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Deux mots… un tel pouvoir !

Dans l’univers francophone (et dans bien d’autres langues, je le soupçonne) il y a deux petits mots d’une importance capitale.
Ils résonnent avec une puissance étonnante même à peine murmurés.
Vous l’avez deviné : c’est le OUI et le NON !

Avec l’un, ou l’autre, on peut partir en guerre ou signer le traité de paix!
Le petit de deux ans, dans sa ‘phase du ‘non’, a déjà découvert le pouvoir de… négation!

Et les grands aussi, qui demeurent dans cette dite phase!…
Non, je ne veux pas.
Non, je n’irai pas.
Non, je ne le ferai pas.
Non, je ne m’engagerai pas.

Plus doucement, plus timidement peut-être, mais non moins puissant :
Oui, je veux bien.
Oui, j’essaierai.
Oui, pourquoi pas ?
Oui, bien sûr !

Mais il y a aussi le ‘Non’ positif !
Non, je ne renierai pas mes valeurs.
Non, je n’irai pas à l’encontre de mes convictions.
Non, je n’oublierai pas mes engagements.
Non, je n’abandonnerai pas ceux qui comptent sur moi.

OUI ! NON!

Ils expriment les décisions.
Ils actualisent les choix.
Ils façonnent la personnalité.
Ils révèlent ce que je suis…

« Que votre langage soit : ‘Oui? Oui’, ‘Non? Non’; ce qu’on dit de plus vient du Mauvais. » (Mt.5 :37)

Source: Image: Pinterest

Attentat terroriste à Québec

«Le Saint-Père condamne fermement à nouveau la violence qui engendre tant de souffrances, implorant de Dieu le don du respect mutuel et de la paix.»

Le pape François, dans un télégramme transmis à l’archevêque de Québec, le cardinal Gérald Lacroix:

«Si les tueurs avaient l’intention d’opposer des gens de fois différentes les uns aux autres ou de les diviser, ils ne doivent pas réussir et ne réussiront pas. Nous sommes en deuil aux côtés de la communauté musulmane de Québec.»

Source: Texte: MSN, Images: Getty; sputniknews.com

Journée de la mémoire de l’Holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité – 27 janvier

« La France a retenu la date du 27 janvier, anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz, pour cette journée de la mémoire.

Nous avons recueilli pour vous quelques extraits de textes qui nous ont paru particulièrement « éclairants » sur le sujet.

« Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l’oubli » (Elie Wiesel)

« (…) Nous célébrons la « Journée de la mémoire de l’holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité ». Une mémoire qui repose sur les témoignages des acteurs et sur les travaux des historiens. Une mémoire d’autant plus vive, paradoxalement, que les survivants disparaissent, ayant à cœur, s’ils ne l’ont déjà fait, de transmettre aux générations nouvelles ce que, bien souvent, si longtemps, ils ont eu tant de peine à exprimer : « Il est dur pour la langue de prononcer de tels mots, pour l’esprit d’en comprendre le sens, de les écrire sur le papier » (Abraham Lewin). Une mémoire d’autant plus précise que les historiens – et notamment les alsaciens- accèdent à de nouvelles archives, affinent nos connaissances – par exemple sur le camp du Struthof – et s’efforcent d’expliquer ce qui semble parfois échapper à la raison.

Mémoire de Shoah

Prévention des crimes contre l’humanité en même temps que mémoire de la Shoah, cette journée a également pour but d’intégrer à ce travail de mémoire toutes les victimes des crimes contre l’humanité. Et d’abord, pour en revenir aux victimes de la terreur nazie, outre les communautés juives d’Europe, qui en forment la majeure partie, les populations tziganes ou encore les malades mentaux.

Ce devoir de mémoire, et de prévention est plus actuel que jamais. Aujourd’hui comme hier, aujourd’hui comme demain, aucune forme de racisme et d’antisémitisme quelle qu’elle soit ne saurait être tolérée.

Une humanité fondée sur la justice

Une vigilance qui souligne que l’enjeu de la commémoration de la libération du camp d’Auschwitz, camp de concentration et « centre de mise à mort » (Raul Hilberg), ne concerne pas que les bourreaux et leurs victimes juives. Elle est le lieu de mémoire commun d’une mémoire européenne qui ne cesse de se constituer et l’horizon d’une humanité fondée sur la justice, la paix et la tolérance.

Un site à visiter : www.cercleshoah.org           Source: Texte (abrégé) & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale des orphelins de guerre – 6 janvier

5 jours après la Journée Mondiale de la Paix, on parle des orphelins de guerre. Leur journée mondiale est d’origine Onusienne et c’est d’ailleurs la convention relative aux droits de l’enfant qui affirme que les droits des enfants doivent être respectés même en période de guerre ou de conflit armé.

Les enfants ne sont pas responsables…
… et ne doivent pas devenir les victimes de la bêtise de leurs parents. Les enfants ont le droit d’être protégés dans toutes les circonstances et de vivre dans un environnement pacifique, même si les adultes n’ont pas été capables de régler leurs conflits de façon intelligente.

Orphelins de guerre de par le monde
La situation matérielle des orphelins de guerre dans les zones touchées par les conflits reste extrêmement problématique et l’appel aux états pour remédier à cet état de fait toujours aussi nécessaire…

Une initiative du musée virtuel canadien mérite d’être relayée dans ce site: elle trouve sa source dans le sort d’un groupe d’orphelins juifs de la deuxième guerre mondiale qui a émigré au Canada. Cette histoire (vraie) appartient autant au passé qu’au présent et peut constituer un appel et une mise en garde contre l’indifférence et la passivité de ceux qui ne sont pas touchés par ces questions.

Il y a actuellement de très nombreux réfugiés pour cause de guerre dans le monde; plus de la moitié sont des enfants et parmi eux les orphelins sont très nombreux.

Un site à visiter : www.in-terre-actif.com  Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de la Paix – 1er janvier

Message du Pape François pour la 50è journée mondiale de la paix:

« À cette occasion, je souhaite m’arrêter sur la non-violence comme style d’une politique de paix et je demande à Dieu de nous aider tous à puiser à la non-violence dans les profondeurs de nos sentiments et de nos valeurs personnelles. Que ce soient la charité et la non-violence qui guident la manière dont nous nous traitons les uns les autres dans les relations interpersonnelles, dans les relations sociales et dans les relations internationales.(…)

Lorsqu’elles savent résister à la tentation de la vengeance, les victimes de la violence peuvent être les protagonistes les plus crédibles de processus non-violents de construction de la paix. Depuis le niveau local et quotidien jusqu’à celui de l’ordre mondial, puisse la non-violence devenir le style caractéristique de nos décisions, de nos relations, de nos actions, de la politique sous toutes ses formes! »

Source: Text & Image: Église Catholique en France:

Journée Mondiale des droits de l’homme – 10 décembre

L’éducation aux droits de l’homme est bien plus qu’un sujet de leçon ou que le thème d’une journée: c’est un processus qui vise à ce que chacun soit équipé pour vivre sa vie dans la sécurité et la dignité. En cette Journée internationale des droits de l’homme, continuons ensemble à faire le nécessaire pour que les générations futures aient une culture des droits de l’homme, et à promouvoir la liberté, la sécurité et la paix dans tous les pays.
Kofi Annan, secrétaire général de l’ONU

En 1950, l’Assemblée générale des nations unies a invité tous les états et toutes les organisations internationales concernées à célébrer le 10 décembre de chaque année la Journée des droits de l’homme [résolution 423 (V)]. Cette journée marque l’anniversaire de l’adoption en 1948, par l’Assemblée, de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

Pierre angulaire du droit international
Ce texte, qui n’était en 1948 qu’une simple déclaration non contraignante, signée par 58 États-membres des Nations Unies constituant l’Assemblée générale des Nations Unies d’alors, est devenu – suite aux atrocités de la deuxième guerre mondiale – la pierre angulaire du droit international de la personne humaine.

Un site à visiter : www.education.gouv.fr     Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de la Télévision – 21 novembre

televisionL’UNESCO célèbre le 21 novembre la Journée mondiale de la télévision, proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1996 pour encourager des échanges mondiaux de programmes télés se concentrant sur la paix, la sécurité, le développement social et économique et l’amélioration de l’échange culturel.

L’UNESCO et la télévision
L’UNESCO reconnaît l’importance de la télévision en tant que premier moyen de communication et passage normal de l’information de masse, ceci est d’autant plus important dans les pays les moins développés. La télévision joue un véritable rôle en ce qui concerne la diffusion de l’information et de la connaissance et constitue un puissant outil reflétant et déterminant les conditions et les aspirations humaines.

Les programmes de l’UNESCO, y compris le Programme international pour le développement de la communication (PIDC), donne la priorité à l’encouragement de la liberté d’expression et au renforcement de la diversité culturelle dans les médias, en particulier en améliorant les capacités endogènes de production et en soutenant la distribution de programmes audiovisuels de qualité.

L’UNESCO s’est engagé à soutenir et à améliorer la radiotélévision indépendante du point de vue de la rédaction mais aussi la conservation de ses contenus, contribuant de ce fait à l’inclusion sociale et au renforcement de la société civile. L’UNESCO favorise la radiotélévision publique comme unique service fournissant un accès universel à l’information et au savoir, par la qualité et les divers contenus reflétant les besoins, les inquiétudes et les espérances des diverses audiences, en particulier les communautés désavantagées. L’action de l’UNESCO sur la radiotélévision publique se concentre principalement sur la mise en valeur de l’utilité des télévisions comme véhicule éducatif et culturel ; sur des recommandations faites aux Etats membres sur des questions d’ordre juridique, financier, mais aussi sur des questions de normalisation et d’autres toutes aussi importantes; et sur l’encouragement des professionnels des médias à réduire la violence au sein des actualités et des programmes fictifs dans des médias électroniques, avec une considération toute particulière pour les enfants et la jeunesse.

Pour des programmes de qualités
La création et la diffusion de contenu local reflétant les valeurs et l’expérience des communautés et des cultures locales sont nécessaire à la conservation de la diversité culturelle. La tâche du programme de l’UNESCO pour la création de contenu, de réaliser non seulement une programmation de télévision de qualité mais de manière importante, augmente la production de contenu local reflétant de telles valeurs. La stratégie du programme est réalisée grâce au pourvoi de formation, au financement de productions locales et à l’établissement de plates formes destinées à la diffusion de contenu local pour les auteurs, les producteurs et les animateurs de télévision.

L’UNESCO croit fortement qu’une programmation télévisée, de haute qualité et soutenue, résulte en un public intéressé et bien informé avec la possibilité de participer à des discussions publiques, et de se démener pour des questions d’ordre politiques et d’intérêt commun, et donc soulignant le rôle crucial de la télévision tout en favorisant la démocratie.

L’UNESCO encourage les institutions de radiotélévision ainsi que d’autres partenaires des médias à unir leurs mains et à célébrer la Journée mondiale de la télévision.

Un site à visiter : www.itu.int   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale des droits de l’enfant – 20 novembre

« Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne droit-enfantsanté, dans la paix et dans la dignité. « Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies.

C’est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la « Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant » (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.

Une convention et des droits
La Convention Internationale des Droits de l’Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989. Elle affirme qu’un enfant n’est pas seulement un être fragile qu’il faut protéger mais que c’est une personne qui a le droit d’être éduqué, soigné, protégé, quel que soit l’endroit du monde où il est né. Et aussi qu’il a le droit de s’amuser, d’apprendre et de s’exprimer. Elle a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s’engager.

Ce texte est très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous. Promouvoir les droits des enfants, c’est tout d’abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder. C’est à ce prix que les droits de l’enfant seront véritablement respectés.

L’UNESCO a toujours accordé une place significative à l’enfant au sein de ses programmes et de ses activités, qui visent notamment au développement optimal de la personnalité dès la petite enfance, au progrès social, moral, culturel et économique de la communauté, à l’appréciation des identités et valeurs culturelles, et à la sensibilisation au respect des droits et des libertés fondamentales.

La promotion et le respect des Droits de l’Enfant ne doit pas rester un simple idéal, mais doit devenir une réalité au quotidien, que soient enfin reconnus les droits essentiels de l’enfant : droit à la protection, droit à la santé, droit au développement harmonieux, droit à la culture, droit à l’éducation.

L’Unicef, dans son rapport annuel intitulé « Enfants exclus, enfants invisibles » relève qu’il existe de nombreux enfants qui ne sont même pas enregistrés à l’Etat civil. Ce même rapport indique que plus d’un milliard d’enfants sur Terre « souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida ».

En 2015, un enfant meurt encore toutes les 3 secondes. Sans parler des millions d’enfants privés d’éducation, de soins, de nourriture, d’eau potable… Parmi les nombreuses oeuvres qui agissent pour que soit reconnue la dignité des pauvres et des enfants du monde entier, l’UNICEF est surement l’une des plus connues, c’est pourquoi nous vous conseillons de découvrir ses actions dans son site internet dédié.

Un site à visiter : www.unicef.fr   Source: Texte (abrégé) & Image: Journée mondiale