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Journée internationale des migrants – 18 décembre

Le 18 décembre est célébrée la Journée Internationale des Migrants. C’est l’occasion, dans le monde entier, de réaffirmer et de promouvoir les droits des migrants. La date a été choisie par l’ONU pour attirer l’attention sur une convention adoptée par l’assemblée générale des Nations unies le 18 décembre 1990 mais restée inapplicable faute de ratifications suffisantes.

Une convention que la France* n’a toujours pas ratifiée…

Cette Convention pour la protection des droits de tous les travailleurs migrants et de leur famille concerne tous les migrants qui  » vont exercer, exercent et ont exercé  » un travail pendant  » tout le processus de migration « . Pour tous, avec ou sans papiers, des droits fondamentaux sont réaffirmés en  » considérant la situation de vulnérabilité dans laquelle se trouvent fréquemment les travailleurs migrants et les membres de leurs familles « .

Les migrants dans le monde

L’Europe accueille 15 Millions d’immigrés sur les 175 Millions de par le monde.
La Convention n’est entrée en vigueur que le 1er juillet 2003. A ce jour, 27 Etats l’ont ratifiée : seulement des pays d’émigration, aucun des pays les plus industrialisés. Depuis quatorze ans, la France, ses partenaires européens et la plupart des pays d’immigration de la planète éludent la ratification. Pourtant la défense des droits de l’homme a une portée universelle et ne peut donc pas exclure les migrants.

Pas de nouveaux droits

Depuis 1990, la précarisation des droits des migrants est en aggravation constante. L’Union européenne offre la libre circulation aux citoyens des Etats membres tout en durcissant, pour les autres, les règles de l’asile et du séjour ; le principe de non-discrimination inscrit dans le traité d’Amsterdam a pourtant exclu la discrimination fondée sur la nationalité.

Face à la dégradation des droits des migrants, les Nations unies ainsi que de nombreuses institutions européennes ou organisations de la société civile rappellent l’importance de la convention des Nations unies. Le gouvernement français qui prône un rôle accru des Nations unies dans les affaires internationales ne doit pas rester sourd à ces appels.

Les pays signataires

Les pays ayant ratifié la Convention à la date de janvier 2011 sont (par ordre alphabétique) : Albanie, Algérie, Argentine, Azerbaïdjan, Belize, Bolivie, Bosnie-Herzégovine, Burkina Faso, Cap-Vert, Chili, Colombie, Égypte, Équateur, Ghana, Guatemala, Guyana, Guinée, Honduras, Kirghizistan, Lesotho, Libye, Mali, Maroc, Mexique, Nicaragua, Pérou, Philippines, Salvador, Sénégal, Seychelles, Sri Lanka, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Syrie, Tadjikistan, Timor oriental, Turquie, Ouganda et Uruguay.

* comme aucun autre pays occidental

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte: Journée mondiale        Image: Espace Manager

Journée internationale de prévention des génocides – 9 décembre

En fait, le véritable nom de cette journée est « Journée internationale de commémoration des victimes du crime de génocide, d’affirmation de leur dignité et de prévention de ce crime ». Nous lui avons préfére le nom anglais « genocide prevention Day » qui a tout de même le mérite de la concision, sans perdre pour antant le sens de la journée…

« Les États Membres et la communauté internationale doivent rendre hommage aux victimes du génocide et à leur famille, en mémoire des souffrances qu’elles ont endurées, et pour ce faire lutter encore plus fort contre les manifestations de haine, d’intolérance, de racisme et de xénophobie. »Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU de 2007 à 2016.

Une résolution adoptée à l’unanimité

C’est en septembre 2015 que l’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré le 9 décembre, Journée internationale de commémoration des victimes du crime de génocide, d’affirmation de leur dignité et de prévention de ce crime.

Cette date n’est pas le fruit du hasard puisque le 9 décembre est précisément la date anniversaire de l’adoption de la Convention de 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide.

Convention sur le génocide

L’objectif de cette Journée Internationale est de faire connaître au grand public les intentions de cette Convention sur le génocide et son rôle dans la lutte contre le génocide et la prévention de ce crime. Elle vise aussi à rendre hommage aux victimes.

En adoptant la résolution sans vote, l’Assemblée de 193 membres a confirmé la responsabilité de chaque État de protéger ses populations du génocide, et renforcer les actions de prévention de ce crime et de l’incitation au génocide.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte: Journée mondiale      Images: Journée Mondiale   Crif
 

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route – 15 novembre

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route
Cette journée fait partie des célébrations décrétées directement par l’ONU, qui invite, depuis 2005, « Les États Membres et la communauté internationale à célébrer chaque année, le troisième dimanche de novembre, la Journée mondiale du souvenir des victimes de la circulation routière, en hommage aux victimes des accidents de la route et à leurs familles. » (extrait de la résolution RES/60/5 du 1er décembre 2005).

Cette Journée mondiale est depuis lors commémorée dans un certain nombre de pays, même si elle reste assez peu relayée dans les grands médias.
Elle cherche à attirer l’attention du grand public sur l’ampleur des dégâts causés par les accidents de la route, aussi bien matériels qu’émotionnels, et rendre hommage à toutes les victimes de la route ainsi qu’aux services de secours et de soutien.

Beaucoup d’accidents auraient pu être évités

C’est avec cette idée forte que de nombreuses associations luttent et tentent de promouvoir des comportements civiques et sécuritaires plus forts chez les conducteurs, sans négliger l’action auprès des pouvoirs publics, reponsables quant à eux, de la subsistance de nombreux points noirs.

Ironie de la situation

En 2020, avec les 2 confinements, on a beaucoup moins roulé. Les chiffres de mortalité sur les routes se sont améliorés.

Un site à visiter : www.violenceroutiere.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

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ONU

Journée mondiale de l’énergie – 22 octobre

Le 22 octobre a été désignée « Journée mondiale de l’énergie » lors de l’ouverture du Forum mondial de l’énergie en 2012.Cette date était alors symbolique car c’était alors la première fois que le forum se tenait en dehors du siège de l’ONU, les 25 pays présents se réunissant en effet à Dubaï.

Energie pour tous

Aujourd’hui on compte encore 1,5 milliard d’habitants de la planète sur les 7 milliards qui la peuplent, qui sont privés d’électricité. Ces chiffres posent un défi à relever par la coopération internationale et la coordination entre pays avancés et pays en voie de développement.

Cette journée rappelle un des enjeux majeur de demain qui est de pouvoir offrir l’énergie au plus grand nombre d’habitants du globe.

Développement durable

Il est difficile de parler d’énergie sans aborder la question cruciale de l’écologie et du développement durable. Produire de l’énergie oui, mais dans quelles conditions ?

Le débat entre l’utilisation des énergies fossiles souvent polluantes et les énergies renouvelables fournies par la nature prend un sens nouveau quand on songe que ce sont les pays en voie de développement qui sont souvent contraints d’utiliser les sources d’énergies les plus polluantes (charbon par exemple) pour arriver à une certaine indépendance…

Là encore, sans coopération internationale, ill sera difficile d’avancer rapidement dans le bon sens. Et pourtant, il y a bel et bien urgence !

Un site à visiter : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de l’alimentation – 16 octobre

 Chaque année, le 16 octobre, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture célèbre la Journée mondiale de l’alimentation, qui commémore la date de sa création, en 1945.

La naissance de l’agriculture

Bien que le passage de la chasse et de la cueillette à une production alimentaire fondée sur la culture et l’élevage – autrement dit, la naissance de l’agriculture – se soit produit de façon indépendante dans de nombreuses régions du monde voilà environ 10 000 ans, l’histoire de l’agriculture est riche d’exemples d’échanges interculturels aux conséquences majeures. La première trace archéologique d’activité agricole en Europe atteste d’une technologie avancée, en l’absence d’outils plus élémentaires.

Selon une théorie en vigueur, les populations du Moyen-Orient auraient apporté en Europe leurs outils et leurs technologies. Il semblerait que de telles migrations de populations agricoles aient eu lieu en Afrique, en Amérique centrale et du Sud, en Chine, en Inde et en Asie du Sud-Est.

Pourquoi ces individus se sont-ils déplacés? L’agriculture, en offrant une source de nourriture plus sûre, entraînait un accroissement de la population, dont une partie finissait par migrer vers de nouvelles terres pour éviter la surpopulation.

Lutter contre le gaspillage alimentaire

Le gouvernement français a lancé, en 2013, une contribution à la journée de l’alimentation sous la forme d’une journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire. L’objectif affiché est de diviser par deux les quantités jetées. Nous ne pouvons ici que saluer cette initiative en stigmatisant les comportements des sociétés « riches » par rapport à l’alimentation !

Lutter contre la malnutrition

Cette page serait incomplète si on y évoquait pas les ravages causés dans le monde par la malnutrition.

Dans un contexte où plus de 3 millions d’enfants de moins de 5 ans meurent chaque année dans le monde de causes de malnutrition, et où 159 millions d’enfants de moins de cinq ans souffrent d’un retard de croissance, l’enjeu est essentiel.

La FAO a décidé la mise en place d’une décennie pour lutter contre la malnutrition et, dans ce cadre, défini ses axes d’action :

  • intégrer la nutrition dans les programmes scolaires,
  • contribuer à la prise en compte de la nutrition dans les politiques des pays particulièrement affectés par la malnutrition,
  • contribuer à accroitre la mobilisation internationale et européenne en faveur de la nutrition,
  • contribuer à la recherche scientifique sur la nutrition.

Ce programme de travail doit être soumis à la prochaine assemblée mondiale de la santé, à la FAO, ainsi qu’au secrétaire général des Nations Unies.

 

Un site à visiter : www.fao.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale de solidarité avec les peuples amérindiens – 10 octobre

Journée internationale de solidarité avec les peuples amérindiens

La journée internationale de solidarité avec les peuples autochtones des Amériques a été décrétée en 1977 par les organisations amérindiennes rassemblées à l’ONU. Il ne s’agit donc pas à proprement parler d’une Journée décrétée par les Nations Unies.Elle est célébrée dans de nombreux pays du monde et aussi dans quelques pays européens. Il est à noter qu’elle est mise à l’honneur par des associations militantes impliquées dans la lutte anticoloniale (www.anticolonial.net), mais aussi par des associations de la mouvance libertaire (www.monde-libertaire.fr) ou même des portails originaires de certaines régions concernées, comme le Guyanais « Une saison en Guyane« .Elle entend commémorer le souvenir des peuples qui peuplaient le continent américain avant sa colonisation par les européens, aussi bien en Amérique du Sud qu’en Amérique du nord.
Un site à visiter : www.csia-nitassinan.org      Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Internationale du souvenir en hommage aux victimes du terrorisme – 21 août

Journée Internationale du souvenir en hommage aux victimes du terrorisme

« Lorsque nous respectons les droits fondamentaux des victimes et que nous leur apportons appui et information, nous réduisons le dommage durable causé par les terroristes aux individus, aux communautés et aux sociétés. »
António Guterres, Secrétaire général de l’ONU

Cette journée internationale a été promulguée par l’assemblée générale de l’ONU le 19 décembre 2017, sur recommandation du Conseil des droits de l’homme (résolution 72/165). Cette journée vise à honorer et soutenir les victimes et les survivants du terrorisme et à promouvoir et protéger le plein exercice de leurs libertés et de leurs droits fondamentaux.

Soutien aux victimes
Trop souvent, les victimes du terrorisme doivent encore lutter pour faire entendre leur voix, l’atrocité des faits subis ne suffisant  apparamment pas à leur permettre d’obtenir automatiquement une assistance et faire respecter leurs droits.

Coopération internationale
À travers cette résolution, l’Assemblée générale des Nations Unies affirme également sa volonté de renforcer la coopération internationale pour prévenir et combattre le terrorisme sous toutes ses formes.

Elle rappele également que tous les actes de terrorisme sans exception sont criminels et injustifiables, quels qu’en soient les motivations, le lieu, l’époque ou les auteurs.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale    2è image: www.atvicannews.va (Lieu de l’explosion, quartier de Cristo del Consuelo à Guayaquil, le 15 août 2022)

Journée mondiale de la dignité des victimes de la traite d’êtres humains – 30 juillet

« Cette première Journée mondiale de la dignité des victimes de la traite d’êtres humains (en 2013) est un appel à l’action pour faire cesser ce crime et donner de l’espoir aux victimes, qui vivent souvent autour de nous alors que nous ignorons tout de leur sort. Pour arrêter les trafiquants, il nous faut couper leurs voies de financement et saisir leurs avoirs. J’exhorte tous les pays à ratifier et à appliquer intégralement la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée et son Protocole additionnel relatif à la traite d’êtres humains ».
Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU

Une urgence planétaire
L’ONU nous invite à nous interroger sur la question de l’esclavage moderne et il est vrai que cette question concerne au moins 2,5 millions de personnes réparties sur la planète. Il s’agit aussi bien d’hommes, de femmes que d’enfants qui tombent aux mains de trafiquants dans leur pays et à l’étranger. L’esclavage dit « moderne » n’a rien à envier à ce que l’humanité a pu connaître par le passé et il est non seulement honteux dans son principe que par les maltraitances qu’il engendre.

L’escalavage, quelle que soit sa forme, n’a pas sa place dans ce monde !

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Images : Journée mondiale

En vue de la Journée mondiale contre la traite des êtres humains, célébrée le 30 juillet prochain, Caritas Internationalis demande aux gouvernements d’intensif-ier leurs efforts pour identifier les victimes de la traite et de l’exploitation. En cette période de pandémie de Covid-19, le nombre de victimes de ce phénomène augmente de façon alarmante.

Caritas Internationalis et Coatnet, un réseau de 46 organisations chrétiennes engagées dans la lutte contre la traite des êtres humains, élèvent la voix à l’approche de la Journée mondiale contre la traite des êtres humains.

«En ce temps de propagation de la Covid-19, déclare le Secrétaire général de Caritas Internationalis Aloysius John dans ce communiqué commun, nous dénonçons une réalité inquiétante pour les personnes vulnérables qui risquent davantage de devenir victimes de la traite». En effet, l’attention portée à la pandémie «ne doit pas nous empêcher de prendre soin des personnes les plus exposées à l’exploitation», en leur fournissant des «filets de sécurité» et un «soutien matériel, médical, juridique et psychologique» pour «les accompagner dans leurs difficultés». Les gouvernements devraient donc davantage tenir compte des «dommages collatéraux de la pandémie mondiale, en particulier sur les migrants et les travailleurs informels, désormais plus vulnérables à la traite».

Source: Texte: Vatican News Service, 28 juillet 2020

 

Une bonne nouvelle: un cessez-le-feu mondial

Communauté de Sant’Egidio : soutien à un « cessez-le-feu mondial » pour 90 jours

La Fleur Contre Les Armes

Pour « garantir l’assistance humanitaire » aux plus vulnérables

La Communauté de Sant’Egidio soutient la résolution approuvée le 1er juillet 2020 par le Conseil de sécurité des Nations Unies en faveur d’une « cessation immédiate des hostilités dans toutes les situations pendant au moins 90 jours consécutifs », indique un communiqué publié en italien sur le site de Sant’Egidio le lendemain. Cela permettrait de « garantir l’assistance humanitaire aux populations touchées par les conflits et les réfugiés, ainsi que la lutte contre la propagation de Covid-19 ».

Sant’Egidio « s’engage immédiatement à soutenir et à diffuser la résolution » dans tous les pays où, « malgré les difficultés du moment », la communauté poursuit « son engagement à résoudre les conflits et à rechercher une paix durable ».

La résolution est particulièrement axée sur les réfugiés, dont « les conditions de vies se sont aggravées de manière disproportionnée en cette période de pandémie », lit-on dans un communiqué.

Le texte souligne que « la guerre est la mère de toute pauvreté, une réalité dramatique » qui touche surtout « les plus vulnérables ».

La résolution de l’ONU, qui répond à l’appel pour un « cessez-le-feu mondial » lancé le 24 mars dernier par le secrétaire général Antonio Guterres, a été approuvée à l’unanimité le 2 juillet.

 

Source: Texte & Image: https://fr.zenit.org/author/marinadroujinina/

Journée mondiale du réfugié – 20 juin 2020

Pendant des années, plusieurs pays et régions ont célébré leur propre Journée des réfugiés, voire parfois leur semaine. L’une parmi les plus connues est la Journée africaine des réfugiés, qui est célébrée le 20 juin dans plusieurs pays.

Solidarité africaine
En témoignage de solidarité avec l’Afrique, qui abrite le plus grand nombre de réfugiés, et envers qui elle a toujours montré une grande générosité, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution 55/76 le 4 décembre 2000.Dans cette résolution l’assemblée générale a noté que l’année 2001 marquait le cinquantième anniversaire de la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés et que l’Organisation de l’unité africaine (OUA) avait accepté que la Journée internationale des réfugiés coïncide avec la Journée du réfugié africain du 20 juin.

L’Assemblée générale des Nations Unies a décidé par conséquent qu’à compter de 2001, le 20 juin marquerait la Journée mondiale des réfugiés.Une seconde journée est consacrée aux réfugiés : la journée mondiale du migrant et du réfugié, instituée par l’église catholique et célébrée le 17 janvier.

Un record dont on se passerait volontiers…
Le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) a publié le 19 juin 2019 son rapport annuel. Il nous révèle que le monde comptait fin 2018 un nombre record de 70,8 millions de déracinés ayant fui des guerres ou des persécutions. Il s’agit d’un niveau jamais atteint depuis la création du HCR, il y a 70 ans.

  • 2 fois plus de personnes déracinées qu’il y a 20 ans
  • 2,3 millions de personnes supplémentaires par rapport à l’année 2017

Le mode de calcul de l’ONU permet de catégoriser le nombre total de « déracinés » dans le monde de la façon suivante :

  • les réfugiés (25,9 millions)
  • les déplacés internes (41,3 millions)
  • les demandeurs d’asile (3,5 millions).
Un site à visiter : www.un.org  Source: Texte & Image: Journée mondiale

 

Chacun peut agir. Chaque geste compte.

Cette année, nous célébrons la Journée mondiale du réfugié dans un contexte de forte mutation sociale.

Une pandémie a éprouvé notre résistance et mis en lumière des inégalités chroniques. Elle nous a également permis de créer d’autres types de relations et de renouveler notre motivation à agir pour l’égalité.

En cette période de Covid, nous célébrons les réfugiés qui sont en première ligne pour combattre la pandémie, avec le soutien de leurs pays d’accueil et des travailleurs humanitaires. Nous avons vu des héros du quotidien issus de toutes les couches sociales se proposer pour rejoindre les forces vives.

Qui que vous soyez et d’où que vous veniez, pandémie ou pas, chacun de nous peut agir. Chaque geste compte.

Source: Texte: UNHCR Canadademandeurs d’Asile