palais des Nations, à Genève, la Journée internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda, dont l’Assemblée générale avait décidé, en décembre 2003, qu’elle serait commémorée le 7 avril de chaque année.

Se souvenir pour être capable d’agir

Lors de son discours, le secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, a souligné que la communauté internationale ne doit jamais oublier que nous avons échoué collectivement à protéger les plus de 800 000 hommes, femmes et enfants sans défense qui ont péri au Rwanda il y a 10 ans. « Nous devons tous assumer nos responsabilités et reconnaître que nous aurions dû faire plus pour empêcher le génocide ou y mettre fin », a-t-il affirmé, ajoutant que nul ne saurait plaider l’ignorance.

Relevant que le spectre du génocide demeure hélas bien réel, le secrétaire général des Nations unies a indiqué qu’il lançait un plan d’action de prévention du génocide axé sur la prévention des conflits armés, la protection des civils dans les conflits armés, la fin de l’impunité, la mise en place d’un système d’alerte précoce et claire, ainsi que sur l’action rapide et décisive lorsque, en dépit de tous ces efforts, le génocide se produit ou est sur le point de se produire. Il a indiqué qu’il avait décidé de créer un nouveau poste de conseiller spécial sur la prévention du génocide.

Kofi Annan a, par ailleurs, attiré l’attention sur la situation actuelle dans la province d’Ituri en République démocratique du Congo, « où les conflits ethniques pourraient de toute évidence aller jusqu’au génocide ». Il a également dit partager la vive inquiétude qu’ont exprimée, la semaine dernière, les huit experts indépendants que la Commission a nommés pour s’informer sur les violations massives des droits de l’homme et la crise humanitaire qui serait en train de se produire dans la région du Darfour au Soudan. Il a proposé d’envoyer au Soudan une équipe pour mieux prendre la mesure et mieux comprendre la nature de la crise.

15 ans plus tard, avons-nous réellement avancé ?

La situation en Afrique centrale, qu’il s’agisse du Congo ou de la Centrafrique notamment, ne s’est pas réellement améliorée et les manifestations organisées au Rwanda pour célébrer le vingtième anniversaire du génocide montrent à quel point les blessures sont toujours présentes.

Les déclarations de président de la République du Rwanda, Paul Kagamé, portées à l’encontre du rôle de la France dans le déroulement du génocide de 1994, ont suffit à raviver les tensions et portent un coup rude à une démarche d’apaisement pourtant souhaitée par de nombreuses parties…

Le rapport Duclert

En 2021, un rapport (lien ci-dessous) remis au président de la République [ndlr: française] fait état dans ses conclusions « d’un ensemble de responsabilités, lourdes et accablantes pour la France ». L’article paru dans « Le monde » explique en détail les tenants et aboutissants de toute l’affaire.

Un site à visiter : www.vie-publique.fr    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale du sport pour le développement et la paix – 6 avril

Le nom est compliqué, l’objectif est simple: le sport peut être un vecteur de paix entre les peuples, utilisons-le !

En 2013, ce sont les Nations Unies qui ont initié cette journée dont la première édition a eu lieu le 6 avril 2014.Cette journée veut célébrer le rôle du sport (de tous les sports !) dans l’éducation, la santé et le développement humain et ses promoteurs souhaitent qu’il soit aussi l’occasion de rapprochements entre les peuples et les hommes et, à ce titre, source de paix dans le monde.

Mieux que le football business

La FIFA, instance dirigeante du football mondial, souvent associée au foot spectacle et ses dérives, s’associe fort heureusement à cette initiative en insistant sur l’influence positive du football sur le développement humain et la paix.

Le football bénéficie d’une audience mondiale et donne des opportunités uniques de communiquer avec les peuples de toutes les nations et de toutes les origines.

« Le football est synonyme d’espoir »

Ce sont les mots du président de la FIFA, Sepp Blatter, dans un message vidéo. Même dans les contextes les plus difficiles, comme en Afghanistan ou en Somalie, des rencontres sportives ont eu lieu et permis des rapprochements dont aucun politique n’avait osé réver.

Un site à visiter : fr.fifa.com    Source: Texte & Image: Journée mondiale   1ère image: Le7tv.ma

Journée internationale de la conscience – 5 avril

 Nous n’en avons pas toujours conscience (sic) mais cette journée, d’origine onusienne, devrait faire partie des incontournables du calendrier des journées mondiales.

Conscience de l’humanité

Dans son préambule, la déclaration universelle des droits de l’homme établit que « la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité ».

Ou encore, dans l’article 1 de la même déclaration : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ».

Et l’objection du même nom ?

De plus en plus de tentatives de restreindre l’objection de conscience et empêcher les individus d’agir selon la leur (de conscience) se font jour. Une alerte que nous lançons, et pas seulement pour se donner bonne conscience, soyez-en certains !

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Promouvoir une culture de la paix ancrée dans l’amour et la conscience

Dans son préambule, la Déclaration universelle des droits de l’homme établit que « la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme ». L’article premier de la Déclaration vient encore renforcer cet argument en affirmant : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ».

La tâche assignée à l’Organisation des Nations Unies est de préserver les générations futures du fléau de la guerre. Cette tâche appelle à une transition vers une culture de la paix, consistant en des valeurs, des attitudes et des comportements qui reflètent et favorisent la convivialité et le partage fondés sur les principes de liberté, de justice et de démocratie, tous les droits de l’homme, la tolérance et la solidarité, qui rejettent la violence et inclinent à prévenir les conflits en s’attaquant à leurs causes profondes et à résoudre les problèmes par la voie du dialogue et de la négociation et qui garantissent à tous la pleine jouissance de tous les droits et les moyens de participer pleinement au processus de développement de leur société.

Consciente de la nécessité de créer des conditions de stabilité et de bien-être et des relations pacifiques et amicales fondées sur le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion, l’Assemblée générale a proclamé le 5 avril Journée internationale de la conscience (A/RES/73/329).

 

Source: Texte: https://www.un.org/fr/observances/conscience-day