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L’alphabet du Carême – Lettre L

L pour Lumière
 
Nos villes se parent de lumière pour tous les goûts – les éclairages modernes ne laissent rien dans l’ombre.
Il faut le talent des artistes et des réalisateurs de cinéma pour créer le clair-obscur.
Certains aspects de la réalité gagnent à demeurer dans la pénombre.
De nos jours, plusieurs se plaignent de l’illumination intense devenue une pollution qui nous empêche de voir… les étoiles!

La lumière nous est bien utile, il faut l’avouer – sans elle, nous trébuchons parfois sur un chemin peu connu.
Notre vocabulaire suggère que notre esprit a aussi besoin de clarté.
Ne dit-on pas: « Vos propos on mit en lumière ce que je voulais dire »?
Ou encore: « Cette situation s’éclaircira avec le temps… »

Mais il est un autre domaine où nous avons grand besoin de lumière – c’est celui de notre être profond…
Lumière qui permet à notre esprit de déceler le bon choix à faire, la bonne décision à prendre…
Lumière qui dirige notre agir selon les valeurs authentiques…
Lumière qui clarifie les options et justifie les engagements…

À Nicodème venu le rencontrer « de nuit », Jésus disait (Jean 3:2):
« La lumière étant venue dans le monde,
 les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière » (Jean 3:19).

Malheureusement, il en est parfois ainsi de nous…
Pourtant, Jésus a dit clairement :

« Je suis la lumière du monde;
celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres,
mais il aura la lumière de la vie » (Jean 8:12).

« La lumière de la vie » –­ c’est bien ce dont nous avons besoin!
La lumière au quotidien, au fil des événements.
À l’heure des choix qui coûtent…
Au moment des décisions aux conséquences sérieuses…

Jésus nous invite:
« Marchez, pendant que vous avez la lumière,
 afin que les ténèbres ne vous surprennent point:
celui qui marche dans les ténèbres ne sait où il va » (Jean 12:35).

Ne pas être surpris/es par les ténèbres…
Savoir où nous allons, c’est quand même essentiel, non?…
 

ource: Image: DailyVerses.net

 

 

 Fête du Christ, Roi de l’univers, année C, 2022

Dieu devenu humain.

Né dans une grotte, réfugié à l’étranger, il se fait accueil pour tout un chacun.

Le Maître s’agenouillant aux pieds de ses disciples, lave leurs pieds.

Sa compassion, son pardon, toujours offerts, on l’accuse faussement.

Verbe, Parole de Dieu, on le réduit au silence.

Portant nos douleurs et nos souffrances, il subit la torture.

Innocent et juste par excellence, il est condamné à mort.

Il était… le Roi-Serviteur.

L’aviez-vous reconnu?…

 

Note: Une autre réflexion est offerte sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-christ-the-king-of-the-universe-year-c-2022/

 

Source: Image: Christianity

 

 

Journée mondiale des soins palliatifs – 7 octobre 2023

En France, depuis juin 1999, la loi « vise à garantir l’accès aux soins palliatifs » à tout un chacun, sans condition de ressource, de milieu social, de lieu de résidence ou encore de maladie.MerciEn pratique, ce droit semble loin d’être respecté de façon uniforme et repose d’une façon criante sur un débat éthique dont notre société ne pourra pas faire l’économie très longtemps.

Mourir dans la dignité ?

Ne nous trompons pas de débat… il ne s’agit pas ici de proposer une aide à mourir mais bel et bien des soins qui permettent aux personnes en fin de vie de terminer leur parcours dans la dignité, jusqu’à leur mort naturelle.

Nos comités d’éthique, nos églises et nos partis politiques se sont légitimement emparés de cette question et il est intéressant de lire leurs écrits : ils en disent long sur leur vision du respect de la dignité de l’homme.

Faire connaître ses choix

Que dire aussi de la douloureuse « affaire » Vincent Lambert, qui aurait en principe du rester sur un strict terrain médical et est devenue en l’espace de quelques années la cristallisation de points de vues irréconciliables ?

L’action d’associations telles que Le Cercle Bleu nous montre peut-être aujourd’hui une partie du chemin en proposant à tout un chacun de faire connaître ses options personnelles au monde médical… en espérant qu’elles seront respectées !

Un site à visiter : www.sfap.org    Source: Texte: Journée Mondiale

Le thème de la campagne de cette année (2023) est « Les soins palliatifs partout », soulignant l’importance d’assurer des soins palliatifs complets, de qualité et accessibles à toute personne confrontée à une maladie limitant son espérance de vie, en tout du lieu de soin, dans chaque code postal.

Les soins palliatifs sont des soins axés sur la personne qui soulagent la souffrance des personnes confrontées à une maladie limitant leur espérance de vie, y compris le répit pour les aidants naturels et les proches, le soutien en santé mentale et spirituel, et offrent une meilleure qualité de vie pour les personnes recevant ces soins. Ils peuvent être dispensés dans tout cad https://www.cisss-at.gouv.qc.ca/maisons-de-soins-palliatifs/re, d’une maison de soins palliatifs aux soins de longue durée, de l’hôpital au domicile.

Source: Texte & 1ère Image: https://www.cisss-at.gouv.qc.ca/maisons-de-soins-palliatifs/   2è image: https://www.acsp.net/

23è dimanche de l’année C, 2022

Faire des choix: nous en faisons constamment et de toutes sortes.
Le menu du jour, la tenue de sortie, le cadeau à offrir, le changement d’emploi, la période de vacances, etc.
Des choix, et encore des choix, s’offrent à nous et exigent une décision de notre part.

Et, si on y pense… DIEU a aussi fait un choix – un choix absolument renversant!
Un choix tout à fait extraordinaire et plutôt… invraisemblable!
Dieu a décidé de nous créer à sa ressemblance en nous faisant des êtres libres!

Dieu n’a pas voulu que nous soyons des marionnettes qu’il manipule à sa guise.
En nous créant libres, Dieu nous a, par le fait même, rendus capables de faire nos propres choix.

Dans le texte de l’évangile d’aujourd’hui (Luc 14:25-33), Jésus nous propose justement un choix.
Un choix exigeant, un choix qui demande un engagement sans condition et sans retour.

Le Christ nous invite à faire le choix de:

  • devenir son disciple,
  • marcher à sa suite,
  • accepter son message,
  • vivre selon les valeurs qu’il présente.

Depuis toujours, les êtres humains voulaient être comme Dieu (Genèse 3:5) –
et nous le sommes!
Mais… encore faut-il vivre selon cette réalité!

Laissé/es à nous-mêmes, nous n’y arriverions pas, mais le texte de la 1ère lecture (Sagesse 9:13-18)
nous assure que l’Esprit de Dieu lui-même nous a été donné.

Alors… l’option demeure présente et… elle nous confronte… au quotidien!

 

Note: Une autre réflexion est offerte sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/23rd-sunday-of-year-c-2022/

 

Source: Images: penserchanger.com    webhub.social

21è dimanche de l’année C – 2022

Les questions et… les réponses – elles font partie de notre quotidien.
Elles nous rejoignent de bien des manières et dans les circonstances les plus diverses.
Où? Quand? Comment? Pourquoi?…
Elles surgissent de la curiosité peut-être, ou du désir d’apprendre.
Elles nous surprennent parfois et souvent nous interpellent.

Il est intéressant d’observer Jésus quand on lui pose une question.
On l’interroge parfois sur les traditions de son peuple.
Il se peut aussi qu’on le questionne sur son attitude dans telle ou telle situation.
Il arrive qu’on lui demande une information sur un sujet en particulier.
C’est le cas dans le texte de l’évangile d’aujourd’hui (Luc 13:22-30).

« Jésus traversait villes et villages en enseignant.
Quelqu’un lui demanda :
‘Seigneur, n’y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ?’ »

Une question d’importance… vous vous la posez peut-être vous-même?
Il s’agit de notre vie maintenant et… de l’autre vie – celle qui nous attend après la mort.
Être sauvé, n’est-ce pas ce que tous et toutes nous désirons?

J’imagine que les gens qui, ce jour-là, écoutaient l’enseignement de Jésus désiraient bien connaître la réponse qu’il allait donner à cette question.
Mais… selon son habitude, Jésus n’a pas répondu!
Ou plutôt, il a répondu… comme il le fait souvent:
par  une parabole, un récit, une autre question, ou un conseil…

C’est le cas du texte d’aujourd’hui qui est un rappel à ce qui est essentiel:
non pas le nombre des élus mais bien… si NOUS pourrons, nous, être de ce groupe !
Jésus nous en donne le secret – un secret assez mystérieux:

« Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite. »

Mais il nous laisse le soin d’interpréter ses paroles.
À nous d’identifier – au fil des jours – ce que représente cette ‘porte étroite’…

Chacun, chacune doit personnaliser ses réactions, évaluer ses choix, assumer ses engagements…

Se garder de la facilité: ‘Ç’est assez bien comme ça…’
             alors qu’on pourrait faire bien mieux!
Se méfier du laisser-aller: ‘Tout l’monde le fait…’
          alors que la discipline serait de rigueur dans cette situation.
Vaincre l’apathie: ‘J’ai toujours fait ainsi, à quoi bon changer…’
            alors qu’un effort conduirait à une vie plus riche de sens.
Surmonter l’égoïsme: ‘J’me débrouille, que les autres en fassent autant’…
             alors qu’on pourrait donner un coup de main à quelqu’un dans le besoin.

Jésus ne répond pas aux questions mais…
les réponses que son Esprit nous suggère au plus secret de nous-mêmes sont la piste qu’il nous faut suivre pour « prendre place au festin dans le royaume de Dieu ».
 

Note: Une autre réflexion est offerte sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/21st-sunday-of-year-c-2022/

 

Source: Image: Iris de la Bible

 

 

20è dimanche de l’année C, 2022

Il arrive que certaines expressions du langage courant révèlent soudainement leur sens profond.
On entend parfois quelqu’un dire: « C’était difficile mais ça valait la peine. »
Une autre personne dira: « Cette décision m’a demandé du courage mais ça valait la peine. »

En d’autres mots: Ce qui a de la valeur peut être couteux.
La ‘peine’, n’est-ce pas le prix à payer pour découvrir ce qui est précieux?

Cette réflexion m’est venue à l’esprit à la lecture du texte de l’évangile de ce dimanche (Luc 12:49-53).

Marcher à la suite du Christ n’est pas facile.
Accepter le message qu’il proclame ne va pas de soi.
Être fidèle à ce qu’il demande est exigeant.

Il se peut que certains de mes proches m’abandonnent.
Les ami/es sur qui je comptais peuvent cesser de me fréquenter.
Les gens en qui j’avais confiance ne me reconnaissent plus.

L’amitié avec le Christ demande de faire des choix parfois couteux…
Mais… « ça vaut la peine », c’est ce qui donne sens à la vie!

 

 

Note: Une autre réflexion est offerte sur un thème différent en anglais à:  https://image-i-nations.com/20th-sunday-of-year-c-2022/

 

Source: Image: Pinterest   ‘Stranger in a Strange Land’ by Stuart Lippincott

 

 

6è dimanche de Pâques, année C – 2022

Il se peut que nous lisions la Bible régulièrement et que nous connaissions certains textes de mémoire.
Cela peut être utile, mais cela peut aussi présenter un piège, ou du moins, un défi:
celui de ne pas toujours porter une attention soutenue à la lecture.
Et pourtant, ces textes ont parfois matière à… nous secouer, littéralement!

C’est le cas pour la 1ère lecture de ce dimanche (Actes 15:1-2,22-29).
On y voit un groupe des premiers Chrétiens rassemblés autour de Paul et Barnabé et quelques autres Anciens.
On doit résoudre un problème qui a surgi dans une communauté chrétienne.

Les délégués adressent l’assemblée et ils utilisent une expression tout à fait hors de l’ordinaire.
Avec conviction, ils disent :
« L’Esprit Saint et nous-mêmes avons décidé… »

Une autre traduction exprime leur pensée ainsi :
« Il nous a semblé bon, au Saint-Esprit et à nous-mêmes… »
 
Quelle foi, quelle audace!
Être à ce point à l’écoute de Dieu…
Être totalement imprégné de l’inspiration de l’Esprit…
Être envahi dans tout son être par la présence de Dieu…
Être absolument convaincu que l’on traduit la parole de Dieu lui-même…

Pourrions-nous en dire autant?…
Avons-nous une telle foi?…
Une foi aussi audacieuse?…

Évidemment, cela implique que:

  • les choix que nous faisons,
  • les décisions que nous prenons,
  • les engagements auxquels nous nous adonnons,
  • les plans que nous élaborons,

tout cela est fait… en consultation avec lui, l’Esprit de Dieu…

« L’esprit Saint et nous… »
Évidemment, cette complicité change la perspective de la vie au quotidien!…

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/6th-sunday-of-easter-year-c-2022/

 
Source: Image: https://unsplash.com/photos/C7B-ExXpOIE

L’évangile… dérangeant?

Trouvez-vous l’évangile… dérangeant?
Autant dire : Trouvez-vous Jésus dérangeant?…

Certains textes de l’évangile sont encourageants, réconfortants.
Mais il y en a d’autres qui sont positivement, oui, dérangeants – parce qu’ils nous posent un défi.
Ils nous font sortir de notre zone de confort et… pas à peu près!
Ils exigent que nous donnions TOUT ce dont nous sommes capables – et même plus!

C’est le cas de l’évangile de ce dimanche (31è de l’année B – Mc.12:28-34) qui nous dit justement « d’aimer Dieu de TOUT notre esprit, de TOUT notre cœur, de TOUTES nos forces ».
Et la 2è partie de la réponse de Jésus semble encore plus exigeante : « Et notre prochain COMME nous-mêmes! »

En réfléchissant à ce texte, une anecdote me revient à l’esprit.
Un groupe de pèlerins s’est rendu à Rome pour une cérémonie de canonisation.
Ils se tiennent sur la Place Saint-Pierre et, tout en observant ce qui se passe, l’un d’eux demande à ses voisins :

« Est-ce que vous le connaissiez le saint qu’on va canoniser? »
Les gens à ses côtés secouent négativement de la tête.
« Je pensais l’avoir vu dans notre quartier, je pensais même l’avoir aperçu frappant aux portes. »
« Oui, il était souvent dans les environs… »
« Vous ne lui avez jamais ouvert la porte? »
« Euh… Non… »
« Et maintenant… c’est lui qu’on canonise! »

Et la répartie ne se fait pas attendre :
« Ah, mais si on avait su que c’était un saint, nous lui aurions ouvert la porte, bien sûr »!

Si on avait su…

  • Le mendiant toujours là sur notre chemin…
  • Le voisin importun…
  • Le jeune bruyant et pas toujours poli…
  • La cousine quémandeuse…
  • Le visiteur qui s’amène au mauvais moment…

On est parfois prêt à venir en aide à des personnes de notre choix.
Qu’en est-il des personnes… du choix de Dieu – ceux et celles qu’il nous envoie sans révéler son identité?!

Si on savait…………

Source: Images: seletlumieretv.org   vegasimmigrationlawyer.com

26è dimanche de l’année B – 2021

L’expression est familière et on l’entend dans différentes situations.
Une personne en interpelle une autre, parfois avec une certaine impatience:
« Es-tu pour ou contre…? »Il peut s’agir d’un projet, d’une décision, d’une activité, d’une excursion.
On demande de faire un choix, oui ou non, est-on prêt à s’engager, à participer dans un sens ou dans l’autre?

Mais il peut s’agir également que le choix porte sur une personne:
un candidat pour un poste au plan professionnel, ou encore un ‘leader’ dans une entreprise quelconque.
La prise de position devient personnalisée.
Une réponse positive conduit à l’acceptation de la personne, alors qu’un rejet suivra une réponse négative.

La première lecture (Nombres 11:25-29) ainsi que l’évangile de ce dimanche (Marc 9:38-43,45,47-48)
nous invitent pourtant à une attitude différente.
Elles nous orientent toutes deux vers un choix inclusif!
On ne se trouve plus dans le domaine du: ‘l’un ou l’autre’ mais bien de: ‘l’un et l’autre’ –
et cela fait toute la différence!

On se trouve alors bien loin de ce que l’on nomme parfois: ‘l’esprit de chapelle’ –
cette position qui exclut ceux et celles qui n’appartiennent pas à notre groupe, ceux et celles qui ont des opinions différentes.
On leur attribue des dispositions différentes et on prétend que leur mentalité est bien loin de la nôtre.
On s’affiche comme partisan et l’on devient souvent sectaire!…

L’apôtre Jean rapporte à Jésus que lui et ses collègues apôtres ont tenté d’intervenir pour empêcher quelqu’un de faire un miracle parce qu’il n’appartient pas à leur groupe.
Jésus corrige Jean et ceux qui se sont joint à lui et, avec force, il affirme clairement:

« Ne l’en empêchez pas,
car celui qui fait un miracle en mon nom ne peut pas, aussitôt après, mal parler de moi ;
celui qui n’est pas contre nous est pour nous. »
 
Si Jésus était présent – visiblement – à certaines de nos rencontres…
S’il entendait nos discussions parfois animées et peu inclusives…
S’il écoutait les critères que nous proposons pour rejeter certaines personnes qui désirent se joindre à nous…
Ne répèterait-il pas – avec autant de force – les mêmes paroles?…

 

Note: Une vidéo présente d’une manière imagée et pertinente une réflexion similaire: https://youtu.be/WaAIS96zF2I
 
Et une autre réflexion, cette fois sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/26th-sunday-of-year-b-2021/

 

Source: Images: Pointeuse Badgeuse    www.churchofjesuschrist.org  

21è dimanche de l’année B – 2021

Des choix – nous en faisons tous les jours et de toutes sortes
L’heure du lever, les vêtements à porter pour un rendez-vous, le cadeau d’anniversaire pour la fille aînée, l’endroit pour les prochaines vacances, etc.
De multiples autres choix s’imposent à nous au fil des jours.

Il y a des choix plus sérieux: le choix d’un emploi et, bien sûr,
celui d’un conjoint, ont beaucoup plus de poids et… de conséquences.

Et il y a LE choix, unique, primordial, essentiel…
C’est la décision d’accepter Dieu dans ma vie, ou… de ne pas lui laisser de place chez moi.

C’est justement ce choix auquel réfèrent la 1ère lecture et l’évangile de ce dimanche
(Jos.24:1-2,15-17,18b) (Jn.6:60-69).

Dans la 1ère lecture, c’est Josué qui invite le peuple à prendre une décision en ce qui concerne leur engagement envers Dieu.
« Choisissez aujourd’hui qui vous voulez servir…
Moi et les miens, nous voulons servir le Seigneur. » 

Le moment est venu pour eux de choisir si, oui ou non, ils entreront en alliance avec Dieu qui veut justement être LEUR Dieu.

 

Dans l’évangile, c’est Jésus lui-même qui confronte ses apôtres en leur demandant:
« Voulez-vous partir vous aussi? »

C’est ce qu’ont fait nombre de ses auditeurs
et c’est à eux maintenant de faire le choix de continuer à accompagner Jésus ou… de l’abandonner.

Il s’agit de choisir d’être avec lui ou… sans lui.
Il leur faut accepter ce qu’il dit – ce qu’il est – ou… refuser de s’en remettre à lui.

 

Et le même choix s’impose à nous…
Lui faire confiance pour tout ce qui nous touche –
notre présent, notre avenir,
nos activités, nos projets,
nos décisions, nos relations,
notre vie au quotidien et tout ce que cela comporte…

Un choix… en continu… jusqu’à la fin…

 

Une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/21st-sunday-of-year-b-2021/

 

Source: Images: Empresarios Nacionales   Vox