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Journée mondiale anti contrefaçon – 7 juin 2023

La journée mondiale anti-contrefaçon existe déjà depuis 1998.

C’est une journée internationale d’origine anglo-saxonne, aussi connue sous le nom « Global Anti Counterfeiting Group ».

Elle est traditionnellement célébrée à la toute fin du mois de mai ou au début du mois de juin.

Global Anti Counterfeiting Group

En France, c’est l’Unifab (Union des Fabricants) qui est le moteur de cette journée. Son objectif est de sensibiliser le grand public aux conséquences de la contrefaçon, tant du point de vue économique que de celui de l’environnement ou encore de la santé. Le musée de la contrefaçon vous ouvre ses portes tous les après-midi (infos pratiques dans le site de l’UNIFAB).

Un fléau qui touche de nombreux secteurs

  • industries du luxe
  • médicament
  • pièces automobile
  • appareils électroniques
  • habillement
  • logiciels
  • films, …

Les coûts pour les entreprises sont colossaux et on estime aujourd’hui qu’une baisse de 10 points du taux de produits contrefaits vendus dans l’hexagone permettrait une création nette d’emploi de plusieurs dizaine de milliers…

Un site à visiter : www.unifab.com    Source: Texte: Journée Mondiale   Image: https://blog.ipleaders.in/trademark-counterfeiting-a-notion/

Journée Mondiale des animaux dans les laboratoires – 24 avril

Cette journée d’action a été reconnue par les Nations Unies et elle se déroule chaque année le 24 avril.

Lutter contre l’utilisation des animaux dans les Laboratoires

À l’occasion de la Journée Mondiale, des militants et sympathisants anti-vivisection se rassemblent partout dans le monde pour sensibiliser le grand public et les pouvoirs publics aux souffrances de millions d’animaux qui périssent dans les laboratoires.

Qu’il s’agisse de tests de produits chimiques ou de mise au point de nouveaux médicaments ou bien encore d’expériences d’ordre psychologiques, les mouvements demandent en bloc l’interdiction totale de l’emploi des animaux et leur remplacement par d’autres méthodes.

Et le progrès de la science ?

La communauté scientifique pourra légitimement s’inquiéter de prises de positions extrêmes en rappelant que l’utilisation des animaux de laboratoires a permis de sauver des millions de vies humaines dans le cadre de la mise au point de médicaments et vaccins… on se rend vite compte que les arguments des uns et des autres sont difficilement compatibles !

Vers une législation européenne ?

L’Union européenne (UE) ne peut pas rester muette sur ce genre de sujets et souhaite mettre un terme à l’expérimentation animale, en proposant des solutions de remplacement. Mais en l’absence possible de telles alternatives, elle propose une réflexion visant à mieux encadrer l’emploi des animaux dans les laboratoires et réduire les essais sur les animaux.

 

Un site à visiter : europa.eu      Source: Texte: Journée Mondaile  Image: futura-sciences.com

Journée internationale de l’épilepsie – 12 février 2019

L’épilepsie reste une maladie encore mal connue. C’est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l’épilepsie de l’ombre en organisant, depuis l’an 2000 une Journée nationale dédiée à l’épilepsie. La Journée Internationale de l’Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays.

La plupart d’entre nous confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée ; et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n’y a pas une mais des épilepsies…
L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal de l’activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu’au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d’épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n’existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes
Un des buts de cette journée est d’informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise ; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l’empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace
Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l’épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d’épilepsie. Aujourd’hui, 70 % des cas d’épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Source: Texte & Image: Journée mondiale

 

Actualité porteuse d’espérance

Un adolescent met au point un traitement prometteur contre le cancer

 Un Ontarien de 16 ans suscite l’intérêt des scientifiques du monde entier parce qu’il a mis au point une technologie efficace et moins coûteuse pour combattre le cancer. Voici Sajeev Kohli. Le quotidien de Sajeev Kohli ne ressemble en rien à celui d’un adolescent typique. Il passe autant de temps à l’école secondaire que dans les laboratoires de l’Université de Waterloo, où il tente de trouver une cure au cancer.

Le jeune Ontarien s’intéresse à la science depuis plusieurs années. Mais c’est lorsqu’un de ses oncles a été diagnostiqué d’un cancer du rein qu’il a choisi d’y consacrer ses recherches. « Je l’ai vu souffrir à l’hôpital, se rappelle Sajeev Kohli. J’ai vu la douleur associée à la maladie. C’est ce qui m’a poussé à vouloir mettre au point un traitement moins invasif. » Les traitements réguliers contre le cancer affectent aussi les cellules saines, provoquant souvent une série d’effets secondaires.

Sajeev Kohli a élaboré, grâce à la nanotechnologie, une méthode pour transporter avec plus de précision les médicaments dans le corps humain. « Mes nanovéhicules parviennent à se rendre jusqu’aux cellules cancéreuses sans toucher aux cellules saines », explique-t-il. 

Déjà efficace contre trois cancers
L’approche de Sajeev Kohli a prouvé son efficacité contre les cancers du côlon, du poumon et du sein lors d’essais effectués sur des cultures cellulaires en laboratoire. Brian Dixon, un professeur qui dirige un laboratoire de recherche à l’Université de Waterloo, est impressionné par l’habileté qu’ont les nanovéhicules conçus par le jeune chercheur à cibler directement les cellules cancéreuses.

Mais, selon lui, l’aspect le plus novateur de sa recherche est l’algorithme qu’il a créé pour déterminer la cible à atteindre. « C’est une approche beaucoup plus directe, explique-t-il. Habituellement, les traitements se développent au terme d’analyses sur les cellules en laboratoire. » Le jeune chercheur soutient que sa méthode est 10 fois plus rapide à mettre sur pied, sept fois moins coûteuse et cinq fois plus efficace que les traitements actuels. « La méthode que j’ai mise au point est universelle. Des véhicules similaires pourraient être adaptés pour combattre d’autres cancers ou même d’autres maladies. »

Les travaux de Sajeev Kohli lui ont d’ailleurs valu les grands honneurs au concours Sanofi Biogenius Canada , (édition 2018), qui s’est tenu en mai. Le jeune prodige revient également de Boston, aux États-Unis, où il a remporté le grand prix du Global Healthcare Challenge dans une compétition internationale de biotechnologie.

Longue route devant lui
La prochaine étape pour Sajeev Kohli est de prouver l’efficacité de sa méthode in vivo. D’ici quelques années, il pourrait injecter ses nanoparticules à des souris et à des poissons-zèbres pour constater leurs effets sur la tumeur. Les essais cliniques sur les humains, quant à eux, ne se feront pas avant 10 ans. Et il faudrait sans doute attendre encore 20 ans avant que son traitement puisse aboutir sur le marché.

Source: Texte (abrégé): Daniel Blanchette Pelletier, 15 juin 2018  Image: © Jackie Sharkey  publication de MSN

 

 

Journée Mondiale du paludisme – 25 avril

Le partenariat « Faire reculer le paludisme » a été créé en 1998. Il fédère les efforts de l’OMS, de l’UNICEF, de la Banque mondiale, du PNUD et d’autres partenaires dans la lutte contre le paludisme ils sont à l’origine de cette journée pour lancer un appel aux laboratoires pharmaceutiques et aux pays donateurs afin qu’ils soutiennent l’initiative visant à rendre disponible un nouveau médicament qui sauverait la vie chaque année de centaines de millions de personnes touchées par cette maladie.

L’UNICEF entend s’appuyer sur son réseau d’approvisionnement mondial pour mener le combat mondial en vue de réduire la mortalité due au paludisme.

Qu’est-ce que le paludisme ?
Le paludisme est une maladie parasitaire potentiellement mortelle transmise par des moustiques. On pensait à l’origine que cette maladie provenait des zones marécageuses, d’où le nom de paludisme dérivé du mot ancien ‘palud’, marais. En 1880, les scientifiques ont découvert la véritable cause du paludisme, un parasite unicellulaire appelé plasmodium. Ils ont ensuite découvert que le parasite était transmis d’une personne à une autre par les piqûres d’un moustique Anophèle femelle, qui a besoin de sang pour nourrir ses oeufs.

Le paludisme en chiffres
Chaque année 300 millions de personnes sont atteintes du paludisme et tue plus de 3000 personnes par jour, en Afrique subsaharienne. Le taux de mortalité dû au paludisme est d’au moins 85% en Afrique, de 8% en Asie du Sud-est, de 5% dans l’Est de la Méditerranée et de 1% dans l’Ouest du Pacifique. Actuellement, environ 40% de la population mondiale habitants des pays les plus pauvres du monde pour la plupart sont exposés au paludisme.

Le paludisme, une maladie transmise par un moustique, est responsable de plus d’1 million de décès d’enfants par an – la plupart d’entre eux ayant moins de cinq ans. Quatre-vingt-dix pour cent des décès surviennent en Afrique, au sud du Sahara. Le paludisme est la première cause de mortalité infantile en Afrique. Sur les dizaines de millions qui survivent à cette maladie, un bon nombre sont handicapés physiquement et mentalement. Le paludisme tue un enfant africain toutes les 30 secondes. Si les secteurs privé et public collaborent efficacement, nous pourrons rapidement réorganiser le marché des médicaments antipaludiques et faire d’énormes progrès dans la lutte pour faire reculer cette maladie.

Les actions de l’UNICEF
UNICEF et ses partenaires travaillent avec les plus gros fabricants du monde afin de développer la production de médicaments de grande qualité, de telle sorte que chaque enfant et chaque communauté ayant besoin de ces médicaments puissent les obtenir rapidement. L’UNICEF lance également un appel aux pays donateurs pour qu’ils aident les pays où le paludisme est endémique à effectuer le paiement des nouveaux médicaments

Outre son combat pour améliorer l’accès aux médicaments, l’UNICEF soutient les programmes de lutte contre le paludisme dans plus de 30 pays d’Afrique. En plus des médicaments antipaludiques, l’UNICEF a fourni l’an dernier près de 5 millions de moustiquaires, ainsi que des insecticides utilisés pour imprégner les moustiquaires, pour une valeur totale d’environ 17 millions de dollars EU. En empêchant le moustique de piquer et en tuant le moustique porteur de paludisme, la moustiquaire imprégnée d’insecticide peut diminuer les cas de contamination de façon spectaculaire – et les décès.

2008, mondialisation
Depuis 2008, la journée africaine du paludisme est devenue journée mondiale du paludisme. Comme quoi, la mondialisation…

Un site à visiter : www.who.int   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale du paludisme – 25 avril

 Le partenariat « Faire reculer le paludisme » a été créé en 1998. Il fédère les efforts de l’OMS, de l’UNICEF, de la Banque mondiale, du PNUD et d’autres partenaires dans la lutte contre le paludisme ils sont à l’origine de cette journée pour lancer un appel aux laboratoires pharmaceutiques et aux pays donateurs afin qu’ils soutiennent l’initiative visant à rendre disponible un nouveau médicament qui sauverait la vie chaque année de centaines de millions de personnes touchées par cette maladie.
L’UNICEF entend s’appuyer sur son réseau d’approvisionnement mondial pour mener le combat mondial en vue de réduire la mortalité due au paludisme.

Qu’est-ce que le paludisme ?
Le paludisme est une maladie parasitaire potentiellement mortelle transmise par des moustiques. On pensait à l’origine que cette maladie provenait des zones marécageuses, d’où le nom de paludisme dérivé du mot ancien ‘palud’, marais. En 1880, les scientifiques ont découvert la véritable cause du paludisme, un parasite unicellulaire appelé plasmodium. Ils ont ensuite découvert que le parasite était transmis d’une personne à une autre par les piqûres d’un moustique Anophèle femelle, qui a besoin de sang pour nourrir ses oeufs.
 
Le paludisme en chiffres
Chaque année 300 millions de personnes sont atteintes du paludisme et tue plus de 3000 personnes par jour, en Afrique subsaharienne. Le taux de mortalité dû au paludisme est d’au moins 85% en Afrique, de 8% en Asie du Sud-est, de 5% dans l’Est de la Méditerranée et de 1% dans l’Ouest du Pacifique. Actuellement, environ 40% de la population mondiale habitants des pays les plus pauvres du monde pour la plupart sont exposés au paludisme.
Le paludisme, une maladie transmise par un moustique, est responsable de plus d’1 million de décès d’enfants par an – la plupart d’entre eux ayant moins de cinq ans. Quatre-vingt-dix pour cent des décès surviennent en Afrique, au sud du Sahara. Le paludisme est la première cause de mortalité infantile en Afrique. Sur les dizaines de millions qui survivent à cette maladie, un bon nombre sont handicapés physiquement et mentalement. Le paludisme tue un enfant africain toutes les 30 secondes. Si les secteurs privé et public collaborent efficacement, nous pourrons rapidement réorganiser le marché des médicaments antipaludiques et faire d’énormes progrès dans la lutte pour faire reculer cette maladie.
 
Les actions de l’UNICEF
UNICEF et ses partenaires travaillent avec les plus gros fabricants du monde afin de développer la production de médicaments de grande qualité, de telle sorte que chaque enfant et chaque communauté ayant besoin de ces médicaments puissent les obtenir rapidement. L’UNICEF lance également un appel aux pays donateurs pour qu’ils aident les pays où le paludisme est endémique à effectuer le paiement des nouveaux médicamentsOutre son combat pour améliorer l’accès aux médicaments, l’UNICEF soutient les programmes de lutte contre le paludisme dans plus de 30 pays d’Afrique. En plus des médicaments antipaludiques, l’UNICEF a fourni l’an dernier près de 5 millions de moustiquaires, ainsi que des insecticides utilisés pour imprégner les moustiquaires, pour une valeur totale d’environ 17 millions de dollars EU. En empêchant le moustique de piquer et en tuant le moustique porteur de paludisme, la moustiquaire imprégnée d’insecticide peut diminuer les cas de contamination de façon spectaculaire – et les décès.
Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de la santé – 7 avril

Chaque année, le 7 avril, des centaines d’organisations célèbrent la Journée Mondiale de la Santé. Des manifestations de sensibilisation sont organisées dans le monde entier, visant à mieux informer les opinions publiques à propos de la morbidité, la mortalité et la souffrance.

Les souffrances inacceptables de la mère et de l’enfant avaient d’ailleurs été choisies comme thème pour la journée de 2005. L’OMS est partie prenante de cette journée et organise des manifestations aux niveaux mondial, régional et national pour marquer la Journée mondiale de la Santé.

Patrimoine mondial de l’humanité
Notre capital inaliénable le plus précieux est notre santé. Mais le constat mondial est alarmant : les pays en voie de développement ne bénéficient toujours pas des conditions de vie nécessaires au maintien d’une bonne santé. Les infrastructures sont déficientes et l’accès aux médicaments difficile, sans parler des trafics de médicaments frelatés…

Dans les pays dits développés, l’égalité devant la santé n’est pas non plus de mise. Si une majorité des citoyens de ces pays bénéficient d’infrastructures de santé performantes et accessibles, d’autres sont obligés de renoncer à certains soins, faute de pouvoir payer la mutuelle qui prendra en charge leurs dépenses.

Un site à visiter : www.who.int   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale des soins palliatifs – 11 octobre

Qu’est-ce que la journée mondiale des soins palliatifs ?
La journée mondiale des soins palliatifs est une journée unitaire d’action qui promeut et soutient les soins palliatifs dans le monde entier.

logoTous les ans, des millions de malades en phase terminale éprouvent des douleurs et une détresse inutiles, parce qu’ils ne connaissent pas les soins dont ils ont besoin ou bien ne peuvent pas y accéder. Des soins palliatifs de grande qualité ont pour objectif de prendre en charge les besoins de la personne dans leur globalité : ils peuvent apporter une réponse à la souffrance des personnes malades ou en fin de vie ainsi qu’à leur entourage.

Parce que la question de la fin de la vie nous concerne tous, parce que nous voudrions tous pour nous-même, et pour ceux que nous aimons une fin de vie paisible et confortable, la journée mondiale des soins palliatifs chercher à mobiliser chacun et chacune, sur les cinq continents, pour :

Affirmer notre volonté de rendre les soins palliatifs plus accessibles partout dans le monde, en expliquant les problèmes qui empêchent cet accès aujourd’hui. Nous voulons influencer ceux qui font l’opinion publique et ceux qui définissent les programmes de santé et ceux qui les financent.
Augmenter la prise de conscience et la compréhension des besoins — médicaux, sociaux, pratiques, spirituels — des personnes qui vivent avec une maladie terminale et celle de leurs familles. Expliquer comment les soins palliatifs peuvent transformer la vie des gens et montrer comment ils aident à répondre à ces besoins.
Lever des fonds pour le soutien et le développement des soins palliatifs à travers le monde.
Battre en brèche certaines idées reçues :
La journée mondiale des soins palliatifs est l’occasion de faire reculer les clichés qui circulent sans raisons.

Notre but n’est pas d’aider une personne à mourir, mais plutôt d’aider les malades à vivre de la manière la plus confortable possible avec leur maladie. Les malades sont des personnes vivantes à part entière et non pas des patients en sursis ou des mourants.
Les soins palliatifs ne se limitent pas simplement au soulagement de la douleur et des symptômes, bien que ce soit là une partie très importante des ce type de soins. La démarche palliative une approche holistique (globale) qui respecte les désirs des individus et qui les aide de façon la plus adaptée possible, au plan personnel mais aussi culturel.
Les soins palliatifs ne sont pas lourds à mettre en œuvre : ils sont flexibles et adaptables. Dans beaucoup de situations, les soins peuvent êtres pratiqués à la maison, par exemple grâce au soutien à domicile d’un professionnel spécialisé ou d’un bénévole formé.
Les soins palliatifs ne sont pas nécessairement coûteux. Il y a des médicaments bon marché, des traitements et des manières de procurer du soutien qui peuvent transformer la qualité de vie d’une personne. Mais ces connaissances doivent être partagées, et la mise en place et le fonctionnement de tels programmes doivent être financés.

Source: Texte & Image: Société française d’accompagnement et de soins palliatifs