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Journée mondiale de lutte contre l’exploitation sexuelle – 4 mars

En 2009 s’est tenue la première Journée mondiale de lutte contre l’exploitation sexuelle, créée à l’initiative de l’ONG GIPF. En 2023, nous célébrerons donc la 15ème édition.
GIPF signifie Groupe International de Paroles de Femmes et il est hautement symbolique que ce soient des femmes qui se mobilisent les premières pour lutter contre l’exploitation sexuelle et la pornographie…

Un fléau en quelques chiffres

  • 4 millions de nouvelles victimes chaque année
  • 500 000 femmes par an victimes de traite à fin de prostitution
  • 1000 milliards de dollars US est le CA estimé de la prostitution

L’exploitation sexuelle est une des pires formes de négation des droits fondamentaux de la personne humaine.

Elle réduit l’être humain à une simple marchandise. Achetées, vendues, menacées, isolées, violées, battues, surveillées, enfermées, torturées, les victimes deviennent des objets de consommation.

Un site à visiter : ecpat-france.fr     Source: Texte: Journée mondiale    Image: Twitter (Gouvernement du Québec)

Citations : (Au Québec, 2022)

« Je profite de cette Semaine nationale pour mentionner qu’au Québec, plus du tiers des personnes en situation de prostitution sont mineures, et que l’âge moyen d’entrée dans ce milieu est de 14 ans au Canada. Les victimes d’exploitation sexuelle subissent de graves conséquences, qui se poursuivent souvent bien au-delà de leur majorité. C’est pourquoi il m’importe que tous se mobilisent pour poser des gestes concrets, non pas uniquement durant la Semaine nationale, mais tout au long de l’année. »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale

« Beaucoup trop de nos jeunes tombent dans l’odieux piège de l’exploitation sexuelle. Grâce à cette Semaine et à cette Journée nationales, nous parlerons de ce fléau chaque année. Et surtout, nous contribuerons à sensibiliser tous les acteurs de notre société afin de veiller davantage sur nos jeunes. Ensemble, soyons cette communauté mobilisée et aimante qui fera changer les choses. »

Lise Lavallée, députée de Repentigny

 

Source: Texte: https://www.quebec.ca/nouvelles/actualites/details/lancement-de-la-semaine-et-de-la-journee-nationales-de-la-lutte-contre-lexploitation-sexuelle-des-mineurs-38263

Journée mondiale de lutte contre l’exploitation sexuelle – 4 mars 2022

Journée mondiale de lutte contre l'exploitation sexuelleEn 2009 s’est tenue la première Journée mondiale de lutte contre l’exploitation sexuelle, créée à l’initiative de l’ONG GIPF.
En 2022, nous célébrerons donc la 14ème édition.

GIPF signifie Groupe International de Paroles de Femmes et il est hautement symbolique que ce soient des femmes qui se mobilisent les premières pour lutter contre l’exploitation sexuelle et la pornographie…

Un fléau en quelques chiffres

  • 4 millions de nouvelles victimes chaque année
  • 500 000 femmes par an victimes de traite à fin de prostitution
  • 1000 milliards de dollars US est le CA estimé de la prostitution

L’exploitation sexuelle est une des pires formes de négation des droits fondamentaux de la personne humaine.

Elle réduit l’être humain à une simple marchandise. Achetées, vendues, menacées, isolées, violées, battues, surveillées, enfermées, torturées, les victimes deviennent des objets de consommation.

Un site à visiter : ecpat-france.fr    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale des enfants soldats – 12 février

Ces dernières décennies, la proportion des victimes civiles des conflits armés a augmenté de façon spectaculaire; elle dépasserait à présent les 90 %. La moitié environ de ces victimes sont des enfants.

Vingt millions d’enfants peut-être ont été contraints de fuir de chez eux en raison des conflits et des violations des droits fondamentaux, et vivent comme réfugiés dans les pays voisins ou sont déplacés dans leur propre pays.

Au cours de la décennie écoulée, les conflits armés ont directement tué plus de 2 millions d’enfants. Ils sont plus de trois fois plus nombreux – au moins 6 millions – à avoir été frappés d’une invalidité permanente ou grièvement blessés.

Plus d’un million d’enfants ont été rendus orphelins ou ont été séparés de leur famille. Entre 8’000 et 10’000 enfants sont tués ou mutilés par des mines terrestres chaque année.

300 000 enfants soldats
On estime que 300 000 enfants soldats – des garçons et des filles de moins de 18 ans – sont mêlés à plus de 30 conflits dans le monde. Ils sont utilisés comme combattants, coursiers, porteurs ou cuisiniers, et pour fournir des services sexuels. Certains sont recrutés de force ou enlevés, d’autres s’enrôlent pour fuir la pauvreté, la maltraitance et la discrimination, ou pour se venger des auteurs d’actes de violence commis à leur encontre ou contre leur famille.

En 2002, le Protocole facultatif à la Convention relative aux droits de l’enfant concernant la participation des enfants aux conflits armés est entré en vigueur. Il interdit la participation d’enfants de moins de 18 ans aux hostilités. Outre qu’il exige des Etats qu’ils portent à 18 ans l’âge du recrutement obligatoire et de la participation directe aux hostilités, le Protocole facultatif leur fait obligation de porter au-delà du minimum actuel de 15 ans l’âge du recrutement volontaire.

Pendant les conflits armés, les filles et les femmes sont menacées de viol, de violence, d’exploitation sexuelle, de traite, et d’humiliation et de mutilation sexuelles. L’utilisation du viol et d’autres formes de violence contre les femmes est devenue une stratégie dont se prévalent toutes les parties aux conflits. Les rapports d’enquête établis à la suite du génocide commis en 1994 au Rwanda ont conclu que presque toutes les femmes de plus de 12 ans ayant survécu au génocide avaient été violées. Pendant le conflit dans l’ex-Yougoslavie, on a calculé que plus de 20’000 femmes avaient été victimes de violences sexuelles. Par ailleurs, les conflits désintègrent les familles, alourdissant encore le fardeau économique et psychologique pesant sur les femmes.

Environ un tiers des 25 pays où vivent la plus forte proportion d’enfants rendus orphelins par le SIDA ont été touchés ces dernières années par des conflits armés. Sept des dix pays à plus fort taux de décés parmi les moins de cinq ans sont touchés par des conflits de ce type.

Les enfants mêlés à des conflits armés sont régulièrement confrontés à des événements émotionnellement et psychologiquement douloureux, tels que la mort violente d’un parent ou d’un proche, la séparation d’avec leur famille, le fait d’avoir vu des êtres chers tués ou torturés, l’éloignement de leur foyer et de leur communauté, l’exposition aux combats, aux bombardements et à d’autres situations mettant leur vie en danger; les mauvais traitements, tels que l’enlèvement, l’arrestation, la détention, le viol ou la torture, la perturbation des études et de la vie communautaire, le dénuement et un avenir incertain. Certains prennent même part à des actions violentes. De plus, les enfants, quel que soit leur âge, sont profondément affectés par le niveau de stress que connaissent les adultes qui s’occupent d’eux.

Un site à visiter : www.in-terre-actif.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale pour l’élimination de la discrimination raciale – 21 mars

La Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale est célébrée chaque année le 21 mars, pour commémorer ce jour de 1960 où, à Sharpeville (Afrique du Sud), la police a ouvert le feu et tué 69 personnes lors d’une manifestation pacifique contre les lois relatives aux laissez-passer imposées par l’apartheid. En proclamant la Journée internationale en 1966, l’Assemblée a engagé la communauté internationale à redoubler d’efforts pour éliminer toutes les formes de discrimination raciale [résolution 2142 (XXI)].wcar_sm

Le message de Kofi Annan
A l’occasion de la journée 2004, Kofi Annan, secrétaire général des Nations unies, a eu l’occasion de diffuser le message suivant:

Le 21 mars 1960, une manifestation non violente de protestation contre la loi sur les laissez-passer – une des institutions les plus honnies de l’apartheid – eut lieu à Sharpville, en Afrique du Sud. Bilan : 69 morts parmi les manifestants. Le massacre de Sharpville fut un moment décisif dans la lutte contre l’apartheid. Il amena aussi l’Assemblée générale [des Nations unies] à instituer cette journée annuelle, dont l’objet est d’appeler l’attention sur la lutte contre le racisme, où qu’il se manifeste et quelle que soit l’époque.

Cette année (2004) est celle du dixième anniversaire du génocide rwandais, ce qui nous rappelle les horreurs que peut entraîner la haine ethnique et raciale. C’est aussi celle du bicentenaire de la révolution à Haïti, grâce à laquelle les peuples des Caraïbes et d’Amérique latine furent libérés de l’esclavage. Et 2004 est enfin, comme l’a décidé l’Assemblée générale, l’Année internationale de commémoration de la lutte contre l’esclavage et de son abolition. A travers ces trois événements, nous devons non seulement honorer la mémoire des victimes de tragédies passées, mais aussi manifester notre ferme volonté d’éviter que d’autres ne subissent un sort semblable à l’avenir.

Cela veut dire que nous devons mettre fin aux conséquences, qui persistent à ce jour, de l’esclavage et du commerce des esclaves. Ces injustices historiques sont parmi les causes de la pauvreté, du sous-développement, de la marginalisation, de l’exclusion sociale, des disparités économiques, de l’instabilité et de l’insécurité dont beaucoup souffrent aujourd’hui dans différentes parties du monde, en particulier dans les pays en développement. A la Conférence mondiale contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l’intolérance qui y est associée qui s’est tenue en 2001, les Etats ont reconnu que l’esclavage et le commerce de l’esclavage avaient été des tragédies effroyables pour l’humanité et figuraient parmi les principales causes du racisme. L’Organisation des Nations Unies demeure fermement déterminée à aider les peuples et les pays à surmonter cet héritage du passé, ainsi qu’à combattre les formes contemporaines de l’esclavage – comme le travail forcé, notamment à des fins d’exploitation sexuelle – qui continuent de peser sur notre conscience collective.

Le racisme est aussi une des racines du génocide. Les pratiques racistes, les idéologies racistes, et les discours déshumanisants qui nient la dignité et les droits de groupes entiers doivent être condamnés. Mais condamner ne suffit pas: nous devons aussi renforcer nos capacités d’alerte rapide et de prévention des génocides, des massacres, des nettoyages ethniques et des autres crimes du même genre et soutenir vraiment les efforts déployés pour que les coupables soient traduits en justice, notamment devant la Cour pénale internationale. Je compte nommer prochainement un conseiller spécial pour la prévention du génocide et faire d’autres propositions visant à renforcer notre action dans ce domaine.

La tolérance, le dialogue interculturel et le respect de la diversité sont plus indispensables que jamais dans un monde où les peuples sont plus interconnectés que jamais. Nous comptons sur les gouvernements, en particulier, pour qu’ils aient la volonté politique nécessaire et agissent résolument. Cette Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale est l’occasion pour chacun de nous de repenser au principe fondamental énoncé dans la Charte des Nations Unies et la Déclaration universelle des droits l’homme, celui de l’égalité de tous les êtres humains, et le mettre en pratique.

Un site à visiter : www.stop-discrimination.info         Source: Texte & Image: Journée mondiale (Illustration:Nations U, New York, 17 mars 2004)

Journée mondiale contre l’exploitation sexuelle – 4 mars

exploitation-sexuelleEn 2009 s’est tenue la première Journée mondiale de lutte contre l’exploitation sexuelle, créée à l’initiative de l’ONG GIPF. En 2015, nous célébrerons donc la 7ème édition.

GIPF signifie Groupe International de Paroles de Femmes et il est hautement symbolique que ce soient des femmes qui se mobilisent les premières pour lutter contre l’exploitation sexuelle et la pornographie…

Un fléau en quelques chiffres
4 millions de nouvelles victimes chaque année
500 000 femmes par an victimes de traite à fin de prostitution
1000 milliards de dollars US est le CA estimé de la prostitution
L’exploitation sexuelle est une des pires formes de négation des droits fondamentaux de la personne humaine.

Elle réduit l’être humain à une simple marchandise. Achetées, vendues, menacées, isolées, violées, battues, surveillées, enfermées, torturées, les victimes deviennent des objets de consommation.

Un site à visiter : ecpat-france.fr   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Cette journée se veut un moment pour sensibiliser et mobiliser les gouvernements, les institutions et le public au fléau de l’exploitation sexuelle à travers le monde. L’exploitation sexuelle est, selon plusieurs, une des pires formes de violation des droits humains en reléguant la victime au simple statut de marchandise. Selon l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), 92% des victimes de la traite le sont dans le but d’être utilisées à des fins de prostitution.

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Malheureusement, les victimes de l’exploitation sexuelle sont souvent des enfants et des femmes, recrutés par des gangs de rue ou des réseaux de prostitution alors qu’ils sont vulnérables. « Selon la Gendarmerie royale du Canada, 600 à 800 personnes sont soumises au trafic d’êtres humains chaque année au Canada, et de 1 500 à 2 200 personnes sont transportées du Canada aux États-Unis aux fins de traite d’êtres humains. » (Unicef, 2016) Il est essentiel que toute la communauté internationale s’allie pour mettre en place des mesures strictes pour bannir ce fléau et punir les auteurs de tels crimes.

En termes d’actions concrètes qui ont été mises en place par certains pays, on peut citer en exemple la République démocratique du Congo, qui a mis sur pieds un Service de programmes d’Éducation à la Vie Familiale et en matière de Population à l’école (EVF/EmP). Ce service vise entre autres l’éducation auprès des élèves afin de leur apprendre les comportements et les attitudes à avoir pour une sexualité responsable et une vie communautaire saine.

Source: Texte & Image: Le réseau interre actif

 

Journée Internationale pour l’abolition de l’esclavage – 2 décembre

esclavageSous l’égide du Ministère de la Culture en partenariat avec l’UNESCO, cet événement commémore la date anniversaire de l’adoption par l’Assemblée Générale des Nations Unies, de la Convention pour la répression et l’abolition de la traite des êtres humains et de l’exploitation de la prostitution d’autrui, le 02 décembre 1949.
Un combat de tous les jours
La célébration de cette journée, tout en s’inspirant de l’esprit de l’abolition de la traite des noirs, actualise le combat permanent contre toutes les autres formes d’esclavage moderne qui privent à de très nombreux êtres humains, leurs libertés et leurs droits les plus élémentaires à la dignité, au travail libre, à la vie tout simplement.
Kofi Annam, le Secrétaire Général des Nations Unies, dans son message du 02 décembre 2001, en rappelant l’abolition de l’esclavage, ajoutait ceci:  » Bien des gens pensent sans doute que ce traité n’a plus lieu d’être au XXIe siècle. Or il nous faut bien admettre que l’esclavage et la servitude restent encore trop fréquents, cachés sous les noms de travail obligatoire, travail forcé, exploitation de la main d’œuvre enfantine et traite des êtres humains « , marginalisation, exclusion des groupes sociaux.
L’esclavage actuel
Aujourd’hui, le travail forcé et l’exploitation sexuelle dont sont victimes les enfants, la prostitution des femmes. Le traitement discriminatoire des travailleurs migrants, les agressions quotidiennes contre les droits de l’homme la détérioration des termes de l’échange, le poids de la dette inique et injuste ont autant de formes de privation de libertés synonymes d’un esclavage de type moderne.   (Site internet: Journée mondiale)