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Journée mondiale de prière – 3 mars 2023

Journée mondiale de prière

Chaque année, le premier vendredi du mois de mars, la Journée Mondiale de Prière (JMP) est célébrée dans plus de 170 pays. La JMP est un mouvement de femmes chrétiennes laïques engagées dans la prière et l’action pour soulager la misère et faire acte de solidarité. Elle est le plus grand et le plus ancien mouvement oecuménique de prière.

Depuis 1887

On attribue généralement la création du mouvement à Mary Ellen James, une américaine de l’église presbytérienne, qui lance alors un appel pour une journée de prière pour la mission aux Etats-Unis.

D’année en année le mouvement s’amplifie et se structure, pour fédérer plus de 100 pays au bout de 100 ans…

Chaque année un pays différent

Les textes de prières sont rédigés chaque année par des femmes d’un pays différent, ce qui est une des particularités de cette journée.

En 2007, des femmes de diverses provenances et de différentes Églises du Paraguay avaient écrit une liturgie sous le titre « Unis sous la tente de Dieu ».

En 2014, ce sont les femmes égyptiennes qui prennent le relais. Elles font partie des différentes commuanutés chrétiennes (coptes, catholiques et évangéliques) toujours présentes en Égypte. Elles ont travaillé autour du thème de la liturgie « Ruisseaux dans le désert » et la rencontre de la Samaritaine avec Jésus au puits de Jacob.

En 2019, c’est la Slovénie qui a été mise à l’honneur et le thème retenu pour la journée était tiré de l’Evangile de Saint Luc (XIV, 15-24), dans un extrait dans lequel Jésus compare le royaume de Dieu à un banquet. Tous les invités sont excusés ; l’hôte invite les gens qui vivent en marge de la société. Que nous disent les auteurs slovènes ? Quel message lisons-nous de la parabole ? « Venez, car tout est prêt ».

En 2023, nous nous dirigeons vers Taïwan.

2023, Votre foi m’interpelle !

La célébration 2023 est basé sur la lettre de Saint-Paul aux Ephésiens (1, 15-19) tirée du Nouveau Testament :

Voilà pourquoi, maintenant que j’ai entendu parler de votre foi dans le Seigneur Jésus et de votre amour pour tous les croyants, je ne cesse pas de remercier Dieu à votre sujet. Je pense à vous dans mes prières et je demande au Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, au Père glorieux, de vous donner l’Esprit de sagesse qui vous le révélera et vous le fera vraiment connaître. Qu’il ouvre vos yeux à sa lumière, afin que vous compreniez à quelle espérance il vous a appelés, quelle est la richesse et la splendeur des biens destinés à ceux qui lui appartiennent, et quelle est la puissance extraordinaire dont il dispose pour nous les croyants. Cette puissance est celle-là même que Dieu a manifestée avec tant de force.

Un site à visiter: journeemondialedepriere.fr          Source: Texte & Image: Journée mondiale      illustration: Farid Fadel (extrait), artiste Egyptien          2è image: www.unitedeschretiens.fr

Journée mondiale de prière – 4 mars 2022

Journée mondiale de prière

Chaque année, le premier vendredi du mois de mars, la Journée Mondiale de Prière (JMP) est célébrée dans plus de 170 pays.

La JMP est un mouvement de femmes chrétiennes laïques engagées dans la prière et l’action pour soulager la misère et faire acte de solidarité. Elle est le plus grand et le plus ancien mouvement oecuménique de prière.

Depuis 1887

On attribue généralement la création du mouvement à Mary Ellen James, une américaine de l’église presbytérienne, qui lance alors un appel pour une journée de prière pour la mission aux Etats-Unis.

D’année en année le mouvement s’amplifie et se structure, pour fédérer plus de 100 pays au bout de 100 ans…

Chaque année un pays différent

Les textes de prières sont rédigés chaque année par des femmes d’un pays différent, ce qui est une des particularités de cette journée.

En 2007, des femmes de diverses provenances et de différentes Églises du Paraguay avaient écrit une liturgie sous le titre « Unis sous la tente de Dieu ».

En 2014, ce sont les femmes égyptiennes qui prennent le relais. Elles font partie des différentes commuanutés chrétiennes (coptes, catholiques et évangéliques) toujours présentes en Égypte. Elles ont travaillé autour du thème de la liturgie « Ruisseaux dans le désert » et la rencontre de la Samaritaine avec Jésus au puits de Jacob.

En 2019, c’est la Slovénie qui a été mise à l’honneur et le thème retenu pour la journée était tiré de l’Evangile de Saint Luc (XIV, 15-24), dans un extrait dans lequel Jésus compare le royaume de Dieu à un banquet. Tous les invités sont excusés ; l’hôte invite les gens qui vivent en marge de la société. Que nous disent les auteurs slovènes ? Quel message lisons-nous de la parabole ? « Venez, car tout est prêt ».

2022, en lien avec tous les éxilés

La célébration 2022 est basé sur la lettre que le prophète Jérémie a écrite aux exilés en Babylonie. Les exilés se trouvaient dans un contexte de souffrance, d’incertitude et de points de vue opposés sur la façon de réagir au moment présent.

Un site à visiter : journeemondialedepriere.fr   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

2è dimanche de l’Avent, année C – 2021

Nous nous efforçons de plaire à Dieu, sans doute.
Il est vrai que nous faisons de notre mieux pour suivre le chemin que Jésus nous a montré.
Mais peut-être n’avons-nous pas toujours conscience que… Dieu s’efforce aussi de nous plaire!

Vous souriez mais, à ce sujet, le texte de la 1ère lecture a quelque chose d’étonnant (Baruch 5:1-9).
À Jérusalem, qui représente le peuple de Dieu, le prophète Baruch dit:

« Jérusalem, quitte ta robe de tristesse et de misère,
et revêts la parure de la gloire de Dieu pour toujours,
enveloppe-toi dans le manteau de la justice de Dieu,
mets sur ta tête le diadème de la gloire de l’Éternel. »

Un texte assez spécial!
Tout ce dont nous devons nous revêtir vient de Dieu!
Sa « parure de gloire, son manteau de justice et son diadème de gloire. »

Un peu comme des enfants qui désirent prouver à leurs parents qu’ils/elles sont capables de réussir,
nous croyons souvent qu’il faut réaliser nous-mêmes ce que Dieu désire accomplir en nous!

En cette période de l’Avent, il convient peut-être de nous poser quelques questions :

  • Sommes-nous prêt/es à dépendre de lui, ou tentons-nous de tout faire nous-mêmes?
  • Attendons-nous avec confiance son intervention, ou désirons nous faire les choses à notre façon?
  • Voulons-nous prouver quelque chose à Dieu, ou sommes-nous content/es de nous en remettre à ce qu’il est prêt à réaliser en nous?

Évidemment, nos efforts sont requis, notre bonne volonté doit se manifester au quotidien.
Mais le plus important est d’accepter de recevoir de Dieu tout ce dont il désire nous combler.

Et alors, nous assure Baruch: « Dieu a décidé » que nous cheminerions dans la SÉCURITÉ et qu’il nous conduirait dans la JOIE !

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-advent-year-c-2021/

Et dans une courte vidéo, Ghislaine Deslières nous partage ses pensées en ce 2è dimanche de l’Avent, année C:  https://youtu.be/jN7uIU0V9-E

 

Source: Images: Catechisme Emmanuel    Robe

30è dimanche de l’année B – 2021

On voulait le faire taire (Marc 10:46-52).
Évidemment, on n’aime pas ceux qui crient pour attirer l’attention.
On n’apprécie pas ceux qui étalent leur misère au grand jour.
Il faut respecter l’ordre public et avoir du respect pour les autres…

Mais, parmi les autres, il y avait ce Jésus de Nazareth et lui…
Lui ne parait pas trop se préoccuper de ce genre de considérations des bien-portants.
Il semble comprendre ce besoin, ce besoin de crier et de supplier, d’espérer et d’attendre…

Ne serait-il pas le même aujourd’hui?
Lui qui a appelé l’aveugle malgré les objections de l’entourage.
Il l’a non seulement appelé mais il lui a accordé ce qu’il demandait, tout simplement!
Ne comprendrait-il pas nos cris, nos supplications, notre espoir et notre attente?

Car… notre prière, ne consiste-t-elle pas bien souvent en un cri, une supplication?
Notre espoir et notre attente, n’est-ce pas là l’essentiel de notre prière?

Oui, mais… encore faut-il prendre conscience que… nous avons besoin de voir!
Et réaliser que Dieu est toujours là prêt à nous rendre la vue.

Alors, nous serons en mesure de recevoir la guérison de ceux/celles qui réalisent leur cécité
et qui demandent d’en être guéri/es…
 
 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à : https://image-i-nations.com/30th-sunday-of-year-b-2021/

 

Source: Image: terrysdevotions.com

Journée mondiale de prière – 5 mars 2021

Journée mondiale de prière

Chaque année, le premier vendredi du mois de mars, la Journée Mondiale de Prière (JMP) est célébrée dans plus de 170 pays.

La JMP est un mouvement de femmes chrétiennes laïques engagées dans la prière et l’action pour soulager la misère et faire acte de solidarité. Elle est le plus grand et le plus ancien mouvement oecuménique de prière.

Depuis 1887

On attribue généralement la création du mouvement à Mary Ellen James, une américaine de l’église presbytérienne, qui lance alors un appel pour une journée de prière pour la mission aux Etats-Unis.

D’année en année le mouvement s’amplifie et se structure, pour fédérer plus de 100 pays au bout de 100 ans…

Chaque année un pays différent

Les textes de prières sont rédigés chaque année par des femmes d’un pays différent, ce qui est une des particularités de cette journée.

En 2007, des femmes de diverses provenances et de différentes Églises du Paraguay avaient écrit une liturgie sous le titre « Unis sous la tente de Dieu ».

En 2014, ce sont les femmes égyptiennes qui prennent le relais. Elles font partie des différentes commuanutés chrétiennes (coptes, catholiques et évangéliques) toujours présentes en Égypte. Elles ont travaillé autour du thème de la liturgie « Ruisseaux dans le désert » et la rencontre de la Samaritaine avec Jésus au puits de Jacob.

En 2019, c’est la Slovénie qui a été mise à l’honneur et le thème retenu pour la journée était tiré de l’Evangile de Saint Luc (XIV, 15-24), dans un extrait dans lequel Jésus compare le royaume de Dieu à un banquet. Tous les invités sont excusés ; l’hôte invite les gens qui vivent en marge de la société. Que nous disent les auteurs slovènes ? Quel message lisons-nous de la parabole ? « Venez, car tout est prêt ».

2021, dans les îles Vanuatu

Face au contexte sanitaire actuel, c’est une vidéo de la célébration qui est proposée via Youtube, Vous pouvez y accéder à partir du 2 mars

Un site à visiter : journeemondialedepriere.fr      Source: Texte & Image: Journée mondiale

LE VANUATU , 5 mars 2021 ,

Ce vendredi 5 mars, pour permettre à toutes et tous d’être en communion de prière avec les femmes du Vanuatu et du monde entier, malgré le confinement imposé chez nous en France, le comité JMP-France vous invite à vous joindre à la célébration via zoom à 20h  , le lien de connexion est le suivant:

Lien pour accéder à la vidéo de la célébration  Youtube  en français ( vidéo visible à partir du 2 mars)        https://youtu.be/LXHDOIVPw5E

BATIR  SUR LE ROC (MAT 7, 24-27)

illustation Vanuaut

illustration de la célébration

L’une des premières choses que nous apprenons avec les femmes de Vanuatu est que «la terre pour un Ni-Vanuatu est ce qu’une mère est pour un bébé,

C’est avec la terre qu’il définit son identité et c’est avec la terre qu’il maintient sa force spirituelle ».

La photo choisie pour illustrer la célébration reflète le lien des femmes du Vanuatu avec la terre, la culture et la foi.

Les vanuataises nous invitent à méditer le texte de Matthieu 7, 24-27. Jésus termine son sermon sur la montagne et l’entrée au royaume des cieux en utilisant l’image d’une maison et la terre sur laquelle la maison est construite. Pour les habitants du Vanuatu, la prise en compte du terrain et du climat est cruciale pour construire sa maison dans cet archipel tropical situé dans l’océan Pacifique Sud, sujet aux tremblements de terre, aux cyclones, aux éruptions volcaniques et à l’élévation du niveau de la mer. Dans ce passage biblique, la sagesse du constructeur de la maison vient d’entendre et d’agir sur la parole de Dieu, qui est une parole d’amour. C’est le fondement sur lequel nos sœurs nous appellent pour construire nos maisons, nos nations et le monde.

« Quelle est la maison que nous voulons construire ? »

Les Ni-Vanuatu louent Dieu pour la terre fertile, la douce mélodie des oiseaux et les cris des enfants. Tous ensembles reflètent leur mode de vie et leurs luttes quotidiennes pour la production de nourriture, le respect de l’environnement et l’éducation des enfants. Ces défis sont des raisons de louer Dieu pour être la source de leur force. En recevant leur voix comme un don de sagesse, nous partageons leur espoir et nous engageons de manière créative nos communautés dans une «prière informée».

Source: Texte & Image: JMP-FRANCE JOURNÉE MONDIALE DE PRIÈRE  « S’informer, prier, agir »

Fête du Baptême du Seigneur, année A – 2020

Bethlehem – l’Égypte – le Jourdain : les étapes de notre pèlerinage depuis Noël.
La célébration d’aujourd’hui peut nous paraître… mystérieuse, mais…
ne le sont-elles pas toutes nos célébrations qui justement nous invitent à pénétrer LE mystère?

LE mystère de Dieu qui s’est fait l’un-de-nous, Dieu-avec-nous.
C’était le message de Noël : lumière qui illumine nos ténèbres –
ténèbres de souffrance, de pauvreté, de misère de toutes sortes.

La célébration d’aujourd’hui – Jésus qui se fait baptiser par Jean au Jourdain (Mt.3:13-17) –
nous aide à prendre conscience de NOTRE mystère : nous, les êtres humains –
dont l’humanité est coupable du pirecapable du meilleur!
 
La scène présentée par le texte de l’évangile illustre justement
le mal auquel nous sommes aux prises et la gloire qui nous est promise!

C’est jusque là que Dieu s’est fait Dieu-avec-nous, il se fait l’un-de-nous
selon la formule audacieuse de l’apôtre Paul :

« Celui qui n’avait pas connu le péché, il (Dieu) l’a fait péché pour nous
afin qu’en lui nous devenions justice de Dieu. » (2 Cor.5 :21)

Que pourrait-on ajouter?…
Que ceci est vrai, vérédique, valable, aujourd’hui en ‘cette année du Seigneur’ 2020!

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/feast-of-the-baptism-of-the-lord-year-a-2020/

 

Source : Image : graceanglicanfellowship.org

 

 

 

 

 

 

 

2è dimanche de l’Avent, année C

 En général, on n’aime pas les visages tristes et les mines sombres.
Leur compagnie ne nous attire pas.
Certains iront jusqu’à dire à ceux et celles qu’ils qualifient de ‘pessimistes’ :
« Oublie tes déboires et ris un peu, ça te fera du bien. »

Ces paroles sont peut-être la formule moderne des paroles du prophète Baruch 
que l’on retrouve au début de la 1ère lecture de ce dimanche (2è dimanche de l’Avent, année C – Ba.5:1-9) :

« Quitte ta robe de tristesse et de misère. »
 
Une robe, cela nous colle à la peau, pour ainsi dire.
Ce vêtement nous ‘enrobe’ littéralement, davantage qu’un manteau ou autre survêtement.
Et voilà que le prophète nous dit de nous en défaire.
Oui, il faut se départir pas d’une robe quelconque,
mais bien de celle qu’il qualifie de « tristesse et de misère. »
 
Il peut paraître étrange que l’on soit attaché à ses problèmes et ses difficultés.
C’est pourtant le cas bien souvent.
On fait l’inventaire de ses manques et de ses échecs, de sa mauvaise fortune et de son impuissance.
On peut alors se plaindre et… se faire plaindre!

L’Avent est la période privilégiée pour se délester de ce fardeau qui nous écrase.
On hésite, on craint de ne plus se retrouver soi-même?
Le Prophète Baruch nous donne LA raison qui nous motivera et nous soutiendra :

« Dieu se souvient. »
 
On l’oublie parfois, mais Dieu, lui, se souvient.
Il se souvient de nos peines et des efforts que nous jugeons inutiles.
Il se souvient de nos regrets amers et de l’impossibilité de faire confiance de nouveau.
Il se souvient de nos tentatives qui n’ont pas abouti et de nos mésaventures.

Il se sou-vient et il VIENT – il vient pour les vivre avec nous, comme l’un de nous.
C’est là, la signification de l’Avent – la période où l’on peut enfin le reconnaître!

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-advent-year-c/

 
Source : Image : Biblical Archaeological Review – Biblical Archaeological Society
 
 

5è dimanche du Carême, année B

En nous adressant à Dieu, nous lui demandons souvent de se souvenir –
se souvenir de nous, de nos besoins, de notre misère.
De nombreux Psaumes nous font répéter ces demandes.
Et le Psalmiste ose même demander à Dieu de se souvenir de son amour! (Ps.25:6)

Il y a pourtant une chose dont nous espérons que Dieu ne gardera pas le souvenir : ce sont nos fautes.
Nos faiblesses, nos manquements, nos infidélité multiples –
si seulement Dieu pouvait ne pas les garder en mémoire!

La bonne nouvelle c’est que justement c’est l’attitude de Dieu à ce sujet bien sombre de nos péchés.
Et c’est lui-même qui nous en assure dans la 1ère lecture de ce 5è dimanche du Carême (Jer.31:31-34) :

« Je pardonnerai leurs fautes,
je ne me rappellerai plus leurs péchés. »

C’est presque trop beau pour être vrai mais c’est la RÉALITÉ –
Oui, la réalité d’un Dieu miséricordieux.

N’y a-t-il pas de conditions pour que cela se produise ?
Évidemment ! C’est que NOUS nous souvenions de nos péchés pour les lui abandonner…
Les lui abandonner ‘enveloppés’, si on peut dire, de notre regret sincère et nos efforts pour lui être fidèle à l’avenir.
Et alors ils disparaissent un peu comme l’écriture ‘lavée’ d’une vieille carte postale !

C’est cela « apprendre à connaître » Dieu – le vrai –comme en parle Jérémie…
Pas de meilleur moment que cette période de Carême pour NOUS souvenir et apprendre !

Note: Une autre réflexion sur un thème différent est offerte en anglais à: https://image-i-nations.com/5th-sunday-of-lent-year-b/

Source : Image : Fiveprime

 

MISÉRICORDE…

Un rabbin avancé en âge et riche de sagesse parlait ainsi à qui voulait bien l’entendre.
« Chacun de nous est relié à Dieu par un fil, et lorsqu’on commet une faute… le fil se casse ».
« Mais », affirmait le rabbin, « quand on se repent de sa faute, Dieu fait un nœud dans le fil.
Alors, bien sûr, le fil devient plus court qu’avant et ainsi… le pécheur est un peu plus près de Dieu!
C’est ainsi que de faute en repentir, de nœud en nœud, nous nous rapprochons de Dieu ».
Et le vieux sage de continuer :

« Vous voyez, chacun de nos péchés est une occasion de raccourcir la corde et de nous approcher plus vite de Dieu.
Tout est grâce, oui, même les péchés! »

 

Et voici une définition de la ‘Miséricorde’ par quelqu’un qui en avait fait l’expérience…

« La MISÉRICORDE, c’est quand shu dans misère, shu au boutte de ma corde, pis… LUI, y vient m’aider! »

Source : Image : pinterest.com  Dreamstime.com