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De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains – 8 février

Cette journée mondiale a été instituée en 2015 à l’initiative du Pape François.

Le choix du 8 février ne doit rien au hasard puisque cette date correspond à la fête de Sainte Joséphine Bakhita, une Soudanaise qui a été vendue comme esclave, maltraitée puis rendue libre.

Des millions de personnes concernées
Lors de la première édition, le Cardinal Peter Turkson, Président du Conseil pontifical Justice et Paix, avait rappelé que des millions de personnes de par le monde sont privées de liberté et contraintes à vivre pratiquement en esclavage.

Pour ces hommes et ces femmes, sainte Joséphine Bakhita est un modèle d’espérance et l’Eglise Catholique encourage les fidèles à suivre les pas de cette sainte.

De la prise de conscience à l’action
Le Pape désire que les hommes de tous pays et toutes origines prennent conscience d’un phénomène global qui dépasse la responsabilité de tel ou tel état. Il appelle à une véritable mobilisation contre ce fléau:

Nous devons tous mieux analyser la situation et mobiliser les consciences:
De la conscience à la prière, de la prière à la solidarité, de la solidarité à l’action, afin que la traite et les nouvelles formes d’esclavage disparaissent.

Source : Texte : Journée mondiale   Image : ocarm.org

 

Journée Mondiale sans téléphone mobile – 6 février

Phil Marso, écrivain indépendant et instigateur de ce rendez-vous citoyen depuis le 6 février 2001 propose 3 jours de réflexion sur le « Mobilou », outil technologique qui a changé le comportement humain dans sa manière de communiquer.

En 2003, une association écologiste a tenté de récupérer ce rendez-vous citoyen, preuve de l’intérêt croissant de l’initiative qui pouvait paraître fantaisiste au départ.

Depuis 2004, cette journée se déroule sur trois jours, les 6, 7 et 8 février… certainement pour se donner le temps de décrocher. Nous parlerons donc désormais des Journées Mondiales sans téléphone.

Un peu d’histoire
Le 6 février est la date symbolique de cette journée car c’est la Saint Gaston ! Rappelez-vous ce couplet de Nino Ferrer : « Gaston y’a l’téléfon qui son, Et y’a jamais person qui y répond ».

Le mode d’emploi initial de lajournée mondiale était radical: ne pas utiliser son téléphone portable le 6 février pour savoir quelle relation on entretient avec son appareil. A l’époque le téléphone était encore un compagnon relativement peu envahissant, il se contentait de téléphoner. Mais cela c’était avant !

et apparurent les premiers smartphones…
La prolifération des téléphones « intelligents » a considérablement changé la donne et les nouvelles générations d’appareils remplissent de multiples tâches. Il serait dés lors inadapté de demander à tout un chacun de ne plus utiliser du tout son ‘smartphone’.

Mais, se poser la question de la relation que l’on entretient avec son matériel et toujours bénéfique. Dis-moi tes addictions, je te dirai qui tu es !

Téléphonie et écologie
Chaque année, la journée sans téléphone portable propose un thème de réflexion. En 2015, il s’agit de l’environnement avec 5 pistes de réflexions:

  • De nombreux métaux lourds et des polluants organiques sont utilisés pour fabriquer votre ‘smartphone’.
  • Ces substances entraînent une course folle à l’extraction, des dégradations de l’environnement et même des guerres (comme en République du Congo).
  • Les employés des usines de production sont exposés aux poisons au moment de leur fabrication.
  • De nombreux enfants sont exploités pour le compte de multinationales peu scrupuleuses qui vous vendront (à prix d’or) ces fabuleux joujoux.
  • Le cycle de vie des ‘smartphones’ n’est pas correctement maîtrisé et de nombreux composants polluants échappent au recyclage.

La prolifération des ondes électromagnétiques venant des ‘smartphones’ aura-t-elle une incidence sur le climat ?

Pour le moment, le ministère de l’écologie n’a pas encore inventé la vignette verte qui vous permettra d’utiliser votre téléphone portable dans les grandes villes… vous voyez, la situation n’est pas désespérée.

 

Note: Certain/es d’entre vous aimeront peut-être l’article sur la NOMOPHOBIE…

VOIR: https://image-i-nations.com/souffrez-vous-de-nomophobie/

Un site à visiter : www.mobilou.info     Source: Texte & Image: Journée mondiale     

 

Nouvel An Chinois

Nouvel An Chinois

L’année du COCHON DE TERRE (année 4717) commencera le 5 février 2019 ; elle se terminera le 24 janvier 2020 pour laisser la place au signe du Rat de Métal.

Le Nouvel An lunaire ou Nouvel An Chinois 农历新年 (Nongli Xinnian) aussi appelé Fête du Printemps  春节 (Chunjie) ou Fête du Têt au Vietnam est le festival le plus important pour les communautés asiatiques à travers le monde entier. Le terme Nongli Xinnian signifie littéralement « Nouvel an du calendrier agricole » car il se célèbre suivant le calendrier chinois qui est luni-solaire.

Cette fête est un moment dont on profite en prenant des vacances et en se réunissant en famille. Les festivités s’étendent sur quinze jours, à partir de la nouvelle Lune jusqu’à la première pleine Lune de l’année qui correspond à la fête des lanternes.

2019 : L’année du COCHON DE TERRE

Le Cochon/Porc 猪 est le 12e et dernier animal du cycle zodiacal chinois. Selon la croyance populaire, il est sincère, honnête, confiant, sociable, travailleur et obstiné. On dit du Porc qu’il s’entend bien avec le Mouton/la Chèvre et le Lapin/Lièvre, et très mal avec le Serpent.

Avec nos Bons Souhaits à tous et toutes nos ami/es, voisin/es, collègues de Chine et du Vietnam!

 

Source : Texte & Image : https://chine.in/nouvel-an-chinois/

Journée mondiale contre le cancer – 4 février

Journée mondiale contre le cancer: 40% des cancers pourraient être évités en adoptant un mode de vie plus sain!

À l’occasion de la Journée mondiale contre le cancer, célébrée le 4 février, le ministère de la Santé, en collaboration avec la Fondation Cancer, lance une nouvelle campagne d’information et de sensibilisation afin de susciter l’intérêt et la mobilisation de chacun autour de meilleurs comportements au quotidien.

La campagne 2019, parrainée par l’ancien joueur de tennis professionnel Gilles Muller, met un accent fort sur la prévention. À côté du dépistage précoce, la prévention joue un rôle primordial dans la lutte contre le cancer. En adoptant des modes de vie sains – avec en premier lieu, le refus du tabac et la consommation modérée de l’alcool et en favorisant une alimentation saine et activité physique régulière – 40% des cancers pourraient être évités.

De son côté, la Fondation Cancer offre plusieurs services gratuits en termes de prévention comme le Food Lab, Comment devenir non-fumeur ou encore le FiTeam.

La Fondation Cancer mettra également en avant, dans les prochaines semaines, la thématique « Comment réagir face à un collègue atteint du cancer? ».

Face à toutes les émotions provoquées par la maladie et à la complexité de l’approche, la Fondation délivrera des suggestions et des réponses ciblées lors de conférences au sein des entreprises. En effet, le diagnostic de cancer ne concerne pas seulement la personne malade mais l’ensemble de son entourage social. Les effets se ressentent jusqu’au niveau professionnel. Pour répondre à cette problématique, la Fondation Cancer a élaboré un dossier spécial pour mieux appréhender ces relations intra-professionnelles http://bit.ly/collegue_cancer.

Source : Texte (extraits) : https://gouvernemnt.lu/fr   Communiqué 01.02.2019  Image : allevents.in   « Le cancer : espoir et défis – Déjeuner-causerie : projet Leucégène at Institut de recherche en immunologie et en cancérologie, Montréal »

 

Journée mondiale des solitudes – 23 janvier

On estime que 12% de la population française vit aujourd’hui dans une grande solitude. Plus grave, on observe que la solitude est en forte augmentation dans de nombreux secteurs de la population. Elle est souvent invisible mais toucherait 1 français sur 3. Il n’en fallait pas plus pour que ce mal devienne le sujet d’une nouvelle journée mondiale.

Source : Texte : Journée Mondiale

La solitude ce n’est pas seulement le fait de n’avoir personne autour de soi; c’est le sentiment d’être seul et isolé mais aussi tous les sentiments de tristesse qui s’en suivent. Pour de nombreuses personnes, ce sentiment s’explique par le fait de ne pas avoir trouvé l’amour; pour d’autres, le fait de faire de nouvelles rencontres, ou même entretenir un lien quelconque, relève de l’impossible.

Des études récentes ont démontré que la solitude pouvait avoir des répercussions non seulement sur le mental, mais aussi sur la santé physique. En effet, les personnes qui se sentent vides, seules et qui ont le sentiment de ne pas être aimées, auraient plus de chance de contracter des maladies cardiovasculaires, sont plus stressées et présentent une diminution de la mémoire et de la capacité à apprendre.

Les sentiments de solitude peuvent même mener jusqu’à la dépression et au suicide. La véritable solution est d’apprendre tant l’art d’être seul que l’art d’être accompagné.

L’art d’être seul
Servez vous de cette étape pour mieux vous connaître. C’est l’occasion d’acquérir de nouvelles connaissances et de tester de nouvelles choses, d’apprendre à gérer son budget ou réparer la fuite du robinet. Découvrez l’emploi du temps qui vous convient le mieux.

Savoir que vous pouvez prendre soin de vous et que vous êtes capable de le faire correctement vous procurera un sentiment de satisfaction incomparable.

En définitive, c’est un moment d’épanouissement et de maturité. Si vous ne savez pas comment être heureux en étant seul, vous ne saurez pas être heureux dans une relation. Personne ne pourra faire office de baguette magique et faire disparaitre vos problèmes.

En conclusion, rappelez-vous que le sentiment de solitude ne vient pas du fait d’être seul, mais de la façon de percevoir une situation. Ne subissez pas la solitude, ne soyez pas une victime. Tirez-en du positif et apprenez à rebondir.

 

Source : Texte (extraits) : https://nospensées/fr   Images : Pexels Freepik

Une histoire qui finit bien…

 

 

Grâce à l’intervention d’anges sans ailes – le capitaine et les marins d’un tanker – le sauvetage se produit!

Il survit 49 jours en pleine mer grâce à son bon sens et à la Bible 

« Je pensais que j’allais mourir. Plus d’une fois, j’ai voulu sauter à la mer pour en finir. Mais à chaque fois, je me suis rappelé ce que mes parents me répétaient toujours : quand tu es désespéré, prie » – C’est ce qu’a confié Aldi Novel Adilang, un jeune Indonésien sauvé miraculeusement après avoir dérivé en pleine mer sur un radeau pendant 49 jours.

Sept semaines, seul en pleine mer à la dérive et sans nourriture. À 18 ans seulement, un jeune Indonésien a survécu à ce périple digne d’un roman d’aventures. Aldi Novel Adilang est resté prisonnier de son radeau pendant près de deux mois. Il a dérivé à plus de 2.500 kilomètres de chez lui, en plein océan Pacifique et dans un dénuement presque complet : il n’avait que les vêtements qu’il portait sur lui… et une bible.

Le récit incroyable du jeune Indonésien de l’île de Sulawasi commence à la mi-juillet alors qu’il travaille seul sur sa cabane de pêche traditionnelle, un rompong, amarré au large de la baie de Manado. Le jeune homme, qui vit la plupart du temps sur ce radeau rudimentaire, est chargé de surveiller la lampe du rompong, censée attirer les poissons afin de les piéger. Chaque semaine, Aldi reçoit la visite de son employeur qui recueille sa pêche et le ravitaille d’eau fraîche, de nourriture et de combustible pour sa cuisine et la lampe. Aldi exerce ce métier depuis l’âge de 16 ans. La pêche sur les rompongs est en Indonésie une pratique ancestrale.

Au milieu du mois de juillet, une violente tempête rompt les amarres de son radeau de pêche. Surmonté d’une cabine rudimentaire, sans moteur ni rame, le jeune homme n’est équipé d’aucun moyen pour regagner la côte. Aldi ne peut rien faire, il dérive vers le large. À bord de son embarcation de fortune, livré à lui-même, le jeune homme se retrouve rapidement à court de nourriture. Tout en se rationnant dès le début, il vient à bout de ses réserves au bout d’une dizaine de jours. Pour ne pas mourir de faim, le naufragé organise sa survie.

Alors qu’il a perdu tous ses ustensiles de pêche dans la tempête, il lui faut plusieurs jours pour apprendre à attraper à la main les poissons qui s’approchent au plus près du radeau. Pour les griller, il n’a pas d’autre choix que de brûler unes à unes les barrières de bois qui assuraient la protection du radeau. Quand elles ne suffisent plus, Aldi s’attaque aux planches de sa cabine. Enfin, il filtre l’eau de mer à travers ses vêtements pour en extraire le sel et la rendre potable.

Effrayé, en pleurs, Aldi Novel Adilang perd peu à peu espoir alors que plus de dix bateaux passent sans s’arrêter devant lui, malgré ses appels au secours. Le 31 août, il tente de nouveau d’attirer l’attention d’un tanker panaméen qui passe à proximité en agitant ses vêtements.  En vain. Il pense alors à se brancher sur une fréquence radio pour demander de l’aide. Son message radio parvient au capitaine de l’Arpeggio. Cette radio, qui lui avait été offerte par un ami au cas où il se perdrait un jour en mer, lui sauve effectivement la vie. Le tanker détourne sa route pour venir vers lui.

Le sauvetage est particulièrement difficile. La mer est agitée, les vagues sont si fortes qu’après de nombreuses tentatives d’accoster le radeau au tanker, c’est finalement en sautant à l’eau et en agrippant un câble lancé du navire qu’Aldi parvient à le regagner à la nage, malgré sa grande faiblesse.

Quarante-neuf jours après avoir dérivé à des milliers de kilomètres de son pays, Aldi est enfin hissé, sain et sauf, sur l’Arpeggio, qui le ramènera au Japon, destination initiale du navire.  « Quand son patron nous a annoncé [son sauvetage], j’étais sous le choc, j’étais si heureuse », confie aujourd’hui Net Kahiking, la mère du jeune homme.

Issu d’une famille très croyante, Aldi a toujours prié. Sur son rompong, il a toujours gardé une bible avec lui. Il n’hésite pas à déclarer que la prière et la lecture de la bible ont été son plus grand recours, sans lesquels il n’aurait pas survécu. Aldi a retrouvé sa famille au début du mois de septembre. Depuis, ses proches confient qu’il a récupéré de son périple incroyable. Le 30 septembre (2018), sa famille fêtera ses 19 ans, un anniversaire pas comme les autres…

Source : Texte :  Aleteia, Marzena Devoud | 29 septembre 2018  Images : Free Republic

Être belle… même en prison

En Thaïlande, du maquillage pour alléger la peine des prisonnières

Pouvoir se maquiller quand on est en prison: un luxe en Thaïlande, pays aux prisons surpeuplées qui détient le triste record mondial du taux d’incarcération féminine.

D’anciennes détenues ont mis à profit leur expérience derrière les barreaux pour faire bénéficier les autres des astuces qu’elles avaient alors trouvées pour se fabriquer leur maquillage, afin de retrouver un peu de dignité. Au coeur du projet: Prontip Mankong, 29 ans, qui a passé deux ans en prison pour lèse-majesté après avoir pris part à une pièce de théâtre étudiante, considérée comme une diffamation de l’institution royale.

Pendant sa détention, Prontip avait mis au point une recette à base de vaseline et de colorant alimentaire pour se fabriquer un ersatz de rouge à lèvres.«Le rouge à lèvres nous redonnait confiance en nous et nous permettait de nous exprimer, dans un endroit où la liberté est limitée», explique Prontip Mankong, libérée en août 2016.

Avec d’anciennes codétenues, elle a alors eu l’idée de collecter des rouges à lèvres usagés et de les faire fondre afin de réaliser des tubes de «seconde main» pour les détenues. Elle voit dans cette initiative un moyen d’alléger la vie des prisonnières, et de leur remonter un peu le moral, notamment à celles que les proches n’ont pas les moyens d’aider financièrement pour améliorer l’ordinaire carcéral.

Avec son organisation, «Fairly-tales», Prontip veut aller plus loin que de fournir des rouges à lèvres aux détenues: elle espère pouvoir organiser des ateliers de maquillage avec elles, l’occasion d’échanger sur leurs vies en prison.

«J’ai vécu cela de l’intérieur et je veux améliorer les choses. C’est mon habitude, où que j’aille, de vouloir me rendre utile», explique la jeune femme, dont la volonté de changer une société thaïe très conservatrice n’a pas été émoussée.

«La campagne autour des rouges à lèvres peut sembler légère, mais pour moi c’est un point de départ… L’étape suivante, c’est d’obtenir de meilleures conditions de vie pour les prisonnières», avec assez d’eau pour se laver, des salaires décents pour celles qui travaillent, du maquillage à un prix normal, détaille-t-elle.

Source : Texte (résumé) & Images : Sally Mairs et Sippachai Kunnuwong | Agence France-Presse – TVAnouvelles.ca

Un ange… sans ailes

Pendant la période de Noël qui s’achève, plus d’une fois, les lectures bibliques nous présentaient des anges. On les imagine de bien des manières, ces créatures ailées… Mais je connais aussi des anges… sans ailes! En voici un!

 

L’ange qui, en secret, paie les factures d’hôpital des patients.

Au Nigéria il y a peu de services médicaux qui soient gratuits et, si vous ne pouvez payez votre compte de frais pour hospitalisation, on ne vous permet pas de quitter les lieux. Qui aidera? Dans cette société profondément religieuse, bien des patients espèrent une intervention divine. 

Zeal Akaraiwai n’a pas les ailes d’un ange – il a une élégante Mercedes.

Ce consultant d’une quarantaine d’années bien vêtu sort de son auto garée entre les de nids de poules dans le stationnement de l’hôpital du gouvernement. Il est accueilli chaleureusement par un groupe de travailleurs/travailleuses sociaux et il se met immédiatement à l’œuvre.

Il demande « la liste » On lui remet le nom des patients qui sont suffisamment rétablis pour retourner chez eux mais qui ne peuvent partir n’ayant pas acquitté ce qu’ils doivent.

Aujourd’hui, Zeal se rend visiter chacun de ceux/celles dont le nom apparaît sur cette liste. Il se rend ensuite à la caisse et paie les frais d’hospitalisation de huit patients.

Zeal ne garde pas contact avec les gens qu’il aide. Il ne veut même pas être remercié. Mais il y a une chose qu’il aimerait en retour – c’est qu’un jour quelqu’un puisse raconter un récit à son sujet – le récit que lorsque la personne était hospitalisée, un ange est venu, a payé son compte et… est reparti.

C’est pourquoi je nomme ce projet: ‘Le projet de l’ange’, dit-il. Soyez l’ange que vous espérez rencontrer!

Source : Texte & Images: résumé de l’article de: BBC The 'angel' who secretly pays patients' hospital bills, Linda Pressly BBC News, Lagos 21 December 2018

Journée mondiale de la Paix, 1er janvier

Dans l’Évangile de Luc, Jésus dit à ses disciples: «Dans toute maison où vous entrerez, dites d’abord: ‘‘Paix à cette maison’’. S’il y a là un ami de la paix, votre paix ira reposer sur lui; sinon, elle reviendra vers vous».

C’est avec cette accroche que le Pape développe sa réflexion pour cette Journée mondiale de la Paix qui ouvre l’année nouvelle.

«La ‘‘maison’’ dont parle Jésus, c’est chaque famille, chaque communauté, chaque pays, chaque continent, dans sa particularité et dans son histoire; c’est avant tout chaque personne, sans distinctions ni discriminations, explique le Pape dans ce Message. C’est aussi notre ‘‘maison commune’’: la planète où Dieu nous a mis pour y vivre et dont nous sommes appelés à prendre soin avec sollicitude. C’est donc également mon vœu au début de l’année nouvelle: ‘‘Paix à cette maison!’’».

François développe ensuite une réflexion tournée vers les décideurs politiques, en rappelant que «la paix est comme l’espérance dont parle le poète Charles Péguy» dans Le Porche du mystère de la deuxième vertu. «Elle est comme une fleur fragile qui cherche à s’épanouir au milieu des pierres de la violence». (…)

La paix est une conversion du cœur et de l’âme», explique le Pape, en invitant à relier «trois dimensions indissociables de cette paix intérieure et communautaire»:

–  La paix avec soi-même, en refusant l’intransigeance, la colère et l’impatience et, comme le conseillait saint François de Sales, en exerçant ‘‘un peu de douceur avec soi-même’’, afin d’offrir ‘‘un peu de douceur aux autres’’;

–  La paix avec l’autre: le proche, l’ami, l’étranger, le pauvre, le souffrant…; en osant la rencontre et en écoutant le message qu’elle porte avec elle;

–  La paix avec la création, en redécouvrant la grandeur du don de Dieu, et la part de responsabilité qui revient à chacun d’entre nous, en tant qu’habitant du monde, citoyen et acteur de l’avenir.

Source: Texte: Cyprien Viet – Cité du Vatican  Image: IMDb

 

Journée internationale des migrants – 18 décembre 2018

 

« Les migrations favorisent la croissance économique, le dynamisme des sociétés et la tolérance. Elles offrent une chance à des millions de personnes en quête d’une vie meilleure, et profitent aussi bien aux communautés d’origine et qu’à celles de destination. » — António Guterres, Secrétaire général de l’ONU

La Journée internationale des migrants est l’occasion de dissiper les préjugés et de sensibiliser l’opinion à leurs contributions dans les domaines économique, culturel et social, au profit tant de leur pays d’origine que de leur pays de destination.

Les migrations sont une réalité incontournable. De nombreuses raisons amènent les gens à se déplacer – que ce soit pour étudier à l’étranger, rejoindre des membres de la famille, chercher un emploi ou des moyens de subsistance, ou assurer un meilleur avenir à leurs enfants. D’autres quittent leur pays pour fuir la criminalité, la violence, les conflits, la persécution, l’insécurité, la discrimination, les catastrophes naturelles et la dégradation de l’environnement, ou encore la pauvreté.

Les migrations volontaires comme les déplacements forcés ont toujours été le lot commun de l’humanité. La plupart des gens comptent probablement parmi leurs ancêtres des personnes ayant migré.

En ces temps de mondialisation et d’interdépendance, la migration internationale pourrait bien devenir un phénomène encore plus répandu. L’intégration croissante des marchés du travail, la baisse du prix des transports et l’existence de réseaux d’information et de communication et de réseaux sociaux bien établis sont autant de facteurs qui favorisent la mobilité.

Si la plupart des migrations internationales sont motivées par des raisons économiques, les conflits, les violences, les persécutions, la répression politique et les autres violations graves des droits de l’homme figurent parmi les principales causes des mouvements de réfugiés et de déplacés.

Le 19 septembre 2016, à l’occasion d’un Sommet de haut niveau qui a eu lieu au Siège de l’ONU, l’Assemblée générale a adopté des engagements essentiels visant à renforcer la protection de millions de personnes déplacées de force et qui se déplacent pour d’autres motifs dans le monde entier. Par ce texte, appelé la Déclaration de New York, les États Membres se sont engagés à :

  • Protéger les droits des réfugiés et des migrants;
  • Sauver des vies;
  • Partager la responsabilité du soutien et de l’accueil de ces réfugiés et migrants;
  • Entamer des négociations menant à une conférence internationale; et
  • Adopter en 2018 un pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière.

Thème 2018 : Migration avec dignité

En 2018, près de 3400 migrants et réfugiés ont perdu la vie.Traiter chaque migrant avec dignité est l’une des exigences fondamentales qui doit guider chacune de nos actions. La migration est le grand enjeu de notre époque mais elle représente également un moteur pour la dignité, car elle permet aux individus de choisir de participer plutôt que de s’isoler.

Nous devons honorer ces choix en les respectant, et nous les respectons en traitant ceux qui font de tels choix avec dignité. À l’occasion de cette Journée internationale, notre appel est que les migrations soient sûres, régulières et dignes pour tous.

Source: Texte (résumé) & Image: www.un.org