?

De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Un ange… sans ailes

Pendant la période de Noël qui s’achève, plus d’une fois, les lectures bibliques nous présentaient des anges. On les imagine de bien des manières, ces créatures ailées… Mais je connais aussi des anges… sans ailes! En voici un!

 

L’ange qui, en secret, paie les factures d’hôpital des patients.

Au Nigéria il y a peu de services médicaux qui soient gratuits et, si vous ne pouvez payez votre compte de frais pour hospitalisation, on ne vous permet pas de quitter les lieux. Qui aidera? Dans cette société profondément religieuse, bien des patients espèrent une intervention divine. 

Zeal Akaraiwai n’a pas les ailes d’un ange – il a une élégante Mercedes.

Ce consultant d’une quarantaine d’années bien vêtu sort de son auto garée entre les de nids de poules dans le stationnement de l’hôpital du gouvernement. Il est accueilli chaleureusement par un groupe de travailleurs/travailleuses sociaux et il se met immédiatement à l’œuvre.

Il demande « la liste » On lui remet le nom des patients qui sont suffisamment rétablis pour retourner chez eux mais qui ne peuvent partir n’ayant pas acquitté ce qu’ils doivent.

Aujourd’hui, Zeal se rend visiter chacun de ceux/celles dont le nom apparaît sur cette liste. Il se rend ensuite à la caisse et paie les frais d’hospitalisation de huit patients.

Zeal ne garde pas contact avec les gens qu’il aide. Il ne veut même pas être remercié. Mais il y a une chose qu’il aimerait en retour – c’est qu’un jour quelqu’un puisse raconter un récit à son sujet – le récit que lorsque la personne était hospitalisée, un ange est venu, a payé son compte et… est reparti.

C’est pourquoi je nomme ce projet: ‘Le projet de l’ange’, dit-il. Soyez l’ange que vous espérez rencontrer!

Source : Texte & Images: résumé de l’article de: BBC The 'angel' who secretly pays patients' hospital bills, Linda Pressly BBC News, Lagos 21 December 2018

Journée mondiale de la Paix, 1er janvier

Dans l’Évangile de Luc, Jésus dit à ses disciples: «Dans toute maison où vous entrerez, dites d’abord: ‘‘Paix à cette maison’’. S’il y a là un ami de la paix, votre paix ira reposer sur lui; sinon, elle reviendra vers vous».

C’est avec cette accroche que le Pape développe sa réflexion pour cette Journée mondiale de la Paix qui ouvre l’année nouvelle.

«La ‘‘maison’’ dont parle Jésus, c’est chaque famille, chaque communauté, chaque pays, chaque continent, dans sa particularité et dans son histoire; c’est avant tout chaque personne, sans distinctions ni discriminations, explique le Pape dans ce Message. C’est aussi notre ‘‘maison commune’’: la planète où Dieu nous a mis pour y vivre et dont nous sommes appelés à prendre soin avec sollicitude. C’est donc également mon vœu au début de l’année nouvelle: ‘‘Paix à cette maison!’’».

François développe ensuite une réflexion tournée vers les décideurs politiques, en rappelant que «la paix est comme l’espérance dont parle le poète Charles Péguy» dans Le Porche du mystère de la deuxième vertu. «Elle est comme une fleur fragile qui cherche à s’épanouir au milieu des pierres de la violence». (…)

La paix est une conversion du cœur et de l’âme», explique le Pape, en invitant à relier «trois dimensions indissociables de cette paix intérieure et communautaire»:

–  La paix avec soi-même, en refusant l’intransigeance, la colère et l’impatience et, comme le conseillait saint François de Sales, en exerçant ‘‘un peu de douceur avec soi-même’’, afin d’offrir ‘‘un peu de douceur aux autres’’;

–  La paix avec l’autre: le proche, l’ami, l’étranger, le pauvre, le souffrant…; en osant la rencontre et en écoutant le message qu’elle porte avec elle;

–  La paix avec la création, en redécouvrant la grandeur du don de Dieu, et la part de responsabilité qui revient à chacun d’entre nous, en tant qu’habitant du monde, citoyen et acteur de l’avenir.

Source: Texte: Cyprien Viet – Cité du Vatican  Image: IMDb

 

Journée internationale des migrants – 18 décembre 2018

 

« Les migrations favorisent la croissance économique, le dynamisme des sociétés et la tolérance. Elles offrent une chance à des millions de personnes en quête d’une vie meilleure, et profitent aussi bien aux communautés d’origine et qu’à celles de destination. » — António Guterres, Secrétaire général de l’ONU

La Journée internationale des migrants est l’occasion de dissiper les préjugés et de sensibiliser l’opinion à leurs contributions dans les domaines économique, culturel et social, au profit tant de leur pays d’origine que de leur pays de destination.

Les migrations sont une réalité incontournable. De nombreuses raisons amènent les gens à se déplacer – que ce soit pour étudier à l’étranger, rejoindre des membres de la famille, chercher un emploi ou des moyens de subsistance, ou assurer un meilleur avenir à leurs enfants. D’autres quittent leur pays pour fuir la criminalité, la violence, les conflits, la persécution, l’insécurité, la discrimination, les catastrophes naturelles et la dégradation de l’environnement, ou encore la pauvreté.

Les migrations volontaires comme les déplacements forcés ont toujours été le lot commun de l’humanité. La plupart des gens comptent probablement parmi leurs ancêtres des personnes ayant migré.

En ces temps de mondialisation et d’interdépendance, la migration internationale pourrait bien devenir un phénomène encore plus répandu. L’intégration croissante des marchés du travail, la baisse du prix des transports et l’existence de réseaux d’information et de communication et de réseaux sociaux bien établis sont autant de facteurs qui favorisent la mobilité.

Si la plupart des migrations internationales sont motivées par des raisons économiques, les conflits, les violences, les persécutions, la répression politique et les autres violations graves des droits de l’homme figurent parmi les principales causes des mouvements de réfugiés et de déplacés.

Le 19 septembre 2016, à l’occasion d’un Sommet de haut niveau qui a eu lieu au Siège de l’ONU, l’Assemblée générale a adopté des engagements essentiels visant à renforcer la protection de millions de personnes déplacées de force et qui se déplacent pour d’autres motifs dans le monde entier. Par ce texte, appelé la Déclaration de New York, les États Membres se sont engagés à :

  • Protéger les droits des réfugiés et des migrants;
  • Sauver des vies;
  • Partager la responsabilité du soutien et de l’accueil de ces réfugiés et migrants;
  • Entamer des négociations menant à une conférence internationale; et
  • Adopter en 2018 un pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière.

Thème 2018 : Migration avec dignité

En 2018, près de 3400 migrants et réfugiés ont perdu la vie.Traiter chaque migrant avec dignité est l’une des exigences fondamentales qui doit guider chacune de nos actions. La migration est le grand enjeu de notre époque mais elle représente également un moteur pour la dignité, car elle permet aux individus de choisir de participer plutôt que de s’isoler.

Nous devons honorer ces choix en les respectant, et nous les respectons en traitant ceux qui font de tels choix avec dignité. À l’occasion de cette Journée internationale, notre appel est que les migrations soient sûres, régulières et dignes pour tous.

Source: Texte (résumé) & Image: www.un.org

 

 

Journée mondiale du bénévolat – 5 décembre

Bénévoler ? C’est consacrer son temps libre en mettant au service des autres son énergie et ses compétences. C’est donc bénévolement que je vais vous présenter cette journée. (si, si je vous le jure)

Valeur républicaine ?
En effet, c’est le 17 décembre 1985 à New York que l’ONU a décidé de créer la journée mondiale du bénévolat afin de promouvoir le travail des bénévoles pour le développement économique et social aussi bien au niveau local, national et international. Mais c’est aussi pour mettre en avant le rôle joué par les structures associatives qui s’efforcent de répondre aux divers besoins de la vie sociale, principalement au près des jeunes, et des quartiers difficiles.

L’ONU souhaiterait voir les sociétés et les gouvernements reconnaître et promouvoir le volontariat comme activité indispensable.

Bénévolat ou volontariat ?
Pour être tout à fait précis, nous nous devons de dire que la résolution des Nations Unies dont il est fait mention (la 40/212) est plus exactement consacrée au volontariat. Et dans ce cas, on parle volontiers de la Journée Internationale du Volontariat. Mais ne nous leurrons pas, il s’agit bien d’une seule et même journée. La nuance n’existe d’ailleurs qu’en France et son origine est plutôt à rechercher dans les méandres du dictionnaire. Ne traduit-on pas « bénévolat » par « Voluntary work » ?

Championne d’Europe
La France peut se vanter d’être championne d’Europe du bénévolat et du volontariat (ça fait toujours plaisir). Effectivement 4 associations sur 5 sont exclusivement gérées par des bénévoles.

Soit 190 associations créées par jour (70 000 par an, 1 million d’associations en activité), ainsi que 12 millions de bénévoles (dont 3,5 millions de bénévoles réguliers qui accordent au moins deux heures par semaine à une association) qui sont reconnus au niveau du gouvernement par le ministère chargé de la vie associative. Mais hélas, le nombre de bénévoles ne semble pas augmenter.

Chez certain de nos voisins, le bénévolat est considéré comme une matière éducative, c’est à dire qu’il fait partie dans de nombreux pays du cursus universitaire, mais la France devrait d’ici quelques temps se mettre au niveau de ses voisins.

Un site à visiter : www.unicef.fr    Source : Texte: Journée mondiale     Image: Ville de Gaspé      

Journée Internationale des personnes handicapées – 3 décembre

Afin de favoriser l’intégration et l’accès à la vie économique, sociale et politique des personnes handicapées, une Journée Internationale des Personnes Handicapées à été proclamée, en 1992, par les Nations Unies, à la date du 3 décembre.

Cette journée mondiale est par ailleurs l’occasion idéale de réaffirmer certains principes de base, trop souvent oubliés: « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits ». Le respect de cette dignité due à chaque personne, valide ou non, implique la reconnaissance de droits fondamentaux comme l’éducation ou l’accès au travail.

Les manifestations organisées à cette occasion nous invitent à de modifier le regard que nous portons sur les personnes handicapées.

Sortie la journée du 3/12 de l’ombre médiatique

Depuis 2011, cette journée possède son étendard, son symbole… sous la forme d’un badge à porter sur soi. Cette initiative revient à une association belge, l’ASPH qui l’a mis en place en collaboration avec plus d’une trentaine d’autres associations.

Lors de la création du badge, le choix définitif s’est porté sur le cercle violet: 

  • le cercle est synonyme de perfection, d’absolu, d’infini
  • le violet symbolise l’unité, le peuple et la démocratie chez le romains.

Oui, les personnes handicapées font partie de la société civile.
Oui, les personnes handicapées sont des citoyennes à part entière.
Oui, les personnes handicapées revendiquent leur place.

Le grand public est amené à reconnaître la personne handicapée comme l’une des leurs. Le badge rappelle que la personne handicapée est une personne avant d’être un handicapé. Il rappelle que la personne handicapée fait partie intégrante de la société.
Rassembleur, fondamental, facile, ce badge est le symbole d’un secteur… celui du handicap.

Un site à visiter : www.handicap-international.org   Source : Texte & Images : Journée mondiale

Journée Internationale des droits de l’enfant – 20 novembre

« Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne santé, dans la paix et dans la dignité. »
Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies

C’est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la « Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant » (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.

Une convention et des droits
La Convention Internationale des Droits de l’Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989. Elle affirme qu’un enfant n’est pas seulement un être fragile qu’il faut protéger mais que c’est une personne qui a le droit d’être éduqué, soigné, protégé, quel que soit l’endroit du monde où il est né. Et aussi qu’il a le droit de s’amuser, d’apprendre et de s’exprimer. Elle a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s’engager.

Ce texte est très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous. Promouvoir les droits des enfants, c’est tout d’abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder. C’est à ce prix que les droits de l’enfant seront véritablement respectés.

L’UNESCO a toujours accordé une place significative à l’enfant au sein de ses programmes et de ses activités, qui visent notamment au développement optimal de la personnalité dès la petite enfance, au progrès social, moral, culturel et économique de la communauté, à l’appréciation des identités et valeurs culturelles, et à la sensibilisation au respect des droits et des libertés fondamentales.

La promotion et le respect des Droits de l’Enfant ne doit pas rester un simple idéal, mais doit devenir une réalité au quotidien, que soient enfin reconnus les droits essentiels de l’enfant : droit à la protection, droit à la santé, droit au développement harmonieux, droit à la culture, droit à l’éducation.

L’Unicef, dans son rapport annuel intitulé « Enfants exclus, enfants invisibles » relève qu’il existe de nombreux enfants qui ne sont même pas enregistrés à l’Etat civil. Ce même rapport indique que plus d’un milliard d’enfants sur Terre « souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida ».

En 2015, un enfant meurt encore toutes les 3 secondes. Sans parler des millions d’enfants privés d’éducation, de soins, de nourriture, d’eau potable…

Parmi les nombreuses oeuvres qui agissent pour que soit reconnue la dignité des pauvres et des enfants du monde entier, l’UNICEF est surement l’une des plus connues, c’est pourquoi nous vous conseillons de découvrir ses actions dans son site internet dédié.

Un site à visiter : www.unicef.fr    Source : Texte (abrégé) & Image : Journée mondiale

 

Journée mondiale des pauvres – 17-18 novembre

Le pape a lancé son appel pour la Journée mondiale des pauvres qui se tiendra, pour la deuxième fois, les 17 et 18 novembre. Dans ce texte, il nous interpelle sur notre rapport aux plus fragiles et sur la place que nous leur accordons dans notre foi et notre engagement de chrétien.

« Les pauvres nous évangélisent, en nous aidant à découvrir chaque jour la beauté de l’Évangile. Ne passons pas à côté de cette occasion de grâce », demande le pape François dans son message pour la deuxième Journée mondiale des pauvres.

Dans ce message le pape appelle les chrétiens à la lutte contre la pauvreté sous toutes ses formes et à une véritable attention face aux plus vulnérables, en en faisant le centre de cette journée tout en n’en délaissant pas l’identité chrétienne.

Rappelant les dangers d’une « culture du déchet », il invite à prendre conscience de la multitude des laissés pour compte de nos sociétés : « manque des moyens de base de subsistance, la marginalisation due au manque de travail, les différentes formes d’esclavage social, malgré les avancées accomplies par l’humanité… »

Source : Texte (abrégé): Corentin Cnudde , le 14/06/2018 La Croix   Image : fr.news.yahoo.com

Journée internationale de la Tolérance – 16 novembre

Tolérance et compréhension mutuelle
L’Organisation des Nations Unies est résolue à renforcer la tolérance en encourageant la compréhension mutuelle entre les cultures et les peuples. Cet impératif est au cœur de la Charte des Nations Unies ainsi que de la Déclaration universelle des droits de l’homme et est plus importante que jamais dans cette ère d’extrémisme violent et de radicalisme caractérisé par un mépris fondamental de la vie humaine.

Chaque année le 16 novembre, la communauté internationale célèbre la Journée internationale de la tolérance avec des activités qui s’adressent à la fois aux établissements d’enseignement et au grand public.

L’Assemblée générale a instauré cette journée par sa résolution 51/95 du 12 décembre 1996, faisant suite à l’Année 1995 pour la tolérance proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies à l’initiative de la Déclaration de principes sur la tolérance de l’UNESCO adoptée en 1995.

Les Nations Unies ont lancé une nouvelle campagne pour promouvoir la tolérance, le respect et la dignité dans le monde. Elle met en lumière les apports en termes économiques, culturels et sociaux des migrants et des réfugiés au sein de leurs pays d’origine, de transit et d’accueil. La campagne intitulée : « Ensemble : Respect, Sécurité et Dignité pour tous » perme également de répondre à la désinformation ainsi qu’aux interprétations erronées sur les réfugiés et les migrants, et encourage le dialogue entre les réfugiés, les migrants et les populations des pays d’accueil.

Créateurs au service du changement
Cette année, en collaboration avec YouTube, les Nations Unies organiseront une projection de courts métrages issus du programme « Créateurs au service du changement 2018 » de YouTube, le vendredi 16 novembre 2018. Quatre des créateurs et des représentants de la Section de sensibilisation à l’éducation et du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme participeront à une discussion avec le public. Des présentations seront aussi faites par des étudiants sélectionnés parmi les 750 participants. L’événement inclura un spectacle organisé par l’un des créateurs, L-FRESH The Lion, à l’occasion du 70e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

Source : Texte : Journée mondiale Image : ONU

Journée mondiale du recyclage – 15 novembre

Triez, recyclez, triez, recyclez, les objets ont plusieurs vies… grâce à vous !

La journée du recyclage a été instituée en 1994 aux États-Unis et son objectif principal était alors de promouvoir la consommation de produits fabriqués à partir de matériaux recyclés.

La réflexion actuelle sur le recyclage va plus loin et il s’agit bel et bien d’un enjeu écologique majeur car la production de nouveaux matériaux, comparativement à la réutilisation de matériaux existants constitue une économie essentielle sur le plan énergétique et celui des rejets.

Le saviez-vous ?

  • 75% de nos emballages ménagers sont produits à partir de matériaux recyclés.
  • certains pays (Allemagne par exemple) réutilisent leur bouteilles de verre et d’autres pas (France par exemple)…
Source: Texte (abrégé) : Journée mondiale   Image: Jefferson-recycling.com