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De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée internationale du Syndrome d’Angelman – 15 février

La première édition de cette journée internationale a eu lieu en 2012. Mais qui connaît le syndrôme d’Angelman ?

Une maladie méconnue
Le Syndrome d’Angelman est une maladie d’origine génétique se caractérisant par un trouble sévère du développement neurologique. On doit au pédiatre Britannique Harry Angelman, la première caractérisation des symptômes du syndrome qui porte aujourd’hui son nom, en 1965.

La maladie d’Angelman est caractérisée par une déficience mentale sévère, ainsi que par une apparence et un comportement caractéristiques. Depuis 1965, les connaissances cliniques ont nettement progressé et permis de repérer de mieux mettre en évidence les constantes de ce syndrome.

Une journée de sensibilisation voulue par les associations
Chaque  association  mène  des  actions  individuelles  en vue d’objectifs communs.

-le soutien des familles et des personnes atteintes par la maladie, grâce à l’échange d’informations, la solidarité et les conseils en matière de prise en charge.
la sensibilisation du grand public et des professionnels de santé.
le financement de la recherche médicale et scientifique.
Enfin, dernier objectif et non des moindres, cette journée doit aussi permettre la reconnaissance des personnes porteuses du  syndrome d’Angelman comme des citoyens à part entière.

Un champion parmi les anges
Sébastien Loeb, le nonuple champion du monde des rallyes est parrain de l’AFSA, l’Association Française du Syndrôme d’Angelman.

« Les sportifs de haut niveau sont solidaires des personnes handicapées parce qu’ils savent reconnaître la différence et qu’ils comprennent le sens du mot combat. Pour l’AFSA et pour toutes les familles qui souffrent au quotidien pour leur enfant, le soutien de Sébastien Loeb est plus qu’un honneur, c’est une reconnaissance. » Denise Laporte, Présidente de l’AFSA

Un site à visiter : www.angelman-afsa.org      Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de la radio – 13 février

En 2012, afin de mettre en relief la puissance de la radio comme plate-forme pour l’éducation et la liberté d’expression ainsi que son rôle vital dans la réponse aux crises et aux catastrophes, l’UNESCO a appelé à célébrer le 13 février de chaque année, une Journée Mondiale de la radio.

Toutes les radios sont invitées à s’associer à cet événement a déclaré le porte parole de l’UNESCO dans son communiqué de presse.

Média peu coûteux, nécessitant la mise en oeuvre d’une technologie relativement simple, la radio atteint des auditeurs éloignés sur tous les points du territoire et des groupes nomades. Selon l’union internationale des télécommunications, plus de 75% des foyers des pays en développement possèdent au moins un récepteur radio.

Afin d’encourager les diffuseurs publics, privés et communautaires à célébrer la Journée, l’UNESCO a créé un site web avec des messages audio en plusieurs langues ou des manuels à l’usage des radios communautaires.

Un vecteur de liberté
Nous ne saurions terminer sans faire une rapide évocation de la radio comme vecteur de liberté en en citant quelques unes de celles qui sont restées dans l’histoire : Radio Londres qui transmettait les messages à la résistance française aux plus sombres heures de l’occupation, Radio Free Europe qui permet aux populations situées derrière le rideau de fer de recevoir une information différente de celle transmise par les autorités, Radio Caroline qui émettait depuis un bateau ou encore l’épopée des radios libres de 1981 et la fin du monopole d’état en France.

Source: Texte: Journée Mondiale; Image: CSW61

La Journée mondiale de la radio 2017 célébrée sous le thème « La radio c’est vous! »

Le 13 février est la Journée mondiale de la radio — une date pour célébrer la radio en tant que médium ; développer la coopération internationale entre radiodiffuseurs ; encourager les principaux réseaux ainsi que les radios communautaires à promouvoir l’accès à l’information, la liberté d’expression et l’égalité des genres sur les ondes. La radio demeure le médium capable d’atteindre le plus grand nombre de personne dans le monde et cela, le plus rapidement possible.

Source: Texte: UNESCO

Journée Internationale des enfants soldats – 12 février

Ces dernières décennies, la proportion des victimes civiles des conflits armés a augmenté de façon spectaculaire; elle dépasserait à présent les 90 %. La moitié environ de ces victimes sont des enfants.

Vingt millions d’enfants peut-être ont été contraints de fuir de chez eux en raison des conflits et des violations des droits fondamentaux, et vivent comme réfugiés dans les pays voisins ou sont déplacés dans leur propre pays.

Au cours de la décennie écoulée, les conflits armés ont directement tué plus de 2 millions d’enfants. Ils sont plus de trois fois plus nombreux – au moins 6 millions – à avoir été frappés d’une invalidité permanente ou grièvement blessés.

Plus d’un million d’enfants ont été rendus orphelins ou ont été séparés de leur famille. Entre 8’000 et 10’000 enfants sont tués ou mutilés par des mines terrestres chaque année.

300 000 enfants soldats
On estime que 300 000 enfants soldats – des garçons et des filles de moins de 18 ans – sont mêlés à plus de 30 conflits dans le monde. Ils sont utilisés comme combattants, coursiers, porteurs ou cuisiniers, et pour fournir des services sexuels. Certains sont recrutés de force ou enlevés, d’autres s’enrôlent pour fuir la pauvreté, la maltraitance et la discrimination, ou pour se venger des auteurs d’actes de violence commis à leur encontre ou contre leur famille.

En 2002, le Protocole facultatif à la Convention relative aux droits de l’enfant concernant la participation des enfants aux conflits armés est entré en vigueur. Il interdit la participation d’enfants de moins de 18 ans aux hostilités. Outre qu’il exige des Etats qu’ils portent à 18 ans l’âge du recrutement obligatoire et de la participation directe aux hostilités, le Protocole facultatif leur fait obligation de porter au-delà du minimum actuel de 15 ans l’âge du recrutement volontaire.

Pendant les conflits armés, les filles et les femmes sont menacées de viol, de violence, d’exploitation sexuelle, de traite, et d’humiliation et de mutilation sexuelles. L’utilisation du viol et d’autres formes de violence contre les femmes est devenue une stratégie dont se prévalent toutes les parties aux conflits. Les rapports d’enquête établis à la suite du génocide commis en 1994 au Rwanda ont conclu que presque toutes les femmes de plus de 12 ans ayant survécu au génocide avaient été violées. Pendant le conflit dans l’ex-Yougoslavie, on a calculé que plus de 20’000 femmes avaient été victimes de violences sexuelles. Par ailleurs, les conflits désintègrent les familles, alourdissant encore le fardeau économique et psychologique pesant sur les femmes.

Environ un tiers des 25 pays où vivent la plus forte proportion d’enfants rendus orphelins par le SIDA ont été touchés ces dernières années par des conflits armés. Sept des dix pays à plus fort taux de décés parmi les moins de cinq ans sont touchés par des conflits de ce type.

Les enfants mêlés à des conflits armés sont régulièrement confrontés à des événements émotionnellement et psychologiquement douloureux, tels que la mort violente d’un parent ou d’un proche, la séparation d’avec leur famille, le fait d’avoir vu des êtres chers tués ou torturés, l’éloignement de leur foyer et de leur communauté, l’exposition aux combats, aux bombardements et à d’autres situations mettant leur vie en danger; les mauvais traitements, tels que l’enlèvement, l’arrestation, la détention, le viol ou la torture, la perturbation des études et de la vie communautaire, le dénuement et un avenir incertain. Certains prennent même part à des actions violentes. De plus, les enfants, quel que soit leur âge, sont profondément affectés par le niveau de stress que connaissent les adultes qui s’occupent d’eux.

Un site à visiter : www.in-terre-actif.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale des malades – 11 février

La maladie et la souffrance peuvent parfois bouleverser nos vies ou celles de nos proches: pour nous encourager à donner de notre temps, soutenir les malades, être attentif à leurs besoins, une journée mondiale des malades, créée en 1992 par le Pape Jean-Paul II, est célébrée chaque année, le 11 février, jour de la fête de Notre-Dame de Lourdes.

Avoir le souci des malades
Les malades se sentent très rapidement mis à part de la vie des bien portants, c’est pourquoi les liens de solidarité, et tout ce qui permet aux personnes atteintes de maladie de se sentir écoutées, reconnues est extrêmement important. Bien que cette journée ait un sens tout particulier pour les Chrétiens, il n’est pas nécessaire d’avoir des convictions religieuses pour apporter son aide et sa compassion à des personnes souffrantes, un petit geste suffit !

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Message du Pape François pour la Journée du Malade 2017
« Le 11 février prochain sera célébrée, dans toute l’Église et de façon particulière à Lourdes, la XXVème Journée mondiale du malade, sur le thème : Émerveillement pour tout ce que Dieu accomplit : « Le Puissant fit pour moi de grandes choses … » (Lc 1,49). Cette Journée constitue une occasion d’attention spéciale à la condition des malades et, plus généralement, de ceux qui souffrent ; et en même temps elle invite qui se prodigue en leur faveur, à commencer par les proches, les personnels de santé et les volontaires, à rendre grâce pour la vocation reçue du Seigneur d’accompagner les frères malades. En outre, cette occasion renouvelle dans l’Église la vigueur spirituelle pour développer toujours mieux cette part fondamentale de sa mission qui comprend le service envers les derniers, les infirmes, les souffrants, les exclus et les marginaux (…). »

« À l’occasion de la XXVème Journée mondiale du Malade, je renouvelle ma proximité dans la prière et mon encouragement aux médecins, aux infirmiers, aux volontaires et à toutes les personnes consacrées engagées au service des malades et des indigents ; aux institutions ecclésiales et civiles qui œuvrent dans ce domaine ; et aux familles qui prennent soin avec amour de leurs proches malades. À tous, je souhaite d’être toujours des signes joyeux de la présence et de l’amour de Dieu, en imitant le témoignage lumineux de tant d’amis de Dieu parmi lesquels je rappelle saint Jean de Dieu et saint Camille de Lellis, patrons des hôpitaux et du personnel de santé, et sainte Mère Teresa de Calcutta, missionnaire de la tendresse de Dieu. »

Source: Texte: Libreria Editrice Vaticana

Journée internationale de l’épilepsie – 8 février

La journée « européenne » de l’épilepsie est devenue « internationale » en 2015. Elle est traditionnellement célébrée le 2ème lundi de février. Son but est de promouvoir les droits des malades épileptiques dans le monde entier.

Un site à visiter : www.lfce.fr

Source: Texte: Journée Mondiale  

L’épilepsie touche sept Français sur 1 000 mais mais fait toujours l’objet d’a priori et de fausses idées. L’épilepsie reste encore trop souvent associée à sa manifestation la plus spectaculaire : la crise de « grand mal» marquée par des spasmes brutaux. En réalité, ses symptômes varient selon la zone du cerveau touchée par l’hyperactivité des neurones.

Les différentes formes d’épilepsie ont une cause commune : une décharge anormale et simultanée de nombreux neurones. Des traitements antiépileptiques bloquent les altérations de la transmission entre les synapses (connexions entre les neurones). Mais au quotidien, le patient doit éviter tout élément susceptible de déclencher une crise…

« Les épilepsies nocturnes existent, et une simple privation de sommeil peut déclencher des crises à répétition. L’alcool est également un déclencheur, tout comme les drogues… » Ces recommandations s’appliquent à tous les patients. D’autres formes plus rares demandent des précautions supplémentaires.

Source: Texte & Image:  ?Dr pourquoi docteur?

Journée Mondiale contre le cancer – 4 février

Le cancer constitue encore aujourd’hui la première cause de mortalité dans le monde, bien avant les guerres et autres catastrophes naturelles. Il fait beaucoup moins parler de lui, mais il tue. Pourtant, il se soigne et l’intérêt de cette journée est aussi de faire prendre conscience de l’utilité d’un dépistage précoce permettant d’arriver à une guérison.

L’OMS estime que le cancer aura fait 84 millions de morts entre 2005 et 2015 si aucune mesure n’est prise. C’est pour cette raison que des moyens importants sont mis en oeuvre dans le but de faire reculer le poids de cette maladie partout dans le monde.

Une initiative intéressante a été prise par l’ARC récemment, à savoir la création d’un site internet entièrement dédié au cancer et permettant aux internautes de trouver des réponses à leur questions : www.arc-cancer.net

Les différentes régions du globe ne sont pas à égalité devant le cancer et si l’hémisphère nord bénéficie de moyens importants dans la détection et le traitement des cancers, les pays du sud, comme à l’accoutumé ne bénéficient pas de telles attentions. Un dossier très documenté est disponible dans le site Notre Planète Info (lien ci-dessous).

Un site à visiter : www.notre-planete.info    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée nationale des DIP – 4 février

Parmi les journée mondiales, internationales et nationales, la part consacrée aux journées de sensibilisation à des questions médicales est loin d’être négligeable.
C’est le moment ou jamais de parfaire votre culture et tenter de comprendre ce que sont les DIP.

Déficits Immunitaires Primitifs
Le système immunitaire de chaque individu lui permet, en principe, de se défendre contre les attaques extérieures que sont les infections. Dans certains cas, il peut arriver que les cellules chargées de fabriquer ces défenses soient défaillantes et ne protègent plus l’individu concerné. C’est alors qu’on parle de déficit immunitaire primitif, connus sous l’acronyme DIP.

150 DIP différents
Il n’existe pas une unique forme de déficit, cela serait trop simple ! On connaît actuellement pas loin de 150 formes de DIP différents et, rien que sur le territoire nationel français, ce sont plus de 5000 personnes par an qui sont atteintes de DIP.

Une journée pour sensibiliser
Sensibiliser oui, mais pas que le grand public. Puisque les malades eux-mêmes et le corps médical ensuite, sont visés par cette journée et les manifestations organisées afin de faire découvrir les DIP.

Un site à visiter : www.associationiris.org    Souree: Text & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale des lépreux – 28 janvier

L’origine de la lèpre se perd dans la nuit des temps. Elle apparaît en Europe dès les premiers siècles de l’ère chrétienne. Tout le bassin méditerranéen est contaminé. Elle disparaît progressivement de France et d’Europe, au cours du XVIIIe siècle. Quelques foyers persistent en Europe et en Amérique du Nord (Louisiane).

Un fléau d’hier… et d’aujourd’hui
Mais en Amérique du Sud, en Afrique, en Asie, ses victimes se comptent encore par centaines de milliers : une quinzaine de pays comptent encore plus d’un malade de la lèpre pour dix mille habitants, au premier rang desquels, l’Inde, le Brésil, Madagascar, le Myanmar, le Nigéria…

Selon les données récentes de l’Organisation Mondiale de la Santé, il y aurait toujours – en 2015 – 175 000 malades enregistrés dans le monde… mais plus de 200 000 nouveaux cas dépistés chaque année, soit un toutes les 5 minutes…

Arrêter la lutte contre la lèpre aujourd’hui sous prétexte des succès remportés aurait tout naturellement comme conséquence le retour progressif à la situation que Raoul Follereau dénonçait encore en 1961 :  » Cela va-t-il durer ? Laisserons-nous mourir, pourrir, quinze millions d’êtres humains, alors que nous savons maintenant qu’on peut les soigner, les sauver, les guérir ? « 

Les sites à visiter : deux associations oeuvrent conjointement pour assurer l’organisation matérielle de la journée mondiale des lépreux, l’association Raoul Follereau et l’Ordre de Malte.
Source: Texte & Image: Journées mondiales

Journée de la mémoire de l’Holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité – 27 janvier

« La France a retenu la date du 27 janvier, anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz, pour cette journée de la mémoire.

Nous avons recueilli pour vous quelques extraits de textes qui nous ont paru particulièrement « éclairants » sur le sujet.

« Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l’oubli » (Elie Wiesel)

« (…) Nous célébrons la « Journée de la mémoire de l’holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité ». Une mémoire qui repose sur les témoignages des acteurs et sur les travaux des historiens. Une mémoire d’autant plus vive, paradoxalement, que les survivants disparaissent, ayant à cœur, s’ils ne l’ont déjà fait, de transmettre aux générations nouvelles ce que, bien souvent, si longtemps, ils ont eu tant de peine à exprimer : « Il est dur pour la langue de prononcer de tels mots, pour l’esprit d’en comprendre le sens, de les écrire sur le papier » (Abraham Lewin). Une mémoire d’autant plus précise que les historiens – et notamment les alsaciens- accèdent à de nouvelles archives, affinent nos connaissances – par exemple sur le camp du Struthof – et s’efforcent d’expliquer ce qui semble parfois échapper à la raison.

Mémoire de Shoah

Prévention des crimes contre l’humanité en même temps que mémoire de la Shoah, cette journée a également pour but d’intégrer à ce travail de mémoire toutes les victimes des crimes contre l’humanité. Et d’abord, pour en revenir aux victimes de la terreur nazie, outre les communautés juives d’Europe, qui en forment la majeure partie, les populations tziganes ou encore les malades mentaux.

Ce devoir de mémoire, et de prévention est plus actuel que jamais. Aujourd’hui comme hier, aujourd’hui comme demain, aucune forme de racisme et d’antisémitisme quelle qu’elle soit ne saurait être tolérée.

Une humanité fondée sur la justice

Une vigilance qui souligne que l’enjeu de la commémoration de la libération du camp d’Auschwitz, camp de concentration et « centre de mise à mort » (Raul Hilberg), ne concerne pas que les bourreaux et leurs victimes juives. Elle est le lieu de mémoire commun d’une mémoire européenne qui ne cesse de se constituer et l’horizon d’une humanité fondée sur la justice, la paix et la tolérance.

Un site à visiter : www.cercleshoah.org           Source: Texte (abrégé) & Image: Journée Mondiale

Semaine de prière pour l’unité chrétienne 18 – 25 janvier 2017

Parole de réconciliation : « l’amour du Christ nous presse », 2 Corinthiens 5, 14-20

Changer à l’égard de l’autre, sortir d’un esprit de controverse, mettre en œuvre la parole de réconciliation entre nos Églises et communautés ecclésiales, passer du conflit à la communion, telles sont les invitations pressantes qui nous sont lancées particulièrement en cette année 2017 ! Il en va de la crédibilité du message de l’Évangile !

Pourquoi prier ensemble ? Dans une actualité d’éclats de guerre, de cris de douleur, de chant d’espérance, la question prend relief.

La responsable du service des relations entre Eglises chrétiennes de la FPF, Jane Stranz, axe une réponse avec le thème choisi cette année : « l’Amour du Christ nous presse » 2 Co.5:14-20.

Source: Texte & Images: Protestants.org, WPCU