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L’arc-en-ciel

En cette période de pandémie, l’arc-en-ciel nous a rejoints –
aux fenêtres de nos résidences, ses couleurs peintes ici et là,
ce symbole d’espoir dessiné avec joie par bien des enfants.
Son apparition sous des formes multiples nous a encouragés:
ÇA VA BIEN ALLER!
La vidéo qui suit redit ce message avec conviction!

 

Journée Internationale des personnes disparues – 30 août

L’ONU s’inquiète de l’augmentation des cas de disparition forcée et le groupe de travail sur les disparitions involontaires de la commission des droits de l’homme des Nations Unies exprime son inquiétude sur le nombre croissant de cas de disparitions forcées dans le monde.

« Les victimes de disparition forcée, dont on ignore où elles se trouvent et quel est leur sort, ne devraient pas être rappelées à notre souvenir seulement une fois par an. Chaque jour devrait être une Journée des personnes disparues », a déclaré le groupe de travail.

De son coté, le Comité international de la Croix-Rouge basé à Genève déplore le manque de volonté politique de s’attaquer à ce problème.

Une tragédie oubliée
Dans un rapport intitulé: Personnes portées disparues – une tragédie oubliée, l’organisation attire l’attention sur le drame trop souvent ignoré que vivent des dizaines de milliers de familles, de la Bosnie au Népal, de la Géorgie au Sri Lanka.

« Il est impératif de faire face à cette tragédie et d’aider les familles de disparus à faire la lumière sur ce qu’il est advenu de leurs proches. Ne pas savoir si un être cher est mort ou vivant provoque une angoisse indicible, de la colère et un profond sentiment d’injustice, et empêche les proches de faire le deuil et de tourner la page », constate Pierre Krähenbühl, directeur du CICR.

Un site à visiter : www.un.org         Source : Texte : Journée mondiale  Image: epa european pressphoto agency

Journée Internationale des personnes disparues – 30 août

L’ONU s’inquiète de l’augmentation des cas de disparition forcée et le groupe de travail sur les disparitions involontaires de la commission des droits de l’homme des Nations Unies exprime son inquiétude sur le nombre croissant de cas de disparitions forcées dans le monde.

« Les victimes de disparition forcée, dont on ignore où elles se trouvent et quel est leur sort, ne devraient pas être rappelées à notre souvenir seulement une fois par an. Chaque jour devrait être une Journée des personnes disparues », a déclaré le groupe de travail.

De son coté, le Comité international de la Croix-Rouge basé à Genève déplore le manque de volonté politique de s’attaquer à ce problème.

Une tragédie oubliée
Dans un rapport intitulé: Personnes portées disparues – une tragédie oubliée, l’organisation attire l’attention sur le drame trop souvent ignoré que vivent des dizaines de milliers de familles, de la Bosnie au Népal, de la Géorgie au Sri Lanka.

« Il est impératif de faire face à cette tragédie et d’aider les familles de disparus à faire la lumière sur ce qu’il est advenu de leurs proches. Ne pas savoir si un être cher est mort ou vivant provoque une angoisse indicible, de la colère et un profond sentiment d’injustice, et empêche les proches de faire le deuil et de tourner la page », constate Pierre Krähenbühl, directeur du CICR.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Attentat terroriste à Québec

«Le Saint-Père condamne fermement à nouveau la violence qui engendre tant de souffrances, implorant de Dieu le don du respect mutuel et de la paix.»

Le pape François, dans un télégramme transmis à l’archevêque de Québec, le cardinal Gérald Lacroix:

«Si les tueurs avaient l’intention d’opposer des gens de fois différentes les uns aux autres ou de les diviser, ils ne doivent pas réussir et ne réussiront pas. Nous sommes en deuil aux côtés de la communauté musulmane de Québec.»

Source: Texte: MSN, Images: Getty; sputniknews.com

Journée Internationale des personnes disparues – 30 août

personnes-disparuesL’ONU s’inquiète de l’augmentation des cas de disparition forcée et le groupe de travail sur les disparitions involontaires de la commission des droits de l’homme des Nations Unies exprime son inquiétude sur le nombre croissant de cas de disparitions forcées dans le monde.

« Les victimes de disparition forcée, dont on ignore où elles se trouvent et quel est leur sort, ne devraient pas être rappelées à notre souvenir seulement une fois par an. Chaque jour devrait être une Journée des personnes disparues », a déclaré le groupe de travail. De son coté, le Comité international de la Croix-Rouge basé à Genève déplore le manque de volonté politique de s’attaquer à ce problème.

Une tragédie oubliée
Dans un rapport intitulé: Personnes portées disparues – une tragédie oubliée, l’organisation attire l’attention sur le drame trop souvent ignoré que vivent des dizaines de milliers de familles, de la Bosnie au Népal, de la Géorgie au Sri Lanka.

« Il est impératif de faire face à cette tragédie et d’aider les familles de disparus à faire la lumière sur ce qu’il est advenu de leurs proches. Ne pas savoir si un être cher est mort ou vivant provoque une angoisse indicible, de la colère et un profond sentiment d’injustice, et empêche les proches de faire le deuil et de tourner la page », constate Pierre Krähenbühl, directeur du CICR

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale