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Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route – 20 novembre

 
Cette journée fait partie des célébrations décrétées directement par l’ONU, qui invite, depuis 2005, « Les États Membres et la communauté internationale à célébrer chaque année, le troisième dimanche de novembre, la Journée mondiale du souvenir des victimes de la circulation routière, en hommage aux victimes des accidents de la route et à leurs familles. » (extrait de la résolution RES/60/5 du 1er décembre 2005). Cette Journée mondiale est depuis lors commémorée dans un certain nombre de pays, même si elle reste assez peu relayée dans les grands médias.Elle cherche à attirer l’attention du grand public sur l’ampleur des dégâts causés par les accidents de la route, aussi bien matériels qu’émotionnels, et rendre hommage à toutes les victimes de la route ainsi qu’aux services de secours et de soutien.

Beaucoup d’accidents auraient pu être évités

C’est avec cette idée forte que de nombreuses associations luttent et tentent de promouvoir des comportements civiques et sécuritaires plus forts chez les conducteurs, sans négliger l’action auprès des pouvoirs publics, reponsables quant à eux, de la subsistance de nombreux points noirs.

Un site à visiter : www.violenceroutiere.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Internationale du sport féminin – 24 janvier

C’est une réflexion du CSA à propos de la sous-médiatisation du sport féminin qui a été à l’origine de la création de cette première journée, en 2014.

Elle était alors soutenue par différents ministères (Sports-Jeunesse-Education Populaire-Vie Associative, Droits des Femmes), par l’association FEMIX et était organisée en collaboration avec le Comité National Olympique et Sportif Français (Cnosf).

Sport Féminin Toujours

A l’origine la journée s’est appelée « 24h pour le sport féminin » mais sa dénomination a changé depuis pour devenir « Sport Féminin Toujours » . La date à laquelle elle est célébrée est devenue, elle aussi, variable. L’essentiel est que son idée ait perduré.

La date du 24 janvier a été conservée dans notre site, en attente de mise à jour dés qu’une nouvelle date officielle sera communiquée.

Cette opération de médiatisation veut promouvoir la pratique sportive féminine et ancrer le sport au féminin dans les usages. Les medias audio-visuels sont invités à adapter leurs programmes et traiter du sport féminin autour de 4 grands axes :

  • le développement de la pratique féminine du sport
  • la présence des femmes dans les instances dirigeantes sportives
  • l’économie du sport féminin
  • la médiatisation du sport féminin.
Un site à visiter : www.womensports.fr   Source: Texte (abrégé): Journée Mondiale   Image: unsplash.com

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route – 21 novembre 2021

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route

Cette journée fait partie des célébrations décrétées directement par l’ONU, qui invite, depuis 2005, « Les États Membres et la communauté internationale à célébrer chaque année, le troisième dimanche de novembre, la Journée mondiale du souvenir des victimes de la circulation routière, en hommage aux victimes des accidents de la route et à leurs familles. » (extrait de la résolution RES/60/5 du 1er décembre 2005).

Cette Journée mondiale est depuis lors commémorée dans un certain nombre de pays, même si elle reste assez peu relayée dans les grands médias.

Elle cherche à attirer l’attention du grand public sur l’ampleur des dégâts causés par les accidents de la route, aussi bien matériels qu’émotionnels, et rendre hommage à toutes les victimes de la route ainsi qu’aux services de secours et de soutien.

Beaucoup d’accidents auraient pu être évités

C’est avec cette idée forte que de nombreuses associations luttent et tentent de promouvoir des comportements civiques et sécuritaires plus forts chez les conducteurs, sans négliger l’action auprès des pouvoirs publics, reponsables quant à eux, de la subsistance de nombreux points noirs.

Ironie de la situation

En 2020, avec les 2 confinements, on a beaucoup moins roulé. Les chiffres de mortalité sur les routes se sont améliorés. Les chiffres de 2021 tomberont dans quelques mois et nous saurons si nous avons renoué avec le « monde d’avant » !

Un site à visiter : www.violenceroutiere.org

« Au nom de Dieu… »

La rencontre de COP26 à Glasgow est en mode prolongation et devrait se terminer aujourd’hui. Dans les jours qui viennent, les médias de différentes sources et les médias sociaux fourniront des commentaires en abondance et de toutes tendances.

Un peu avant cette rencontre historique, le Pape François avait interpelé avec force plusieurs responsables et représentants de différents groupes de la communauté internationale. Son langage ne laissait aucun doute sur le sérieux de ses paroles exprimées avec audace: « AU NOM DE DIEU. »

Il est bon de nous rappeler ce message…  (Éditrice)

«Au nom de Dieu», l’appel du Pape aux puissants de la terre

En point d’orgue de son message, le Pape François lance des appels vibrants, «au nom de Dieu», à ceux qui comptent et qui ont le pouvoir de décider. Voici ces neuf appels:

«Je veux demander à tout le monde, au nom de Dieu. Aux grands laboratoires, qu’ils libéralisent les brevets. Faites un geste d’humanité et permettez à chaque pays, chaque peuple, chaque être humain, d’avoir accès au vaccin. Il y a des pays où seulement 3 ou 4%  des habitants ont été vaccinés.

Je veux demander, au nom de Dieu, aux groupes financiers et aux organismes internationaux de crédit de permettre aux pays pauvres de garantir les besoins fondamentaux de leurs populations et d’effacer ces dettes si souvent contractées contre les intérêts de ces mêmes populations.

Je veux demander, au nom de Dieu, aux grandes entreprises minières, pétrolières, forestières, immobilières et agroalimentaires d’arrêter de détruire les forêts, les zones humides et les montagnes, d’arrêter de polluer les rivières et les mers, d’arrêter d’intoxiquer les gens et les aliments.

Je veux demander, au nom de Dieu, aux grandes entreprises alimentaires de cesser d’imposer des structures de production et de distribution monopolistiques qui gonflent les prix et finissent par garder pour elles le pain des affamés.

Je veux demander, au nom de Dieu, aux fabricants et aux trafiquants d’armes de cesser totalement leurs activités, qui fomentent la violence et la guerre, souvent dans le cadre de jeux géopolitiques dont le coût se chiffre en millions de vies et de déplacements.

Je veux demander, au nom de Dieu, aux géants de la technologie de cesser d’exploiter la fragilité humaine, les vulnérabilités des gens, à des fins de profit, indépendamment de la façon dont ils augmentent les discours de haine, le grooming (harcèlement des mineurs en ligne, ndr), les fake news, les théories du complot, la manipulation politique.

Je veux demander, au nom de Dieu, aux géants des télécommunications de libéraliser l’accès aux contenus éducatifs et l’échange avec les enseignants par le biais de l’internet, afin que les enfants pauvres puissent recevoir une éducation dans des environnements confinés.

Je veux demander, au nom de Dieu, aux médias de mettre fin à la logique de la post-vérité, de la désinformation, de la diffamation, de la calomnie et de cette attirance maladive pour le scandale et l’obscurité ; qu’ils cherchent à contribuer à la fraternité humaine et à l’empathie avec les personnes les plus blessées.

Je veux demander, au nom de Dieu, aux pays puissants de cesser les agressions, les blocus et les sanctions unilatérales contre n’importe quel pays, où que ce soit sur la planète. Non au néo-colonialisme. Les conflits doivent être résolus au sein d’organismes multilatéraux tels que les Nations unies. Nous avons déjà vu comment se terminent les interventions unilatérales, les invasions et les occupations, même si elles sont menées sous les motifs ou les couvertures les plus nobles.»

 

Source: Texte: Aleteia Image: catholicnewsagency.com

                                      

Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes – 2 novembre

Depuis le début du 21ème siècle, ce sont plus de 1000 journalistes qui ont été tués parce qu’ils tentaient d’informer le public sur les faits dont ils avaient été témoins. L’inventaire des noms, connus ou moins connus, serait long et on se souviendra entre autres d’Anna Politkovskaïa, assassinée à Moscou en 2006.

Impunité

Plus grave encore, à peine 10% des crimes commis contre des professionnels des médias ont abouti à une condamnation de leurs auteurs. Cette quasi-impunité constitue un encouragement pour les criminels et les groupes armés qui se font régulièrement remarquer par leurs actions contre les journalistes.

Alors, dans ces conditions, pourquoi décréter une journée internationale ? Elle aurait pu concourir dans la catégorie du « plus long intitulé pour une journée internationale », mais elle est tout à fait sérieuse et tout à fait officielle puisque décrétée par l’assemblée générale de l’ONU en 2013.

Un voeu pieux ?

On pourra se demander aussi s’il ne s’agit pas du nième avateur de la méthode Coué et si la proclamation de la « fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes » n’engage que ceux qui la lancent.

On pourra… mais cette résolution historique a le mérite de condamner l’ensemble des attaques de toute nature perpétrées contre des journalistes. Elle engage aussi les États à faire plus pour prévenir cette violence, en permettant à la justice de rechercher et condamner les auteurs des crimes.

La volonté de l’ONU est claire: promouvoir un environnement qui permette aux journalistes  d’effectuer leur travail en toute indépendance et sans ingérence de la part des autorités.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de la maladie de Verneuil – 6 juin

Le moins que l’on puisse dire à propos de la maladie de Verneuil, c’est qu’elle est totalement inconnue du grand public. Elle fait partie de ces trop nombreuses maladies chroniques pour les personnes qui en sont atteintes.

La journée mondiale a été initiée en 2012 par l’AFRH, l’association française pour la recherche sur l’hidrosadénite, l’autre nom de la maladie de Verneuil. Elle rencontre pour le moment un écho relativement faible auprès des medias et du public mais ce sont les petits ruisseaux qui font les grandes rivières…

Maladie cutanée disgracieuse, elle se manifeste le plus souvent par des placards en relief douloureux et suppurants. D’un diagnostic difficile, elle est difficilement détectée par les médecins généralistes et passe à coté des quelques traitements d’appoint existants.

Un site à visiter : www.afrh.fr          Source: Texte: Journée Mondiale   Images: Pinterest    ResoVerneuil

Pentecôte, année B – 2021

Un poète mystique persan a dit: « La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu et qui s’est brisé. Chacun en ramasse un fragment et dit que toute la vérité s’y trouve. » (Djolâl ad-Din Rumi, 1207-1273)

Ce texte m’est revenu à la mémoire en lisant l’évangile de cette fête de la Pentecôte (Jn.15:26-27; 16:12-15).
Alors qu’il partage avec ses apôtres le dernier repas avant sa Passion, Jésus leur parle de celui qui viendra en son nom
et, à deux reprises, il le nomme: ‘l’Esprit de vérité’.
Et Dieu sait combien nous avons besoin de lui!

Sans honte aucune, certains segments de la société présentent comme vérité tout un amas de ‘fake news’ –
fausses nouvelles fabriquées au gré de ceux qui en font la promotion.

Certains politiciens peu scrupuleux et des responsables de médias qui ne le sont pas davantage mènent une propagande destinée à s’assurer des disciples qui soutiennent leur cause envers et contre tous!

Les médias sociaux emboîtent le pas et rajoutent des éléments peu fiables à ce qui circule déjà.
La vérité? Elle n’est pas une denrée monnayable, alors pourquoi s’en embarrasser?

Les paroles de Jésus sont vieilles de plus de 2000 ans mais sont message reste toujours d’actualité.
Il nous assure que c’est son Esprit qui nous guidera vers la vérité entière.
MA vérité n’est pas LA vérité, pas plus que celle de tout un chacun.
Il nous faut être prêt à recueillir les fragments de vérité où qu’ils se trouvent.

La fête de ce jour nous offre une invitation à devenir les disciples de celui qui a affirmé:
« Je suis la vérité » Jn.14:6).
Lui dont l’Esprit est toujours là pour nous guider vers la vérité tout entière (Jn.16:13).
 
Évidemment, une invitation attend une réponse…

 

Note: Une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/pentecost-year-b-2021/

 

Source: Image: www.focuselectro.com

 

 

Journée Mondiale de la liberté de la presse – 3 mai 2021

Journée Mondiale de la liberté de la presse

La Journée mondiale de la liberté de presse a été instaurée par l’Assemblée générale des Nations Unies en décembre 1993 après la tenue du Séminaire pour le développement d’une presse africaine indépendante et pluraliste.

Ce séminaire s’est déroulé à Windhoek (Namibie) en 1991, et a conduit à l’adoption de la Déclaration de Windhoek sur la promotion de médias indépendants et pluralistes.La Déclaration de Windhoek exigeait l’établissement, le maintien et la promotion d’une presse pluraliste, libre et indépendante et mettait l’accent sur l’importance d’une presse libre pour le développement et la préservation de la démocratie au sein d’un État, ainsi que pour le développement économique. La Journée mondiale de la liberté de presse est célébrée le 3 mai de chaque année, date à laquelle la Déclaration de Windhoek a été adoptée.

L’histoire

Même si l’on célèbre depuis 1993 la Journée mondiale de la liberté de presse, celle-ci s’enracine encore plus loin dans l’histoire des Nations Unies. En effet, il est stipulé, dans l’Article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 que : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Aujourd’hui, dans le monde entier, le 3 mai est devenu l’occasion d’informer le public à propos des violations du droit à la liberté d’expression et le moment de se rappeler que plusieurs journalistes risquent la mort ou la prison en transmettant la nouvelle aux gens.

Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), qui coordonne chaque année les activités qui soulignent le 3 mai, la Journée mondiale de la liberté de presse, c’est :

  • une journée d’action, qui favorise et permet de mettre sur pied des initiatives qui visent la défense de la liberté de la presse.
  • une journée d’évaluation, afin de dresser le portrait de la liberté de la presse à travers le monde.
  • une journée de rappel, qui permet de rappeler aux États le respect des engagements qu’ils ont pris envers la liberté de la presse.
  • une journée d’alerte, pour alerter le public et accroître la sensibilisation à la cause de la liberté de la presse.
  • une journée de réflexion, pour stimuler le débat parmi les professionnels des médias sur les problèmes qui touchent la liberté de la presse et l’éthique professionnelle.
  • une journée commémorative en mémoire des journalistes qui ont perdu la vie pendant qu’ils exerçaient leur profession.
  • une journée d’appui envers les médias qui sont victimes de mesures qui entravent la liberté de la presse ou qui visent à l’abolir.

Une seul arme… la presse

La liberté de la presse est considérée comme une pierre angulaire des droits de la personne et comme une assurance que les autres droits seront respectés. Elle favorise la transparence et une bonne gouvernance et représente, pour la société, la garantie que régnera une véritable justice. La liberté de la presse est le pont qui relie la compréhension et le savoir. Elle est essentielle à l’échange d’idées entre les nations et les cultures, qui est lui-même une condition menant à une compréhension et à une coopération durables.

Un site à visiter : www.rsf.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale   2è image: L’Écho du Mardi

Journée mondiale de la créativité et de l’innovation – 21 avril

 La créativité s’exprime de différentes façons, allant de l’expression artistique (musique, dessin, danse, littérature, etc…) à la découverte de solutions dans de nombreux domaines, scientifiques, économiques, sociaux ou même en ce qui concerne celui du développement durable. C’est probablement pour favoriser une prise de conscience de ce phénomène que les Nations Unies ont, en 2017, décrété une journée mondiale tout à fait officielle (résolution A/RES71/284).

L’innovation, richesse des nations

Nous vivons une époque dans laquelle les technologies se développent de façon extrêmement rapide avec le soutien de nombreux chercheurs – on devrait plutôt les appeler des trouveurs – qui imaginent la vie d’après sans se fixer de limites. L’esprit d’innovation n’a-t-il pas permis de développer, en un temps record, une nouvelle technologie vaccinale adaptée à la pandémie mondiale de la Covid?

La créativité, moteur de la culture

L’économie créative comprend de très nombreux secteurs, tels que les produits audiovisuels, le design, les nouveaux médias, les arts du spectacle. Elle est, d’après l’ONU, un des secteurs qui connait la croissance économique la plus rapide au niveau mondial en termes de revenus générés et emplois créés.

Prendre un nouvel élan

Comme nous le rappellent les Nations Unies, la Journée mondiale de la créativité et de l’innovation est là pour rappeler à quel point l’innovation et la créativité sont essentielles pour exploiter le potentiel économique des nations.

Un site à visiter : www.un.org      Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route – 15 novembre

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route
Cette journée fait partie des célébrations décrétées directement par l’ONU, qui invite, depuis 2005, « Les États Membres et la communauté internationale à célébrer chaque année, le troisième dimanche de novembre, la Journée mondiale du souvenir des victimes de la circulation routière, en hommage aux victimes des accidents de la route et à leurs familles. » (extrait de la résolution RES/60/5 du 1er décembre 2005).

Cette Journée mondiale est depuis lors commémorée dans un certain nombre de pays, même si elle reste assez peu relayée dans les grands médias.
Elle cherche à attirer l’attention du grand public sur l’ampleur des dégâts causés par les accidents de la route, aussi bien matériels qu’émotionnels, et rendre hommage à toutes les victimes de la route ainsi qu’aux services de secours et de soutien.

Beaucoup d’accidents auraient pu être évités

C’est avec cette idée forte que de nombreuses associations luttent et tentent de promouvoir des comportements civiques et sécuritaires plus forts chez les conducteurs, sans négliger l’action auprès des pouvoirs publics, reponsables quant à eux, de la subsistance de nombreux points noirs.

Ironie de la situation

En 2020, avec les 2 confinements, on a beaucoup moins roulé. Les chiffres de mortalité sur les routes se sont améliorés.

Un site à visiter : www.violenceroutiere.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

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